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Centre de remise en forme

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Margaux et j’ai 42 ans. Pour me décrire, je suis de taille moyenne dans un corps proportionné, cheveux blonds tombant sur mes épaules et des yeux bleus, le cliché, mais je née ainsi. Je suis mariée à Mathieu mon ainé de 8 ans, et ce qu’il a tout de suite aimé en moi, comme beaucoup d’hommes qui se retournent sur mon passage, c’est ma poitrine, je porte des bonnets D pour contenir mes seins lourds et laiteux, je dis lourd et non pas retombant, j’y tiens !
Je suis infirmière dans une clinique privée, et mes horaires de travail sont très variés, même le week-end, une sorte de 3 x 8 avec des journées de compensations. Hormis le ménage, les courses, faire à manger… J’ai différents loisirs, dont celui d’aller dans un centre de remise en forme, histoire de maintenir l’aspect de mes années précédentes.
L’année dernière au printemps alors que j’avais une journée de récupération, je me décidais d’aller en début d’après midi dans le club où je m’étais inscrite. A cette heure de la journée l’entrepôt relooké à vous fabriquer un corps de rêve était peu usité, sinon que par quelques retraités ou de plus jeunes personnes qui se donnaient à fond une demi-heure, pour se donner bonne conscience des excès de la vielle ou à venir.
J’entrais dans l’établissement où le gérant qui ne devait pas faire beaucoup de sport vu son embonpoint me salua derrière un comptoir, prêt à s’assoupir pour une sieste salvatrice après un déjeuné certainement trop lourd et trop arrosé. J’allais dans les vestiaires pour enfiler ma tenue d’athlète, un corsaire noir et un débardeur rose avant de chausser mes running, et me voilà partie pour une séance d’une heure.
J’allais m’installer sur un rameur que je programmais sur une intensité moyenne, souffrir pour être belle : oui, mais il y a tout de même des limites ! Comme souvent, au bout de cinq minutes, un sexagénaire vint se planter devant moi. A la vue de son ventre bouffi, il ne devait profiter de la salle que pour discuter avec ses amis et non pour son usage primaire. - C’est dur ? Me questionna-t-il. - Un peu. Répondis-je sèchement afin de ne pas entamer une conversation de comptoir. - Et le plus malheureux, c’est que depuis le temps que vous ramer, vous n’avez pas avancé d’un pouce ! Me lança-t-il l’air guilleret. Pour toute réponse je lui rendis un sourire forcé. Son regard s’était ancré sur ma poitrine qui ne manquait de déborder du débardeur lorsqu’allant tirer sur les rames, celle-ci venait s’écraser contre mes genoux. Je fis semblant de ne pas m’apercevoir de son manège, ce qui dû le ravir de pouvoir se rincer l’œil en toute liberté pendant quelques minutes avant de s’en lasser. Après avoir sifflé quelques rasades de ma bouteille d’eau, je me dirigeais vers le tapis de course. Naturellement, dès que je me mis à courir, ma poitrine se mis à balloter. On m’avait déjà conseillé de porter une brassière, que j’avais déjà essayée, mais dont je n’avais dès la première fois pu supporter ce carcan qui m’emprisonnait et me donnait l’impression d’étouffer. Alors, dans ce soutien gorge sans armatures, mes seins se bringuebalaient au rythme de mes foulées. Tout sourire aux lèvres et discutant avec un compère, mon sexagénaire mateur ironisait sur moi. Qu’importe, valait mieux être regardée et convoitée plutôt qu’être ignorée, enfin, c’est ce que toute femme désire, dont moi. Lorsqu’au bout d’une heure, ruisselant de sueur, je regagnais les vestiaires. Aucune femme n’y étant, je me déshabillais et je rangeais mes affaires et sous vêtements dans un pochon en plastique avant de m’enfermer dans une douche. Il n’y avait pas de patère dans la cabine, aussi je jetais ma serviette de bain sur le chambranle de la porte et je me glissais sous l’eau presque bouillante. Je sais, que pour l’organisme l’eau trop chaude n’est pas bonne, mais c’est tellement délicieux après un effort. Après être restée un long moment à me rincer, je me décidais à refermer le robinet. Je fus comme tétanisée lorsque je me rendis compte que ma serviette ne pendait plus au chambranle de la porte. Je m’accroupissais pour vérifier qu’elle n’était pas tombée à l’extérieur de la cabine, quand j’aperçus entre le bas de la porte et le sol, une paire de basket, mais avec un individu dedans. - Excusez-moi. Vous n’auriez pas vu une serviette par terre ? Demandais-je d’une voix tremblotante. - Une serviette jaune ? Répondit un homme. - Oui, c’est ça. Vous pourriez me la passer par-dessus la porte s’il vous plaît ? - Il serait plus facile que vous veniez la chercher vous-même, non ? - Euh… Je suis nue, balbutiais-je. - Je m’en doute, et c’est bien pour ça. Ricana l’homme. Bien que seule dans la cabine, je portais une main à ma poitrine et l’autre sur mon sexe glabre pour me protéger. Que faire ? Le menacer de crier ? - Rendez-moi ma serviette tout de suite, sinon j’appelle au secours. Rien. Le silence. Seules quelques gouttes suintant de la pomme de douche et éclaboussant le sol troublaient cette atmosphère pesante. Puis un bruit métallique crissa vers le loquet du verrou de la porte. Je vis le pêne coulisser lentement et se dégager de la gâche avant que la porte ne s’entrebâillât. Le sexagénaire était devant moi, tenant ma serviette d’une main et de l’autre une pièce d’un euro qui lui avait permis de tourner le loquet en l’insérant dans la fente. - Voilà votre serviette, dit-il en repoussant la porte derrière lui, mais je ne vous la donne qu’à la condition que ce soit moi qui vous essuie. - Sinon ? - C’est moi qui vous essuie, sinon, je peux appeler mes amis. C’est comme vous voulez, moi ou à plusieurs. Même Xavier (le gérant) sera de la partie, vu les cochonneries qu’il dit sur vous, il sera content de mettre la main à la pâte, si je puis dire. Alors ? Alors ? Que choisir, la peste ou le choléra ? Quelqu’un avait dit, lorsqu’il n’y a plus rien à faire, autant se laisser aller et prendre du plaisir. Je restais paralysée devant ce presque vieil homme, le cerveau tout aussi embué que la cabine de douche, alors j’attendis. Ne répondant pas à sa question, il tira sur mon avant bras qui recouvrait ma poitrine que je laissais pendre le long de ma hanche. Sa main contourna mon sein et d’un air goguenard il le soupesa. Il en fit de même de mon autre bras, offrant à son regard pervers un sexe totalement épilé. - Putain ! Tu nous en as caché des jolies choses. Un minou de bébé dans un corps de belle petite salope ! Sa main se plaque sur mon pubis et ses doigts fébriles s’insinuèrent entre mes cuisses avant de se glisser entre mes lèvres humides. Il commença à me masturber maladroitement lorsque de son autre main, prenant mon menton il me releva le visage pour que nos regards se défient. Il avait un sourire vicieux et conquérant, prenant un malin plaisir à me souiller de ses phalanges boudinées. De son pied il me fit écarter mes jambes afin d’être plus accessible à ses attouchements de dépravé et enfoncer sa paluche plus profondément. - Je te sens chaude et humide, c’est que tu aimes ça, hein ? Il s’excitait de lui-même. Il laissa tomber la serviette sur le sol, de sa deuxième main il me plaqua contre le carrelage et se mit à pétrir mes seins jusqu’à la douleur. Voyant mes rictus retenus il s’énerva davantage en s’en prenant à mes tétons, qui bien malgré moi s’étaient gonflés. Il les faisait tourner entre ses doigts et les tirait. Je pensais à devenir active, peut être le masturber ? Excité comme il était, peut être éjaculerait-il rapidement, ce qui mettrait fin à mon calvaire ? Cependant, je n’osais lui prodiguer ces bons soins qu’il pourrait imaginer comme un consentement de ma part. Et puis, exalté comme il était, j’espérais qu’il fasse dans sa culotte et que mon calvaire cesse en même temps. - C’n’est pas des seins que tu as, mais des mamelles à abreuver un régiment de soudard ! Ronchonna-t-il en torturant ma poitrine qui devenait cramoisie. Le silence de la cabine de douche n’était perturbé que de sa respiration saccadée et des chuintements de ses doigts qui fouillaient ma vulve humide bien malgré moi. Il cessa ses sévices pour me tirer par les bras pour me faire m’assoir sur la sellette en faïence du recoin du réduit. Son pantalon et son slip glissèrent le long de ses cuisses. Je me retrouvais face une verge rabougrie d’où un filet sperme suintait de son méat. - Suce moi salope ! Son visage empourpré de sa fébrilité me défiait d’un regard pétillant et immoral. Je pris son sexe amorphe dans ma main tout en essuyant se glaire qui pendait sur la chair de son membre. Son odeur était âcre, un mélange de transpiration, d’urine et de foutre. J’eus une convulsion de nausée en approchant mon visage de son chibre mou. - Allez ! Suce ! Je posais ma langue sur son gland sans oser le laper, quand posant ses mains sur ma nuque il écrasa mon visage sur son ventre. Ses longs poils vinrent démanger ma peau. A contre cœur mais désirant en finir, j’ouvrais ma bouche où son tégument de chair prit possession de ma gorge. Je me mis à tousser, tant de révulsion que de sa puanteur en me retenant de le mordre. Ma salive suinta à la commissure de mes lèvres en souillant mon visage. Malgré ma répulsion, je m’obligeais à avaler et sucer son sexe pour mettre fin à cet épisode en lui faisant cracher son venin. Sa verge devint plus grosse en se raidissant un peu. Il me maintenait toujours derrière la tête, et se penchant, sa main droite vint se glisser entre mes cuisses que j’avais ouvertes entre ses jambes. Ses doigts fouillèrent de nouveau ma vulve. Sa respiration devenait plus ample et saccadées. - J’te fais jouir petite pute ? Je ne pouvais lui répondre tout en pensant que s’il avait été plus jeune et moins fruste ça aurait été le cas, mais ça ne l’était pas. Sa main quitta mon sexe meurtri pour s’occuper de nouveau à mes seins. Ses jambes se mirent à trembler, puis son sperme liquide et fétide vint engluer ma gorge. Afin que je ne me dérobe à sa jouissance, c’est de ses deux mains qu’il me retint contre son ventre. - Perd rien ! Avale tout ! Lorsqu’il desserra son étreinte, je dégageais mon visage pour voir son sexe racorni et luisant de son sperme et de ma salive. Je me penchais au dessus de ses pieds pour recraché sa bile, mais rien ne vint, son pénis était resté trop longtemps dans ma gorge après son éjaculation, que je fus obligée de l’avaler pour respirer et déglutir. Mon calvaire était fini, je restais assise, buste courbé, les yeux dans le vague. Il remit son slip et son pantalon. Lorsque je crus qu’il allait partir, il me souleva de sous mes aisselles et me replaça contre le mur. De ses mains il releva mon visage, et sa bouche vint se plaquer contre la mienne. Sa langue força mes lèvres jusqu’à ce que nos deux appendices se mêlent. C’était dégoutant, il puait le tabac et la vinasse, sa salive maculait nos joues. Quand il sortit, je n’eus même pas la réaction de verrouiller la porte. Je m’effondrais, assise dans la cuvette de la douche, complètement anéantie. Je ne pleurais pas, aucun contre coup, je restais inerte quelques minutes avant de prendre une nouvelle douche. Je ne remis jamais les pieds dans ce centre. Cette histoire est réelle et très peu romancée, car depuis plusieurs années, j’ai un confident qui est un journal intime où je note le pire comme le meilleur de mon existence.
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