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La chasse aux cailloux initiatique

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ce jour là, j’ai prévu d’aller chercher des morceaux de silex et de craie au pied de la falaise. Je gare donc la voiture sur un parking qui jouxte un sentier longeant l’affleurement. Après être descendu et avoir verrouillé les portières, je m’engage en direction du chemin et m’enfonce tranquillement entre des buissons. C’est la première fois que je viens ici et je constate que je ne suis pas le seul à m’y aventurer. Un monsieur âgé d’une cinquantaine d’années semble flâner aussi en regardant parfois en direction de la mer. Tandis que je m’approche de lui il tourne légèrement le regard dans ma direction et je le dépasse en lui adressant un sourire poli. J’ai déjà parcouru plusieurs dizaines de mètres en essayant de trouver des pierres au bord du chemin terreux. Celui-ci présente des ramifications qui s’en éloignent de part et d’autre à travers la végétation. Curieux, j’en emprunte une sur la droite mais elle se termine vite en cul-de-sac. Après une courte observation du lieu je fais donc demi-tour pour retourner sur l’axe principal. Lorsque j’y suis de nouveau, je continue ma route dans la même direction, en m’éloignant d’avantage du parking et en explorant quelques axes secondaires à droite, à gauche. Un moment, un autre homme sort à une dizaine de mètres devant moi de l’un de ces débuts de sentier. Cela me paraît étrange car je ne crois pas qu’il cherche des cailloux, lui. Comme il m’observe, je presse un peu la marche, essayant de rester naturel, les mains dans les poches et lui disant bonjour lorsque j’arrive à sa hauteur. Il me répond également et je m’en éloigne sans retourner la tête. Après quelques méandres entre les buissons, je jette un coup d’œil en arrière pour m’assurer que je ne le vois plus. Alors je ralenti pour reprendre ma quête de silex et de craie en errant. J’emprunte une percée sur la gauche quand j’aperçois un pierrier blanc typique, composé des minéraux convoités. Je m’en approche et découvre de bons échantillons ; alors je me penche en avant en me courbant pour les regarder de plus près et ramasser ceux qui me conviennent. Ainsi pendant quelques minutes, j’en compare plusieurs pour choisir les meilleurs. Quand je me relève avec le dos légèrement endolori, et quelques cailloux dans les mains, je découvre soudain une silhouette en retrait. En me tournant pour faire face, je reconnais le cinquantenaire que j’ai croisé à l’entrée du chemin, qui avait dû me suivre et qui s’approche. Comme je ne sais pas quoi dire je lui dis bonjour, ce à quoi il répond en ajoutant que c’est un coin sympa pour faire une ballade. Je lui explique alors que je suis venu ramasser du silex et de la craie. Lui me précise que l’on trouve ici du bon silex de construction. Comme il s’est arrêté juste à côté de moi, j’ajoute en balbutiant un peu que je n’étais pas au courant. Mais alors que j’ai à peine fini ma phrase, je sens sa main glisser entre mes cuisses et venir se poser au contact direct de mon pénis. La sensation du toucher m’électrise aussitôt et je lui attrape le poignet pour l’éloigner. Ayant compris ce qu’il cherche, je lui dis « non ». Alors, pas gêné, il me demande quand même si je veux qu’il me fasse une pipe. Derrière ses lunettes, son regard brille d’une lueur exaltée, comme s’il attend une friandise. Je lui répète « non » puis le contourne pour partir tandis qu’une vague d’émotions vient subrepticement me tirailler entre la colère et l’excitation. J’ai envie de le frapper avec le silex que j’ai dans le poing mais dans le même temps, mon sexe s’est durci et je me sens de plus en plus serré dans mon caleçon. Après avoir rebroussé une partie du chemin, j’ai envie de retourner le voir pour continuer le vice, c’est à dire le cogner ou lui demander de me sucer. Je tourne alors dans un autre enfoncement pour l’attendre. Mon cœur bat la chamade et le sang cogne aux tempes, ce qui me fait légèrement tourner la tête dans une sorte d’ivresse. Comme je ne sais pas trop comment justifier mon attitude, j’ai l’idée de feindre d’uriner jusqu’à ce qu’il me voit en passant. Pour plus de crédibilité, j’essaye de me forcer après avoir sorti mon sexe mais comme je bande trop, c’est impossible. Dans cette position de miction, je l’imagine arriver et me découvrir ainsi, de dos et la bite à la main. Sans nul doute, il lorgnerait mes petites fesses, certes moulées dans la toile du pantalon et qui ont dû l’exciter malgré moi. C’est la première fois que je ressens cette sensation d’exciter un homme. Je m’étais déjà inséré des doigts et quelques objets dans l’anus et cela m’avait procuré un certain plaisir mais je ne pensais pas qu’un jour j’aurai le feu aux fesses à ce point. Effectivement, à mesure des battements de l’excitation et en plus de bander je sens comme des vibrations au niveau de l’entrejambe provoquées par l’envie que le type s’intéresse à mon cul. J’aimerai qu’il me prenne comme une fille. J’aimerai qu’il me caresse encore et que ce soit moi qui le suce. J’aimerai m’agenouiller pour mettre sa bite dans ma bouche. Je l’exciterai jusqu’à me mettre en position pour qu’il m’encule. Pendant que je pense fiévreusement à tout cela, l’autre type que j’avais croisé arrive et je le vois passer derrière. Lui aussi m’a vu, il me regarde sans s’arrêter et disparaît. Par la suite, j’entends deux hommes échanger quelques mots que je n’entends pas bien mais je me doute qu’ils parlent de moi. Peu après, alors que je feins toujours d’uriner, les deux messieurs s’approchent enfin du cul-de-sac dans lequel je me suis réfugié. Je n’ose pas me retourner, préférant leur laisser le spectacle du tout jeune honteux que je suis qui mime d’uriner mais qui n’y arrive pas et qui semble en fait attendre quelque chose d’autre. Je les entends avancer vers moi et celui qui n’a pas de lunettes me demande si je trouve les cailloux que je cherche. Je lui réponds que j’en ai trouvé un ou deux et que ça va peut être suffire. Comme je leur tourne toujours le dos mais qu’aucun jet n’apparaît entre mes jambes écartées, il me demande s’ils sont en train de me déranger pendant que je pisse. Je leur réponds que là j’ai fini et je fais mine de m’égoutter. Comme leur présence m’intimide un peu mon érection a molli suffisamment pour pouvoir ranger mon pénis derrière la braguette. Tout en faisant, je fais attention à remuer un peu des hanches et à me cabrer ostensiblement puis je me retourne pour leur faire face. Celui qui m’a touché auparavant et qui a des lunettes a toujours ce regard obnubilé mais encore plus intense. L’autre qui n’a pas de lunettes transpire aussi le désir et il commence déjà à sortir sa queue. Je le regarde faire en fixant sont bas ventre. Ensuite, je m’approche du type à lunettes qui n’a pas bougé en lui disant « Je veux m’occuper de votre oiseau, monsieur. Je ne veux pas que vous me suciez mais je veux vous faire plaisir. Excusez moi pour tout à l’heure. » A la fin de cette phrase, je baisse la tête, m’agenouille à ses pieds et commence à explorer sa taille avec mes mains novices et tremblantes. Je me glisse sous son pull et sens son ventre chaud. Fébrilement, j’entreprends l’ouverture de sa ceinture, puis du bouton et de la braguette. Ainsi, j’ai accès à son slip à travers lequel on devine son phallus. Après avoir tiré sur le pantalon pour le faire descendre, je caresse doucement son sexe qui n’est pas encore vraiment en érection. Je me surprends aussi à le lécher au niveau de la bosse moelleuse formée par le slip. Son odeur délicieuse laisse un goût charnel. Je le caresse encore fébrilement en prenant plaisir à toucher le tissu chauffé par ses parties génitales. A ce moment là, un groupe de promeneurs qui passe en discutant nous remarque, ce qui a pour effet de faire planer parmi eux un silence choqué. J’essaye de cacher mon visage en espérant ne pas les connaître. Malgré la soudaine décharge d’adrénaline, je reprends vite mon rôle en attrapant l’élastique du slip pour le faire glisser délicatement vers le bas, le long des cuisses de celui que je dois contenter. Sitôt libéré de son entrave, son pénis déployé commence à pointer vers mon visage. C’est la première fois que je rentre aussi près dans l’intimité d’un sexe masculin. L’organe est un peu ridé, parsemé de poils à la base et émet une odeur un peu fétide mais exaltante. J’ai vraiment envie de le goûter donc je l’attrape pour décalotter le gland. Celui-ci est rose, donnant l’impression d’être un bonbon, ce qui me fait saliver. J’ouvre la bouche pour le glisser entre mes lèvres et le poser sur ma langue. Ce premier contact buccal me fait frissonner et je commence à le sucer goulûment. Petit à petit, je sens dans ma bouche son pénis chaud gonfler et durcir de plus en plus, si bien que je dois faire un effort supplémentaire pour écarter les mâchoires. Après une série de vas et viens que j’essaye de pratiquer au mieux, mon maître commence à gémir de plaisir et m’attrape la tête entre ses mains. Je suis maintenant entièrement à lui et je sais que je ne pourrais pas m’arrêter avant de l’avoir satisfait. Cette situation de soumission m’excite terriblement. Je ne sais pas pendant combien de temps dure cette fellation mais au bout d’un moment, il m’annonce qu’il va jouir alors je continue et il éjacule dans ma bouche. Je sens sa substance chaude gicler dans ma gorge et la remplir amplement. Le goût est salé et agréable donc je déguste lentement en déglutissant petit à petit jusqu’à tout avaler. Je regarde mon maître qui semble aux anges et je le suce encore pour bien nettoyer sa bite. Puis il se retire et remonte ses vêtements. L’autre est toujours à côté et la scène l’a bien excité. Désireux de pousser tous mes fantasmes au bout, j’ai dans l’idée qu’il s’occupe de ma virginité anale et qu’il me pénètre par la fleur. Je vais donc m’accroupir devant lui pour le sucer à son tour. Son pénis est sensiblement plus gros car j’ai un peu de mal à le gober. Je lui taille une pipe pendant quelques minutes puis je m’arrête pour me déshabiller. Une fois nu devant le type, je me retourne et me penche en avant sur quatre pattes, en position de levrette, mon cul offert à lui. Frénétiquement, je me cambre au maximum en écartant les fesses et lui supplie de me prendre. Alors je sens mon deuxième maître attraper ma croupe et cracher sur ma rose avant d’y poser et d’y ajuster ce qui semble être l’extrémité de son pénis. Dans un réflexe de vérification, je le tâte avec une main en étant encore surpris par la taille et la chaleur de l’organe. Puis je lâche « allez y » car je suis impatient de me sentir pénétré par l’arrière malgré la peur suscitée par ce corps étranger. Comme il m’attrape fortement par la taille, je le sens forcer dans ma direction pour entrer à travers mon sphincter qui commence à s’ouvrir. De mon côté, je fais mon possible pour me détendre afin de laisser passer la queue tout en essayant de résister par des mouvements de recul contre la poussée inverse de mon maître. Subitement, je sens le large gland s’insérer difficilement en écartant douloureusement les parois anales et je laisse échapper un gémissement de douleur. Je demande à mon maître d’aller jusqu’au fond, ce qu’il tente petit à petit en effectuant quelques vas et viens. Lorsqu’il arrive à rentrer complètement, je sens son ventre collé à mon fessier lui-même comblé par sa grosse verge qui masse profondément mes entrailles. La douleur devient agréable et je pousse des petits cris à chaque assaut. Ainsi, il me sodomise brutalement et les allées et venues me donnent l’impression d’être un sac de viande à remplir. Après un certain temps, je commence à éprouver une sorte de vertige et je ne ressens plus que la douleur et le plaisir provoqués entre mes fesses par l’écartement répété de mon entrejambe. Je me laisse ainsi culbuter en fermant les yeux, poussant quelques râles et encaissant la saillie, jusqu’à ce que je sente son sperme gicler dans mes entrailles. Alors que mon mâle s’est arrêté de donner des coups de reins, moi je continue à m’empaler sur sa queue en faisant des mouvements d’avant en arrière. Malheureusement, il se retire de moi en me laissant soudain délaissé, avec l’anus en chaleur et dilaté. Alors je me redresse et me tourne pour qu’il voie ma tête de chienne qui en redemande, ce qu’il ne le laisse pas indifférent puisqu’il m’ordonne de le sucer en m’attrapant par les cheveux. Je lèche donc sa bite humectée par un mélange de sperme et de matière fécale entre mes lèvres. Cette fois ci, je suis un peu écœuré mais je prends sur moi pour lui obéir et lui nettoyer la verge. Une fois propre, il la retire de ma bouche et s’éloigne en refermant sa ceinture. Et les deux types quittent les lieux en disant que je suis une sacrée garce qui aime bien la bite. Je me retrouve seul, à poil et souillé. Peinant à retrouver mes esprits, je saisi mes vêtements pour m’habiller puis je m’en vais à mon tour vers la voiture, avec l’impression d’avoir été perverti.
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