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Chantal et Aurélie

Chapitre 22

Zoophilie
Ne prêtant même pas attention au danois attachée à sa « chienne », ils reniflèrent Monique, glissant leur museau les uns après les autres entre les cuisses ouvertes de Nathalie. Trop occupée par le plaisir que lui donnait Monique, et n’ayant ni suivi ni entendu notre conversation du départ, elle fut tellement surprise quand le premier chien colla son museau entre ses cuisses, qu’elle laissa échapper un cri de stupeur. Stupeur passagère, car se reprenant assez vite, elle se détacha de Monique, hélant les chiens. Alors ouvrant ses cuisses autant qu’elle le put, elle les laissa se délecter des arômes qui coulaient de son sexe dilaté et humide. Heureuse, ouverte, les yeux révulsés, les seins dressés, regardant dans notre direction, elle nous dit :— Merci, c’est trop bon !!!!!!!!! On ne choisi pas, ce sont eux qui vont le faire. D’accord les filles ! Nous sommes quatre, ils sont trois, celle qui restera seule, s’occupera de Monique. La pauvre, pour la première fois, on lui a choisi un chien hors norme et elle ne sait pas ce qui l’attend quand il va essayer de se détacher d’elle.Nous ne répondîmes pas, et d’un commun accord, nous nous mîmes à genoux l’une à côté de l’autre, remuant nos popotins pour attirer les bonnes grâces des mâles qui nous reniflaient, nous léchaient à tour de rôle. Prêtes pour la saillie, chacune espérait qu’elle serait l’heureuse élue, ce qui déclenchait au plus profond de nous, les prémices de nos jouissances à venir.Cartouche avait choisi sa propre maîtresse, reconnaissant de loin à quel point elle était en chaleur et après que Mambo se soit posé sur les épaules d’Aurélie, je la vis s’asseoir sur le divan, l’attirant à elle, entrainant son mâle entre ses cuisses grandes ouvertes. D’où j’étais, je pouvais voir les lèvres de sa chatte gonflées, et son clito regorgeant de sang avait double de volume.— Viens ici toi, lui dit elle, attrapant à pleine main le sexe qui sortait de son étui. Viens, c’est comme ça que je te veux.Regardant mon premier amant s’enfoncer dans la chatte de ma chérie, je me relevais, abandonnant la partie, laissant Oko s’occuper de Maman qui me gratifiât d’un « merci ma chérie » dans un rictus qui lui déforma la bouche quand Oko essaya à plusieurs fois de plonger sa grosse queue en elle. Je n’avais pas le droit de la priver de ce plaisir suprême, surtout après qu’elle m’en eut autant donné. Je me mis à genoux tout près d’elle, glissant au passage un doigt dans son sexe ce qui me confortait dans mes pensées, je savais qu’il n’aurait aucune peine à la prendre comme elle le méritait. Alors attrapant le sexe d’Oko qui tapait dans tous les sens sur ses fesses, cherchant quel trou il devait investir, je le présentais devant la chatte affamée de Maman. Le cri qu’elle poussa me remplit de bonheur, quand enfin il se planta en elle.— Tiens le ma chérie pour ne pas qu’il ressorte. Je ne le sens pas assez en forme et assez brouillon pour qu’il ne reste en moi. C’est toi qui l’as fatigué à ce point ?— Non Maman, lui dis je en posant ma bouche sur la sienne. C’est surtout de la faute à Nathalie. Elle s’est faite grimper deux fois par lui, et une fois par le sien. D’ailleurs tu le sais puisque tu étais à côté.— Je comprends mieux maintenant. J’étais cachée dans la chambre oui, mais je ne suis pas descendue dans le garage, Nathalie me l’avait interdit.Nous étions la toutes les deux à dialoguer tandis qu’Oko se démenait en elle, ressortant, cherchant ses marques pour se planter définitivement dans sa chatte baveuse. Il la besognait si fort, qu’elle n’arrivait plus à me parler et quand je vis son sexe ressortir, la boule presque formée, et de nouveau l’investir, je savais qu’il ne pourrait se retirer définitivement d’elle quand lorsque son nœud serait dégonflé.Maman était prise comme elle aimait l’être, son vagin continuant à l’aspirer en elle, comme si elle voulait n’en faire plus qu’un avec lui. Je l’avais vue tellement de fois se faire prendre par Mambo, que je savais qu’elle n’accepterait de le relâcher, que lorsque il ne lui resterait plus aucune goutte de sperme à lui donner. Et moi le connaissant, je savais qu’elle serait collée à lui pour au moins trente minutes.— Maman !!!!!! Tu es toute griffée dans le dos. Comment vas tu expliquer çà à Papa ?— Je ne lui expliquerai rien du tout. D’ailleurs, à l’avenir, si tu veux bien m’accepter dans ton lit, je ne coucherai plus avec lui, et ça ne me manquera pas.— Ouaisssssss, super!!!!!!! Bien sur que je te veux dans mon lit et plutôt deux fois qu’une mais à une seule condition !— Laquelle ?— C’est que je puisse te faire tout ce dont j’ai envie.— Je crois que tu ne te gênes pas trop depuis un certain temps. Promis mon amour, j’accepterai tout, j’espère qu’il en sera de même pour toi ?— Moi ! je suis toujours prête pour toi, tu le sais Maman chérie. Ça va si mal que ça vous deux ?— Maintenant que nous sommes deux à appartenir à Nathalie, maintenant que tu es bien formée, j’envisage le divorce. Tu es peinée ?— Pas du tout, du moment que nous restons ensemble.Maman ne dit plus rien, me demandant même si elle avait entendu la réponse, trop occupée qu’elle était par ce que lui faisait subir le mâle dans sa chatte en fusion.— Allez va y mon salaud ! Bourre moi comme si j’étais ta chienne ! Défonce moi, remplit moi avec ta grosse queue.Comme si je n’existais plus, Maman parlait à Oko comme s’il était humain. Elle se démenait sous lui, projetant son cul en arrière à chaque fois qu’il avançait.
— Ouah !!!!!!! Quel engin !!!!!!!! Cette fois il y est.Maman transpirait, tremblait, frottant ses seins sur le tapis rugueux.— Punaise comme il est fort et quelle queue ! Le délire complet. — Calme toi Maman ! Cette fois il est bien en toi.— Tu as raison ma chérie, me répondit elle me tendant une main pour que je la garde contre moi. Tu te rends compte ce que j’aurais manqué si je n’étais restée. J’en reviens pas comme elle est longue, j’ai l’impression qu’il va transpercer l’utérus.— Oui, ça aurait été dommage. Je savais que tu en crevais d’envie depuis le premier jour où tu l’as vu. Tu es heureuse ? — Et comment que je le suis! Et toi combien de fois t’es tu faite saillir par lui?— Je ne sais plus Maman, deux fois, trois fois. D’ailleurs une fois tu as bien failli nous surprendre alors qu’il était encore en moi et à comme il m’avait prise, il ne lui aurait pas été facile de se retirer crois moi. Il me tenait bien tu sais.Elle ne me répondit pas, trop occupée par ce qui se passait dans son ventre. Le visage déformé par le plaisir, et le feulement qui sortit de sa gorge, me fit comprendre que la jouissance, sa jouissance arrivait au galop. La tête posée sur le sol, elle remontât les reins s’ouvrant encore plus à la queue qui la labourait. La jouissance était là, alors me couchant sous elle, je posais comme j’aimais tant le faire, ma langue sur son bouton gonflé de sang. Les coups de reins qu’elle donnait, entrainaient son amant, son ventre aspirant la tige gonflée au plus profond d’elle même, alors, elle se mit à jouir, en criant mon nom.— C’était bon ? lui demandais je après m’être relevée, lui léchant la bave qui avait coulé au coin de sa bouche.— Trop bon, me répondit elle en cherchant son souffle. J’en ai encore envie et espère qu’il ne va pas se dégonfler de suite et que je vais restée accroché longtemps à lui.— Pour ça, il va te tenir longtemps crois moi. Fais moi confiance, j’en parle en connaissance de cause.Elle se tortillait, remuait les fesses, son sexe comme une ventouse l’attirant en elle.— Quand tu me disais qu’il n’aurait pu s’en aller, ça veut bien dire ce que je pense ? me demanda-t-elle entre deux hoquets.— Oui maman ! Comme toi avec Mambo, je le sais pour t’avoir vue et revue, j’aime me faire prendre entre les reins— Mais il a du te massacrer avec son engin !— Je me demande et me demande toujours, comment ma minette a-t-elle pu supporter un tel engin, alors la première fois qu’il m’a prise comme ça, j’ai qu’il m’avait tout arraché quand il est ressorti. J’ai mis deux jours à m’en remettre, à ne plus oser m’asseoir tellement que j’avais la petit trou en feu.— Tiens le, me demanda-t-elle ! Empêche le de se retourner, je veux le sentir sur moi. Je veux sentir ses boules frotter mes grosses lèvres. Ce que je fis, me mettant derrière lui en posant mes mains sur son train arrière. Oko ne bougeait plus, et si ce n’avait été les soubresauts de sa queue m’indiquant qu’il était entrain d’asperger le vagin de Maman, j’aurais pu penser qu’il se reposait, le ventre posé sur le dos de Maman. Je lui parlais, elle me répondait tandis que je glissais une main entre les pattes d’Oko et que mes doigts caressaient ses grandes lèvres, d’où sortait tant bien que mal, le trop plein de sperme qu’il déversait en elle. — Hummmmmm !!!!!! Tes doigts sur mon clito, c’est un vrai régal mon amour. Je savais qu’elle en appréciait les choses, autant par la grosse queue qui la remplissait, que par mes doigts qui la caressaient— Il te rempli bien dis moi ? je sens son nœud au travers de ta minette.— Il est vraiment génial, c’est sublime ! Franchement ma chérie, tu as vraiment bien fait de le récupérer, il me bourre comme seul un vrai mâle sait le faire.— J’aimerais bien me faire prendre par celui qui défonce Monique! lui dis je en regardant le Danois. Pas toi ?Tournant toutes les deux la tête du côté de Monique, nous pouvions pouvait voir le monstre, collé cul à cul à sa chienne. Monique, la main glissée en dessous de son ventre, faisait son possible pour qu’il ne s’arrachât de son ventre se laissant tirer au bon gré de son amant. — Alors Maman ! — Tu te rends compte des salopes que nous sommes, moi en particulier ! Je suis pleine d’une grosse queue, et je pense déjà à l’autre. — Qu’en penses tu ?— Et comment que j’en ai envie. Toi qui avais commencé la chose avec lui, tu as déjà pu en apprécier l’engin ! — Oh oui !!!!!!!! Dommage que vous soyez arrivées trop tôt, son nœud venait juste de commencer à grossir et je t’assure qu’il était déjà gros.— Je regrette pour toi ma chérie, mais si ça n’avait été que de moi, je l’aurais laissé continuer. Tu ne m’en veux pas j’espère ?— Non Maman, j’espère seulement que nous serons toutes les deux le jour où ça arrivera.— Quand je pense à tout le « chichi » qu’elle nous avait fait cette salope ! « Non je ne veux pas ! Non je n’ose pas, pas encore &,&,&,& ». Voilà ce qu’elle nous disait à chaque fois que nous retrouvions, et regarde là à présent cette chienne, elle ne voudrait certainement plus donner sa place.A voir le plaisir qui embellissait son visage, le sourire radieux que dessinait sa bouche, j’étais certaine moi aussi qu’à aucun moment elle ne voudrait le lacher, trop heureuse de se faire défoncer par son amant!— Tu crois qu’elle regrette ?— Regretter elle ! Mon dieu non ! Je n’ose même pas penser à l’engin qu’elle a dans le ventre. Hummmmmmmmmmmmm !!!!!!!!!!!!!!!!!!Elle ne me dit plus rien trop occupée à jouir sur la bitte d’Oko et le corps agité de spasmes, elle hurla sa jouissance à qui voulut l’entendre.J’étais heureuse pour elle, ne regrettant en rien de lui avoir laissé ma place. Je le lui devais bien après tout le bonheur qu’elle m’avait donné et surtout de m’avoir laissé libre cours à mes fantasmes. Fantasmes qui n’en étaient plus d’ailleurs.Glissant un œil sur Aurélie, je compris aux rictus qu’elle avait sur ses lèvres, qu’elle aussi éprouvait beaucoup de plaisir à sentir la queue bien dure de Mambo dans son ventre. — Tu permets Maman que j’aille retrouver Aurélie.— Vas mon amour. Je sais qu’elle appréciera. Mon dieu comme c’est bon !!!!!!!! laisse moi jouir pleinement de lui.Me glissant derrière Aurélie, je posais mes mains sur ses deux seins qui pointaient fièrement vers le ciel, et glissais ma langue sur celle de Mambo qui pendait en bavant sur la poitrine de ma bien aimée.— Il te baise bien mon chien ? Il te rempli bien ?— Il est trop « top ». J’ai l’impression que sa « queue » mesure plus de vingt centimètres.— Elle les fait crois moi. Vingt deux centimètres exactement, pour l’avoir mesurée après qu’il m’eut baisée la première fois.— Tu as du te régaler dis donc et t’as du le sentir la première fois qu’il te la mise dans la chatte.— Dans la chatte ! C’est rien mon amour, imagine quand elle était entre mes reins ! Et tout ça grâce à toi ma chérie, lui dis je avant que ma bouche ne se colla à la sienne. Je me rappelle de toi prise avec le tien ! Tu te rappelles la tête que je faisais quand je vous ai surpris tous les deux. C’est bien pour toi que j’ai osé le faire la première fois et encore maintenant, je me demande si tu ne l’avais pas fait intentionnellement pour me perturber, sachant que je venais chez toi !— Tu en as fait du chemin depuis ce temps. Tu le regrettes? — Non !!!!!!!!!!!!! Je t’en suis et t’en serais toujours reconnaissante. Grâce à toi, j’ai connu et eu des moments inoubliables, et surtout, j’ai pu découvrir, aimer et me faire aimer par Maman, tel que tu me l’avais conseillé. Je t’aime Aurélie. Vois tu ! Si tu m’abandonnais, j’en mourrais.— Tu es folle de dire ça. Je t’aimerais toujours ma chérie et puis, nous sommes tellement bien toutes les quatre tu ne trouves pas ?— Toutes les cinq maintenant : tu oublies Monique !— C’est vrai, elle aussi fait partie de notre clan maintenant. Je ne lui répondis pas, trop occupée que j’étais à lui titiller les pointes auréolées de ses seins— Oui continues, je vais jouir !— Tu veux que je te lèche la chatte— Oh oui !Je posais les fesses sur le tapis, m’allongeais, glissant ma tête entre les cuisses de Mambo. Par cette position prise, je pouvais voir ses boules tressauter à chaque fois que sa verge balançait son sperme contre les parois vaginales d’Aurélie. Comme pour Maman, le trop plein de jus gouttait de son sexe distendu sur ma langue, où je retrouvais en les dégustant, l’odeur musquée de mon amant. Je la lapais, essayant d’immiscer ma langue dans l’espace restreint qu’il y avait entre la tige de Mambo et le périnée d’Aurélie et le contact de ma langue sur ce point sensible, sonna le départ d’un plaisir intense. Les spasmes qui parcouraient son corps, me firent comprendre que la jouissance n’était pas loin— Je t’en prie, continues, l’entendis je hurler.Je fis glisser ma langue entre ses fesses trempées du sperme et délicatement, je posais ma langue sur son anus offert. Il ne lui en fallut pas plus, pour que son œillet s’ouvrit à son contact et que ma langue progressant dans ses entrailles ne la fisse jouir sans aucune retenue. Tout comme sa Mère, après que je lui ai eu fait subir le même traitement la nuit passée, les épaules posées sur le sofa, le corps arqué à l’extrême, elle cria si fort, que son sexe rejeta l’engin de Mambo, crachant par la même occasion un flot de sperme de son ventre dilaté. Ma bouche gourmande de tout ce qui trainait, avala au passage le mandrin qui se balançait et pendait sous le ventre de mon chien, avalant au passage des jets de sperme que sa queue continuait à cracher. Je me délectais de son nectar, tout en mordillant le clito d’Aurélie jusqu’à ce qu’enfin elle me jouisse dans la bouche. S’allongeant auprès de moi, elle prit la queue de son amant pour la diriger dans ma bouche grande ouverte. Repue heureuse d’avoir donné autant de plaisir à ma chérie, je me recroquevillais contre elle, collant mes fesses contre sa chatte trempée. Nathalie et Maman venaient d’en finir avec leurs amants respectifs, alors que Monique était toujours collée au danois. Elles s’étaient rapprochées l’une de l’autre, changeant mutuellement de partenaire après qu’ils se soient retirés de leur ventre. Nathalie avalait la pine d’Oko jusqu’à s’en étouffer, et les larmes qui coulaient le long de ses joues me firent comprendre qu’elle était à la limite de l’asphyxie, tandis que Maman continuait de se défoncer la chatte avec celle de Cartouche. Elles étaient là à se faire des commentaires sur leur prouesse respective, lorsque le cri que poussa Monique, quand le Danois voulu se détacher d’elle, nous glaça le sang.Sa main essayant de le retenir en elle, les larmes qui coulaient de ses yeux, ce cri qui sortait de sa gorge nous firent ressentir la douleur qu’elle avait en elle. Nous avions toutes ressenti cette angoisse du mâle voulant s’arracher à nous, nous avions toutes transpirées, criées, et regardant le mastodonte la tirer à lui, nous comprenions toutes que le nœud qui la nouait à lui, n’avait rien à voir avec celui de nos amants respectifs. — S’il vous plait ! Aidez moi, il va m’arracher le ventre.Le spectacle de ces deux corps collés l’un à l’autre était d’une beauté intense et si n’était la douleur que Monique devait éprouver, nous aurions pu dire qu’il était grandiose. Toutes, nous l’avions enviée quand nous avions vue son engin s’enfoncer dans son ventre, et maintenant nous éprouvions de la peine pour cette femme écartelée par le sexe monstrueux de l’animal. Il tirait si fort, qu’en regardant le reste de son sexe étiré au maxi, nous aurions pu penser qu’il allait se déchirer de lui.Le danois tirait, le sexe déformé de Monique s’ouvrait inexorablement, laissant apercevoir le nœud qui s’offrait à nos regards en sortant lentement. La vue de cet engin me fit tout d’abord trembler de peur, certaine qu’il m’aurait estropiée et puis, s’il avait eu le temps de me posséder à fond sur le trottoir, mais l’enjeu en aurait valu la chandelle, vu les atouts qu’il laissait entrevoir, L’enjeu en aurait valu la chandelle, vu les atouts qu’il laissait entrevoir et j’avais de plus en plus de regret, en m’imaginant à la place de MoniqueNathalie eu juste le temps de s’approcher pour lui porter secours, qu’il se détacha définitivement d’elle, arrachant sa queue de son ventre dans un grand « floc » aussi hideux à entendre, que beau à regarder. L’engin qui sortait, entrainant avec lui une véritable cascade de sperme et qui se mit à pendre sous lui, nous laissa toutes les quatre sans voix, tellement nous fûmes surprises par l’énormité de la chose. Le Danois était haut sur pattes, et il n’en fallait d’un rien, que le bout de sa bitte ne touchât le tapis, se balançant tel un métronome, et en continuant à cracher les salves de son sperme bouillant. Elle continuait à grossir, sa boule était si grosse, qu’on eu put penser que les veines violettes qui le recouvraient allaient éclater. Jamais nous n’aurions pu croire (enfin moi je n’en avais jamais vu de tel) qu’un chien puisse avoir en sexe aussi grand et aussi gros et si nous n’avions été présentes, nous aurions toutes dit en chœur que « ça ne pouvait exister ».Pensive autant qu’admirative, envers celle qui se lamentait sur le tapis, je me disais que ce n’était pas encore demain que je pourrais le prendre, même si mon vagin avait accepté celui d’Oko sans trop de difficulté. Celui qui continuait à se déverser devant mes yeux était vraiment très gros, et il me faudrait demander à Nathalie qu’elle me prête ses jouets, surtout ceux qu’elle m’avait fait tant d’éloges et surtout me faire aider par Maman, le jour où j’aurais décidé de me donner à lui. Maman toute comme moi, était fascinée par un si bel engin, et aux tremblements de ses mains, je savais que comme moi, elle en crevait d’envie. Nos yeux se croisèrent, et par le regard et la mimique que nous nous fîmes, je sus qu’elle serait d’accord pour que nous l’essayâmes au plus vite et quand je pensais « plus vite », je me doutais qu’elle n’attendrait pas la fin de la semaine pour le faire. Son sexe se balançait devant nous, me laissant rêveuse autant qu’envieuse de ce qu’il lui avait fait subir et le ventre en feu, mon sexe dégoulinant sur les doigts d’Aurélie, je me mis à haïr Maman et Nathalie. Je les haïssais pour être arrivées avant qu’il ne soit aussi gros dans mon vagin. Il m’aurait peut être blessée, tuée, mais ça aurait valu le coup d’essayer quand même. J’avais la rage de ne l’avoir goutté. Aidée d’Aurélie, Nathalie caressait Monique espérant que ce qu’elle lui prodiguait suffirait à la soulager. Son sexe béant n’arrivait pas à se refermer, et les filets de sang qui s’en échappaient, nous firent comprendre que la saillie n’avait pas été aussi aisée que nous l’avions pensée. Les yeux remplis de larmes, et malgré la douleur qui devait lui tenailler le ventre, elle s’allongea près de son amant tendant les mains vers l’engin qui continuait à cracher, l’avalant jusqu’à la garde, acceptant malgré tout, les mains de la mère et la fille sur son corps endolori.— Puis je quand même te poser une question ? lui demanda-t-elle alors qu’elle venait de ressortir la queue de sa bouche— Je sais ce que tu vas me demander, lui dit elle, recrachant les filets de foutre. Tu veux savoir s’il m’a faite jouir ?— Pardonne moi si je t’ai forcée de le faire ! Oui je voudrais savoir. J’espère que tu ne nous en veux pas.— Et bien oui il m’a faite jouir ! Oui j’ai aimé et non je ne vous en veux pas. Malgré la douleur que j’ai eue quand il s’est détaché de moi, il m’a donné beaucoup de plaisir et à lui aussi je lui pardonne. Maintenant, laissez moi, j’ai trop envie de lui donner du plaisir, leur dit elle en se jetant sur la hampe avec gourmandise. Comme une névrosée, la bouche ouverte, elle avala la tige rougit à vif, déglutissant avec passion le sperme qu’il continuait à cracher en tapissant le fond de sa gorge. Elle le pompait comme j’aimais le faire avec mes deux autres amants, titillant le méat canin de la pointe de sa langue, faisant courir ses lèvres le long de la tige violacée, le ravalant de nouveau en replongent la tête sur le sexe dur et brillant de salive. - Une de vous veux-t-elle le goutter où se la mettre dans sa chatte? Nous demanda-t-elle !Elle tenait le nœud de ses mains, et un filet de salive reliait sa bouche à la tige sur-dimensionnée du Danois.Comme une affamée, Aurélie se jetât au sol, trop heureuse de pouvoir enfin goutter à cette délicieuse gâterie et à peine fut elle allongée, que sa bouche gourmande avala le Priape jusqu’à ce que le bout touchât sa glotte. Je l’avais déjà vue sucer le sexe de son chien, mais celui qu’elle avait dans la gorge était tellement plus gros et tellement plus grand, qu’elle s’en voyait pour l’avaler. Elle s’efforçait de le faire disparaître dans sa bouche, alors qu’une bonne partie restait au dehors. Elle le pompait avec une telle force, que parfois des spasmes de nausée l’obligeaient à la régurgiter, recrachant la salive mélangée au sperme canin. Les yeux remplis de larmes, le visage en sueur, elle se retourna vers moi et me dit :— Viens toi, essaies de le prendre ! Je n’en peux plus, il est vraiment trop gros.
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