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Chatelains possédés

Chapitre 4

Gay
Le jeune baron avait cherché un prétexte pour revoir le jeune abbé. Il n’avait pas trouvé mieux qu’une confession. Fort heureusement pour lui, l’abbé était de permanence cet après-midi là à l’église. Se glissant dans le confessionnal, Baudoin se mit donc à genoux, le visage proche de la grille d’où il pouvait deviner le visage si avenant de l’abbé. Après les préludes d’usage, il en vint rapidement à confesser ses désirs impurs : ses fréquentes masturbations, ses pratiques sodomites avec Joseph, ses jeux sexuels avec sa sour et son désir incestueux dirigé vers sa mère qu’il avait satisfait une fois, de plus en présence de son père. Au fur et à mesure qu’il parlait, prenant un certain plaisir à détailler ces péchés, il entendait le souffle de l’abbé s’accélérer, il devinait son corps s’agiter et sentait à son haleine qu’il s’était rapproché de la fine grille de bois les séparant. « N’avez-vous pas honte, mon fils, pour ces pensées perverses et ces actes criminels ? Vous méritez un repentir sévère qui éloigne de vous ces désirs du diable ! ». « Dites-moi, mon père, comment l’accomplir ». « Autrefois, vous auriez mérité une correction publique, mon fils ». « Mon père, pouvez-vous me la donner, je vous en prie ? ». L’abbé marqua un temps d’arrêt car l’excitation avait montée en lui déformant le pantalon au niveau de la braguette. « Prions » dit-il. Puis, ayant fixé rendez-vous au jeune baron dans un garage dépendant du presbytère, il lui donna l’absolution.Un quart d’heure plus tard, ils étaient à nouveau réunis dans ce garage, placé à l’écart de la rue et de la maison. Cette pièce servait désormais de débarras pour diverses choses, en particulier un cheval d’arçon, reste de l’époque des patronages où enfants et jeunes hommes s’exerçaient sous la conduite de prêtres sportifs. L’abbé dressa d’abord pour Eric un éloge de ce qu’on nommait dans les couvents « la correction fraternelle ». Joignant la pratique à l’exhortation, il l’invita à retirer sa chemise et à baisser son pantalon, puis à se pencher en avant en prenant appui sur le cheval en cuir. Il prit ensuite une baguette souple servant à dépoussiérer les tapis, se plaça de côté et commença à frapper les fesses d’Eric. Il remonta sur le dos et redescendit en frappant plus fort. À la façon dont le jeune baron agrippait de ses mains les pieds du cheval d’arçon, il pouvait percevoir la douleur ressentie par celui-ci. Pour l’abbé, le plaisir - il devait le reconnaître - était double : se venger de l’humiliation subie dans les écuries du château en frappant le fils de celle qui l’avait fouetté ; admirer ce beau corps fin et musclé se raidissant sous les frappes. Afin que le plaisir fût encore plus grand, il fit coulisser le slip d’Eric vers ses chevilles afin de mieux voir la marque des coups sur ses fesses dorées par les séances de bronzage à poil sur les bords de la piscine. Les coups se faisant violents, Eric commença à gémir, ce qui excita encore plus l’abbé dont le slip devenait humide. « Alors, monsieur le baron, on regrette toutes ses dépravations et toutes ces cochonneries accomplies en famille ? » - « Oui, mon Père, et je mérite punition. Je vous en prie, donnez-moi la pénitence méritée ». « Tournez-vous » lui commanda l’abbé qui, prenant des cordes traînant là, attacha les mains du baron à une poutre. Celui-ci était dépouillé de ses vêtements qui traînaient à ses pieds. L’abbé se saisit de son slip et le lui mit sur la figure en guise bâillon. Eric respira les effluves de sperme séché et de pisse, ce qui renforça encore la dureté de sa bite. L’abbé était justement à marquer celle-ci de petits coups de canne. « Vous devez souffrir par là où vous avez péché » expliquait-il à Eric. Après ce petit exercice, il sortit sa bite non circoncise dont le gland était tout poisseux de mouille. Ayant prélevé celle-ci avec ses doigts, il en enduisit le visage d’Eric : « Voyez comme vous êtes recouvert par ce que vous adorez ». Se réfrénant de moins en moins, il prit un manche de balai posé dans le coin du garage et l’ayant enduit de graisse pour mécanique, il se mit en devoir de l’introduire dans l’orifice du jeune baron par lequel la bite de Joseph et bien souvent les doigts même du jeune homme, dans ses longues séances de masturbation, venait demander du plaisir.Car la révélation pour Eric avait été de découvrir qu’un homme peut aussi bien jouir de son cul qu’une femme de sa chatte. Si bien qu’il aimait de plus en plus souvent, mentalement du moins, évoquer son cul en disant : « Ma chatte » ou « Mon con ». Il avait observé sa sour ou sa mère jouir, celle-ci surtout qui glapissait comme une furie quand son mari la baisait ou qu’elle se livrait à ses plaisirs de tribarde . Il lui fallait aller lentement pour s’exciter les lèvres de son con, et ouvrir ses parois aux objets qu’il y introduisait. Mais ensuite, une fois bien ou-vert, il se laissait aller, recherchant l’orgasme du cul qui lui faisait ressembler à sa mère, la baronne, quand elle jouissait comme nous l’avons rapporté. Seulement cette fois, l’abbé n’y mettait pas les formes. C’était d’un véritable viol du cul dont il s’agissait, car il introduisit le bout du balai sans trop ralentir dans l’anus du jeune homme. Celui-ci, bâillonné, ne pouvait qu’émettre des gémissements étouffés, provoqués cette fois par une véritable douleur : il avait le sentiment qu’on lui déchirait le cul. Et plus l’abbé forçait le passage, plus l’anus d’Eric se contractait et plus la douleur était vive. Il crut qu’il allait s’évanouir, ne pouvant supporter une telle pression, jusqu’à ce que soudain, la douleur parvenue à un climax s’épanouisse en un nouveau plaisir. Eric venait de découvrir, des mains de l’Église, un nouveau plaisir, plus secret. Et l’abbé, tel un nouvel inquisiteur, se révélait à lui-même l’autre face de ce même plaisir : conduire l’autre au seuil d’une jouissance que la douleur qui en avait été le portail ne rendait que plus belle encore. La sueur perlant du front d’Eric, son regard embué des brumes d’une reconnaissance qu’il témoignait ainsi à son bourreau, eurent tôt fait de faire jouir l’abbé. Deux aller et retour de la main firent jaillir de très longs jets de foutre venant s’étaler sur les poils des reins du jeune baron. Il laissa celui-ci encore attaché, offert, le temps d’aller lécher son propre foutre sur son compagnon, de lui embrasser les fesses et de lui dire, dans un quasi râle : « Mon bel enfoutré ! ».
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