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Chantal et Aurélie

Chapitre 11

Zoophilie
Je venais de prendre une douche mais j’avais l’impression que je sentais encore le sperme de Mambo. Le corps enrobé dans la sortie de bain, je m’essuyais, frottant doucement puis de plus en plus fort toutes les parties de mon corps. Ce bain m’avait le plus grand bien, je savais que la journée n’était pas finie et si ça se passait comme je l’avais imaginer depuis que maman m’avait demander d’aider Monique, je n’étais pas encore couchée.
J’avais promis d’aller chez elle et j’en étais plus que ravie. Je ne m’étais jamais intéressée à elle mais depuis que j’avais découvert mes attirances lesbiennes avec Aurélie et Maman, je me disais : pourquoi pas avec elle.Voilà à quoi je pensais en me caressant distraitement la toison, quand une idée me vint. Et si je lui faisais moi aussi une surprise .aussitôt je me levais et courais jusqu’à la salle d’eau. J’avisais le matériel présent, une paire de ciseaux, un rasoir jetable de mon père, de la mousse à raser. Je fouillais quand même dans les affaires de Maman pour prendre de la crème à épiler, après tout, ce serait certainement moins dangereux que le rasoir à papa.mmmm !!!!!! C’était parti ! Rien que l’idée me faisait frémir de bonheur. J’avais demandé à Maman que ce soit elle qui me le fasse, mais l’envie de me promener en minijupe et ce devant Monique : faire en sorte qu’elle puisse bien apercevoir mon sexe complètement nu, m’excitait follement. Gloussant comme une idiote en m’asseyant sur le rebord de la baignoire, je me mis à l’aise pour que plus rien ne me gêne et avec précautions, les jambes ouvertes je commençais à couper ma toison. Tout à mon labeur, force fut de constater que je mouillais encore abondamment, me disant :
— Quel dommage de se le faire seule.
J’avais joui, je ne sais combien de fois aujourd’hui, mais mon corps en demandait encore. A peine passais je mes doigts sur mon ventre, que je sentis de nouveau l’envie de me caresser ou de me faire caresser.Il fallait que je pense à autre chose si je ne voulais pas me couper.
Enfin ! Une fois le gros du travail effectué, je recouvris mon pubis de mousse à raser, m’en passa partout et j’entamais une tâche laborieuse et délicate. Si ce raser le pubis était assez aisé, il n’en était pas de même du sexe, aussi m’appliquais je la crème épilatoire, en faisant bien attention de ne pas en déposer sur les parties génitales. Maintenant mon pubis était complètement nu, nu comme au premier jour de ma naissance et je pouvais apercevoir mon bouton d’amour tout gonflé qui dardait fièrement sous son capuchon protecteur. Quand mes mains passèrent tout près de mes grosses lèvres, le contact de mes doigts sur mon ventre nu, je sentis des frissons me parcourir l’échine, traverser le corps et finir au creux des reins.A l’aide d’un miroir, je vérifiai mon travail et me rendant compte que le résultat était assez satisfaisant, mais je jugeais que pour que tout soit parfait, il fallait pour bien faire, attaquer la face nord.
J’enduisis de mousse, mon sillon fessier et en me guidant sur le reflet du miroir, je me rasais ainsi l’anus, heureusement que je n’avais pas un système pileux très développé. Après quelques minutes d’efforts et de concentration intense, je me lançais sous la douche réparatrice pour bien me nettoyer, profitant au passage pour caresser à nouveau mon bouton qui était à la limite de l’explosion.Un long gémissement, un plaisir nouveau par mes doigts sur mon sexe épilé, cette nouvelle sensation m’amena un orgasme trop longtemps retenu.
Me regardant furtivement dans la glace, je ne pouvais que constater la fatigue qui marquait mes yeux. Mon miroir ne mentait pas et l’image qu’il me renvoyait me faisait me rendre compte oh combien mon visage avait changé. Les cernes autour des yeux, le visage émacié, le corps aminci, tout me faisait comprendre que la partie « ado » était finie et bien finie. Que le visage poupin, ingrat comme tous les jeunes de mon âge, avait fait place à celui d’une jeune fille épanouie par l’amour.Et c’est toute lisse et requinquée que je sortis de la salle de bains.

En m’habillant, les images me revenaient.
Que de chemin parcouru depuis ce jour où je m’étais retrouvée face à Aurélie accrochée à son chien!
Je me revoyais avec elle dans différentes positions, seule avec Mambo la première fois et les fois suivantes, puis avec les trois chiens dans la rue. Mambo dans le garage avec Maman, moi avec elle et quand je me mis à repenser aux aveux et aux promesses qu’elle m’avait faits ce matin, de nouveau ma minette s’humidifia. Mon dieu ! Je ne m’arrêterai donc jamais d’avoir envie!Je n’avais plus le contrôle de mon corps, mes doigts s’étaient posés sur ma chatte à la recherche de cette chaleur soudaine qui renaissait au fond de moi et après quelques caresses je dus me rendre à l’évidence : Le souvenir du sexe de Mambo pendant sous son ventre en crachant son sperme sur mes seins me faisait trembler et me donnait envie de me faire saillir.
Le soleil était là et j’enfilais un tee-shirt court et un petit gilet ainsi que ma petite jupe plissée. J’avais optée pour cette jupe car je savais pertinemment qu’au moindre mouvement de mon corps, elle virevolterait autour de mes cuisses, espérant que Monique serait assez intéressée par ce qu’il y avait en dessous.Pas de culotte sur mes fesses, barrière inutile pour ce que j’avais l’intention de faire. En plus j’avais vraiment envie de sentir le vent passer sous ma jupe et caresser ma chatte nue. Je saisis le gode de Monique avec la ferme intention de le remettre à sa place. Comment ? Je ne savais pas, mais je trouverai bien un moment pour le faire : priant le bon dieu qu’elle ne se soit aperçue de rien.
Laissant Mambo dans le jardin, je refermais le portail tout en regardant au loin la maison de Monique qui me paraissait bien calme. Et si les chiens étaient là, est ce qu’ils sentiraient que je suis en chaleur moi aussi?Vite je retournais dans la maison certaine que ce matin, Maman avait du se frotter à Nalla et que sa culotte devait être dans la corbeille à linge sale. Elle était bien là et tremblante je l’enfilais, espérant que la meute serait là et qu’il y en aurait un qui me voudrait.Ressortant, Je marchais sur le trottoir ne pouvant retenir les tremblements et les frissons qui me parcouraient le corps à l’idée de me retrouver à nouveau face à eux.Ils étaient bien là et je me disais que j’avais bien fait de mettre la culotte. Un que je connaissais déjà, les deux autres totalement inconnus. Par contre, mon amant de ce matin brillait par son absence. Je le regrettais sans plus, me disant qu’au fond, je pourrais en essayer un autre.
Une chaleur intense me traversa le ventre, lorsque je vis leurs regards se poser sur moi puis comme attirés par un aimant, la truffe en l’air, ils s’approchèrent et commencèrent leur manège en me tournant autour.Sans faire de gestes brusques pour ne pas les effrayer, j’avançais lentement pour qu’il puisse bien s’imprégner de mes odeurs. Je les laissais me renifler, laissant au plus hardi le droit de passer sa tête sous ma jupe et quand sa truffe froide rentra en contact avec ma culotte, le sensation fut si forte que je failli m’arrêter là, pour qu’il puisse satisfaire son envie, mais surtout la mienne. Ce n’était pas le plus beau, mais je le sentais le plus à même de me basculer sur le trottoir.
La maison de Monique était silencieuse, certainement qu’elle devait se reposer, me disant qu’après tout, je pourrais le faire rentrer dans le jardin et que je trouverais bien un endroit d’où on ne pourrait nous voir. Une ou deux fois, sa langue écarta le semblent de tissu et glissa entre mes fesses. Je crus défaillir quand elle touchât mon clito en feu et je sus à ce moment précis que je ne pourrais pas attendre ce soir. J’avais trop envie de jouir et une petite langue sur ma chatte me satisferait en attendant mieux.
Sans faire le moindre bruit pour ne pas donner l’éveil, les mains tremblantes, le cour cognant dans ma poitrine, le sexe gonflé et trempé, j’ouvris le portail du jardin, prenant bien soin de repousser les autres chiens dehors et l’emmenais derrière la maison : la, j’étais sur que Monique ne pourrait pas nous voir ni nous entendre.Passant doucement ma main sous son ventre pour le caresser, je lui demandais d’être patient, que je voulais bien le branler un peu, me faire enfiler juste de quoi jouir, mais qu’après je me devais partir et que je serais tout à lui.
A lui ou à un autre, aucune importance, car dans la meute j’en avais vu un qui me paraissait fort séduisant, mais pour le moment, la seule chose que je voulais, c’était sa langue sur ma chatte et jouir vite, très vite.On aurait dit qu’il comprenait ce que j’attendais de lui, car à peine m’appuyais je contre le mur, qu’il avait déjà sa gueule contre ma chatte. Tremblante d’émotion et d’envie, j’enlevais prestement ma jupe pour ne pas la tâcher, glissais la culotte au sol, écartais ma chatte autant que je le pus, pour qu’il goute enfin le nectar qui coulait de mon ventre.Sa langue était divine. Je me retournais, présentant mes fesses à sa gueule affamée et quand sa langue se glissa au fond de mon vagin, que sa truffe humide reniflât mon oillet, je tombais à genoux en écartant des deux mains mes lobes fessiers espérant qu’il puisse avec sa langue me posséder dans cette position. Dommage que le temps m’était compté sinon je me serais laissée défoncer, sodomiser tellement j’en crevais d’envie Il tentât bien de me grimper sur le dos, présentant sa bitte à l’entrée de ma grotte, m’aspergeant les fesses et les cuisses de longs jets de sperme bouillant. Je ne voulais pas me faire prendre maintenant, mais le plaisir qu’il me donnait en me pénétrant était trop bon pour ne pas le laisser faire.Une main sur mon pubis, les doigts caressant ma chatte, l’autre massant mes seins, je me pavanais sous ses coups de reins, allant parfois à l’encontre de son sexe de plus en plus grand. La croupe ondulante, j’attrapais son fourreau pour présenter son sexe devant mon anus qu’il défonça avec force, mais quand je sentis sa boule grossir, je le repoussais pour ne pas rester collée à lui, m’allongeais sur le dos, relevais, écartais mes cuisses pour lui donner ma chatte à déguster et profiter un maximum du plaisir qu’il me donnait. J’aurais voulu que ça dure des heures, des siècles mais je ne pouvais rien faire contre la jouissance qui commençait à envahir mon corps à la vitesse grand « V ». Surement du à la situation et à l’endroit où nous nous trouvions et quand je ne pus plus la contenir, le corps arqué, je jouis en me mordant les lèvres pour que Monique ne m’entende pas.Tremblante de plaisir, mes mains caressant le fourreau qui protégeait son sexe, je le laissais encore de délecter de ma chatte gluante. Il fallait que je me calme.
Les yeux brillants de bonheur, le ventre vide, le sexe trempé, je le repoussais gentiment, remis ma jupette, rangea la culotte dans le sac avec le godemiché avant de le raccompagner jusqu’au portail que je refermais le plus doucement que je pus.Les autres étaient toujours là à attendre, espérant peut être jouir en profitant de mon corps.
— Si vous êtes encore là tout à l’heure, je vous promets que je m’occuperai de vous et que vous pourrez profiter de moi autant que vous le désirerez.
En attendant, Je sentais couler son sperme le long de mes jambes et il devenait urgent que je trouve quelque chose pour m’essuyer les cuisses et le ventre avant de rencontrer Monique.
Me retournant une ou deux fois, comme à regret de les laisser seuls, je me décidais quand même à rentrer chez Monique.
Je frappais : aucune réponse !J’ouvris la porte du garage doucement pour ne pas réveiller Monique au cas où elle serait assoupie et à peine étais je rentrée, que la chienne me sauta dessus en me faisant des fêtes. Je l’accueillis en la félicitant et en la caressant, ma main s’égarant de temps à autre sur sa vulve.Je pris la culotte, la frotta contre elle pour bien l’imprégner de ses odeurs sachant qu’elle me servira tout à l’heure. Accroupie, les jambes écartées, mes doigts la pénètrent pour recueillir le précieux nectar. J’en pris un peu puis me frotta la minette et la raie des fesses et pour être certaine que ce fut suffisant, je me relevais, remontais ma jupe pour placer mon sexe trempé et gonflé d’envie contre le sien.A l’idée d’avoir en moi une bite canine chaude et palpitant, je frémissais de plaisir, à la limite de la jouissance de penser aux chiens qui m’attendaient dehors
— Il y a quelqu’un ! Qui es là ?
Coup de sang qui me paralysa, me pétrifia.Mon dieu Monique ! Je l’avais déjà oubliée celle là toute à mes pensées salaces. Je me redressais et rangeais immédiatement la culotte, comme piquée par une par une guêpe, prenant mon plus innocent sourire .
- C’est moi ! C’est Chantal ! J’ai bien frappé mais je n’ai pas entendu de réponse. Je sors la chienne pour qu’elle fasse ses besoins et je reviens.— Ok je t’attends !
Quand les chiens sentirent Nalla, ils étaient comme fou se bagarrant entre eux pour savoir qui serait le premier à la monter au cas où ! A plusieurs fois, elle se promena jusqu’à eux pour se faire renifler la vulve, allant jusqu’à leur présenter son postérieur, écartant sa queue pour mieux se faire lécher. Tout devenait automatique chez les animaux quand un des leurs était prête à féconder.Le manège de la chienne pour les exciter me rendait folle d’envie, me disant que je ferais comme elle s’ils étaient encore quand je partirais. Je me mettrais à quatre pattes derrière le portail pour qu’ils viennent me lécher les uns après les autres et quand le plus fort aura fait sa loi, je lui présenterai mes fesses et je le subirai espérant que je resterai collée à lui le plus longtemps possible. Après, je me donnerai aux autres, je les sucerai, me ferai prendre par derrière et resterai collée à eux pour qu’ils se vident en moi. Je serais leur chienne.
— Tu as raison, excites les comme ça ils pourront bien s’occuper de moi ! Lui disais je en la ramenant au garage et je remontais rejoindre Monique— Entre ! me dit elle. Je m’étais allongée pour me reposer un peu. je me sentais fatiguée. Tu veux boire quelque chose ?— Oh je ne veux pas vous déranger. Reposez vous, je vais le faire !
Elle était assise sur une chaise, le pied plâtré jusqu’à la cheville.
— Merci ! Tu sais, je n’ai pas souvent l’occasion de parler à quelqu’un et ça me fait tellement plaisir de te revoir. Il y a au moins six mois que tu n’es pas venue me voir— Oui c’est vrai ! Mais vous savez, l’école, les devoirs, ma copine ! Il ne faut pas m’en vouloir.— Je ne t’en veux pas. C’est dans l’ordre des choses. Est ce que tu veux boire un jus de fruit ?— Oui merci.
Je finis par accepter.
— Ca ne vous dérange pas si j’utilise vos toilettes, j’ai touché les chiens qui sont devant chez vous car ils n’arrêtaient pas de s’exciter sur moi. J’en ai de partout, sûrement qu’ils devaient croire que j’étais une chienne et je m’en suis vue pour les repousser— Non bien sûr tu sais ou ça se trouve n’est-ce pas ! Ils te prenaient pour une chienne ? Il Faudra quand même que tu me racontes.— Oui promis tout à l’heure ! De plus, j’ai trop envie de faire pipi, il faut que je me dépêche
Sortant de la cuisine en riant, je fis mine de rentrer dans la salle de bains où se trouvait les toilettes, mais m’esquiva furtivement pour aller replacer le jouet à sa place. Le lit est défait pour une sieste qui avait du être super agitée, car les traces qu’ils y avaient sur les draps, me laissent supposer que cela avait du être chaud. Très chaud même. Quelle coquine celle là.Le tiroir était là devant moi, je le tirais doucement pour ne pas qu’elle l’entende, mais avant de replacer le « god », ma curiosité était si forte que je fouillais pour voir si elle avait autre chose que je n’avais pas vue la dernière fois.
Bingo !
La même ceinture que celle de Maman était là et si je ne me trompais pas, elle avait du servir il n’y avait pas longtemps. Il y avait encore des traces de talc sur le plus gros, exactement la même substance que l’on trouvait dans les préservatifs. Je le savais pour m’en être servi lors de mon premier rapport sexuel. La question était ! Avec qui ?
Elle n’était rentrée que depuis hier après midi, je ne lui connaissais pas beaucoup d’amis et avec sa cheville bandée, je ne la voyais pas trop courir. La seule personne à être venue chez elle, enfin je pensais : c’était Maman !Maman et elle ! Pourquoi pas après tout.Ce matin ! Elle était partie à 8h et n’était revenue qu’à midi.Et la promesse qu’elle avait faite, celle de s’épiler: c’était certainement à Monique. Et après tout ça ne me regardait pas, du moment que Maman était heureuse.
Elle était encore très bien foutue et si c’était vraiment elle, je me verrai bien lui faire l’amour ou me laisser faire l’amour par elle. Maman m’avait promis qu’elle me donnerait à sa copine et si c’était elle, ça ne me déplaisait pas du tout: bien au contraire. D’ailleurs, j’allais voir jusqu’où elle irait. J’avais fait avouer à Maman des choses hyper secrètes et je ne sentais pas Monique à être de taille à me résister. La fin d’après midi et les jours à venir s’annonçaient on ne peut mieux. Je sortis discrètement, retournais dans la salle de bains, vite fait je me passais une serviette humide sur les traces qui recouvraient mon corps, tirais la chasse et revins près d’elle, le sourire aux lèvres.
Me voilà donc en compagnie de Monique, discutant de la vie, de tout et de rien, moi devant un jus de fruits, elle devant un café noir. De suite je commençais à croiser les jambes, prenant soin de bien remonter ma jupe à chaque fois que je bougeais sur la chaise.
— J’avais demandé à ta mère de s’occuper de la chienne : me dit elle, glissant furtivement un oil vers le haut de mes cuisses largement découvertes.
Deux minutes de ce manège et la veine qui tapait près de sa tempe, avait changé de cadence: ce qui me prouvait, que ce que je lui laissais entrevoir, ne la laissait pas indifférente.
— Ce matin quand ta Maman est venue, je lui ai demandé pour que tu viennes m’aider, si t’as le temps de venir t’occuper d’une vieille : bien sur.Tu sais qu’on ne peut pas la sortir sans surveillance, sinon tous les chiens lui tomberaient dessus et ce n’est pas la clôture qui les gênerait. Je n’ai pas envie d’avoir une portée de chiots sur les bras. Tu comprends ?
— Oui bien sur, je veux bien m’en occuper! C’est vrai que j’ai pu voir un paquet de chiens tous plus beaux les uns que les autres qui rôdaient aux alentours et plus ça va, plus ils sont très entreprenants. Mais pourquoi dites vous que vous êtes vieille ? Je voudrais bien être foutue comme vous à votre âge.
— Tu me dis çà pour me faire plaisir ?
— Non, non ! Je le pense vraiment, je vous trouve très belle et j’aimerais bien avoir un corps comme le votre quand j’aurais votre âge. Excusez moi de parler de votre âge
— Merci ! C’est gentil de ta part et ça me va droit au cour. Je suis troublée et tu me fais rougir à mon âge : je ne sais plus où j’en suis. Tu sais, tu peux me dire « tu » : ce serait mieux. Tu peux parler de mon âge, ça ne me gêne pas du tout
— D’accord ! Enfin, je vais essayer pour le « tu ». Et quel âge avez vous ?
— Je vais avoir 49 ans dans deux mois: dix de plus que ta maman. Et toi ?
— Vous les portez super bien ! Je viens d’avoir seize ans.
— Tu me ferais énormément plaisir en me tutoyant ! Pour en revenir à Nalla , j’espère que ça ne vous a pas causé trop de désagréments.
— Non non, pas du tout, la seule chose c’est que les chiens se font de plus en plus entreprenants, disons...collants.
— Oui, tu m’as déjà dit ça en rentrant. Je ne comprends pas !
— Ben disons ! Je ne sais pas comment vous, pardon « te » dire. Tu vois, ça ne va pas être facile de te tutoyer
— Je sais qu’au début c’est pas facile et que ça fait drôle, mais c’est beaucoup mieux tu ne crois pas ?
— Oui c’est mieux et ça me fait drôle. J’ai l’impression d’avoir plus d’intimé avec toi : comme si tu avais mon âge et que tu étais ma copine.
— Tu aimerais que je sois ta copine ?
— Bien sur ! J’espère qu’on va devenir très amies toutes les deux. Ce serait super, je pourrais tout te raconter, mes envies, mes fantasmes, mes amours et vous ... pardon « toi » aussi tu pourrais tout me dire. Tu vois c’est pas facile de tutoyer
Je commençais mon travail de séduction et de suite je compris qu’avec elle, ça irait comme sur du velours. Je me promis qu’avant la fin de l’après midi, j’aurais ma main dans sa culotte : si elle en avait une bien sur ou sur son sexe au cas où.
- Et tu en as beaucoup des fantasmes à ton âge ?
— Enormément ! Et toi - tu vois j’y arrive à te tutoyer - tu as des fantasmes ?
— Quelques uns oui !
— Tu me raconteras et je te dirais les miens ok ! Oui, je te disais pour les chiens! Comme nous avons l’odeur de Nalla sur nos vêtements, ils sont attirés et viennent tourner autour de nous quand on sort. Ils doivent s’imaginer que nous sommes des chiennes. Même toi, tu as ses odeurs et si tu sortais, ils essaieraient aussi de te faire ta fête
— Mon Dieu quelle horreur ! Me dit elle en rigolant. Tu me vois avec un chien sur mon dos en train de s’activer ? Et sur le tien, surtout s’il est gros. Mais où vas tu chercher tout ça ?
— Oui je te vois bien et pour ce qui est de moi : tu ne crois pas si bien dire, répondis-je en rougissant.
— Tu n’es pas pressée au moins ? Veux-tu un autre jus de fruits, ma chérie ?
— Non, je ne suis pas pressée. Je me suis gardée mon après midi rien que pour toi : enfin, ce qu’il en reste et comme mes parents ne sont pas là, j’ai même toute la nuit. On va pouvoir faire les folles toutes les deux; lui dis je en rigolant. Ce serait bien non ?
— Quoi ! Comment faire les folles et ce n’est plus de mon âge.
— Arrête de parler de ton âge. Je t’aime comme tu es.Bref ! Je n’avais rien de prévue pour aujourd’hui. Demain par contre, je serais avec mon amie Aurélie. Elle reste toute la journée avec moi mais ne t’en faits pas, nous nous occuperons de Nalla et de toi si tu en as envie. Ça ne te gêne pas qu’elle vienne avec moi ? Tu sais, elle est comme moi, aussi cool mais un peu plus délurée.
— Je serais contente de faire sa connaissance et si elle est plus délurée que toi, ça promet. Tu pensais à quelque chose de spécial en me disant que vous allez vous occuper de moi aussi ?
— Ben oui ! T’aider pour ton ménage ou si tu as envie de quelque chose de spéciale !
— On verra demain ! Tu pensais à quelque chose de bien précis ? me demanda-t-elle avec des yeux rieurs. Tu veux que nous nous installions dans les fauteuils, nous serions bien mieux pour discuter.
Je me levais et fis comme elle en allant m’installer dans le fauteuil qui se trouvait face à elle, mais avant de m’asseoir, je me penchais en avant, faisant semblant d’essuyer quelque chose. Dans cette position, je savais que ma jupe ne cachait plus rien et que Monique avait une vue plongeante sur mes fesses et sur mon minou. Je pris bien mon temps, me baissant, me penchant, puis me retournant, je me laissais tomber dans le fauteuil, laissant ma jupe s’envoler comme un parachute. Monique ne bougeait plus, comme tétanisée de ce qu’elle venait de voir. Moi, comme si de rien n’était, je continuais à lisser ma jupe autour de mes cuisses. L’assise des fauteuils était profonde ce qui me permettait de voir par sa robe de chambre restée entrebâillée, une chemise de nuit de satin couleur crème qui ne cachait rien de ses formes généreuses, de femme d’une cinquantaine d’années.Elle était super bien conservée et je me disais que si c’était « elle » la copine à Maman et bien elle ne devait pas s’ennuyer avec elle. Quelques rondeurs ici et là bien réparties affirmaient sa féminité. Elle se pencha pour caresser la chienne qui c’était allongée tout près d’elle, ce qui me permit de voir qu’elle ne portait pas de soutien gorge et que sa poitrine était très ferme et que ses tétons dardaient fièrement. Je me laissais aller à rêver que j’étais penchée sur eux et que je les prenais dans ma bouche pour les téter.
— Tes bien rêveuse ? Tu peux me dire à quoi tu penses ?
— A Nalla !
— Tu es sure ? Je ne te crois pas
— Tu as raison ! Mais je ne te connais pas assez pour tout te dire. Peut être avant de partir !
— J’espère !
Tout marchait comme je le voulais.
— Et tout cela à cause de cette coquine de Nalla ! On lui donnerait pourtant le bon Dieu sans confession hein ?
Elle se pencha encre plus pour la caresser. Je me mis à genoux pour me joindre à elle pour lui témoigner mon affection et cette fois, par le bas de sa robe de chambre de plus en plus ouverte, je pouvais voir le haut de ses cuisses. Comme moi, elle ne portait pas de culottes, mais contrairement à moi, elle était méchamment velue. Son sexe était recouvert d’une touffe épaisse de poils et l’envie que j’avais d’elle, se faisait de plus en plus pressante. Comme tout à l’heure quand je regardais ses seins, j’avais envie de me mettre à genoux devant elle, de lui écarter les cuisses pour glisser ma langue dans sa forêt odorante. De plus en plus, mon ventre avait faim d’elle.Elle prit tout son temps pour se redresser, me laissant à loisir profiter de la beauté de son corps.
— N’était-elle pas belle ma Nalla ? Me dit elle, comme si de rien n’était.
L’avait elle fait exprès ! Je ne savais pas, mais les yeux qu’elle avait me laisser à penser que « oui ».
— C’est normal que les chiens lui courent après. Dis moi ma chérie !
Elle me parlait mais je ne l’écoutais pas. Je n’arrivais pas à enlever la vision de son sexe poilu et tout ce que je m’étais imaginé entre Maman et elle, me paraissait impossible. Comment une femme avec un sexe aussi broussailleux, pouvait demander à son amie, de s’épiler. Je ne savais plus quoi penser. Ce n’était sûrement pas elle qui lui avait demandé de le faire. Maman avait une autre liaison.
— Tu m’écoutes ? Tu es toute rouge !
— Hein ! Ah oui ! Bien sur que c’est normal. Je suis rouge ?
J’étais comme dans un rêve, j’avais chaud. Mes seins me faisaient mal et mon ventre devenait lourd et quand je me rendis compte qu’elle regardait mes mains qui avaient glissées entre mes cuisses, je ne savais plus où me mettre.
— Oui tu es toute rouge et on dirait que ma chienne n’est pas la seule à être en chaleur. Est-ce le fruit du hasard ou une volonté affichée de ne pas mettre de culottes ? Me demande-t-elle le regard fixé sur mon entre jambe, avant de le planter au fond de mes yeux.Et pas de poil ? A ton âge, c’est un peu curieux tu ne trouves pas ?.
Elle avait fait mouche. J’avais cru mener la danse et Je ne m’attendais pas à être attaquée aussi directement. J’étais morte de honte, rougissante comme une tomate et ne savais plus trop quoi dire, serrant mes mains entre mes cuisses pour ne pas qu’elle s’aperçoive à quel point elles tremblaient.
— Non ! En fait ce matin en m’habillant, je ne trouvais plus de culotte propre et voilà je suis sortie comme ça, sachant que je ne devais pas aller trop loin. Enfin voilà quoi ! Pour les poils, comme je l’avais promis à ma copine, je me suis rasée intégralement pour voir. Maman aussi l’a fait ce matin, elle m’a fait voir avant de partir.
— Ah bon, ta mère aussi? Et elle t’a fait voir ?
— Oui bien sur ! Tu sais, nous prenons presque toujours notre douche ensemble et on se dit tout ! j’aimais beaucoup ses poils, mais elle est encore plus belle comme ça.
A part l’histoire sur Maman, Je doutais qu’elle crut à un seul de mes mots, tant le fil était grossier. Mais je n’avais rien trouvé d’autre : ses yeux me scrutaient inquisiteurs. Souriante, elle se releva lentement en prenant bien soin de me laisser voir le haut de ses cuisses :

— Rasée comme tu l’es, ça te fait un sexe de petite fille. Remarque bien que tu es encore une jeune fille !

Cette fois, sans aucune gêne, j’ai remonté ma jupe jusqu’à sous mon ventre et écartant les cuisses je lui demandais :
— Tu n’aimes pas ?
— Oh si ! Beaucoup même, mais il faut être très jeune, avoir ton âge ou celui de ta Maman pour faire ça. Et puis, ça fait vraiment coquin, mon mari ne l’aurait jamais accepté.
— Mais tu n’as plus de mari ! Tu pourrais le faire si tu le voulais.
— Pourquoi voudrais tu que je le fasse. Je ne sais pas si mon « ami » aimerait et si ça lui plairait.
— Et bien tu vois ! Tu as bien un ami et je suis certaine qu’il aimerait.
— Qui te dit que c’est « un » ? En plus ça doit piquer non ?
— Tu veux me dire que c’est « une » amie ? T’es trop « top » toi : comme Maman alors ! Et pour ta gouverne et bien ça ne pique pas du tout. C’est hyper doux.
— Pourquoi ta Maman t’as dit qu’elle avait une amie ?
— Je t’ai dit qu’on se disait tout. Tu as l’air gêné en me demandant ça !
— Non, non ! Enfin, oui un peu. Et elle t’a dit qui c’était ?
— Non, mais je pense savoir qui c’est. Toi peux être !
— Moi ! Mais où vas tu chercher tout ça ?
— Je disais ça pour te taquiner, mais vu ta réaction je crois que j’ai fait mouche. Je plaisante !!!!!
Tout en lui disant ça, je me touchais doucement le sexe et elle ne perdait rien de ce que je lui montrais.
— Tu veux toucher ?
— Quoi ? Moi, te toucher le sexe ? Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Tu me connais à peine, enfin pas intimement et tu me demandes de te toucher le sexe. Tu es vraiment trop toi.
— Oui ! C’est ce que me dit Maman à chaque fois que je lui pose une question.
— Oui mais elle, c’est ta mère
— Et alors ! On est entre femme non ? Alors tu veux toucher ou pas ?
Je la voyais hésiter, elle n’osait pas. Alors, je me suis approchée d’elle et j’ai pris sa main dans la mienne pour la poser sur mon sexe en feu. Elle était comme tétaniser par ce que je lui faisais faire.
— Alors ! Est ce que ça pique ?
Ma main tenant toujours la sienne, je la forçais à me caresser, faisant glisser ses doigts sur mes lèvres gonflées. Elle ne disait rien, ne résistait rien non plus et le visage rouge comme une pivoine, les yeux brillants elle me répondit :
— Tu as raison ! C’est vraiment très doux et ça me fait tout drôle de te toucher.
— Je t’avoue qu’à moi aussi ça me fait drôle quand tu me touches. A part Aurélie et Maman, jamais je ne me suis laissée regarder par une femme et encore moins toucher.
— Et ta mère ?
— Quoi ma mère ?
— Elle te touche aussi ?
— Si je te dis oui, tu me promets de ne pas être jalouse ? Elle, elle a tous les droits
— Jalouse moi et pourquoi le serais je ?
— Toi tu me caches des choses : lui répondis je les yeux au fond des siens. Pour Maman, tu n’as qu’à deviner.
— Après tout vous faites ce que vous voulez. Ça ne me regarde pas.
— Tu dis ça, mais regarde la tête que tu fais ! Tu aimes Maman ?
— Arrête avec tes questions ! Tu es vraiment impossible toi. Et comme tu m’as répondu tout à l’heure, on ne se connaît pas assez pour que je te dise tout.
— Tu n’as pas besoin de me répondre, moi je dis que tu es amoureuse de Maman et je trouve ça super cool. Tu sais que c’est super d’avoir le sexe épilé quand on est en « jeans » !
Je venais de changer de sujet, je ne voulais pas qu’elle se rétracte avec toutes mes questions.
— Je te crois. Je ne peux pas te dire quel effet ça peut faire, vue que je ne suis pas épilée. En plus je préfère les femmes quand elles sont habillées comme des femmes
Depuis le moment ou j’avais commencé à lui parler de Maman, je lui avais lâché la main et sans qu’elle s’en rende compte, tout en m’écoutant, elle continuait à me caresser, insistant de plus en plus sur mes lèvres gonflées et humides. Ses caresses se faisaient de plus en plus précises et si je continuais à la laisser faire, j’étais certaine que j’allais jouir devant elle.
— Si tu continues à me caresser comme ça, tu vas me faire jouir !
Une vipère l’aurait piquée, qu’elle n’aurait pas enlevé sa main aussi vite !
— Oh pardon ! Tu te rends compte ce que tu es entrain de me faire faire !
— Eh !!!!!! Moi je t’ai juste demandé de toucher, mais tu peux continuer si tu veux. J’ai adoré tes doigts sur ma minette, c’était trop bon. Je suis cloche, je n’aurais rien du te dire et jouir sur tes doigts
— Je ne sais plus ce que je fais, ni ou j’en suis avec toi. Une heure que tu es là et voilà le résultat. Tu me rends dingue !
— Oui c’est ça ! Tu m’as dis que je n’avais pas de culottes, Mais toi non plus tu n’en as pas et tu as raison car je trouve que tu as un joli sexe. J’adore tes poils. Tiens, je pensais à un truc: pourquoi tu ne t’épilerais pas toi aussi ?
— M’épiler ! Mais tu as vue l’âge que j’ai. C’est bon pour les jeunes filles comme toi ou pour ta mère qui est encore très jeune. Tu viens de me dire que tu aimais mes poils : alors pourquoi me demandes tu de m’épiler ? En plus je ne saurais pas faire et je n’ai pas de matériel pour ça.
— Pour le matériel, j’ai ce qu’il faut et si tu veux, demain avec Aurélie, nous t’aidons à le faire. Qu’est ce que tu en penses ? Allez, dis moi oui.
— Tu voudrais que je me mette nue devant vous deux et que je vous laisse me toucher le sexe?
— Ça te gênerait ? Alors moi, pas du tout et je t’assure qu’Aurélie va aimer ça. En plus, tu as bien touché le mien non ? Il ne faut pas que mon âge ou le tien soit une excuse. Demain quand je reviendrai avec Aurélie, je vérifierai si tu t’es rasée ou pas.
— Vous n’oseriez pas !
— Tu verras ! Tu sais, je suis très coquine et elle, elle est encore pire que moi. Dis, Tu ne m’as pas répondu pour tes culottes ?
— Je viens d’avoir un aperçu avec toi, alors qu’est ce que ça doit être avec l’autre ! Tu me troubles et tu me gênes avec tes questions
— Dis, c’est toi qui a commencé et je veux seulement que tu me dises pourquoi tu te balades cul nu. Moi, je t’ai répondu.
— Je n’en mets pas, car j’ai des difficulté à m’habiller avec mon pied et pour te dire vrai, puisque nous sommes dans les confidences : et bien, je n’en mets presque jamais. Voilà ! tu es contente.
— Cool ! Tu es comme Maman alors : elle m’a dit qu’elle n’en mettait pas souvent, voir jamais. D’ailleurs, je trouve que vous avez beaucoup de points communs toutes les deux et si elle n’était pas mariée et si elle n’était pas ma mère, je commencerais à me poser des questions sur « ton amie ». ne serait ce pas ma mère par hasard ?
— Tu vois comme tu es ? Tu recommences avec tes questions
J’avais fait mouche. Malgré l’air offusqué qu’elle voulait se donner, le comportement qu’elle avait, la pâleur de son visage, ses mains qui tremblaient, tout me laissait à penser qu’elles deux et bien, elles étaient très proches. Me levant, je me glissais derrière elle et posais délicatement mes mains sur ses épaules. Le frisson qui lui secoua le corps au contact de mes doigts, me fit comprendre qu’elle appréciait. Doucement, je me mis à lui masser la nuque, laissant glisser mes mains sur le devant de sa poitrine à la limite de ses seins et d’où je me tenais, je pouvais les voir se gonfler. Je continuais à lui parler.
— Je disais ça comme ça. Tu sais à notre époque, c’est courant et puis tu sais, franchement ça ne me gênerait pas du tout. Ce serait super cool et je vous verrais bien ensemble. Tu m’en veux ?
— Non je ne t’en veux pas. Tu prendrais ça comme ça, si tu savais que ta mère était amoureuse d’une femme, Tu trouverais ça normal ?
— Franchement oui ! Je ne veux que le bonheur de Maman. Elle est ma vie, mon amour et entre un amant et une femme, il n’y a pas photo ; je préférais qu’elle prenne une femme. Encore plus loin, si c’était le cas, j’aimerais que ce soit de toi qu’elle soit amoureuse.
— Merci ! Ta mère est vraiment très belle et me disant ça, encore une fois tu me flattes.
Mes mains glissaient, effleuraient son corps qui tremblait entre mes doigts. Je la sentais se tortiller sur sa chaise, cherchant la meilleure position pour me laisser au mieux assurer mon massage. A plusieurs reprises, je laissais mes mains glisser sur ses seins et de l’entendre ronronner au contact de mes doigts, je savais qu’elle aimait ce que je lui faisais, mais quand je voulus toucher les tétons, doucement elle me repoussa, m’obligeant à cesser mon investigation.
— Arrête s’il te plait ! Tu me rends folle.
— Je te fais du bien ? Tu aimes ? Laisse moi continuer, laisse moi te donner du plaisir.
— Oh oui j’aime ! Oh oui tu me fais du bien, mais après, je fais quoi ?
— Et bien je te fais jouir !
— Tu te rends compte de ce que tu es en train de me dire ! Tu le ferais ?
— Oui, sans problème. Alors, tu me laisses continuer ?
— Laisse tomber ! Et si on parlait de ce que tu as commencé à me raconter sur les chiens.Je te disais donc qu’heureusement tu n’as pas croisé sur la route, un de ces chiens qui rôde autour de la maison, il aurait pu te régler ton compte .et en plus sans culotte, rigola-t-elle..Salope ! Elle venait de reprendre le contrôle de la situation, mais elle ne perdait rien pour attendre. Elle ne se doutait pas où je voulais l’emmener, ne sachant pas du tout si j’y parviendrais.Je rougis à nouveau, plutôt jaune, ne sachant vraiment pas si c’était du lard ou du cochon. Se doutait-elle de quelque chose ? Aurait-elle deviné mes dernières aventures canines ? Maman lui aurait elle parlé de mes mésaventures ? Avais-je l’allure d’une chienne ? Non bien sûr, j’étais la gentille petite voisine encore innocente . Et bien attaquons ! On allait bien voir sa réaction.
— Si, ils étaient là ! Il y en a même un qui a osé me renifler sous la jupe. Et puis tu sais un mâle reste un mâle. Après tout, à défaut d’autre chose. Il y a bien des femmes qui se soulagent avec des jouets en plastique. Je ne sais pas ce qui serait le mieux. C’est vrai qu’un chien ce n’est pas normal, rétorquais-je sur le même ton de la plaisanterie, mais au moins c’est vivant et chaud !
Touchée ! Et toc ! Moi aussi je venais de faire mouche. Elle n’a rien dit sur le coup, comme si la réplique lui avait fait l’effet d’un uppercut en pleine face. Heureusement qu’elle ne me regardait pas, elle avait le visage tournée vers la chienne, mais elle avait marqué un temps d’arrêt. Pensait-elle que je le lui dirais que je connaissais ces petits secrets ? Croyait-elle que j’avais fouillé dans ses affaires ?. Elle se tourna vers moi et me scruta en plissant légèrement les yeux.
— J’aime bien ta réplique et ça me plait de plus en plus. Tu me plais de plus en plus
— Toi aussi ! Lui répondis je, sans baisser les yeux.
— Tu as l’air de savoir beaucoup de choses sur la vie et le sexe pour ton âge, ma petite Chantal. Où as-tu donc appris tant de choses ?
— Tu sais, je ne suis plus vierge. Et Internet est une source inépuisable d’informations. Avec Aurélie nous avons fait des recherches sur les différentes manières d’assouvir nos besoins .disons, physiques sans l’aide d’un homme. Et nous sommes tombées sur une page vantant les différents avantages des sex toys. C’est impressionnant tu sais, il y en a pour tous les goûts. Toutes les formes, toutes les couleurs, toutes les tailles.
Elle était assise face à moi à m’écouter, sa robe de chambre de plus en plus ouverte sur ses cuisses. Je voyais naître dans ses yeux un intérêt certain, suscité sans doute par le souvenir de ses longues séances de masturbations solitaires à l’aide de sa collection de godes.
— Je vois que vous êtes bien documentées toutes les deux. Mais si on peut concevoir qu’une femme se satisfasse d’un godemiché pour exulter, il est un peu plus délicat d’imaginer la même chose avec un chien. C’est un peu dégoûtant, tu ne crois pas? Et puis vu la taille d’un sexe de chien, on ne doit avoir autant de plaisir que ça. J’en ai aperçu plusieurs fois avec le sexe sorti, lorsqu’ils étaient assis sur leurs fesses et je les trouve vraiment trop petit pour qu’il puise donner du plaisir à une femme
Elle me disait cela avec un léger sourire et un joli clin d’oil. La coquine se voilait de sa pudeur, mais sa dernière réplique cachait mal sa curiosité croissante
— Je ne sais pas. Ecoute ! D’après ce que nous avons pu voir sur le net, le sexe des chiens, surtout les grands, sont assez imposants, bien le double de ceux d’un homme. Il parait même qu’ils peuvent avoir des rapports avec les femelles de plus de 40 minutes. Tu t’imagines? En plus, pas de soucis de contraception, les gènes sont incompatibles.
Monique semblait nerveuse, mal à l’aise. Elle se tortillait sur sa chaise et j’étais sure qu’elle mouillait, que mes histoires lui titillaient le clito. Moi aussi d’ailleurs je me sentais bizarre. La tournure de la conversation ne me laissait pas indifférente mais il fallait que je continue dans ce sens pour l’achever.
- Tu me dis que tu vous avez fait des recherches toutes les deux! Aurélie : elle est comme toi ?
- Oui ! Nous ne nous cachons rien. C’est bien plus que mon amie.
- Que dois je comprendre par là !
— Ce que tu veux ! Oui, elle et moi... D’ailleurs Maman le sait, je lui ai tout raconté et elle ne m’a pas jugée, elle m’a juste dit d’être heureuse et de profiter de mon bonheur. Tu vois comme elle cool Maman. Tu es choquée ? Tu remarqueras que je te commence à tout te dire et j’espère que tu feras de même.
— On verra ! Non je ne suis pas choquée! Tu sais, je ne suis pas du tout vieux jeu et je vous comprends toutes les deux. Je suis entièrement d’accord avec ta mère et je suis très heureuse pour vous deux. Excuse moi si j’insiste, je ne sais pas pour qui tu vas me prendre, mais tu me disais que les chiens pouvaient avoir des rapports de 40 mn ? Je n’arrive pas à le croire.
Pour l’amener où je voulais l’amener, je me devais de lui raconter mon aventure avec le chien hier au soir. Je revins m’installer face à elle, en laissant ma jupe bien relever - après tout, elle avait tout vue, alors je n’avais plus besoin de faire semblant - et je me mis à lui relater mon agression, détaillant point par point mon agression et en inventant des passages des plus croustillants qui soit.Elle ne bougeait, ses yeux étaient pendus à mes lèvres et sans qu’elle ne s’en rende compte, une de ses mains avait glissé le long de sa jambe. Avant peu, elle serait entre ses cuisses. Je le sentais.
- Ce que je viens de te raconter, tu ne le dis à personne. Promets moi ? Il n’y a qu’Aurélie qui est au courant
- Je te promets ! C’est donc ça les marques sur tes cuisses et tes fesses ? Tu as du avoir peur quand il t’a mise par terre
Elle avait remarqué les traces laissées par Mambo et l’autre chien
— Tu avais remarquées ?Oui j’ai eu peur ! Surtout quand il a mis son sexe dans mon minou. Comme tu me l’avais remarqué concernant les sexes des chiens, ils sont vraiment fins avant de renter dans le sexe des chiennes et c’est seulement quand ils commencent à se démener dans leur vagin que le sexe grossi. Comme celui qui essayait de me violer. Son engin c’est à peine si je l’ai senti quand il est rentré dans ma chatte - excuse pour le mot - mais après, quand il a commencé à bouger, il a commencé à grossir en moi. Il était de plus en plus gros et c’est là que j’ai senti la boule qui se forait sur son sexe. Je ne savais pas ce qui se passait, mais elle devenait de plus en plus grosse et c’est pour ça que je me suis démenée comme une folle, que j’ai allongée mes jambes pour qu’il ne puisse pas aller plus loin, l’obligeant à ressorti son engin qui était presqu’aussi gros que mon avant bras.Et ce n’est pas tout ! En ressortant, il n’arrêtait pas de me cracher son sperme sur les fesses, ainsi que sur les cuisses. Je ne savais plus où me mettre pour ne pas qu’il m’en mette de partout et c’est en le regardant cracher que j’ai vue cette boule aussi grosse que mon poing.Je n’en revenais pas à quel point elle était grosse, me disant que si son sexe était resté en moi, je me demandais bien ce qui me serait arrivée.
— Lécher par son chien ! Une boule sur le sexe! Tu me mènes en bateau avec tes histoires
Cette fois sa main avait disparu complètement entre ses cuisses et le tissu qui bougeait, me disait qu’elle devait méchamment se caresser le minou. Il fallait que je continue, elle ne perdait pas une miette de ce que je lui racontais.
— Je t’assure que c’est vrai pour la boule. Je n’ai pas fini de te raconter :Quand je suis rentrée à la maison après m’être dépêtrée d’avec le chien, je me suis faite de nouveau agresser par Mambo, car lui aussi était excité par les odeurs de Nalla. A peine arrivée dans la maison, je me suis penchée vers lui pour lui faire des câlins comme d’habitude, le voilà qu’il me saute dessus et avant que je n’ai pu dire « ouf », j’avais son engin niché bien au fond de mon sexe. Je balisais grave que Maman me surprenne avec lui car c’était à peu près à l’heure qu’elle entrait. Comme avec l’autre, Je me suis allongée pour ne pas qu’il reste bloqué en moi et je me suis retrouvée par terre, les yeux à côté de son sexe gluant qui pendait sous son ventre. Son sexe était énorme, il crachait du sperme sans s’arrêter et sa boule était bien aussi grosse que celle de mon premier agresseur, Heureusement que j’avais refusé Mambo car cinq minutes après, Maman faisait son entrée et quand elle m’a vue allongée par terre et son sexe qui pendait, je te dis pas dans quel état elle c’est mise.Je lui ai dis comment tout c’était passé, mais je me demande si elle m’a vraiment crue. Je te raconte ça, mais plus j’y pense plus je me pose des questions sur Maman.
— Ta mère ! Pourquoi tu te poses des questions sur elle ?
— Si t’avais vue dans quel état elle était ! C’était à se demander si elle ne me faisait pas une crise de jalousie.
— Tu te rends compte de ce que tu dis ? Je crois que tu exagères. Jalouse de toi et de Mambo !
— Je t’assure ! Si ce n’était pas une crise de jalousie et bien c’était bien imité.Quand le soir j’en ai parlé à Aurélie, elle m’a dit que rien n’était impossible pour Maman et Mambo et pour la boule elle m’a expliqué que c’était à cause de « cette boule » que les chiens restaient collés aux chiennes et qu’une fois collées et bien ils continuaient à cracher leur sperme dans la chienne et que c’était comme ça, qu’elles avaient des chiots.Elle sait beaucoup de chose Aurélie, mais comme elle a un chien elle même je pense qu’elle a du le voir collé avec une chienne. Je vais te dire autre chose, mais ça, tu ne lui en parleras pas quand tu la verras demain. Je ne sais pas si elle ne se fait pas lécher par son chien car elle me parle de lui avec beaucoup trop de détails, pour qu’elle ne l’ait pas fait.
— Ta mère : Aurélie, heureusement que je n’ai qu’une chienne, sinon tu dirais que moi aussi je me fais lécher et grimper par un chien. Bon ! Lécher, je veux bien ! Après tout, ce ne doit pas être si écourant que ça. Mais quand tu me dis « le faire avec lui », si c’est ce que je pense : là tu vas trop loin
Ses yeux avaient changé, ses narines étaient dilatées, sa main allait de plus en plus vite et quand j’ai vue ses cuisses se resserrer sur sa main, j’ai compris qu’elle venait de jouir en silence. Mon histoire avait fait l’effet que j’avais escompté.Comme si rien ne c’était passé, moi faisant mine de n’avoir rien remarqué, je continuais pendant qu’elle reprenait son souffle.
— Tu veux que j’aille te chercher à boire ?— Ce serait gentil ! Avec tout ce que tu me racontes, je suis toute « chose ». Oui je veux bien un verre d’eau. Merci.
Lui mettant le verre dans la main qui lui avait servi à se caresser, je pus constater que sa jouissance avait été très forte. Elle n’avait même pas pris la peine de s’essuyer et ça, je pense qu’elle l’avait fait avec intention.
— Tu n’as jamais vue le sexe d’un chien si je comprends bien.
— Non ! Comment l’aurais je pu ? Je n’ai qu’une pauvre chienne moi !
— Si tu veux voir comment c’est fait, je peux t’en montrer un. Tu aimerais ?
— En voir un ! Mais comment cela ?
— Je peux aller chercher Mambo et l’amener ici ou alors je vais chercher un des chiens qui attendent dehors. Ce serait encore mieux, ils sont tous tellement excités qu’ils doivent avoir un sexe encore plus gros que celui de Mambo.
Silence. J’avais balancé ça, en espérant qu’elle ne m’envoie pas sur les roses avec mes idées tordues. La situation commençait à devenir très chaude mais aussi très critique, espérant surtout qu’elle ne se rebiffe pas.Elle ne répondit pas, mais son silence ne voulait pas dire pas « non ». Ce qui me confortait dans ma démarche.En ce moment les démons de sa conscience se battaient avec ceux de sa libido. Les interdits sexuels séculaires venaient à l’encontre d’un désir tabou et nouveau pour elle.Je voyais la sueur qui perlait sur son front et sur sa lèvre supérieure. Ça virait, tournait dans sa tête.Je venais de lui parler de quelque chose qu’elle ne pourrait pas chasser comme ça : quelque chose qui était entrain de faire son chemin et quand elle releva la tête, les yeux brillants, les mains qui tremblaient me firent comprendre que je venais de gagner.Moi aussi j’avais le cour qui tapait la chamade. Moi aussi j’avais le sexe trempé par l’envie de lui amener un chien car je savais que l’après midi était bientôt finie, mais que la soirée s’annonçait sous de merveilleux hospices.Je ne savais pas comment allait se dérouler la suite maintenant : soit elle disait « non » et ça nous séparerait pour toujours, soit c’était un « oui » et ça créerait des liens entre nous, que rien au monde ne pourra détruire. J’espérais aussi que c’était bien elle qui faisait battre son, car si tout se passait comme je l’espérais, nous serions bientôt trois à partager Mambo. Si c’était le cas, il deviendrait urgent qu’il ait un suppléant. Là, j’extrapolais.
— Très bien, vas-y ! On verra bien.
Je ne pus m’empêcher de lui sauter au cou tellement j’étais heureuse qu’elle dise « oui ». Ma bouche collée à la sienne dans un baiser rapide mais assez brulant pour qu’elle comprenne que ce n’était qu’un « hors d’ouvre », ma langue se mêlant à la sienne et tout ça sans qu’elle n’essaie de se dégager.
- Je t’aime Monique! Je t’aime ! Tu préfères Mambo ou un chien de dehors ? Lui demandais je en souriant
— Je ne sais pas moi ! C’est vrai que Mambo je le connais bien, mais si tu vas le chercher, il va se battre avec les autres qui attendent, alors je pense que c’est mieux que tu en amènes un autre. Si celui qui a essayer de te violer est là, alors amène le , il te connaît au moins?
— Tout à l’heure il n’était pas là et je n’ai pas peur des autres. Avec toutes les odeurs que j’ai sur moi, je ne risque rien. Si ! Seulement de me faire sauter
— Tu es sur que tu en as pas envie ?
— Devine ! Je reviens, j’en ai pour une minute ; lui répondis je en lui faisant un clin d’oil et en lui envoyant un baiser!Je sortis en sautillant de bonheur et courais dans tous les sens tellement j’étais excitée. Pas âmes qui vivent devant la maison ni sur la route, les chiens n’étaient plus la. Le temps avait passé super vite en compagnie de Monique et je ne m’étais pas aperçue que la nuit était là. Les pauvres ! Ils avaient du regagner leurs pénates Je commençais à accélérer le pas, me dirigeant chez moi en pensant à ce qui c’était passé entre nous deux, quand je sentis que quelqu’un me suivait. Tremblante de peur, je me retournais et mon cour se mit à battre la chamade quand je m’aperçus que le suiveur n’était autre que mon amant de ce matin. Je me penchais vers lui et je lui fis des joies très appuyées. Il se frottait contre mes jambes, reniflant sous ma jupe en remuant la queue comme pour bien me faire comprendre que l’odeur que je portais sur moi et bien il était « pour ». Plus je le regardais plus je le trouvais beau et plus je me rendais compte qu’il me plaisait de plus en plus. Je devenais amoureuse de lui.
— Bonsoir toi ! Tu ne peux pas savoir combien je suis contente de te retrouver. Tu étais où cet après midi ? Heureusement que tu es là, je ne sais pas si Mambo aurait été à la hauteur pour ce que je lui réservais ce soir. Le pauvre, je l’ai tellement pompé et vidé les bourses cet après midi que je me doute qu’il ait récupéré.
Tous les pores de mon corps sentaient Nalla et l’effet ne se fit pas attendre quand à la réaction de mon amant. A peine m’étais je penchée vers lui qu’il s’enfila sous le semblant de jupe que je portais sur moi.Une décharge d’adrénaline me transperça le ventre au contact de sa truffe humide sur mon minou épilé et excitée comme je l’étais, je savais que si je lui laissais glisser sa langue dans ma fente, je jouirais sans attendre.Je remontais le semblant de tissu qui recouvrait mes fesses et lui tendis mon ventre pour qu’il puisse se délecter. Mes doigts écartaient les grandes lèvres et quand sa langue entra en contact avec mon bouton d’amour, la jouissance me traversa si fort que j’eu du mal à rester debout.Ouf ! Ce fut rapide mais bon et je savais que la suite allait être féeriqueIl fallait me dépêcher si je ne voulais pas que Monique réfléchisse trop longtemps, qu’elle reprenne le dessus et refuse ce que je lui préparais.
— Ne t’en fais mon amour, ton heure va arriver et tu as intérêt à être à la hauteur !
Juste le temps de saisir la laisse, de l’attacher et me voilà sur le retour. Monique avait fait descendre Nalla au garage et était assise dans sa cuisine, les yeux dans le vague.
— Nous voici ! Je te présente mon violeur. Je ne sais pas comment il s’appelle, mais je peux te dire qu’il est rapide et très vigoureux. Les autres étaient partis mais je sais qu’ils seront là encore demain quand je viendrais avec Aurélie.Alors, comment le trouves tu ?
— Comme un chien ! Je ne sais pas, tu me demandes de ces choses toi, que veux tu que je te réponde ? Il est gros et beau il est vraiAlors c’est lui qui a essayé de..
— De me sauter oui !
Je voyais qu’elle n’était pas trop rassurée ; sûrement qu’elle aurait préféré Mambo.
— N’aies pas peur, regarde il est doux comme un agneau. Si tu avais été à ma place, comment tu aurais réagi ?
Elle ne me répondit pas : en fait elle ne m’écoutais plus, son regard ne quittait pas le fourreau qui pendait sous son ventre. Tout ce que je lui avais raconté avait du faire son chemin dans son corps. J’aurais bien aimé lui coller ma main entre les cuisses pour voir l’état de sa chatte poilue. Quelle salope !Le chien était un peu nerveux, reniflant dans tous les sens, s’imprégnant des effluves de Nalla. La truffe collée au sol, il allait, venait, se dirigeait vers la porte du garage qu’il renifla bruyamment et revint vers Monique.Elle sentait trop bon pour qu’il ne résiste plus longtemps et dans la seconde qui suivi il glissait sa gueule entre ses cuisses, écartait sauvagement la robe de chambre qui s’ouvrit complètement, mettant à nu son ventre broussailleux. Il Reniflait, poussait sa gueule entre ses cuisses, sans qu’elle ne fasse rien pour le repousser. Il devait sentir que cette femelle là était prête à copuler.
— Il t’aime bien on dirait !
— Oui je crois ; me répondit elle la voix chevrotante. Il est comme toi : aussi entreprenant. Il est toujours comme ça ?
— Je ne sais pas, c’est la deuxième fois que je le vois
Encore un mensonge ! Je ne pouvais pas lui avouer qu’il m’avait sautée, pire sodomisée ce matin
— C’est que tu sens bon comme Nalla. Il te prend pour elle et si tu le laissais faire, il te sauterait dessus exactement comme il m’a fait. Imagines moi quand il m’a sauté dessus
— Nous n’en sommes pas encore là.
Elle n’avait pas dit que j’étais malade de croire qu’elle se ferait sauter. Elle n’avait pas dit non ! Seulement dit qu’elle n’en était pas encore la, ce qui me mit du baume au cour de penser qu’elle irait peut être encore plus loin avec moi.
— Alors ! Tu me montres cette boule. Tu te rappelles que c’est pour me la faire voir que tu es allée le chercher.
— Patience ! Dis donc, tu es pressée maintenant ? On a toute la soirée.
— Pourquoi, tu restes avec moi ce soir ? Tu es un amour. Je n’ai qu’un lit, tu devras dormir avec moi et si tu continues, je vais tomber amoureuse de toi.
— Moi je veux bien et dormir avec toi et que tu sois amoureuse de moi.
Ce faisant, je tirais le chien vers moi et m’agenouillais à ses côtés. Je le caressais, le rassurais et ma main ne mit pas longtemps pour glisser sous son ventre et saisir le fourreau velu de la bête. Doucement j’exerçais un doux va et vient pour m’assurer qu’il acceptait la situation mais dans l’état où il se trouvait, je savais qu’il n’attendait que ça. Il restait tranquille, haletant doucement comme s’il souriait. De temps à autre, il me regardait, mais ne faisait rien pour se soustraire à mes sollicitations. Monique regardait la scène d’un oil incrédule mais pas inintéressé. Je pressais un peu plus la gangue protectrice de l’animal pour faire jaillir le sexe humide et rose, fin comme un marker.
— Tu vois son sexe ? Il faut le sortir comme ça.
— Je te suis ma chérie, mais ce n’est pas ce que j’aperçois qui peut satisfaire une pulsion féminine. Et je ne vois toujours pas de boule.
— Patience ! Patience ! Tu peux venir m’aider si tu trouves que je ne vais pas assez vite
Je commençais à m’activer en accélérant la masturbation du membre qui grandissait à vue d’oil, repoussant ainsi le fourreau, faisant apparaître une longue tige chaude où le renflement à la base du sexe signalait la naissance du noud.
— Regarde, tu vois le noud ? C’est comme ça que ça s’appelle et si je continue à le branler, il va grossir jusqu’à prendre la taille d’un gros citron.
— Toi ma chérie! Tu m’as l’air d’avoir une connaissance plus que théorique sur le sujet ! Tu l’as déjà fait n’est-ce pas ?
Silence.
— Allons tu ne vas pas me faire croire que tu as appris autant de choses sur internet. Il y a des gestes qui ne trompent pas.Tu l’as déjà fait hein? Je vois bien que tu rougis .
Je ne savais que trop répondre. Ses yeux fouillaient mon esprit et je pensais que je devais révéler mon lourd secret, ne sachant pas comment le présenter pour ne pas passer pour une folle dépravée ?
— Disons que je me suis bien informée sur la question et que j’ai une certaine expérience pratique. C’est vrai, ce n’est pas la première fois que je masturbe un chien. Mambo principalement, mais lui jamais.
— Je me disais bien ! Tu maîtrises apparemment trop bien le geste et la bête pour ne pas l’avoir fait.
— Tu sais ! Masturber : c’est super de sentir son sexe grossir et de le voir cracher, mais se faire lécher, c’est divin !
— Ma chérie ! Tout à l’heure tu parlais de ta copine, mais en fait, c’est de toi que tu voulais me parler et tu ne savais pas comment me l’avouer. Pourquoi ?
— J’avais peur que tu me prennes pour une malade. Et la conversation que nous avons entamée sur les chiens, m’a poussée à aller plus loin avec toi.
— Plus loin : c’est à dire !
— Je n’ose plus maintenant
— Je crois que je suis parée à tout venant de ta part. Tu me surprendras de plus en plus, mais en bien crois moi. Avec toi,j’ai l’impression de retrouver ma jeunesse. Allez ! Je t’écoute. Je suis toute ouverte pour toi.
— Fais attention quand tu me dis que tu es toute ouverte pour moi. Je pourrais tout prendre au pied de la lettre. Regarde sa langue ! La taille, la longueur. Imagine la sur ton sexe et dans ton vagin.
— Ne parle pas de moi ni de mon sexe s’il te plait !
Elle me fit comprendre qu’elle n’était pas du tout prête pour ça, mais la voix n’y était pas et son corps tremblait sous la robe de chambre
— C’est de toi et du tien qu’il est question pour le moment. C’est toi qui a cette idée dans la tête depuis un bon moment ou je ne sais depuis quand ; alors fais moi voir ce dont tu es capable de faire avec lui.
— Nous serions beaucoup mieux dans le salon, tu ne crois pas ?
Alliant le geste à la parole, je retournais dans la salon, m’asseyais sur le bord du divan en relevant ma jupe puis écartais mes jambes, présentant ma chatte imberbe au chien - il allait falloir lui donner un nom à celui là - chien qui savait exactement ce qu’il avait à faire. Il se précipita sur sa proie et me planta son museau entre les jambes, sa langue se mettant au travail en dévorant ma chatte en feu. De suite je sentis une chaleur irradier le corps puis me traverser le sexe. Je ne pouvais retenir mon ventre qui s’agitait et venait au devant de mon assaillant.
Monique observait interdite, ne perdant rien du spectacle et moi, j’étais soulagée car je ne voyais aucun dégoût dans son regard : au contraire elle semblait fascinée par la scène,Se rapprochant de moi en s’asseyant à mes côtes, elle observait avec grand intérêt la langue aller et venir entre les lèvres béantes de mon sexe. Je sentais l’orgasme venir trop vite, certainement du au spectacle que je lui donnais. Elle avait une main entre ses jambes, se caressant doucement d’abord, puis de plus en plus énergiquement.
— Donne moi ta main, caresse moi ? Je t’attends, je veux que nous jouissions ensemble.
Elle me tendit une main, mais nullement ne me caressa, trop occupée par ce qui se déroulait devant elle. Ses yeux au fond des miens, je laissais exploser en moi la jouissance procurée par les sollicitations linguale de mon chien et aussi par ses doigts caressant son sexe.Des étincelles pétillaient partout dans ma tête. Je gémissais mon plaisir en me tortillant sur ma chaise, attrapant le bras de Monique, surveillant sa main qui avait disparue dans les profondeurs de son vagin et dans un râle final, nous nous mîmes à jouir à l’unisson. Je repoussais gentiment la tête de mon amant en essayant de reprendre mon souffle. Monique n’avait pas cessé de se caresser pendant tout ce temps.
— Alors toi, quand tu jouis tu ne fais pas semblant. Tu as pris un super pied dis donc.
— Et toi, tu t’es entendue ? Tu veux essayer ? Je ne crois pas que tu seras déçue et lui il ne demande que ça. C’est ça qui est bien avec un chien : il n’est jamais fatigué et alors sa langue, je peux te dire qu’elle m’a fait voir des étoiles et me fait devenir folle. Tu veux prendre ma place ?
Elle ne dit ni oui ni non, ses cuisses s’écartant comme par magie.Je me levais, amenais la gueule du chien entre ses cuisses pour qu’il poursuive ses léchouilles sur son sexe largement ouvert, puis me glissais derrière elle. Cette fois, elle ne me repoussa pas quand mes mains se posèrent sur ses seins aussi durs que la pierre. Lui, ne se fit pas prier car elle mouillait déjà abondamment. Il la dévorait littéralement, mais si moi au début j’avais essayé de retenir un peu mes gémissements de plaisir, elle, elle en faisait état ouvertement. Je lui pinçais les bouts, caressais ses mamelons, passais ma langue dans son cou. Elle couinait, gémissait, se tordait et finit par jouir dans un cri animal de chatte en chaleur.
— Alors ? Qu’en penses tu ; lui demandais je après qu’elle reprit ses esprits ? Pas mal non ! Toi aussi t’as joui comme une chienne.
— J’ai honte d’avoir joui devant toi. Tu es une enfant et moi je me laisse aller à tes fantasmes et je crie comme une truie.
— Tu regrettes ?
— Ohh non ma chérie .c’était fantastique. Ouf .jamais je n’aurais pensé que ça pourrait être aussi fort et ça faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça : enfin aussi fort. Il est vrai qu’une langue chaude et active à de bons côtés et des avantages sur un godemiché : surtout une langue pareille. Et alors tes doigts !!!!!!! je t’aime.
— Moi aussi je t’aime. C’est vrai que c’est divin ! Mais tu sais .je crois qu’il y a quelque chose de mieux encore.
— Que veux-tu dire ?
— On peut aller plus loin. beaucoup plus loin....
— Comment ça ? A part se faire lécher, je ne vois qu’une autre chose à faire avec un chien : se faire baiser. C’est de ça que tu veux me parler ?
— Etre une vrai chienne ! Oui, on pourrait le laisser nous monter. Moi depuis que je me suis faite assaillir par lui et Mambo : que j’ai senti le sexe de Mambo dans ma chatte, j’en crève d’envie. En plus avec Aurélie qui n’arrête pas de m’exciter avec ça, j’en deviens folle, mais je n’ose franchir le pas.en fait j’ai un peu peur de me faire mal. Il me faudrait quelqu’un de confiance pour maîtriser le chien : le diriger quoi ! Tu voudrais m’aider ?
— T’aider moi ! Tu n’y penses pas ! Je ne sais pas. je ne sais pas quoi faire, je ne sais pas si je saurais .
— Après ce que nous venons de vivre toutes les deux, je sais que je peux te faire confiance. Je sais que tu trouveras comment m’aider à réaliser mon fantasme.
— Tu te rends compte de ce que tu veux faire et ce que tu me demandes de faire ? Tu voudrais que je sois témoin de ça. C’est contre nature, tu le sais ? Et s’il t’arrivait quelque chose : il y a tellement de choses qui ce sont dites en ce qui concerne les femmes collées avec des chiens. Que devrais je dire à ta mère si ça se produisait ?
— Tout ça, ce n’est que foutaises, des « on dit » et je sais que c’est contre nature, mais j’en ai trop envie. Allez ! Je t’en prie aide moi !
Elle resta un peu interdite par ma répartie, mais je devais
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