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Charlène, première expérience

Chapitre 5

cousin(e), cousine

Zoophilie
Je profite gentiment de ma retraite au Cap. Mon voisin salace ne s’est guère manifesté depuis notre sortie en Auvergne. Tout au plus s’est-il invité pour un apéro surprise un soir, m’indiquant à l’occasion qu’il me réservait, non pas un chien de sa chienne comme on pourrait s’y attendre ici, mais une surprise pour plus tard. Il est ensuite parti je ne sais où, toujours est-il que les volets de sa villa sont clos depuis une quinzaine.
Le téléphone sonne. C’est  Alice, ma vieille complice de cousine, avec qui j’ai, jadis, fait les quatre cent coups. Quand je dis vieille j’exagère, car elle est en fait  ma cadette de plus de 10 ans. Cela fait un moment que je ne l’ai pas vue et nous échangeons longuement. Ma cousine en a assez de sa vie parisienne et voudrait faire un break. Trop de boulot, plus des histoires de cœur un peu tordues...
Bref, je l’informe qu’elle est toujours la bienvenue quand elle veut. Elle a une semaine devant elle et accepte aussi sec mon invitation. Le lendemain à 16h30, je vais la récupérer à la gare d’Agde. Elle est déjà sur le quai quand j’arrive, on s’embrasse longuement. Nous sommes ravies de nous retrouver. Je la dévisage, Alice n’a pas vraiment changé. Brune, cheveux au carré, pulpeuse, elle a quelque chose d’Anne Sinclair quand celle-ci était plus jeune.
Je lui demande quel âge elle a. Ce à quoi elle me répond qu’elle va fêter ses 53 ans demain. Chic, une fête en perspective!
En chemin nous échangeons dans la voiture sur nos familles respectives, nos pères, décédés tous les deux étaient frères, le sien plus jeune que le mien. Comme moi elle n’a pas d’enfants et jouit de la vie comme bon lui semble. Nous nous attardons un peu sur notre vie estudiantine  où nous avons partagé le même logement et bien plus.
Nos relations ne se limitaient pas alors aux garçons, même s’ils prenaient pas mal de place dans notre vie de jeunes femmes, il nous arrivait aussi à l’occasion de sombrer dans des jeux saphiques entre nous.  Ma cousine a toujours eu un certain penchant pour les femmes et elle m’avoue que cela n’a pas changé. C’est d’ailleurs ce goût pour son propre sexe qui me vaut de l’accueillir. Son dernier amant en date n’a pas supporté de la trouver en compagnie d’une jolie donzelle qui aurait pu être sa fille.
Du coup elle a eu envie de changer d’air et la voilà.
Nous posons ses affaires chez moi et mangeons un morceau sur le pouce. Puis comme Alice n’est jamais venue au Cap et qu’il fait encore beau, je décide l’emmener à la «Baie des cochons », la célèbre plage naturiste de la station balnéaire.
Pas plutôt installées sur nos serviettes, les premiers voyeurs rappliquent tels des rémoras à la vue d’un grand blanc. Plusieurs types bedonnants s’invitent en notre compagnie. Certains n’hésitent pas à tripoter leur sexe en nous matant. J’explique à Alice que c’est la coutume du lieu, les habitués se partageant les rôles  entre acteurs et spectateurs. On est en automne, la foule est partie mais il demeure toujours quelques irréductibles.
Ma cousine qui n’a pas froid aux yeux décide de leur en donner pour leur argent. Elle prend de la crème solaire, bien inutile vu le temps, et s’en asperge le corps à grandes giclées. Elle masse ensuite vigoureusement son épiderme en insistant sur ses parties charnues. Quand elle en a fini, elle m’entreprend s’assurant bien que mon buste, mes cuisses et mes fesses seront ainsi protégées des dangereux rayons de septembre.
Nous plantons là les types et partons nous balader bras dessus, bras dessous, le long de l’onde claire.  Certains nous suivent. Nous filons alors dans les dunes où, après de longues embrassades, ma cousine me lèche la chatte avant de me doigter. Je retrouve là tout son savoir faire d’antan, que l’expérience a encore perfectionné.
Nous rions comme deux gamines et mettons un terme à cette exhibition, car il commence à faire un peu frais. Nous rentrons faire quelques courses pour les jours qui viennent et dînons d’un savoureux plat de fruits de mer. Quand nous sommes rendues au dessert, un peu pompette je me mets à raconter mon histoire récente à Alice.
Elle n’en croit pas ses oreilles. Elle n’avait pas idée qu’un chenil se soit spécialisé dans le prêt d’escortdogs. Je lui décris mes deux expériences avec le pitbull et le doberman. Elle est ébahie. Ça la fait surtout rire! Elle me questionne sur les performances des bestioles et je lui avoue que c’est sans commune mesure avec ce que peut proposer un bipède.

Je vois que son intérêt pour la chose grandit au fur et à mesure que je lui conte mes exploits canins. A la fin de mon histoire je lui propose tout de go de lui offrir un chien pour son anniversaire. Elle fait mine de se rétracter, mais comme je la connais bien je sais qu’elle va accepter. Je n’ai pas à insister, elle me lance un « Ma foi, pourquoi pas?» qui en dit long sur ses intentions.
Nous passons une bonne nuit, moi du moins, car ma cousine m’avoue au déjeuner que l’idée de coucher avec un clebs, comme elle dit, l’a tarabustée au point qu’elle a dû se masturber pour trouver le sommeil. Je décide de l’emmener  aussi sec à « Escortdog Service » choisir son futur compagnon de jeu.
La patronne me reconnaît et me salue amicalement. Nous devisons quelques instants puis je lui demande ce qu’elle a de disponible pour ce soir. Le pitbull est pris mais le dogue allemand, Sultan, est disponible, car la cliente qui devait le prendre s’est désistée. Va pour le grand danois. Quand ma cousine le découvre dans sa cage, elle a un petit mouvement de recul et me jette un coup d’œil, légèrement inquiète.
Je lui fais signe que cela va aller, je caresse le chien qui semble me reconnaître et remue la queue (Je parle de l’appendice caudal). Le regard  de ma cousine affiche à nouveau toute sa confiance dans mon choix. Le patron nous emmènera l’animal vers 18 heures comme d’habitude, ce qui nous laisse quelques heures que nous occupons à des choses et d’autres.
A l’heure dite, le maître chien arrive en compagnie de Sultan. Je les fait rentrer, prend possession de mon nouveau pensionnaire et remercie son maître. Je connais déjà la procédure donc tout va assez vite. Alice s’approche précautionneusement de l’animal et lui caresse la croupe. Je lui explique que le chien est dressé et totalement pacifique.
Pour le lui prouver, je passe une main sous le ventre de l’animal et extrait rapidement le glande de l’étui pénien.Le sexe de l’animal, habitué à semblable caresse se tend instantanément. Je fais admirer à ma cousine ce qui l’attend, elle me regarde avec des yeux ronds. Je comprend immédiatement à son air dubitatif  qu’elle se pose une question de taille ou en tout cas de concordance des sexes.
Je relâche l’animal en le flattant puis lui sert sa pâtée qu’il engloutit à toute allure. Il se couche  ensuite s’accordant un repos pas trop mérité. Nous sirotons une bouteille de Roederer Cristal, mon champagne favori. On l’appelle ainsi car le Tsar de Russie, qui l’adorait aussi, avait demandé à son fournisseur de lui livrer le breuvage dans des flasques de cristal. Respectant en partie cette tradition, l’éleveur a conservé une bouteille, certes en verre, mais blanche et à fond plat.
Nous avons copieusement  bu et mangé. J’observe Alice qui, elle, observe le chien. Il est temps de passer à l’action...
Je me lève et me dirige vers Sultan, faisant signe à ma cousine de me suivre. Nous ne portons l’une et l’autre qu’un pagne tahitien, noué à l’épaule, au cas ou quelqu’un nous dérangerait. Je ferme le portail du jardin, nous voilà tranquille. Alice attend auprès de Sultan, lui caressant le museau. L’animal, qui aime ça, rabat ses oreilles en arrière.
Je décide de m’occuper d’abord de ma cousine, après tout c’est quand même son anniversaire! Je la débarrasse de son pagne et la fait s’agenouiller puis mettre  à quatre pattes sur la pelouse du jardin. Je me place derrière elle, écarte ses cuisses et commence à lécher son abricot touffu, elle se met à glousser de contentement et prend ses fesses de ses mains, me facilitant ainsi le passage vers son intimité.
Elle commence à mouiller dans la seconde, je continue à la titiller de ma langue puis lui enfonce mon index dans la chatte. Elle se trémousse un peu, prenant ses aises sur mon doigt. Je siffle le dogue qui se joint à nous aussitôt. Il colle son flanc contre mes jambes. De ma main libre je commence à tripoter son sexe tandis que je fouraille toujours Alice de ma dextre
Je connais le fonctionnement de cet animal, pour l’avoir éprouvé moi-même. Je n’attends donc pas qu’il soit en complète érection, car introduire alors son sexe dans celui de ma cousine serait un challenge. J’ai arrêté de la branler et m’active désormais à guider le gland du chien vers son entrecuisse bien graissée. Le chien à l’habitude et s’installe à califourchon sur elle. Quelques coups de reins font le reste.
Alice jouit déjà, poussant des « Ah » et des « Oh »,  tandis que le solide braquemart de Sultan s’installe en elle. N’ayant plus la moindre utilité dans l’instant, je visionne le nœud pénien grossir à la limite interne des grandes lèvres de la fieffée salope qui s’agite en cadence. Quand la base pénienne de Sultan a atteint son apogée, le chien éjacule assez rapidement, arrachant de profonds soupirs à sa partenaire du moment. Il se retourne ensuite et les deux tourtereaux se retrouvent cul contre cul, noués pour un bon moment.
Je reprend alors du service, ne me satisfaisant pas des coups de reins désordonnées que ma cousine donne dans la croupe du chien pour augmenter sa jouissance. Je lui saisis les mamelles et les tiraille méchamment. Elle crie sous ce geste pervers. Je continue à maltraiter ses tétons d’une main tandis que de l’autre je masturbe vivement son petit bourgeon.
Ça suffit à la faire partir définitivement en vrille. Elle se met à haleter puis à pousser de petits cris stridents, tant et si bien que je suis obligée de la bâillonner par moments de mes doigts pour éviter que d’éventuels voisins ne l’entendent. Son bassin part dans un rodéo infernal tandis que je lui donne quelques claques bien senties sur les fesses et le buste. J’éprouve quelque plaisir à gifler ses grosses mamelles pendantes, sans doute réminiscence d’un temps ancien où, moins bien lotie qu’elle, j’enviais ses protubérances mammaires.
Peu à peu l’étreinte du chien se fait moins envahissante et tout à coup l’animal décule sans prévenir. Le sexe d’Alice déglutit alors des flots de semence  qui se répandent aussitôt sur ses cuisses et ses jambes. Elle tremble de tout son corps, se crispe sous une dernière rafale d’orgasmes, avant  de s’allonger à plat dos, vaincue, dans l’herbe humide.
La soirée commence à peine. Un autre épisode  montrera que Sultan comme Alice ont des ressources naturelles qui dépassent les performances du commun des mortels...
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