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Cette petite branleuse qui me domine

Chapitre 2

Trash
Je suis arrivé chez moi, et en descendant de voiture je m’aperçois de quelques tâches de sperme qui ont traversées mon jogging, heureusement il n’y pas de lumière dans la maison, ma femme doit être resté dans son lit, il est vrai que Natasha l’énerve pas mal et ma femme ne comprend pas du tout son attitude, prenant ça pour une mauvaise éducation, donc elle ne devait pas s’inquiéter beaucoup pour elle.
Je prends le risque de rentrer, ouf personne dans la pièce et j’entrevoie une faible lueur venant de notre chambre, et j’entends ma femme :
— Alors tu l’as retrouvé ? Où elle était encore ?
— Je l’ais croisé sur la route, je l’ais ramené chez elle et je lui expliquer ce que je pensais de tout ça, à mon avis elle a compris, quoi qu’avec elle on s’est jamais Il fallait bien que je donne le change, je ne pouvais pas lui dire que cette petite branleuse m’avait mis à ses pieds !
Elle répond — Bon j’espère que sa mère va commencer à ouvrir les yeux, t’es pas son père quand même, bon tu viens te coucher»
Jusqu’à là, je lui parlais par l’entrebâillement de la porte, sans être rentré dans la chambre, si je rentre et qu’elle me regarde, elle verra les tâches sur mon jogging ! Une idée de dernière minute pour me sauver :
— Je ne peux pas dormir, elle m’a trop énervé, je vais prendre une douche pour me calmer, ça m’aideraMa femme :— Si tu veux, moi je dors
Ouf, j’ai « sauvé la face », je me déshabille pour prendre ma douche, mais comment faire pour mon jogging taché et mon boxer ? Quand elle mettra tout ça à laver, elle pourra s’en rendre compte !
Je décide de mettre mon boxer à la poubelle, bien enfouie au fond (je le ferais après la douche prétextant fumer une cigarette), mais pour le jogging, si je le jette elle s’en rendra compte, je n’ai pas autant de jogging que de caleçon ? Je décide donc de mouiller mon jogging pour cacher les tâches, il me suffira de lui dire que je l’avais posé sur la porte de la douche et qu’il est malencontreusement tombé pendant que je me douchais (il est tard, la fatigue et l’énervement supposé peuvent facilement expliquer cette maladresse).
Rassuré de mes solutions trouvées, je prends ma douche en me remémorant cette soirée, je ne peux m’empêcher de bander en repensant à Natasha debout, moi à genoux face elle me branlant, ses jolies jambes dans son jean hyper moulant, ses bottes à talon qui harmonisait l’ensemble, ce top moulant, ouha qu’est qu’elle est bien foutu quand même !

Natasha n’est pas ce qu’on peut appeler un super canon sur laquelle on ne peut s’empêcher de se retourner, mais du haut de ses 1,70 m (je pense), elle sait se mettre en valeur, toujours féminine, un mixte entre des vêtements jeunes et d’autres très femme, elle porte le plus souvent des talons, une petite poitrine de 85 (je pense), qu’elle sait mettre en valeur, des cheveux châtains qui lui arrive sous les épaules, peignés très sommairement parfois, un simple crayon pour les tenir, ce qui lui donne un air très décontracté, mais terriblement excitant avec ses petits yeux verts qui vous regardent avec un air supérieur, d’autres fois peignés soigneusement avec un jolie maquillage, il est alors difficile de deviner son âge, avec ce jolie corps de femme qu’elle possède, on lui donnerais presque 20 ans ! Pas un super canon, mais une jolie fille, et avec son air de petite insolente, elle est craquante. Voilà j’ai giclé une nouvelle fois, rien qu’en y repensant.
Après avoir terminé mon plan de cache cache avec mes vêtements, je vais me coucher.
Je trouve difficilement le sommeil, je me dis que j’ai été trop loin avec elle, elle est jeune, c’est une petite peste et tout ça peut me mener loin, elle ne connait pas les limites, elle est capable d’aller trop loin que pour s’amuser, le dira t-elle à ses copines et copains ? Va-t-elle raconter tout ça sur des réseaux sociaux du net ? Se moquer de moi en présence de d’autre personne ?
Puis je me rassure en me disant qu’il n’y a pas de témoin, et si elle le raconte, ça serait par pure vengeance vis-à-vis de mes remarques, qui pourra prouver le contraire, je finis par m’endormir après cette réflexion positive.

A 11h00, je me réveille enfin, ma femme et mes filles sont déjà réveillées. J’évite soigneusement de reparler de cette nuit et personne n’aborde le sujet, ce qui m’arrange.La journée se déroule normalement, mais après déjeuner, je reçois un SMS, c’est Natasha !
[Ta m veste jla ve pren ls clop]
J’arrive à comprendre son message, et c’est vrai sa veste est resté sur le siège arrière ! Elle la veut maintenant ? Et les cigarettes pourquoi m’en parle t-elle ?
Je renvoie une réponse
[Oui je l’ais, tu en as besoin ? et pourquoi tu me parle de clope ?]
La réponse se fait pas attendre (elle est plus rapide que moi pour écrire) :
[mfou dla veste jve clopé jaten]
Elle veut simplement fumer, je sais que sa mère ne le sait pas qu’elle fume (ou ne veux pas le savoir), la veste reste une excuse pour expliquer mon déplacement.Je me rappelle de sa dernière phrase ce matin « Pas Natasha, mais mademoiselle et c’est vous », mais là, je venais de la tutoyer, et aucune remarque de sa part, c’est rassurant, même si sa demande était direct et ne me demandais pas mon avis, je dois venir, c’est tout ! Il est vrai qu’elle a tendance à être insolente avec les adultes et n’aime pas qu’on lui dise quoi faire, ce qui habituellement ne correspondait pas à nos relations. Mais compte tenu de mon attitude avec elle, j’avais certainement beaucoup baissé dans son estime et le respect qu’elle pouvait avoir pour moi (même hypocritement) avait à coup sur disparu, donc rien de très surprenant dans ce ton directif.
L’excuse de la veste, c’est facile pour elle, mais comment faire. Si je dis à ma femme que je dois sortir pour ramener la veste à Natasha qui est resté dans la voiture, elle comprendra que le SMS c’était elle ! Elle me répondra à coup sur qu’elle nous a assez embêté comme ça (et je suis poli) et qu’elle a qu’à venir la chercher si elle la veut !
Je prétexte donc un problème de boulot et que je dois y aller (ce qui m’arrive parfois, c’est la chose la plus plausible vu les circonstances)Ma femme fait une grimace et me dit :
— Ils t’envoient un SMS maintenant quand ils ont un problème ?
C’est vrai qu’habituellement, c’est par un appel téléphonique que je suis contacté, mais bon j’arrive à m’en sortir :
— C’est un nouveau, il avait peur de me déranger un dimanche, c’est tout
Ma rhétorique semble tenir la route et être acceptée, je prends une douche vite fait, met un jean, une chemise (je suis sensé aller au boulot, donc un minimum d’authenticité est nécessaire).Je prends la voiture, m’assure que la veste est toujours derrière, vu la fin de notre petite virée et ma position finale, je n’étais pas certains qu’elle ne l’avait pas prise, mais oui elle est là.
J’arrive devant chez elle, me stationne, prend la veste bien précieusement, je ne peux m’empêcher de la sentir, hum son parfum est toujours présent, je reprends mes esprits et frappe à la porte d’entrée.Sa mère m’ouvre :
— Tiens C…, qu’es-tu fait là, au faite merci pour cette nuit, elle m’a dit que tu lui as mis une soufflante, merci c’est gentil de m’avoir soutenue
Une soufflante !!! Je n’avais pas vu la chose comme ça, Natasha avait tout de même joué le jeu face à sa mère, je m’attendais pas à se qu’elle raconte ce qui s’était passé vu leurs rapports mère/fille assez tumultueux, mais de là à me donner le bon rôle, ça me surprenait, et me rassurait surtout. J’en profite pour lui expliquer la raison de ma venue :
— Natasha a oublié sa veste dans ma voiture, et comme je dois aller au boulot, j’ai fait un petit détour pour la ramener »
« C’est gentil, tu n’étais pas obligé, elle dort toujours et la connaissant elle va flemmarder une bonne partie de l’après midi, je ne pense pas qu’elle s’en serve. Et franchement je n’ai pas vraiment envie de la voir, avec toi, elle te respecte, mais moi quand elle est rentré elle m’a envoyé promener, et pas avec gentillesse, tu ne pourrais pas essayer de lui parler encore stp »
Me respecter !!! Si elle avait vu les claques que sa fille m’avaient envoyées et moi à genoux devant elle ! Le respect, c’est moi qui l’avais vis-à-vis de sa fille, pas le contraire. Mais quoi répondre, il faut bien maintenir mon image d’adulte :
— Oui si tu veux, je lui en parlerais quand je la verrais »
— Tu veux un café ?
Je ne pouvais pas accepter, Natasha s’était apparemment rendormie après son SMS, autant en profiter pour fuir, on ne sait jamais avec elle :
— Non merci, j’ai pas le temps, il faut … »
Et surprise, j’entends la voix de Natasha qui me coupe la parole s’adressant à sa mère en lui criant dessus :
— Je t’ai entendu pleurer auprès de C.., tu ne peux pas te démerder toute seule, faut que tu fasses chier tout le monde
Je me retourne vers elle, et je vois Natasha, les cheveux en batailles, ce qui lui donnait un air sauvageonne, habillée d’un simple tee-shirt descendant aux fesses, mais pas plus, laissant voir ses superbes jambes,Sa mère qui venait de me demander mon aide, elle qui me prenait pour un adulte respecté de sa fille, se fait engueuler par Natasha devant moi, comment réagir ? Je prends le risque :
— Natasha ça suffit, tu as vu comment tu lui parle, c’est ta mère quand même, je sais que sa me regarde pas, mais il y a des limites, un peu de respect
Ouahou, j’ai pris un risque, comment elle va réagir, je ne le montre pas, mais je n’en mène pas large.Natasha se tourne vers moi, avec un regard semble t-il compatissant :
— Ce n’est pas ça, mais c’est vrai, il faut toujours qu’elle mêle les autres à nos histoires, elle fait chier à la fin
Elle semble jouer le jeu, ou a-t-elle tout oubliée, non je ne peux pas le croire, elle avait bu, mais n’était pas saoule. Je décide de poursuivre le jeu (plutôt valorisant pour moi) :
— Natasha, chier tu aurais pu éviter, non ?
Natasha :— Oui, excuse-moi, c’est vrai j’aurais pu l’éviter
Là c’est sur elle joue le jeu, sa petite voix tremblante, elle en fait beaucoup trop, mais ça marche puisque sa mère profite de la situation, trop heureuse de voir sa fille enfin obéir et me relance l’invitation :
— Allez, tu as bien cinq minutes pour prendre un café
Je la sens suppliante, je ne peux qu’accepter, mais avant même de lui donner mon accord, Natasha me regarde suppliante elle aussi et me dit :
— Oui stp C… reste, je n’ai pas déjeuné, alors prend un café avec moi, en plus comme maman veut que tu me fasses la morale, autant y passer, elle ne lâchera pas le morceau, ok ?
Je ne peux que répondre « c’est d’accord », mais elle ne peut s’empêcher de rajouter en regardant sa mère :
— Bon, tu le sers ce café Le naturel reprend vite le dessus
Et moi, toujours aussi motivé dans mon rôle, je réplique :
— Natasha, tu n’es plus une gamine, tu peux te servir toute seule, non
Je vois les yeux de Natasha s’assombrir, elle ne joue plus, elle me fusille du regard, je sens qu’elle a envie de me traiter de tout les noms, mais arrive à se contenir, prend une pause, et répond :
— Ok, je vais me débrouiller
Ce n’est pas vraiment une réponse en adéquation avec son attitude depuis le début du jeu, mais compte tenu du regard qu’elle m’a lancé, je souffle, j’ai eu très peur du dérapage.
Nous prenons donc notre café tranquillement, quand Natasha, qui entre temps semblais s’être calmé vis-à-vis de ma réponse, dit à sa mère :
— Bon tu veux que C… me parle, hein ? Moi je veux bien, mais pas avec toi et je veux pas que t’écoute
Sa mère qui n’espérait pas une reddition aussi rapide de sa fille, et trop heureuse que mes conseils puissent solutionner leur relation, accepte évidement de ne pas participer à notre discussion et jure qu’elle n’écoutera pas. Mais Natasha ne l’entendais pas comme ça, elle rajoute :
— Je te fais pas confiance, je te connais, je veux bien avoir une discussion avec C…, mais dans la cabane de jardin, au moins je suis sur que tu ne pourras pas entendre
Sa mère est un peu surprise, dans la cabane de jardin ! Mais attend tellement de cet entretien qu’elle acquiesce immédiatement.
Natasha se lève, me prend par le bras me faisant comprendre de la suivre, met la veste que je venais de déposer, chausse des escarpins noires fermés avec des talons de 8 cm à peu près, escarpins certainement à sa mère, elles ont apparemment à peu près la même pointure, et ouvre la porte pour se diriger vers le jardin.
Juste le temps d’entendre sa mère dire :
— Tu ne peux pas mettre des chaussons quand même
Et Natasha :— J’ai la flemme d’aller les chercher, et je ne vais pas faire des kilomètres, on va dans la cabane
Elle me tire dehors, se dirige vers la cabane, rentre à l’intérieur et referme la porte derrière moi.Je comprends bien évidemment que tout ce cinéma n’a que pour but de fumer une cigarette tranquillement à l’abri du regard de sa mère, mais y a-t-il d’autres surprises à attendre ? Je ne suis pas très fière et un sentiment de honte (vis-à-vis de cette nuit) resurgi.
Elle se met face à moi, s’appui au tas de bois entreposé dans la cabane, me regarde, et d’un ton laissant apparaitre une certaine impatience, me dit :
— Les clopes tu les as emmenées ? Elles sont où ? Donne moi en une
La petite fille obéissante a disparue pour laisser place à une gamine directive et insolente, moi je réponds presque par reflexe :
— Oui Mademoiselle
Je prends une cigarette, je l’allume et lui tend
Elle tire une taffe, sourit et me regarde de bas en haut, et se met à rigoler, un rire moqueur, et me dit :
— Mademoiselle !!! Tu gobe tout toi, faut redescendre sur terre, cette nuit j’avais trop bu, et quand je bois, je fais des délires, faut que t’arrête de croire que tes rêves vont se transformer en réalité, oh mon gros, je ne vais pas tourner sur moi-même et me transformer en super domina avec le fouet et tout les trucs de barge, oh oh faut se réveiller
Elle se foutait de moi, je venais de prendre une claque, la honte.C’est vrai que je n’espérais que ça, tirer un trait sur cette nuit, l’oublier, éviter toutes les situations que ce type de relation pouvait entrainer avec elle.Mais là, un sentiment de déception m’envahissait, se mêlant à ma honte, je ne voulais pas être humilié par Natasha, non je le voulais pas, elle ne le voulait pas et j’étais déçu.J’ai compris que je n’attendais que ça, lui être soumis, lui obéir, sentir ses gifles, …
Elle a compris que j’étais surpris et déçu par ses paroles, mon attitude et mon regard devais me trahir, et en rajoute :
— T’es un malade toi, je t’ais claqué la gueule, je t’ais foutu à genoux, tu t’es branlé comme un porc, et ça te plaisait ? C’est un truc de ouf
Elle arrête de parler, ne sourit plus, tire sur sa cigarette, me regarde fixement dans les yeux, aspire une bonne taffe, et me crache la fumée dans la figure.Ca la fait rigoler, elle continu ce petit jeu, avec un air de réflexion, à chaque taffe, elle m’envoi la fumée à la figure et rigole derrière.
Je ne sais plus trop quoi faire, plus une parole, seulement un jeu qui semble lui plaire, je pense qu’elle me fait comprendre que le peu de respect qui pouvait me rester a totalement disparu. Ne sachant comment me comporter, par reflexe, je sors une cigarette, le silence prend fin, sa voix est sanglante :
— J’tais dit de fumée
Et je reçois une claque magistrale, j’en suis presque bousculé, ma cigarette tombe au sol, je reprends péniblement ma position, la joue certainement rouge, elle m’a fait mal, je la regarde l’air idiot. Elle tire une taffe, ne sourit pas, garde la cigarette à la bouche, s’avance vers moi, et m’envoie une nouvelle gifle qui m’envoi vers le pan de la cabane. Elle s’appui de nouveau sur le tas de bois, reprend sa cigarette et me dit :
— Ca s’est pour ta réflexion sur le service du café, j’ai pas aimé du tout connard
Et poursuit :
— Met toi droit, je te plais ? Tu me trouve bandante ?
Difficile de mentir, avec son tee-shirt blanc en bas duquel on peut apercevoir sa petite culotte, qui semble être un jolie tanga noir d’après ce que j’ai pu voir après la seconde claque, et ses jambes croisées finissant par de jolie escarpins, elle est à tombé, je ne peux que répondre :
— Oui
Elle sourit, écrase sa cigarette au sol avec son escarpin et dit :
— Prouve-le
Le prouver ? — Comment ça le prouver
Sa réponse a été claire :
— Dessape-toi, baisse ton froc, grouille connard
Je défais immédiatement ma ceinture, déboutonne ma braguette et sort mon sexe déjà raide par la vision de ses jambes, de son tanga. Mais ça ne lui suffisait pas :
— Baisse ton froc jusqu’au pied, ton caleçon aussi
J’obéi et je me retrouve le jean sur les chaussures, le sexe et les jambes à l’air face à elle.Elle regarde mon sexe avec un sourire narquois, me lance :
— jl’avais pas bien vu dans le noir cette nuit, ta une ptite bite, elle fait combien ?
Moi :— 15/16 c’est dans la moyenne
Natasha :— 16 dans tes rêves, ou tu l’as inventé ta moyenne, et combien d’épaisseur
Moi :— Je ne sais pas, j’ai jamais mesuré le diamètre
Elle se met à rire et répond :— Vaut mieux, y a rien pour mesurer ça, t’es lamentable, ouvre ta chemise
J’obéi une nouvelle fois, je déboutonne entièrement ma chemise et l’écarte.Natasha me scrute tel un patient en consultation et me dit :
— T’es gros, t’a même des nichons, vaut mieux te voir habillé
Elle ne cherchait pas à me soumettre comme cette nuit, mais seulement donner une réponse à sa curiosité, voir comment j’étais foutu. J’avais honte, je débandais, plus du tout excité par la situation, elle n’était qu’une gamine curieuse qui voulait voir, c’est tout.Elle a toute suite vu ma gêne et surtout le fait que je débandais, elle me regarde avec un sourire compatissant et me dit :
— Allez branle toi, regarde moi et branle ta bite
J’ai rebandé tout de suite, je me suis mis à me branler comme un fou, je matais ses cuisses, descendais jusqu’à ses escarpins, puis mon regard remontait jusqu’à son tanga, elle est belle.Je l’entends :
— C’est bon, hein
Moi :— Oui, tu es belle, magnifique
Natasha avec une voix autoritaire :— Lâche ta bite, Mademoiselle ok c’est oublié, mais c’est vous, c’est plus marrant, alors répète ce que tu as dit et branle toi
Moi :— VOUS êtes belle Natasha, VOUS êtes magnifique
Natasha :— Ca me plait comme ça, tu sais moi je suis belle, mais toi t’es gros et en plus t’as une petite bite de pd, tu t’es vu avec ton froc baissé, ton bide à l’air, putain t’es qu’une lope, allez arrête maintenant, j’en ai marre
Moi :— Encore un peu svp Natasha, je vais gicler
Natasha :— Pauvre mec, tu ne crois pas que tu va me gicler dessus, faut arrêter ton délire, bon ok, jvai te laisser gicler gros porc, mais arrête de te branler, enlève ton caleçon et remonte ton froc
Moi :— Comment ça mon caleçon et remonter mon jean ?
Natasha :— Fait pas chier, je suis gentil là, alors tu enlève ton jean, tu enlève ton caleçon et tu remets ton jean sans ton caleçon, ça y est il à compris le gros con, hein
Surpris, mais je le fais, ôte mes chaussures, enlève mon jean, puis mon caleçon, remet mon jean, rattache mes chaussures.
Natasha continue ses directives en se moquant :— Et la lope remonte son froc jusqu’en haut, ferme les boutons et sers la ceinture, elle la compris
Je fais exactement ce qu’elle me demande, et elle rajoute :
— Sert pas trop la ceinture et met ta main dans ton froc et branle toi
Je rentre ma main, c’est un peu juste, mais j’y arrive et je l’entends :
— C’est pas facile avec un gros bide, hein
Je prends ma bite dans la main, commence à me branler, mais tout ça m’a fait débander, et j’ai plutôt envi d’arrêter, je m’apprête à le lui dire. Mais elle me devance d’une façon que je ne pouvais espérer, elle soulève son tee-shirt laissant apparaitre légèrement son ventre plat et son tanga noir entièrement à ma vue, les jambes légèrement croisées, je peux apercevoir sa chatte, ou tout du moins l’imaginer avec ses cuisses collées l’une sur l’autre, humm qu’elle est excitante, ce petit geste va me faire gicler.Elle sourit de complaisance voyant l’effet que son geste me donnait, elle tend sa jambe droite vers moi et me touche la main et ma bite par-dessus mon jean avec son escarpin et me dit :
— Regarde-moi dans les yeux
S’en est trop, je la regarde et je gicle dans mon jean, elle ne lâche pas mon regard, et affiche un sourire satisfait. Je sens mon sperme descendre sur mes cuisses, j’en ais partout, je sors ma main pleine de mon jus, elle rigole en la voyant et me dit :
— Essuie-toi sur ton gros bide et tes seins, met en partout
Elle s’approche, mets sa main dans la poche de ma chemise, sors mon paquet de cigarette et me dit :
— Il est à moi le paquet de clope
Prend mon caleçon par terre et le balance au fond de la cabane derrière le tas de bois, s’essuie la main sur le pan droit de ma chemise, elle est très proche de moi, me regarde et dit :
— Tu te resape et tu dégage connard, tu m’a bien compris
Moi :-Oui, mais ta .. votre mère ?
Natasha :— T’étais pressé tout à l’heure, alors jlui dirais que t’avais pas le temps de rentrer à la maison, voilà, bon j’y vais, et toi grouille toi
Elle ouvre la porte de la cabane, commence à sortir, puis revient en arrière sans fermer la porte, s’approche de moi pendant que je reboutonnais ma chemise, me dit :
— Regarde-moi
Et m’envoi une gifle deux fois plus forte que les précédentes, tellement violente, que je me suis retrouvé déséquilibré et je suis tombé au sol en ratant ma prise pour me retenir,
Elle en rigole, et reprend le chemin de la sortie en me disant très calmement avec une voix douce, voir sensuelle :
— Celle là c’était pour mon plaisir
Puis disparait,
Je laisse ma chemise par-dessus mon jean pour cacher mes traces de jouissance, sors de la cabane, du jardin, rejoint ma voiture et démarre.
Je ne sais pas qui elle est réellement, cette nuit elle se présentait comme une dominatrice, aujourd’hui curieuse, humiliante, m’ayant offert un plaisir plus par pitié que par envie. Seul point commun, les gifles, elle aime gifler !Peu importe qui elle est, je prends ce qu’elle veut bien m’accorder, elle est tellement belle, je suis prêt à céder à tout ses caprices.
Je suis accro à cette petite branleuse.
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