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Le chat de Malakoff

Chapitre 1

Trash
Chat
Il faisait chaud dans mon appartement de Malakoff. C’était l’été. Nous vivions tous les deux dans cet appartement. Mon chat et moi. Il fallait que je fasse bien attention au chat. Une chute du cinquième étage, même pour un chat, ne pardonne pas. Comme tous les jours à 9h, j’allais acheter mon pain. Malheureusement, ce jour-là, j’avais la tête ailleurs ; les clés avaient été laissées à l’intérieur, ainsi que mon téléphone... avec mon chat, qui risquait de se tuer. Je descendis au quatrième étage pour demander de l’aide. Je frappai à toutes les portes. La seule qui s’ouvrit donnait sur un grand appartement manifestement occupé par de jeunes lascars... Ils m’avaient déjà sifflée plusieurs fois, invitée à prendre un verre. À chaque fois, j’avais décliné leur invitation. L’un d’entre eux me fit comprendre que rien n’était gratuit... qu’ils me débloqueraient la porte en passant par la fenêtre, à condition que je sois à eux pendant deux jours, que je sois leur esclave, que je leur sois intégralement offerte, que je doive accepter n’importe quoi, même les pires sévices... J’hésitai, mais je n’avais pas réellement le choix. J’aimais trop mon chat. J’acceptai l’offre. Rapidement, l’un d’entre eux se dirigea vers sa fenêtre. Moins d’une minute après, je revoyais mon chat. Ahmed me l’avait apporté chez moi, accompagné de deux amis. Dorénavant, je n’oublierais plus de fermer la fenêtre. Je leur ai demandé de revoir ma clef ; ils me répondirent que je la reverrais plus tard. J’ai insisté, mais ils m’ont dit que j’avais d’abord une promesse à respecter.
Ahmed, l’un des lascars, me laissa savourer la présence de mon chat avant de me rappeler à mon devoir. Il me lança un : "une promesse est une promesse". Je devais le suivre. En arrivant, tout était sombre dans l’appartement. Ils avaient éteint les lumières. Je ne savais pas combien ils étaient... La seule chose que j’ai pu entendre fut : "Amène tous tes potes, j’ai une belle salope à disposition ; elle est super bonne".Il m’entraîna dans une chambre... Je sentis plusieurs mains me retirer ma jupe, mon chemisier... J’étais nue. On me renversa sur le lit... Je tombai sur un gars qui me pénétra aussitôt. Derrière, un autre me sodomisait. On me prit par les cheveux... J’avais deux sexes dans la bouche. Mes mains étaient occupées ailleurs... Je devais me laisser faire et tout avaler... Toute la journée, ils s’occupèrent de moi. Je n’ai pas compté, mais il y a en eu une trentaine. Vers 14h, ils m’attachèrent au lit, me bâillonnèrent... L’un d’eux prit une tenaille et m’étira le clitoris aussi loin qu’il pouvait. Deux autres me firent la même chose avec les tétons... Un dernier alluma une cigarette et l’appliqua doucement à plusieurs reprises sur mes seins et mon sexe. J’avais si mal... Puis ils me détachèrent et me demandèrent de sucer le pitbull pendant que le dogue me prenait... Pendant une heure, je vis défiler des chiens. Une dizaine, je pense. Les derniers arrivants (quatre ou cinq gars) finirent de se soulager. Une fois que tout le monde se fut bien vidé, ils me posèrent un imperméable sur le dos, me demandèrent de mettre des bas et de chausser des talons aiguille rouges. « On va sortir » lança Ahmed. Je sortis ainsi vêtue en direction des Tarterets, une cité, à Corbeil-Essonnes. Quand nous arrivâmes, un attroupement de lascars et de leurs chiens nous attendait. Je n’ai même pas pu compter, tellement ils étaient nombreux. « On va l’amener à la maison de quartier pour s’occuper d’elle » s’écria Mouloud.« Je vous rappelle que c’est cinq minutes par personne, pour que tout le monde puisse passer » ajouta Mouloud. J’étais horrifiée. On m’allongea sur une table, puis on saisit mes mains pour me menotter les bras et les jambes. J’étais ainsi offerte à une bande de jeunes empressés de se vider en moi. Toute la nuit, les garçons passèrent. Certains étaient brutaux. Ils me giflaient, d’autres me tiraient les cheveux. Ma bouche, mon vagin, mon anus étaient remplis de sperme. Celui-ci coulait à l’extérieur et à l’intérieur de mon corps. Des gars qui n’étaient pas des cités avaient été invités pour l’occasion, mais ils devaient payer le service à un gars dénommé Mourad. Ils ne se sont pas montrés plus doux. Au contraire, ils faisaient preuve de perversité en me brûlant avec des cigarettes, en plantant des aiguilles dans mes tétons et mon clito. Un autre est même allé jusqu’à étirer mon clito au maximum avec une tenaille.
Vers 5h du matin, le cauchemar s’arrêta. Je pensais que c’était fini.« Écoute Nathalie, tu t’es engagée à faire tout ce qu’on voulait de toi. Cette personne là-bas (c’était un pervers gras et laid d’une soixante d’années) veut t’acheter. Tu vas lui signer un contrat. Tu vas lui appartenir. Tu comprends qu’on ne peut refuser 15 000 euros. »
Je lus le contrat :

CONTRAT D’ESCLAVAGE INTÉGRAL
Je, soussignée, Nathalie X, saine de corps et d’esprit, libre de toute contrainte morale et physique, déclare par le présent contrat d’esclavage ma volonté d’appartenance pleine et entière à Maître P. selon les modalités décrites ci-dessous.
Nathalie X aime être une esclave et décide de s’abandonner intégralement à Maître P. Nathalie X a choisi librement Maître P. et s’en remet à lui sans conditions, ni restrictions pour exercer sur elle une totale emprise dans le cadre d’une servitude absolue. Maître P. devient ainsi de plein droit le propriétaire de Nathalie X. Elle accepte de ce fait d’être intégralement soumise à la volonté de Maître P. et s’engage à remplir et satisfaire tous les devoirs que Maître P. estimera bon de lui imposer. Nathalie X accepte notamment d’être l’esclave domestique et sexuelle de Maître P.
Pour plus de commodité, Maître P. sera désigné ci-après « Le Maître », Nathalie X sera désignée ci-après « l’esclave »

L’esclave admet dès l’origine que son service répondra non pas à ses éventuels fantasmes d’esclave ou à ses attentes fétichistes, mais à ce que le Maître appréciera et exigera, indépendamment de ses préférences, de ses goûts ou de ses réticences.
Le corps de l’esclave est à l’entière propriété du Maître qui peut donc en disposer totalement à sa convenance. Le Maître en usera et en abusera à son gré et pourra notamment y appliquer tous les sévices et les tortures, qu’elles soient physiques, mentales ou psychologiques qui seront utiles pour que l’esclave devienne l’objet du Maître. Le Maître pourra notamment imposer à l’esclave tout acte sexuel, même dégradant, humiliant et immoral. Le Maître choisit et impose à l’esclave les partenaires et leur nombre ainsi que les pratiques sexuelles que l’esclave devra respecter pour satisfaire les désirs du Maître. Le Maître pourra notamment imposer à l’esclave des relations sexuelles avec des animaux choisis par Le Maître. Ces relations sexuelles imposées comprennent bien évidemment et notamment les fellations intégrales ainsi que les pénétrations de tous les orifices de l’esclave. Le Maître pourra également imposer à l’esclave que ses orifices soient remplis de la semence des partenaires imposés qui utiliseront sexuellement l’esclave. Le Maître pourra imposer à l’esclave de lécher, laper, avaler et ingérer la semence des partenaires sexuels, et ce, qu’ils soient humains ou animaux.
Le Maître peut exercer toutes les contraintes physiques et mentales qu’Il juge nécessaires pour l’esclave. Cela inclut notamment les liens, les fers, les menottes, le bâillon, les plugs anaux, les poires vaginales, tenailles, pinces, aiguilles, briquet, chalumeau, martinet, fouet, cire, marquage au fer rouge, scarifications, modifications corporelles, piercings intimes, brûlures... Il n’est pas nécessaire que le Maître invoque une faute quelconque de l’esclave pour y avoir recours. Il peut notamment les utiliser pour son seul plaisir ou pour tester la résistance et la soumission de l’esclave, qui sera réduite à un objet de dépravation totale pour une utilisation maximale et sans concession par le Maître.
L’esclave sera notamment soumise à des séances de dilatation de ses orifices par tous les moyens qui apparaîtront nécessaires au Maître pour les rendre plus accueillants et accessibles selon ses souhaits et critères.
L’esclave devra notamment porter son collier d’esclavage en permanence, y compris dans l’exercice des ses activités professionnelles et familiales. Le Maître choisira pour l’esclave un modèle de collier qui n’affecte pas l’image de l’esclave dans son milieu professionnel ou familial.
L’esclave devra se prostituer si le Maître en exprime le désir. La prostitution de l’esclave s’effectuera dans les conditions choisies par le Maître, notamment en termes de circonstance, de lieu, de durée, de type de clientèle, de tarifs… Le Maître imposera à l’esclave des objectifs chiffrés, que ce soit en termes financiers ou du nombre de prestations à effectuer. L’intégralité des revenus de l’exploitation sexuelle de l’esclave sera reversée au Maître.
Le Maître aura la possibilité, selon sa convenance et à qui il lui plaît, de louer, prêter, vendre ou offrir l’esclave pour des durées et des utilisations choisies par le Maître.
L’esclave devra également reverser l’intégralité de ses revenus professionnels au Maître. Le Maître aura la responsabilité de la gestion des revenus de l’esclave et devra satisfaire aux besoins de l’esclave dans la limite des revenus reversés par l’esclave. Le Maître pourra ainsi choisir et décider de l’affectation des revenus non utilisés par l’esclave selon ses désirs.
L’esclave renonce dès à présent à son droit à l’image en donnant au Maître la responsabilité, la jouissance et les revenus éventuels de l’exploitation qui pourrait être faite des images (photos ou vidéos) de l’esclave lors des activités imposées par le Maître.
Si le Maître estime qu’il apprécie beaucoup son esclave, il pourra en disposer à vie. L’esclave abandonnera son domicile au profit de celui du Maître.
Le Maître, s’il le désire, pourra engrosser l’esclave et lui faire porter et élever sa progéniture. L’esclave devra prendre toutes les mesures nécessaires pour éviter d’être engrossée par un autre que le Maître, et ce même dans le cadre d’activités sexuelles réalisées sans préservatifs imposées par le Maître.
L’esclave s’engage désormais à ne plus avoir de rapports sexuels, quels qu’ils soient, avec des hommes, des femmes ou des animaux sans qu’ils aient été ordonnés par le Maître. L’esclave renonce ainsi à toute activité sexuelle librement consentie et choisie, au profit d’activités sexuelles seulement imposées par le Maître.
L’esclave recherche au travers de son esclavage à être totalement anéantie et atteindre à une docilité et une obéissance totale au Maître. L’esclave recherche également au travers de son esclavage à annihiler sa propre volonté et s’en remet donc totalement aux choix et désirs du Maître. L’esclave aspire à n’être plus que le reflet des désirs et souhaits du Maître. L’esclave aspire à être totalement avilie, pervertie, corrompue, souillée, utilisée, dépravée, animalisée et dépersonnalisée ; elle s’en remet totalement aux choix du Maître pour atteindre ses objectifs d’anéantissement. Le Maître exercera sur l’esclave tout ce qui lui paraîtra nécessaire pour atteindre ces objectifs. L’esclave s’engage par avance à ne pas contester les choix du Maître et à obéir intégralement et sans retenue aux instructions du Maître, et ce, sans limites. L’esclave s’engage à ne jamais mentir au Maître, et ce, même par omission. L’esclave s’engage à confesser et avouer spontanément au Maître tout manquement ou échec dans la réalisation des instructions et souhaits du Maître.
Dans tous les cas, le Maître et l’esclave s’engagent sur l’honneur à une discrétion absolue sur ce contrat.
L’esclave accepte par avance les marques sur son corps, qu’elles soient temporaires ou définitives.
L’esclave renonce par avance à toute possibilité de procédures ou recours en justice contre le Maître, et ce, quels qu’en soient le ou les motifs.
Le Maître accepte l’esclave en tant qu’esclave et acquiert ainsi tous les droits sur la personne de l’esclave, et ce pour une durée indéterminée. Seul le Maître a la possibilité de résilier le présent contrat. Le Maître s’engage à satisfaire les objectifs d’anéantissement de l’esclave par tous les moyens qui lui seront nécessaires et qui lui plairont.
Les termes du présent contrat s’appliquent dès qu’il aura été signé par les deux parties.
Fait à Paris, en deux exemplaires.
Nathalie X Maître P

Je me décomposai en lisant le contrat. « Je ne peux pas signer le contrat… C’est trop… »Ahmed me gifla.« Tu le signes ou tu ne sortiras pas d’ici vivante… »
Je finis par signer le contrat.
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