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chaud hammam

Chapitre 1

Gay
De passage à Toulouse, je me suis dirigé vers un sauna, qu’un ami m’avait conseillé. après m’être déshabillé, une serviette autour de la taille, j’explorais le lieu, c’était un tout petit sauna, en passant devant le hammam je vis deux silhouettes de mecs assis face à face perdus dans la vapeur. J’ai laissé ma serviette à l’entrée et je me suis assis entre les deux. J’ai tout de suite vu que l’un d’entre eux, bien baraqué avait le corps tout en rondeurs et de longs poils noirs. Je voyais aussi un gros cockring clouté autour de sa queue, bien lourde, large et puissante, le gland posé sur le carrelage humide. L’autre était plus petit, sec, les cheveux dégarnis avec un beau petit cul rond, mais je ne vis pas sa bite. Je me suis attaqué au plus mec des deux en posant doucement ma main sur sa cuisse. Il l’a tout de suite posée sur sa bite qui à grossi à toute vitesse. J’ai attaqué sas larges tétons avec ma langue et pour ça il fallait que je me mette à quatre pattes car le hammam était en espalier. Ses tétons se sont mis à pointer sous mes dents, et j’ai passé ma langue sur son torse poilu, plein de sueur. Il m’a ensuite écarté avec ses mains avant de baisser ma tête vers sa tige. Elle m’a semblé énorme et passant la main sur ses couilles, j’ai pensé au foutre chaud quelles devaient contenir. Je ne faisais plus attention à l’autre, je me contentais de pomper comme il voulait en salivant pour que l’engin passe bien. Des petites claques ont commencées à me chauffer le cul. Mon trou était moite de sueur, et je n’ai pas pigé de suite que c’était les mains de l’autre qui tentaient de m’élargir grave. Il regroupait ses doigts pour me taper les couilles, et je me demandais si je n’était pas tombé sur des dominateurs. Le petit s’est levé, a tiré mes jambes pour me mettre a plat ventre contre le carrelage et s’est mis à genoux à coté de son mec afin que sa queue arrivât à la hauteur de mes lèvres. Je n’en croyait pas mes yeux. la taille des mecs n’indique décidément rien sur celle de leur engin! Le sien était plus épais que son mec, plus court, mais brun avec de grosses veines battantes et de toutes petites couilles. Je suis d’abord passé de l’une à l’autre, quand ils ont décidés de m’éclater la tronche en me faisant rentrer les deux. J’avais la gueule explosée, mes lèvres me faisaient mal, mais j’étais ravi de sentir que ces deux machos toulousains allaient me faire passer un rude quart d’heure...— vas chercher le matos dans le casier, a dit le premier en passant la clé au petit, je le met dans une cabine.J’ai suivi et il m’a tout de suite dit de me mettre a quatre pattes. Ce que j’ai fait, mais il voulait dans l’autre sens, la tête vers la porte. il s’est mis derrière moi et m’a massé lentement les fesses. Quand j’ai vu son mec arriver avec un plug noir, un gros flacon de gel et une boite de capotes. J’ai compris que j’allais animer l’endroit pour le soirée!Ils se sont mis a deux sur mon cul, passant chacun leur doigts sur le pourtour de mon fion. Je me suis relâché un peu, et quand le petit m’a mis d’un coup sa tige, j’ai gueulé comme un dingue. Le grand poilu m’a passé les poppers sous le nez, et j’ai commencé à m’agiter le croupion comme une pute en suçant le premier.Ils se sont ensuite amusés à me baiser chacun leur tour, et quand ils ont ouvert la porte, le grand m’a carrément retourné pour me baiser devant tout le monde, j’avais le cul écarté, exposé à peu près a un mètre de hauteur et ils me bourraient comme si j’étais un trou à dispos. Le petit est rentré à nouveau dans la cabine et s’est mis à se branler au dessus de moi. J’ai entendu le grand qui parlait à un type, et un troisième s’est mis à me fourrer comme un dingue, je ne pouvais même pas le voir, le petit m’avait collé son pied sur la gueule, et pour lui montrer que j’étais soumis, j’ai commencé a lui sucer l’orteil. puis quand il a posé le plug à l’entrée de mon trou de balle déjà bien explosé, j’ai cru mourir de douleur. Les mecs se branlaient en regardant le spectacle. Puis il m’a déculé et le petit m’a laissé faire un mouvement de la tête afin que je puisse voir quel autre étalon allait me saillir. Il m’a maintenu les mains attachées dans le dos, je ne pouvais même pas me toucher ma bite. Je n’étais plus qu’une salope au service de des pines juteuses, et lorsque j’ai senti le foutre arriver en pluie sur moi, je n’avais toujours pas giclé. c’est sous la douche que le petit est venu me piper pendant que le grand, se doutant que je me sentais le cul vide, est revenu me bourrer une dernière fois, mon cul était tellement élargi qu’a chaque mouvement de sentais les clous de son cockring. J’ai alors juté comme un fou avant de m’effondrer dans le hammam.
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