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Charlène, première expérience

Chapitre 4

Charlène dans le poteau noir

Zoophilie
Effectivement je n’en ai avais pas  fini avec Marcel.
J’aurais du refuser son invitation et m’en tenir là, en me foutant des convenances et des conséquences. Mais je ne l’ai pas fait par manque de courage sans doute.
Depuis l’épisode de la dernière soirée, mon voisin vicelard n’en finit plus de me harceler. Il passe me voir à tout bout de champ, sous les prétextes les plus divers. Il lui manque un outil, il veut savoir si le facteur est passé. C’est d’un lourd!
Le jeudi matin, le revoilà, l’ai ravi.
«J’ai une bonne nouvelle pour toi, voisine. Je vais passer le week-end dans l’Aveyron chez un cousin à moi. Et tu sais quoi? Je t’invite. Tu verras c’est super!»
C’est à peu près la dernière chose que je souhaitais, mais comment faire? Je prétexte des courses importantes, un rendez-vous chez le coiffeur, la visite d’un ami. Rien ne marche. Le vieux salopard ne veut rien savoir.Et donc le samedi matin, nous voilà partis tous deux dans sa Kangoo brinquebalante. J’ai droit à toutes les platitudes possibles, à l’ouverture de la chasse : c’est pour demain, aux joies de la campagne dont il est originaire...
Deux heures plus tard  nous sommes rendus. La ferme de Léon, le fameux cousin, étend ses 12 hectares sur le plateau du Levézou entre Millau et Rodez. Une bicoque assez ordinaire, collée à un hangar forcément agricole et une écurie, car le type élève des chevaux anglo-arabes.
Léon a dans les soixante dix ans. J’apprends que c’est le fils de la sœur à Marcel, ce qui ne m’avance pas à grand chose. C’est un taiseux avec des yeux bleus et vifs, la casquette rivée sur le crâne.
La pièce principale dans laquelle nous rentrons est ornée de différents trophées, chevreuils, sangliers. Un râtelier de fusils confirme, si besoin, l’intérêt du paysan pour l’art cynégétique. Une immense cheminée de granit occupe tout un pas de mur. Elle est tellement large que l’on peut s’asseoir  à l’intérieur du manteau de part et d’autre du foyer.
Il y a dans un mur mitoyen un lit alcôve, fermé par deux panneaux de bois, autrefois  destiné à accueillir les habitants au plus froid de l’hiver. Car même si l’on est géographiquement dans le sud, les hivers sont rudes, presque autant que les autochtones. Ce sera ma couche pour la nu
Les deux cousins ne se voient guère et leurs retrouvailles semblent un instant égailler leurs visages inexpressifs. Je suis invitée à partager un rouge limé avec eux. C’est de la piquette additionnée de limonade. Comme il fait encore chaud, c’est disons supportable.
S’ensuit un repas local fort protéiné avec une entrée à base de charcuteries locales, ma foi fort bonnes, puis un gigot d’agneau du Larzac avec légumes de saison, ensuite cantal et roquefort et finalement tourte aux pommes. Je suis gavée quand arrivent le café et l’eau de vie de marc.
Pour digérer Léon nous propose de visiter sa propriété.
Rien que de banal, sauf l’écurie. Le gars a des chevaux magnifiques. Il tire son revenu principal de cette activité et il est très fier de nous présenter chacun de ses canassons. Il y  en une douzaine dont cinq étalons dont Zéfir, fier alezan d’un noir superbe.
Au sortir de l’écurie j’avise un espèce d’échafaudage de bois et je demande à Léon ce que c’est. Il me répond qu’il s’agit d’un ancien travail à ferrer, un carcan destiné à contenir les chevaux les plus fougueux pendant l’opération de ferrage. Il me propose de me montrer comment cela fonctionne.
Je jouerai le rôle du cheval.
Je me glisse à l’intérieur de la construction et m’arrête contre une poutre qui barre le passage à hauteur de mon ventre. Léon me fait me pencher en avant et attache mes poignets à chacune des rambardes qui s’étendent sur tout la longueur du carcan. Marcel, quant à lui passe une corde autour de chacune de mes chevilles et les lient également à la rambarde.
Au total je suis pliée à 90°, mon ventre reposant sur la poutre, les jambes complètement écartées. Marcel en profite pour dégrafer ma jupe et arracher ma culotte. Il me place un mors dans la bouche et en referme aussitôt la boucle autour de mon cou.
Cul nu, bâillonnée, j’attends la suite qui ne tarde pas.
Léon est allé chercher Zéfir pour lui faire soi-disant prendre un peu d’exercice. Il tire le cheval jusqu’au bâti de bois, puis le pousse à l’intérieur. Il se débrouille pour que l’étalon m’enjambe et  je sens maintenant le bas ventre de l’animal butter contre mes fesses.
Je me retourne, le paysan est en train de besogner sa bête. Le gland du cheval sort déjà de plusieurs centimètres de son fourreau. Curiosité: le sexe est complètement noir. Léon sait s’y prendre et bientôt c’est l’équivalent d’un avant-bras humain qui baille sous le ventre  du meilleur ami de la femme.
Marcel a pris les choses en main et frotte l’énorme gland de la bête contre ma chatte. Je sens  du  liquide séminal s’écouler en abondance entre mes fesses. Je me mets à songer que la nature est bien faite car je ne sais comment mon sexe aurait pu ingurgiter, à sec, pareil braquemart.
L’animal est nerveux et s’ébroue en permanence.
Ouch!
Sans prévenir d’un seul coup de rein, le bestiau m’envahit. Il m’épingle de son dard disproportionné comme un vulgaire papillon pris entre les doigts d’un entomologiste. Je me suis déjà fait fister plusieurs fois dans le passé mais là c’est incomparable. Le machin a encore grossi. S’il continue il va me déchirer le vagin. L’animal butte à chaque coup de gourdin contre mon utérus. Heureusement la consistance est douce. Petit à petit je m’habitue à l’énorme pénétration et j’y vais même de quelques soigneux coups de rein, histoire de participer modestement à l’action
Les deux cousins encouragent Zéfir qui n’en a manifestement pas besoin. Le coït va durer une grosse demi heure, j’ai le fondement en marmelade quand la bestiole se décide à lâcher sa purée. Purée est le terme qui convient le mieux vu l’épaisseur et le volume de liquide chaud que Zéfir balance dans mon ventre.
Petit à petit l’animal débande, consentant ainsi à me rendre ma liberté. Je reprends lentement mon souffle et relève la tête. J’ai du mal à me relever et mes premiers pas sont assez hésitants. Le sperme du cheval coule à flots le long de mes jambes. Heureusement Spirou, le chien de la ferme est là. Il a tôt fait, à grands coups de langue de laper cette glu monumentale. Je l’en remercie d’un petite tape amicale.
Au loin je peux apercevoir le viaduc de Millau, dentelle de béton et d’acier suspendue au dessus de la vallée du Tarn. Le soleil est en train de se coucher au travers des haubans. Je me dis que cet endroit est vraiment charmant et que l’on y fait des découvertes surprenantes.
Je fais savoir à mes hôtes que j’y reviendrai avec plaisir.
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