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Cette photo ne m'était pas destinée

Chapitre 1

Erotique
Une alarme sonne sur mon smartphone: j’ai un message. C’est la petite Athéna, une collègue. Étrange, que peut-elle bien me vouloir en soirée? J’ouvre l’application et là… je découvre une photo d’elle, à quatre pattes, cambrée comme une porn star dans un ensemble porte-jarretelles en dentelle noire, les cheveux défaits et la bouche entrouverte. Là, il faut préciser qu’Athéna n’est pas du tout ce genre de fille. Oh, elle est mignonne, racée, un corps sculpté par la pratique de la danse, élégante et charmante, mais ce n’est pas du tout une nana dont on pourrait s’imaginer qu’elle prend des photos d’elle en lingerie avec une pose de salope. Quelle surprise dès lors de voir cette image s’afficher sur mon smartphone... Après l’avoir sauvée précautionneusement et réajusté mon érection dans mon pantalon, je prends la peine de répondre:

J: Euh… quelque chose me dit que cette image ne m’était pas destinée…A: Oh mon dieu!!! Jonas? Ne regarde pas!J: Trop tardA: Efface-là!J: Pas questionA: Je l’ai prise pour mon mec qui est en mission humanitaire à l’étranger. Je n’avais pas l’intention de te l’envoyer…J: Je m’en douteA: Je te jure, j’ai pas l’habitude de prendre ce genre de photo,J: C’est bien dommageA: Quelle honte… tu dois me prendre pour je ne sais pas quoi…J: Aucune honte à avoir. Tu es sublime, ton mec a beaucoup de chance. Je ne savais pas que tu étais une petite coquine…A: Tu peux l’effacer s’il te plaît?J: Ah non, tu m’as envoyé cette image, je la garde. Par contre, je ne la montrerai à personne, je te le promets

Le lendemain, on se croise au travail avec Athéna. On fait même plus que se croiser: on travaille ensemble, on se parle tout à fait normalement, comme si rien de particulier ne s’était passé entre nous. Cette amnésie sélective m’excite énormément et je ne pense qu’à ma collègue pendant toute la journée, jetant de fréquents regards à sa silhouette gracieuse et devinant sa lingerie sous ses vêtements.

Le soir, je rentre chez moi. Quelques minutes après, la sonnerie de ma messagerie retentit.A: Tu es là?J: Oui, qq y a?A: J’ai envoyé la photo à Jérémy
J: Ça a dû lui plaire, je parieA: Non, pas du tout. Il a trouvé ça vulgaire. Je crois que ça l’a embarrassé. J: QUOI???A: Toi, en tant que mec, tu la trouve vulgaire, cette image? Sois francJ: N’importe quel mec qui reçoit une photo aussi sexy de sa magnifique copine serait fier. Elle n’a rien de vulgaire, tu es une bombeA: Merci, tu me rassure!J: Et tu peux me croire sur parole: j’ai passé pas mal de temps à la regarder!A: Cochon!J: Tu n’aurais pas d’autres photos à m’envoyer?A: Ça va pas non??

J’éteins mon téléphone en souriant. L’avenir me confirme que j’ai eu raison d’insister: juste avant que j’aille me coucher, je reçois un nouveau message d’Athéna, avec une photo. On la voit de dos, tout juste vêtue d’un t-shirt trop court et d’un string de dentelle, cambrée dans une pose provocante. L’image permet d’admirer la splendeur de son cul. Son commentaire: "Un petit cadeau avant que tu t’endormes… Fais de beaux rêves…" Alors ça, c’est inattendu. Jamais je ne me serais imaginé avoir droit à une seconde photo, surtout que celle-ci ne semble pas avoir été prise pour le pauvre Jérémy… Avant de m’endormir, j’ai besoin de réponses:

J: Ça t’excite que je te mate en petite tenue?A: Si je te dis oui, tu vas me prendre pour une mauvaise fille…J: C’est un problème?A: NonJ: Alors ça t’excite de m’envoyer ces photos?A: Oui

Lorsque je croise Athéna le lendemain, elle a quelque chose de changé. Déjà, elle est habillé, certes toujours classique, mais elle porte une jupe bien plus courte que d’habitude, comme si elle avait décidé de montrer ses jambes. En plus elle multiplie les regards coquins dans ma direction et les sourires lourds de sous-entendus... Fini le temps où on faisait comme si de rien n’était. Pendant les heures de boulot, elle m’envoie un message:

A: J’ai hâte d’être à ce soir pour t’écrire des trucs cochonsJ: Tu rougis en écrivant ça, hein?

Je n’obtiens pas de réponse, mais lorsque je croise la belle juste après, ses joues sont si empourprées d’embarras qu’elle évite mon regard. L’attente jusqu’au soir est longue mais riche de fantasmes. Une fois rentré chez moi, je ne peux plus attendre et c’est moi qui brise le silence:

J: Tu sais que tu m’as fait bander hier soir, toi?A: J’espère bien! Il t’a plu, mon petit cadeau?J: Tout me plait en toi, ma belle. J’ai envie de te voir toute entière, dans toutes les positionsA: Tu es vraiment un obsédé… Regarde ce que je porte: je l’ai acheté pour toi cet après-midi

Sur l’écran de mon portable je vois alors apparaître un selfie où Athéna m’apparaît serrée dans un corset de satin rouge qui fait pigeonner ses seins. A son regard de louve directement dirigé vers l’objectif, on peut mesurer à quel point cette fille est en manque de sexe - il est évident que son mec ne la satisfait pas de ce point de vue, et ce que nos récents échanges viennent de lui révéler sur elle-même est en train de la transformer en une femme complètement différente de la fille fleur bleue qu’elle était auparavant. Le changement dans le ton des messages en est une autre preuve:

A: Tu disais? Je te fais bander?J: Dis donc, ton mec sait que tu envoies ce genre de photos à un collègue?A: Il a honte de moi, honte de mon corps, honte de qui je suis vraiment. Je me demande s’il m’aime vmt. Toi tu ne me juges pas.J: Jamais. Ce que tu fais de ton corps, c’est tes affaires… Tu peux m’en montrer plus, si tu veux…A: Oh oui tu vas en voir plus… mais d’abord, à ton tour. Tu sais ce que je veux voir…

Je me masse la bite devant les images de ma collègue et je prends une photo de mon sexe en érection. J’appuie sur "envoi."

J: Alors? A: Elle est belle, ta queue. Elle est énorme! Oh lala, je crois que je suis en train de devenir folle… Attends, j’ai envie de te voir la toucher…

Un appel vidéo sur mon ordinateur portable: c’est elle. Elle m’apparaît dans le corset très sexy qu’elle portait sur la photo. Sa voix se fait caressante et sensuelle alors qu’elle m’allume, montrant son corps divin sous tous les angles: ses jambes interminables, son décolleté vertigineux, sa taille cambrée, ses fesses parfaites. "J’aime comme tu me regardes. J’aime ce que tu me fais faire… J’ai l’impression qu’avec toi, je suis libre d’être une vilaine fille…"

Émoustillé par ce qu’elle me montre, je me déshabille entièrement et je me met à me masturber devant le live show d’Athena. "Oh j’adore voir comme je t’excite… Jérémy ne m’a jamais regardée comme ça" feule-t-elle. Peu à peu, elle délasse son corset, puis retire son string, pour ne plus conserver que ses bas. Je la vois nue pour la première fois: ses petits seins, comme des pommes, son ventre de ballerine, la cambrure de ses hanches et son sexe moite dans lequel elle plonge ses doigts avec abandon.Je m’imagine que je m’enfonce en elle. "J’ai envie de te baiser, Athéna…"Nous nous masturbons par écrans interposés, faisant grimper le plaisir de plus en plus haut, nos regards unis à travers la caméra. "Oh mon dieu… J’ai envie de te sentir en moi…" dit-elle. Je vois sur son visage l’expression d’appétits dont elle ne soupçonnait pas l’existence. Alors que j’entends qu’elle est en train de se laisser emporter par l’orgasme, je m’abandonne moi aussi et j’éjacule violemment, une belle giclée de sperme qui va couler sur mon écran. Haletants, confus, embarrassés, nous éteignons nos ordinateurs sans dire un mot. Je dors peu. Je ne pense qu’à elle.

Le jour suivant, elle porte l’uniforme de la secrétaire cochonne: minijupe noire et chemisier ouvert sur son décolleté. On a beaucoup de mal à ne pas se toucher. On s’envoie des messages cochons toute la matinée:

J: Quand je t’ai vue ce matin, j’ai eu envie de te basculer sur un bureau et de te prendre en levretteA: Tu me rends folle…J: Pas folle: je me suis contentée de réveiller ta vraie personnalitéA: Si je n’étais pas à Jérémy, tu sais que je viendrais chez toi en petite tenue et que je te laisserais faire de moi tout ce que tu veux?J: Il ne te mérite pas, ce mec. Tu n’es pas à lui, tu es à moiA: Je suis amoureuse de lui. On va se marier J: Tu es à moi, tu es ma salope, arrête de te mentir

Quelque chose dans mes mots la fait réagir. Elle se lève brusquement de son bureau et se dirige vers les toilettes, perchées sur ses talons-aiguilles. Comme tout le bureau, je mate son cul quand elle passe devant moi. J’attend quelques instants pour que ça ne soit pas trop suspect, puis je la rejoins dans le couloir. Elle m’attend. Je l’embrasse d’une bouche vorace, ma langue prenant possession de ses lèvres alors que nos salives se mêlent. Nos mains sont partout: les miennes sur ses fesses, ses hanches, sa taille fine; les siennes sur mon torse, mon ventre, mon entrejambe. Ici, n’importe qui pourrait nous surprendre. Je m’en fiche: le désir est trop fort, il faut que je la possède. "Il faut que je t’aie, il faut que je te prenne." Mais entre deux baisers, elle tempère mes ardeurs. "Tu me baiseras… Mais pas tout de suite. D’abord, il y a quelque chose que je rêve de faire depuis que je t’ai envoyé cette photo…" Elle m’emmène dans les toilettes des femmes et me précipite dans une cabine que nous verrouillons derrière nous. Désormais, un sourire coquin ne quitte plus son visage. Elle pose sa main sur la bosse de mon pantalon, puis elle se met à genoux devant moi: "Dis-mois encore que je suis une salope, j’ai envie de l’entendre de ta bouche" dit-elle, radieuse."Tu es une salope, Athéna. Tu es ma salope." Elle se mord la lèvre d’excitation: "Je n’arrive pas à croire à quel point j’aime entendre ça…"Elle ouvre ma braguette, baisse mon pantalon et mon caleçon pour libérer mon pénis en érection, dressé en direction de sa bouche. Elle émet un rire bref, ferme les yeux, puis lèche doucement mon gland de l’extrémité de la langue. La sensation est divine. Incapable de se retenir plus longtemps, ma petite collègue prend alors mon sexe en bouche, lentement, l’engouffrant sur toute sa longueur avant d’entamer une série de vas-et-viens. Ses mains caressent mes couilles. Enfin: Athéna m’a cédé. La fellation est délicieuse mais ce qui l’est plus encore c’est que celle qui me l’administre est en proie à des désirs qu’elle vient seulement de découvrir et qu’elle est en train de tromper son fiancé avec moi… "Oh Athéna… C’est bon… Vas-y, suce-moi la bite…" Elle adore quand je lui dis des cochonneries. Elle redouble d’efforts sur ma queue et je sens que je ne pourrai pas tenir plus longtemps. "T’es une bonne suceuse, Athéna… T’es une bonne pute…" Elle n’a pas beaucoup de technique, mais elle compense par son enthousiasme et son appétit féroce: elle accélère le rythme et m’arrache des rugissements jusqu’à me faire balancer vers l’orgasme. Je vois des étoiles alors que j’éjacule un gros jet de sperme dans la bouche de ma petite collègue, qu’elle ne se fait pas prier pour boire avidement, comme toutes celles qui suivent. Lorsque j’ai fini, elle a tout bu et il ne subsiste qu’une goutte de foutre sur le rebord de ses lèvres, qu’elle lape d’un coup de langue. Elle me regarde, conquise: "Je suis à toi. Fais de moi ce que tu veux…" Il n’est pas question de continuer notre étreinte ici. Nous nous rhabillons et avant de nous séparer, je lui murmure: "Passe chez toi en sortant du travail. Habille-toi pour me plaire, puis viens me voir chez moi."

Le temps est long mais c’est finalement la fin de la journée. Je patiente encore deux heures chez moi pendant qu’Athéna se prépare. On sonne à la porte et je devine que c’est elle. Lorsque j’ouvre, je manque de tomber à la renverse: elle est métamorphosée, sa féminité exacerbée. Elle porte une toute petite robe noire très mini, qui épouse chacune de ses courbes affolantes, ainsi qu’une paire de cuissardes lacées. Je m’imagine tous les regards qu’elle a suscitée en venant chez moi. Mais là elle n’est qu’à moi. Je l’attire contre moi, referme la porte derrière elle et l’absorbe dans mes bras et mes baisers, serrant son corps chaud et magnifique contre le mien. On se dévore la bouche, on s’embrasse comme des carnivores, incapables de mettre des limites à nos baisers. Mes mains prennent la mesure de la finesse de son corps et de la douceur de ses courbes, empoignent son cul alors que je la pousse jusqu’à la cuisine.J’attends depuis trop longtemps: il faut que je la prenne tout de suite et le premier endroit disponible fera l’affaire. Sans lui demander son avis, je l’assied à côté de l’évier dans la cuisine et je retrousse sa robe d’un geste brusque. Je saisis sa gorge et plonge mon regard dans le sien: "Qu’est-ce que tu veux, Athéna?" lui dis-je, pour faire tomber ses ultimes barrières. "Toi, je te veux toi, je te veux en moi. Je veux être ta chose, je veux que tu me baises." 

J’arrache son string et je retire mon pantalon. J’écarte ses cuisses avec autorité, afin qu’elle s’offre à moi. Enfin, c’est le moment que j’attends depuis des jours. J’amène ma bite jusqu’aux abords mouillés de sa chatte entrouverte. Elle se plaque tout contre moi. Et j’entre en elle. Mon pénis prend possession d’Athéna, s’enfonce tout au fond de son vagin si impudiquement offert. "Je te baise Athéna… Je te baise bébé…" Elle enroule ses jambes autour de ma taille pour m’attirer encore plus fort contre elle, et pousse un cri si excitant que je pourrais jouir là, maintenant. Mais il n’en est pas question, il est beaucoup trop tôt. Une main sur son cul, l’autre sur sa taille fine, je m’agrippe à elle pour l’empaler et je lui administre un énorme coup de rein qui provoque un gémissement sonore. Nous ne faisons pas l’amour: nous baisons comme des animaux. Je donne une autre ruade, puis une autre encore, plus brutale. A chaque fois, elle hurle de plaisir. Les yeux fermés, elle a la bouche grande ouverte. Je mords la base de son cou en la baisant encore, plus fort, plus vite. "Vas-y… Vas-y putain… Baise-moi…" me dit-elle alors que je vais en elle, furieusement, en des va-et-vient féroces dans sa chatte qui me dévore. C’est trop bon. Je suis à deux doigts de chavirer. Il me faut tout mon self-control pour sortir d’elle et plonger mon regard dans le sien: ses pupilles sont noires et son souffle haletant.

Je l’emmène dans ma chambre à coucher pendant qu’elle retire sa robe et moi mes vêtements. "A quatre pattes bébé" lui dis-je. Nue, elle tend son beau cul vers moi, superbe avec ses bottes de salope. Il faut juste que je règle un tout petit détail. J’allume la webcam de mon portable et je commence l’enregistrement: ça la fait sourire. J’ai envie de garder une trace de ce moment. Sans plus attendre, filmé par l’objectif, je m’enfonce à nouveau en elle, en levrette, comme je rêve de le faire depuis que j’ai vu sa toute première photo. Athéna est à moi, je la possède, je la prends toute entière, la sent vibrer autour de ma queue qui la pilonne. Sa chatte est sensible, mouillée, accueillante...M’agrippant à ses hanches, j’accélère le rythme, lui arrachant toute une série de petits cris sexy, et lorsque je sens monter son plaisir, je ralentis, m’arrête une seconde, pour la laisser au seuil de l’orgasme, avant de reprendre mes coups de bite de plus belle. Elle se retourne vers moi, les yeux brillants et la bouche en "O", pour me regarder pendant que je la baise. "Tu t’es déjà fait baiser comme ça, Athéna?" lui dis-je. "Non, jamais" soupire-t-elle d’une voix vaincue. "Tu es à qui?" Elle gémit: "A toi, je suis à toi." J’ai encore une question: "Je peux te faire tout ce que je veux?" Elle se mord la lèvre: "Tout ce que tu veux: je suis ta chienne, je suis ta chose…" Je suis content que la caméra ait enregistré cette confession. ..

Fort de cette autorisation, je laisse mon pouce tourner autour de l’anus d’Athéna, puis s’enfoncer tendrement en elle. J’assouplis patiemment la cavité afin qu’elle me réserve bon accueil lorsque j’y introduirai mon pénis. La caresse provoque des râles approbateurs de la part de mon amante, que je n’arrête pas de baiser. Quand j’ai bien pénétré son petit trou avec mes doigts et que je sens qu’elle est prête, je place mon gland à l’entrée de son anus. "Oui… Par là… Vas-y…" Sous ses encouragements, j’encule Athéna. Je m’enfonce dans le tuyau étroit, je prends possession de son cul en agrippant ses fesses, d’abord lentement pour ne pas trop lui faire mal, puis je me lâche et je lui donne toute la puissance de mon bassin. "Oh c’est bon… C’est bon" crie-t-elle d’une voix cassée par le plaisir. Je saisis ses longs cheveux noirs et je claque ma main sur ses fesses tandis que son trou du cul m’avale tout entier. J’aime l’enculer, j’aime qu’elle se laisse sodomiser. Elle y prend de plus en plus de plaisir, elle souffle, elle grogne, elle crie, elle mord l’oreiller, elle frappe le matelas. Je sens qu’elle va bientôt connaître son tout premier orgasme anal. "Dans mon cul… Jouis dans mon cul…" C’est avec plaisir que j’exécute son souhait. Encore quelques coups de reins et je sens une vague de plaisir me submerger. Ça y est: j’éjacule d’épaisses giclées de sperme dans l’anus d’Athéna. Jamais je ne me suis déchargé aussi fort. La combinaison de la sodomie et de la spectaculaire transformation de mon amante donnent à mon orgasme une vigueur sans précédent. Le souffle court, mouillés de transpiration, nous nous affaissons l’un contre l’autre sur le matelas moite de notre baise. Son anus encore ouvert suinte une larme de foutre. Je l’approche pour lui prodiguer des gestes tendres mais elle ne se laisse pas faire: "Juste une minute" soupire-t-elle. "Il faut que je réalise quel genre de femme je viens de devenir." Elle reste songeuse, le regard perdu, puis je vois naître un sourire sur son visage. A nouveau pleine de vie, elle se lève, les jambes poisseuses de sueur et de sperme, et se dirige vers l’ordinateur. Elle me regarde et rit, puis elle enregistre le fichier vidéo de nos ébats et l’envoie à celui qui est désormais son ex.
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