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Cendrillon X

Chapitre 2

Inceste
Chapitre 2
Après ce tragique accident, dont Sophie ne parla jamais à son père, celui-ci se remaria avec une femme méchante. Que cette pauvre jeune fille était triste en songeant à la vie qu’elle menait au temps où elle était gâtée et heureuse !Car maintenant, tout était différent.Sa belle-mère n’hésitait déjà pas à la brimer du vivant de son père, attendant qu’il ait le dos tourné pour la faire trébucher ou, quand le maître de maison s’absentait, pour la fesser à la moindre occasion, lui demandant d’ôter ses belles robes et ses jupons….Mais quand Sophie atteignit l’âge où une jeune fille était considérée comme une femme, les brimades s’intensifièrent.
Sa belle-mère, qui avait également fini par avoir accès à la salle où la mère de la jeune fille avait trouvé la mort, ne fermait pas la porte. Aussi Sophie était-elle témoin des cris de jouissance que cette sorcière poussait toutes les nuits jusqu’à une heure avancée. Et du peu de plaisir que son père prenait. Du moins si la nuit funeste qu’elle avait vécue plusieurs années auparavant était le reflet exact du plaisir qu’il pouvait atteindre avec une femme.Un soir où Sophie avait été plus curieuse qu’un autre, elle s’avança jusqu’à la porte en bois rugueux et y trouva… ses deux belles-sœurs. Celles-ci étaient en train de se caresser en épiant, par l’entrebâillement de la porte, les ébats sexuels de leur mère avec leur beau-père. Et leurs commentaires la laissèrent sans voix.
« Regarde comme elle le prend bien au fond.— Comme mère est courageuse de se faire prendre par un tel pieux !— Je ne pourrais jamais !— Mère nous dit pourtant de nous préparer car nous ne savons pas sur quel mari nous pourrions tomber. Et notre devoir de maîtresse de maison étant de combler tous les désirs de notre mari, nous devons nous tenir prêtes pour une telle situation !— Comme mère a été avisée de nous commander ces godemichets. Nous en avons de toutes les tailles. Regarde celui-là. »
Sophie vit alors une de ses belles-sœurs prendre un objet par terre et se mettre à le sucer en regardant sa sœur.
« Mon Dieu, il est presque aussi gros que le chibre notre beau-père. Pense à bien le sucer pour le lubrifier. Il ne faut surtout pas te déchirer.— Tu sais comment me préparer chère sœur…— Pas ici, je vais me casser les genoux à lécher ton joli minou. Je préfère que nous retournions dans la chambre.— Attends, je regarde une dernière fois comment maman s’y prend.— Je me dis que j’aimerais parfois être à sa place. — Pour te faire prendre par notre beau-père ?— Oui, tu as vu ce sexe ? Tu as vu la manière dont il s’en sert ?! »

Un cri interrompit les deux sœurs qui se retournèrent d’un bond.Au loin la porte menant au couloir se referma en un claquement sec.
« Qu’était-ce ma mie ? N’avez-vous pas fermé la porte ?— Si bien sûr mon ami. Enfin, me pensez-vous donc si imprudente ? Continuez mon beau, continuez à m’empaler de votre large chibre ! Mon corps est votre temple. Je suis votre soumise… soumettez-moi, pilonnez-moi, surtout…. »
Les deux sœurs n’entendirent pas la fin des supplications de leur mère. Elles courraient déjà pour rattraper l’indiscrète.
Sophie claqua la porte de sa chambre, les yeux écarquillés. Elle n’osait y croire ! Ses belles-sœurs étaient des dépravées, des débauchées ! Certes quand elle avait trouvé ses parents en train de s’adonner à leurs jeux étranges, elle avait été choquée… mais elle avait senti qu’un amour unique et sincère les liait.Or dans ce couloir… la luxure seule avait eu sa place. Cette sordide luxure…
Sophie sursauta violemment lorsque la porte de sa chambre s’ouvrit à la volée.Javotte, le regard noir, prit la parole en premier.
« Alors petite, on épie aux portes ?— On espionne ses sœurs ? renchérit Anastasie en refermant la porte derrière elles… à clefs. »
Sophie, qui avait deux ans de moins que ses belles-sœurs, n’avait jamais partagé leurs jeux et encore moins leurs discussions. C’était la première fois qu’elles lui parlaient réellement d’un sujet important et, de surcroît, affreusement intime.Toute cette nouveauté ôta le sens de la parole à la jeune fille qui se contenta d’observer les deux jeunes femmes s’approcher d’elle un sourire mauvais aux lèvres.
« Qu’as-tu vu ? susurra Javotte en prenant Sophie par la main pour la mener au lit.— Je… rien, je…— Allons, ne sois pas timide, reprit Anastasie sur le même ton doucereux. Nous sommes sœurs, nous pouvons tout nous dire. Nous sommes plus âgées que toi, nous pouvons t’expliquer des choses.— Des choses de femmes.— Tu es en âge maintenant de te fiancer et de te marier. Alors si tu as des questions…. Pose les nous. »
Sophie regardait tour à tour ses belles-sœurs, sans comprendre leur changement de comportement. Elles l’observaient avec des yeux voilés et des sourires faux. La jeune fille sentait que quelque chose n’allait pas, qu’un danger était proche, mais elle n’aurait su dire lequel. Alors, comme réponse, elle murmura :
« Je n’ai rien vu mes sœurs. — Petite menteuse, s’emporta Anastasie en la giflant. »
La pauvre enfant roula du côté de Javotte, une main sur la joue, les larmes aux yeux. Elle sentit une main douce lui caresser la tête. Tremblante, elle se redressa. Javotte lui sourit doucement avant de la gifler sur l’autre joue. Cette fois, Sophie roula du côté d’Anastasie, mais se redressa rapidement pour s’enfuir de sa chambre.Malheureusement, Javotte agrippa un ruban de sa robe et, d’un coup sec, la fit de nouveau asseoir sur le lit.Anastasie l’y allongea d’autorité.
« Maintenant, écoute-nous petite effrontée, murmura Anastasie. Nous allons t’apprendre à écouter aux portes.— N’y allons pas trop fort chère sœur. Mère voudra également donner son avis sur la punition à adopter concernant l’attitude de cette petite fouine.— Non… pas votre mère. S’il vous plaît.— S’il nous plaît ? gloussa Javotte. Mais justement, il nous plaît….— Il nous plaît même beaucoup, renchérit Anastasie.— Oui, il nous plaît beaucoup de savoir comment mère va te récompenser d’une telle audace ! — Quelle audace ? demanda Sophie, tremblante.— Celle d’épier ! s’insurgea Anastasie.— Celle d’espionner aux portes !— Je n’épiais pas. J’ai entendu du bruit et je suis venue voir de quoi il s’agissait… Ensuite je vous ai vu toutes les deux….— Continue ! ordonna Javotte.— Je vous ai vu vous…, Sophie ferma les yeux pour échapper un tant soit peu à la honte qui s’emparait d’elle. Je vous ai vu regarder par la porte…Et je vous ai entendu dire ces choses horribles !!— Quelles choses ! aboya Anastasie.— Vous vous… oh mon Dieu non je ne peux pas le dire.— Oh si tu vas le dire ma belle, sourit méchamment Javotte en posant une main sur sa poitrine. »
Sophie se statufia.
« Dis-le, ordonna Anastasie d’une voix sourde. Ou je laisse ma sœur faire. »
Javotte passa sa main d’un sein à l’autre de la pauvre Sophie qui se débattit, les larmes coulant le long de ses joues.Malheureusement pour elle, les deux affreuses belles-sœurs la maintenaient fermement.
« Alors ?! — Vous vous … léchez, avoua Sophie d’une voix à peine audible. Vous êtes sœurs et vous vous adonnez à l’acte le plus sacré du mariage ! C’est une honte ! — Eh bien voilà, tu as fini par sortir ton petit secret, susurra Javotte, une main toujours sur le sein de Sophie.— Maintenant lâchez-moi ! »
Javotte se redressa. Sophie s’apprêtait à en faire de même lorsqu’Anastasie se mit à califourchon sur elle.
« Qu’est-ce que tu fais ?! Tu m’avais promis que vous me laisseriez tranquille !— Tu as du mal entendre petite oie blanche. J’ai dit que si tu ne nous disais rien, je laisserais faire ma sœur.— C’est tout, sourit Javotte en s’asseyant sur le lit à côté d’elle, les jupons retroussés. »
Affolée, Sophie se débattit comme une diablesse. Mais les fruits de ses efforts furent bien loin de ses espérances. Une avalanche de gifles plut sur elle. La pauvre enfant tenta de se protéger... en vain.
« Pourquoi t’es-tu débattue ma jolie ? murmura Anastasie en caressant à présent la joue de sa victime. Moi qui voulais simplement te remercier pour nous avoir fait confiance en nous révélant ton secret. »
Sophie l’observait à présent, terrifiée.
« N’as-tu pas envie d’apprendre quelques petites choses qui te serviront pour ta vie de femme mariée ?— Des choses qui pourront te faire tenir le cap même si ton mari ne te satisfait pas ? poursuivit Javotte dont la féminité était à présent seulement cachée par une fine culotte en satin. »
La jeune fille avait les joues en feu. Jamais elle n’avait abordé ce sujet. Avec personne. Et cette façon de faire, cette discussion, avec ces deux débauchées, ne lui convenait pas !
« Que voulez-vous dire ? Le mari n’est-il pas en devoir de… »
La gêne l’empêcha d’aller plus loin.
« Oh non ma chère, non, se désola faussement Anastasie. Le mari n’est obligé à rien. C’est toi qui dois le satisfaire, lui offrir la jouissance à chaque occasion.— Parfois ça sera sur le lit….— Parfois sur une table…— Ou encore à même le sol.— Parfois encore il se contentera d’ouvrir son pantalon pour que tu t’occupes de son membre entre deux affaires pressantes.— Nous avons vu mère s’agenouiller devant père des centaines de fois.— Mon Dieu… mais vous n’étiez que des enfants.— Ils ne nous ont jamais vu je crois ?— Non Javotte, jamais. Ou peut-être que si… Nous ne le saurons jamais… »
Les deux sœurs se sourirent jusqu’à ce que Javotte écarte sa culotte en satin.
« Ma chère et tendre sœur, veuillez procéder pour que je jouisse à mon aise.— Vous n’oublierez pas de vous occuper de ma petite chatte …— Avec le nouveau gode que mère vous a offert pour votre anniversaire ?— Celui-là même. D’ailleurs…— N’y pensez pas malheureuse ! s’insurgea Javotte. Mère ne vous le pardonnerait pas ! S’il est quelqu’un qui a ce pouvoir, c’est elle.— De quoi parlez-vous ?! cria presque Sophie, paniquée.— De votre pucelage ma chère, répondit Anastasie en soulevant les jupons de Sophie.— Quoi ?! Vous n’oseriez pas !— Nous, non, mais mère…— Qui sait ce qu’elle pourrait vous faire pour vous punir ?— Père s’y opposera !— Votre père ! pouffa Anastasie. Mais votre père ne sera pas obligé de le savoir.— Mon futur mari le saura ! Et il demandera des comptes à père ! Père saura alors !— Votre père saura ce que notre mère voudra qu’il sache ! Si elle lui dit qu’elle vous a vu forniquer dans les foins avec le premier venu, il la croira !— Non, père me connaît !— Vous pensez ? »
Le sourire mauvais de Javotte la fit taire.
« Voilà qui est mieux, soupira Anastasie en enfouissant sa tête sous les jupons de Sophie.— Non !!— Ecoute, si tu es gentille avec nous, nous intercèderons en ta faveur auprès de mère.— Javotte !— Vous n’avez pas envie de t’amuser un peu avec elle ?— Si, mais vous enlevez tout suspens quant à sa punition ! »
Sa sœur lui fit un clin d’œil et elles se comprirent. Intercéder ne voulait pas dire influencer. Surtout pas leur mère.
« Es-tu d’accord Sophie ? demanda Javotte en caressant son clitoris. »
Incapable de prononcer un mot de plus, la pauvre enfant tourna la tête de côté et éclata en sanglots.
« Voilà qui est plus raisonnable, sourit Anastasie. Mh voyons ce que nous avons-là… »
De ses doigts fins, elle écarta le tissu qui couvrait la féminité de sa belle-sœur.
« Sophie… mais quelle petite… regardez ça Javotte ! Pas un poil ! Comment est-ce possible ? »
Sophie se mordit la lèvre.
« Réponds ! ordonna Anastasie en donnant une claque sur ses lèvres.— Ah !! Mère… mère était toujours … lisse à cet endroit.— Comment le sais-tu ? souffla Javotte qui se caressait à présent.— Je les ai surpris une fois père et elle… Elle était si belle.— Quelle petite délurée ! s’exclama Anastasie. Moi qui pensais avoir affaire à une petite idiote… Tu sais donc déjà des choses sur l’acte d’amour ?— Ce n’est pas de l’amour, c’est de la luxure !— Au bout d’un certain temps il ne reste bien souvent qu’elle, remarqua Javotte en insérant un doigt en elle. Mhh vas-y Ani, faites la jouir pour moi.— Tout de suite ma sœur. »
Anastasie enfouit de nouveau la tête sous les jupons de Sophie et entreprit de lécher ses lèvres.
« Oh…. ! »
Javotte sourit.
« Elle a l’air d’aimer … continuez, nous en viendrons peut-être à bout plus facilement que prévu. »
Anastasie se releva pourtant.
« C’est qu’il fait chaud là-dessous ! »
En un clin d’œil, elle enleva sa robe. C’est à cette occasion que Sophie remarqua qu’elle ne portait rien sous elle, pas un jupon.
« Encore une chose que tu dois apprendre, expliqua posément Anastasie : ne rien porter sous ses tenues. Que ce soit pour le confort de son mari, du sien quand il est en voyage ou bien de celui de… — Sa sœur aimante, compléta Javotte qui s’était relevée. »
Sophie, le cœur battant à tout rompre, l’observa prendre le godemichet.
« Anastasie, je vous en prie, continuez à vous occuper de notre petite sœur… »
Sophie se retrouva en travers du lit, Anastasie entre ses cuisses, Javotte entre celles de sa sœur, son godemichet en train de caresser ses propres lèvres.
« Nous allons jouir ensemble, n’est-ce pas une merveilleuse preuve d’amour fraternelle ? demanda Javotte d’une voix suave avant de lécher avec envie le clitoris de sa sœur.— Oh Javotte ma chère, votre coup de langue est toujours très sûr.— Taisez-vous donc petite chienne et léchez cette garce. »
Anastasie ne se le fit pas dire deux fois. Sa langue se posa aussitôt sur le clitoris de sa belle-sœur qu’elle titilla, aspira et lécha avec gourmandise.De son côté, la pauvre jeune fille tentait de ne pas penser à l’abomination qu’on lui faisait subir. Elle qui n’avait jamais connu l’amour, connaissait déjà les actes les plus intimes du couple.Tant d’images tournaient dans sa tête. Celle de son père et de sa mère, de son père et de sa belle-mère, celle de ses sœurs se caressant, chacune de ses sœurs se délectant du puits d’amour de l’autre, celles de ses belles-sœurs avec son père.
« Mon Dieu non, soupira Sophie. »
Anastasie mordilla le clitoris de la jeune fille.
« Oh oui !! »
Ce cri lui avait échappé. Sophie plaqua ses mains sur son visage, souhaitant être écrasée sous le poids de la honte.
« Oh Javotte, je crois qu’elle aime.— Continuez ma chère, je me gode en songeant à ce que vous lui faites subir et je sens le plaisir monter en moi.— Sophie, comme ta chatte est délicieuse sous ma langue. Jouis pour nous ma douce. »
La jeune fille souhaitait ardemment se défaire de cette boule qui s’était formée au creux de son ventre. Mais quand elle sentit la langue d’Anastasie s’insinuer en elle, elle cria de plaisir.
« Oui, comme ça Ani, faites la crier ma douce salope!— Oh Javotte, continuez à me butiner, vous vous y prenez si bien. »
Javotte inséra deux doigts dans l’intimité de sa sœur et entreprit de l’empaler bien vite avec un troisième tandis qu’elle-même se fichait le beau et gros godemichet au fond de sa petite fleur déjà tant de fois souillée.Sophie, les yeux fermés, sentait ses résistances faiblir face à l’habilité de sa sœur.
« Anastasie, arrêtez, je vous en prie.— N’ouvre la bouche que pour jouir petite dinde ! souffla Anastasie avant de cracher sur la chatte de sa petite sœur. Javotte…. Encore…. Prenez-moi bien fort ! »
Les cris des deux belles-sœurs commencèrent à emplir la pièce et ce fut la mort dans l’âme mais le plaisir s’emparant de ses sens que Sophie les rejoignit.
« Oh… ma sœur… ma chère sœur… nous ne devrions pas ! Mais c’est si bon ! Oh ma sœur….— Javotte, l’entendez-vous ? Jouissons ensemble, maintenant ! »
Javotte fourra plus avant encore sa sœur ainsi que sa propre chatte dégoulinante de plaisir. Et dans un mouvement furieux, les trois jeunes femmes jouirent ensemble, des mêmes voix aigues.Ce fut lorsque Sophie inonda ses deux belles-sœurs de son plaisir qu’elle comprit que ses jouissances étaient plus intenses que celles de ces deux débauchées. Et si elle se fiait au sourire de ces diablesses, c’était une chose assez hors du commun et… intéressante.
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