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Chantal et Aurélie

Chapitre 19

Zoophilie
Malgré ces signes de gentillesse, je me mis sur le ventre pour essayer de lui échapper, mais cette fois il se mit à me montrer les crocs, comme s’il voulait me mordre. Il resta sur moi, les postérieurs entre mes jambes écartées, ses antérieurs posés et pesant sur mes épaules, la langue pendante et dégoulinante de bave au-dessus de ma figure. Cette position dans laquelle je me trouvais, n’avait rien de confortable, mais malgré ça je la trouvais terriblement érotique. On aurait dit qu’il avait envie de me prendre comme telle et si ce n’eut été que je fus allongée sur le trottoir, j’en aurais bien envisagé la chose. Malgré cela, je n’osais faire un mouvement, espérant que Nathalie arrive le plus vite possible, non pas que j’appréhendais le viol, car dans d’autres circonstances, je l’aurais accepté volontiers, mais ici, sur ce trottoir, en plein jour !!!!. Je ne voulais pas appeler, ni prendre le risque de me faire secourir par les voisins, de peur de devoir répondre à des questions embarrassantes. Était ce dues aux ondulations que mon corps faisait pour sortir de son emprise qui commencèrent à l’exciter, mais je sentis s’allonger, s’enfler sous son ventre, cette bite qu’il n’y a pas cinq minutes je convoitais, mais que je ne désirais plus aussi ardemment. Il plia les pattes, recula, avança et cette fois je sentis vraiment son phallus effleurer mon pubis au travers du tissus léger du semblant de culotte qui le recouvrait: je ne m’étais pas trompée, j’allais y passer. Ce contact me fit me contracter et toujours en gesticulant, j’essayais de sortir de son emprise. En d’autres moments, je me serais laisser prendre, je me serais même aidée de mes mains et j’aurais dirigé sa queue dans mon vagin car malgré cette position inadéquate, il commençait à avoir chaud et faim sérieusement celui là. Mais ni l’endroit, ni le lieu n’étaient propices pour cette saillie. L’extrémité pointue du pénis turgescent, dure, chaude, visqueuse, souillait mon entrecuisse et je perçu une brève pression au bas de mon ventre, tout contre les bourrelets de ma vulve qui s’ouvraient inexorablement. J’agitais le bassin autant que je le pouvais, essayant de me soustraire à lui, mais il semblait prendre plaisir à ma frayeur, me contraignant toujours davantage en s’aplatissant sur moi. Je ne voyais pas le sexe menaçant, mais le sentais vibrer contre ma peau et le sperme qu’il crachait et qui me souillait les reins, me disait que cette fois le viol était proche. Pourrait on appeler cela un viol? Après tout, à un moment, ne l’avais je pas désiré ?Le danois pesa plus lourdement sur moi, essayant mais en vain, de forcer ma vulve. Il enflait encore, frémissait, tremblait de plus en plus, s’animant en un va-et-vient précipité. Je tentais de bouger le bassin en me débâtant, ce qui ne fit que l’exciter encore plus. Sa bave coulait sur mon visage, gluante, écœurante et l’extrémité du phallus balayant une nouvelle fois ma raie culière, cherchait la fente de ma féminité allant jusqu’à toucher la crête de mon clitoris, ce qui me fit tressaillir malgré moi... Combien de temps tiendrais je avant de lui céder, chienne que j’étais, allongée sur le trottoir ?Maintenant, complètement couché sur moi, le chien m’interdisait de resserrer les cuisses, son pénis cherchant à s’ajuster au bon endroit et toute à mon désespoir, je me rendis compte que je ne pouvais empêcher mon sexe de s’ouvrir sous la poussée du sien. Il était à l’entrée de ma grotte chaude et accueillante, et je savais qu’il n’avait qu’à pousser pour que je m’ouvre complètement à lui. J’étais perdue, seule, ma maîtresse m’ayant abandonnée ou alors se régalait elle du spectacle !Le mâle grogna, conscient de sa suprématie, sur de sa victoire proche sur la femelle que j’étais, dont l’odeur et la sueur l’excitait de plus en plus. Ses testicules lourds cognèrent contre mes cuisses, tandis que la tige effilée, chaude, dure comme de l’acier pesait et s’insinuait de plus en plus à l’intérieur de mon sexe. Il suffisait à présent qu’il donne un coup de reins, pour que son membre en entier pénétrât dans mon carquois intime et ce ne serait certainement pas le bout de chiffon qui l’empêcherait de rentrer, me disais je en relevant instinctivement les fesses.Cette fois j’étais perdue, et ne pouvais ni ne voulais me retenir davantage, mon corps en entier acceptait son sort. Alors abandonnant le combat, je passais un bras sous le ventre de l’animal, attendant que de nouveau son sexe touche les lèvres gonflées de mon sexe et dans un grand cri qui du résonner dans tout le quartier, je m’empalais comme une folle sur cette queue qui avait fait de mon sexe un véritable volcan prêt à lâcher sa lave. Ayant compris que sa femelle était enfin consentante, il commença alors ses allers retours dans mon ventre en feu. Son sexe devenait de plus en plus gros et à chaque fois qu’il rentrait en moi, sa boule commençait à se former, me serrant les muqueuses et me collait à lui. Il y était presque, sa queue brutalisant mon utérus à chaque fois qu’il plongeait en moi, ressortant pour m’empaler de plus belle d’un grand coup de reins, quand un cri venu de je ne sais où, un cri familier me glaça le corps en entier.— Chantal ! Mais que fais tu ?— Maman !!!!!! criais je, relâchant le sexe brulant du danois.Depuis la première fois où je l’avais surprise avec Mambo, j’avais eu envie qu’elle me voie avec un chien, mais la surprise de la voir près de moi, était telle, que je ne savais plus comment faire pour me débarrasser du chien.— Mais que fais tu là ? je te croyais avec papa ?Jugeant que l’on ne pouvait pas arrêter une saillie, sa saillie comme ça, le cabot qui ne voulait rien savoir, essayait tant bien que mal à me prendre quand même, quand un ordre crier par Nathalie cette fois, le figea en moi. Pourquoi ! Pourquoi arrivaient elles maintenant que j’avais accepté de me donner à lui? Pourquoi maintenant, alors qu’il était tout en moi. Et comment Nathalie pouvait elle se faire obéir par des chiens aussi gros fussent ils et surtout lui !On eut dit qu’il venait de comprendre que ce qu’il me faisait subir était mal, car comme par magie et bien avant que son nœud ne me soude définitivement à lui, sa queue ressortit de mon antre, encore plus affamé que lorsqu’elle y était rentrée. Je me retrouvais abandonnée, les cuisses écartées, le sexe laissant échapper les premières giclées de sperme qu’il avait crachées à l’intérieur, tandis que Nathalie parlait au chien, comme si elle le connaissait depuis toujours et que Maman m’aidait à me relever, tirant sur ma jupe pour en cacher les fesses.— Mais Maman ! Pourquoi ?— Pourquoi quoi !— Je deviens folle ! Je te vois partir avec Papa et te voilà devant moi. Mais où étais tu pendant tout ce temps ?Tout comme moi, elle portait au cou un superbe collier, signe d’obéissance à celle qui l’accompagnait.Je lui parlais, elle répondait tant bien que mal à mes questions, sans me regarder bien sur, trop occupée qu’elle était à regarder le DANOIS, enfin à regarder le sexe qui pendait sous son ventre. Quelle salope celle là ! Même au repos, son engin était monstrueux et je sentais que Maman en avait une folle envie, certaine que sa culotte (si culotte elle avait) devait être bien mouillée et qu’elle devait lui coller à sa chatte trempée.— J’étais dans la chambre d’amis, cette nuit quand tu étais avec elle, me répondit elle les yeux dans le vague.— Oh Maman ! Je suis tellement heureuse que tu soies la avec nous. Alors ! Tu as tout vu, tout entendu ? Pourquoi n’est tu pas venue nous rejoindre ?
— C’est Nathalie qui voulait qu’il en fût ainsi. C’est elle qui décide de tout, et toi comme moi, Monique dans peu de temps, nous lui obéissons. Nous lui appartenons toi et moi, j’espère que tu le sais et que tu es d’accord ?— Oui je le sais et oui je suis entièrement d’accord. Je t’aime Maman.— Moi aussi je t’aime mon amour.Comme des folles, nous nous jetâmes dans les bras l’une de l’autre, moi lui couvrant le visage de baisers, elle passant ses mains sous mon pull pour en caresser la pointe des seins qui se mirent à grossir sous ses attouchements, ce qui me déclenchât l’envie de me donner à elle sur le champ.— Tu ne m’en veux pas d’être arrivée trop tôt et qu’il n’ait pas eu le temps de te sauter, me dit elle la bouche collée à la mienne ! J’espère quand même que tu ne l’aurais pas fait sur le trottoir !— Si je t’en veux un peu quand même, mais je me rattraperais et c’est toi qui me le mettras sur le dos. Que penses tu en le regardant! Tu crois vraiment qu’il m’aurait laissée me relever si vous n’étiez pas arrivées toutes les deux. — Tu as raison ma chérie. Si j’avais su que tu étais avec un si bel animal, j’aurais fait prendre patience à Nathalie, mais je te promets que pour me faire pardonner, je ferais comme tu voudras.Cette fois sa main avait glissée dans ma culotte, découvrant à quel point j’étais trempée.— Et ben le salaud ! Il t’avait déjà mis le paquet dis donc. Tu avais déjà joui ?— A peine, mais c’était bon!!!!!!!! Je te jure qu’il est gros à mourir.— Je te crois me dit elle, regardant de nouveau le sexe qui essayait tant bien que mal de rentrer dans son étui. Quelle belle queue !— Ça fait envie n’est ce pas ? C’était Nathalie qui venait de nous interpeller. Nous étions la, toutes les deux, l’ayant complètement oubliée, comme si personne n’existait,. Elle se jeta sur moi comme une furie en colère. — Et toi ! Tu pourrais m’expliquer ce qui se passe, me demanda-t-elle avec des flammes dans les yeux. Je te laisse deux minutes et te voilà déjà accouplée au premier chien venu. Tu sais ce que je t’avais demandé pour aujourd’hui !Elle avait l’air furibarde et je la comprenais, mais tout n’était pas de ma faute, ce que je tenta de lui expliquer aussi bien que je le pu, et quand elle me tendit les mains pour que je vienne contre elle, posant sa bouche sur la mienne pour un baiser langoureux, je compris qu’elle m’avait pardonnée. Comme Maman, elle passa ses doigts sur ma chatte, constatant par elle même, que mes dires étaient vrais— On dirait que tu as fait pipi dans ta culotte, me dit elle en fouillant mon sexe avec ses doigts crochus.Le ventre en avant, je me trémoussais, la suppliant de continuer et de me faire jouir.Sa langue au fond de ma gorge, la mienne enroulée à la sienne, je sentis Maman se coller à moi, remonter ma jupe pour en caresser les lobes fessiers. — Oui Maman ! Continue, j’ai trop envie.— Et par là ! Te la-t-il mise ? me dit elle, en enfonçant son index dans mon anus.— Non ! Vous êtes arrivées trop tôt. Mais je l’espère un jour.— Tu es vraiment une chienne, une salope ! Tu es vraiment comme ta mère, me dit Nathalie en retirant ses doigts poisseux dans ma chatte en feu pour les glisser dans ma bouche.Quel compliment venant d’elle.— Et j’en suis fière, répondit Maman. J’espère qu’elle sera bien pire que moi. Rien que pour vous maîtresse.— Oui ! rien que pour vous.

Maman, comme moi vouvoyai Nathalie, ce qui me fit sourire venant d’elle et tout comme moi, ou moi comme elle, nous étions soumises corps et âme à notre égérie. Tout ce manège me confortait dans mes questions : c’était bien elle qui l’avait dressée, tout comme elle avait dressé sa propre fille, avant de me prendre entre les mailles de son filet. Il ne restait plus que Monique, mais comme j’avais cru comprendre, ce serait son tour aujourd’hui.
— Continuez comme ça, à vous deux, vous allez me combler.Venant de Nathalie, ce ne pouvait qu’être un compliment. Puis regardant de nouveau le chien qui s’était assis sagement sur son train arrière, elle nous demanda:— Croyez vous que nous pourrions nous en servir pour Monique ?
Devançant Maman, je lui répondis :
— Ce serait super oui, lui répondis je ! Mais elle ne l’a jamais fait et ça vous le savez! Elle n’avait fait que m’aider avec Oko et seulement sucer sa grosse queue après qu’elle soit ressortie de mon ventre. Je sais qu’elle en a envie mais de là à se faire grimper par ce danois, je ne sais pas ! Vous avez vue comme il est gros ?— Toi ! Tu l’as bien pris, enfin presque ! Alors elle fera pareil, laisse moi faire !..............
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