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Chantal et Aurélie

Chapitre 21

Zoophilie
Aussi vite qu’elle était partie, elle refit son apparition, avec pour seul vêtement, la ceinture gode autour de sa taille nue, la ceinture que Nathalie c’était servi pour me défoncer toute le nuit, puis se collant de nouveau à moi, une main posée sur mes épaules, elle me fit pencher en avant, faisant saillir mes fesses, qu’elle écarta de son autre main. Alors, présentant le gland factice contre mon anus, elle s’enfonça doucement en moi, jusqu’à ce que tout disparaisse entre mes reins. J’étais aux anges moi aussi. J’étais possédée, fouillée par l’énorme sexe qui allait et venait en moi, face à Maman et Nathalie, tandis que le mastodonte se vidait dans le ventre de Monique. Moi aussi j’avais quelque chose de gros et puissant qui me donnait du plaisir, et connaissant Aurélie, je savais par avance qu’elle m’emporterait au ciel, ce qu’elle fit au bout de dix minutes, son corps luisant collé à moi, le godemiché puissamment dans mes entrailles.La bouche ouverte, essayant de retrouver mon souffle, je vis Monique accrochée et secouée à chaque poussée du Danois. J’imaginais la verge canine qui ne cessait de grandir à l’intérieur de son sexe, repoussant lentement ses parois intimes, ce qui déclencherait dans les profondeurs de son être, des impressions contradictoires... pour s’ y installer enfin. Toutes les quatre, les yeux fixant la tige qui entraient et sortaient de son être, assistions au coït animal, attendant avec impatience qu’elle soit prise définitivement. Là, collée à son mâle, elle serait en osmose complète avec nous.Intelligent, maître de sa force, comprenant que sa proie était dans l’incapacité de lui échapper, il relâcha un peu plus sa prise sur la femelle qui se trouvait accrochée sous lui, laissant sa langue pantelante glisser près de la bouche de Monique. Elle ne tenta pas de se dérober, au contraire. Le goût de la salive canine, la chaleur du baiser pervers la firent s’exciter davantage, s’enfonçant plus profondément sur le pieu fiché dans son intimité. Vaincue, conquise, ravie, remplie, elle se laissa bercer sur le tapis, écrasant encore plus sa poitrine de ses deux mains. Alors, incrustant ses ongles dans leur pulpe, balançant la tête de gauche à droite, elle se donna à lui totalement.Nous savions toutes les quatre que la bite se gonflant davantage en elle, en écartant ses chairs vaginales, faisait bouillir son sang. On voyait le plaisir s’installer progressivement sur son visage, l’animant de convulsions, la faisant haleter, gémir, et crier. Ce n’était pas encore le délire fou de l’orgasme, mais une extase prolongée qui lui faisait pousser des cris rauques, puis refermant ses doigts sur la pointe de ses seins, elle agita langoureusement son corps qu’elle soumit au rythme du chien qui occupait sa vulve Écartelée...Ce n’était plus un cauchemar qu’elle vivait, car être tout entier se prêtait allégrement à la saillie.Son corps était ignominieusement violé par le pieu de chair raide qui était en elle. En se dilatant progressivement, il devait forcer les muqueuses à se prêter à son volume croissant, écrasant le bourgeon clitoridien qui, échauffé par le frottement constant, se gonflait d’un naturel afflux sanguin, provoquant une réaction physiologique qu’elle ne pouvait cependant plus contrôler.Restant consciente néanmoins, elle devait sentir le sexe s’allonger toujours et toujours, le corps de l’animal s’animer encore et encore, alors que ses testicules se balançaient contre ses fesses et heurtaient l’intérieur de ses cuisses. Cette stimulation irrépressible de sa féminité ne la dégoûtait plus, et ne pouvant plus retenir la jouissance qui lui traversait le corps, c’est dans un râle qu’elle jouit de cet accouplement, passant une main sous son ventre pour aller caresser la naissance de cette verge qui lui donnait autant de plaisir.Jamais elle n’aurait pu imaginé, voyant pour la première fois l’animal, que cela puisse se passer ainsi, en faire l’expérience et encore moins en jouir.Elle devait, nous le savions pour l’avoir vécu, sentir La verge s’enfler à son extrémité, lui donnant la sensation qu’un ballon plongé au fond de son vagin, se gonflait et élargissait ses chairs de façon insensée et persistante. Elle devait, comme nous toutes l’avions fait, maintenant ressentir physiquement au cœur de son être, cette formidable intumescence animale qui fait qu’un chien en rut ne pouvait se détacher de sa femelle que très longtemps après l’accouplement. C’est ce qu’elle devait penser en nous regardant tour à tour et que son corps entier devenait l’empire d’une jouissance phénoménale. Elle n’existait plus que pour son mâle, pour le plaisir qu’il lui donnait et qui la traversait de part en part. Plaisir qui la transformait en objet de volupté, laissant sa vulve se resserrer d’avantage autour du pénis enfoncé dans son ventre, lui déclenchant alors un orgasme bestialSe sentant devenir folle de plaisir, ne dominant plus des tous ses instincts, le corps convulsé, elle se tut brusquement, son corps se relâcha de sa tension. Ses reins s’incurvèrent, ses jambes et ses bras se mirent à trembler violemment, elle était au terme de son spasme démentiel, mais cette fois l’animal restait planté en elle en s’activant avec une égale frénésie dans son vagin. Alors dans un râle de plaisir, grinçant des dents, jurant, blasphèment, elle se laissa jouir, le corps accroché à son étalon. Mes jambes ne me tenaient plus, et le godemiché toujours planté en moi, je me mis à genoux, entrainant Aurélie avec moi. Je voulais par cette position communier avec Monique, Monique qui gémissait, bavant sous la pression de la boule qui s’était formée en elle. Alors, les yeux remplis de bonheur, je tendis les mains vers Maman pour qu’elle vienne, elle aussi se joindre à nous. Attendait elle mon appel ! Je ne sais pas, mais à peine lui avais je tendu les bras, qu’aussitôt elle vint se blottir contre nous deux.— Tu es bien ma chérie ?— Oh oui ! j’aimerais tant que tu me prennes aussi.— Je reviens mon amour.Aussitôt dit, aussitôt fait.Maman courut jusqu’à la chambre de Monique et revint, elle aussi arnachée avec le même équipement qu’Aurélie, le même que j’avais vu et caressé la fois où j’avais fouillée dans la chambre. S’allongeant sur le dos, elle me demanda de venir me positionner sur l’engin qui dressait fièrement sur son pubis.— Aurélie s’il te plait ! Retire toi pour que je puisse me mettre comme Maman me le demande.— Non ma chérie ! Je reste en toi, à toi de te débrouiller— Salope !— Et toi, tu es quoi ?Tant bien que mal, Aurélie se faisant de plus en plus lourde sur mon dos, je rampais sur Maman, qui dirigea elle même le gland dans ma fente trempée et bouillonnante aussitôt qu’elle la toucha de ses doigtsLa sensation des deux sexes fichés en moi fut trop forte pour que je n’en jouisse pas aussitôt, alors m’enfonçant encore plus sur le godemiché de Maman, j’écrasais ma poitrine contre la sienne, et dans un râle libérateur, je criais ma jouissance, avant que Maman ne me donna sa langue à avaler.— Je t’aime Maman !
— Moi aussi je t’aime, me répondit elle en se démenant dans mon ventre, alors qu’Aurélie par jalousie (c’est elle qui me l’avoua par la suite) m’arracha un cri de douleur en me plantât le sien d’une telle rage que je ne pus m’empêcher de crier de douleur. La douleur était si vive, si forte, que les larmes se mirent à couler le long de mes joues, larmes aussitôt léchées par la langue de MamanTout comme Monique, j’étais collée et soudée à celles qui me besognaient comme des furies. Je respirais profondément, tentant de dissiper cette sensation pénible de suffocation qui me prenait. Le désir augmentait irrésistiblement en moi irradiant mon bas-ventre, raidissant mes reins, emplissant mes seins, et gonflait mes mamelons. Il faisait sourdre une lave ardente de ma féminité, par le frottement du godemiché de Maman sur ma perle clitoridienne. Il affolait aussi mon cœur, nouait mes nerfs, m’oppressait, m’angoissait...Je serrais plus fortement les cuisses l’une sur l’autre en me tortillant sur place, non pour contenir l’envie d’uriner qui me tourmentait, mais pour dominer les sollicitations sensuelles persistantes et de plus en plus précises. En vain. A défaut de l’exutoire que je m’obstinais à me refuser, je me contentais de soulager ma tension en contractant puis relâchant tour à tour les muscles de mes cuisses, de mon ventre et de mon anus. Sans avoir conscience de l’envie de me masturber qui me prenait, mais que je ne pouvais faire hélas, je cédais ainsi à la pulsion balbutiante de la passion perverse qui investissait mon corps et dans un grand cri, je me mis à jouir en regardant Monique collée à son chien.— Regarde Maman, regarde Aurélie ! Cette fois, elle est prise à son mâle. Comme moi par vous deux.La tête sur le côté, nous pouvions voir la voir, accrochée au danois. Elle transpirait abondamment, son sexe dégoulinait laissant échapper les laves de sperme canin le long de ses cuisses, les vernissant d’un mélange cyprine, sperme. Je savais, pour l’avoir senti en moi, que l’engin et le nœud qu’elle avait dans le ventre, allaient prolonger les délices de sa jouissance et que le plaisir ne pourrait que succéder à la douleur naissante, pour l’engendrer de nouveau un peu plus tard.Le chien grogna encore en essayant de se retirer d’elle, ne comprenant surement pas pourquoi il ne pouvait s’en détacher. Il donna deux trois coups de reins, entrainant celle qui était accrochée à lui malgré elle, et après quelques aller retours, l’entrainant inexorablement avec lui, les élans de sa croupe se firent moins agressifs. Soudé à elle par le nœud sur-dimensionné, il cessa enfin de se mouvoir, ce qui nous laissaient à penser qu’il avait commencé son travail de mâle reproducteur, en projetant sa semence contre les parois vaginales de sa femelle humaine. Par le spectacle que tous les deux nous donnaient, les yeux posés sur Nathalie, nous nous aperçûmes toutes les trois, qu’elle avait lâché la laisse du chien, laissant libre court à ses mains qui farfouillaient entre ses cuisses grandes ouvertes. Les doigts toujours fichés en elle, elle vint s’asseoir près de la tête de celle qui feulait sous son mâle, positionnant sa chatte trempée au devant du visage de Monique, Monique qui bavait de plaisir, ne remarquant même pas que sa maîtresse avait besoin d’ellePlus en lui caressant les cheveux, qu’en les tirant, elle la força à relever le menton, la suppliant cette fois de lui lécher son sexe.— Lèche moi, avale moi, fais moi jouir avec ta langue !Comme un chat bien dressé, nous pouvions voir la langue pointue de Monique glisser dans l’antre parfumé de Nathalie, léchant, avalant le miel qui en coulait abondamment. Le spectacle qu’elles nous donnaient, ne pouvaient nous laisser insensibles alors Maman se retirant de moi, tenant son godemiché dans une main, alors que de l’autre elle m’obligeait à le prendre dans ma bouche, me demanda :— Il te faudrait combien de temps pour aller chercher les autres chiens ?Ressortant l’engin du fond de ma gorge, surprise par sa demande, je ne pus m’empêcher de crier de bonheur en imaginant la suite de la journée.— Youpiiiiiii !!!!! Je ne sais pas ! Cinq minutes. Tu veux vraiment que j’aille les chercher ?— Et comment que j’en ai envie que tu y ailles ! Le temps que Monique va rester coller son Mâle, on a tout le temps de se faire prendre nous aussi. Ils sont trois, et nous sommes trois affamées alors tu penses.— Trois ! Comment trois ?— Nathalie, Aurélie et Moi.— Et moi alors ! — Toi tu as joui comme une truie me dit elle en me regardant. Tu n’as pas vu l’état de ta minette et de ton anus ?C’était vrai que j’avais eu ma dose, mais je me serais bien faite monter par un des trois qui devaient nous attendre sagement à la maison.— Et Nathalie, me dit elle ! Tu crois qu’elle ne le mérite pas avec tout ce qu’elle a fait ? Rien que de penser à ce qu’ils vont nous mettre, j’en ai la chatte en feu. Vite ou je vais jouir comme ça.— Mais tu n’as pas peur que les autres chiens et lui ne se battent!!!!!!!— Ne te fais pas de soucis mon amour me répondit Maman. Lui, dit elle en désignant le Danois, quand il aura fini, il fera comme tous les autres, il se couchera, se léchera le bout et dormira. Allez enfile ta jupe, et dépêche toi avant que ton père ne rentre.— Je l’avais oublié celui là. C’est bien que tu ne soies partie avec lui, lui dis je en enfilant prestement ma jupe. Dois je mettre ma culotte aussi ?— Pas besoin ! t’as qu’à leur mettre ta chatte sous leur nez, et ils te suivront jusqu’au bout du monde, petite salope !— Et fière de l’être ma petite Maman chérie ! Et comme dit le proverbe : Les chiens ne font pas des chats n’est ce pas ? Puis ouvrant la porte, je lui criais en rigolant :— Si Papa est là, je lui de venir participer ?— Si tu veux, me répondit elle en me lançant une chaussure pour que je file au plus vite.Dix minutes plus tard, j’étais de retour avec les trois chiens. Déjà, lorsque je les avais retrouvés, ils étaient super excités, tournant comme des fous autour de moi, en passant leur truffe sous ma jupe, n’omettant surtout pas de me lécher au passage. Mais quand ils entrèrent chez Monique, ils sentirent assez vite que quelque chose d’exceptionnel se préparait et que ce seraient eux les acteurs.
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