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Chauffeur de taxi, tout un métier

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
J’étais concentré sur mon trajet, les yeux rivés sur la route. Bien que le soleil commença à se perdre derrière l’horizon orangé, mon service était loin, très loin de finir, et après avoir sillonné la ville de part et d’autre à la recherche de clients pour des longues courses, je décidai de prendre place dans l’interminable file de taxis amassés devant l’aéroport.
    J’éteignis le moteur de ma grosse berline noire et j’attendis, jusqu’à le rallumer pour avancer ma voiture au gré des départs de mes collègues ramassant des clients au compte-goutte. Ce que j’aimais dans ce boulot, et particulièrement de nuit, c’était de pouvoir rencontrer des gens bizarres, amusants, des hommes, des femmes… Puis bientôt, après une demi-heure de smartphone et de patience de fer vint mon tour d’être premier de la file, le prochain à cueillir mon gagne-pain. Je sortis donc de ma voiture et m’adossais à la portière, les yeux rivés sur la sortie du hall, en espérant que l’un de ces commerciaux en costume débarquant d’un voyage d’affaire fasse appel à mes services. J’en profitais également comme à mon habitude pour mater les bourgeoises coincées qui portent des robes plus chères que ma voiture. De nombreuses fois j’eus envie de laisser ma perversion se déverser en elles, alors qu’elles étaient à l’arrière de mon taxi, mais fort heureusement, et même si j’adorerais le sexe bien hard, je savais me contrôler et rester courtois. Surtout quand l’argent était en jeu.Finalement après cinq minutes d’attente pendant lesquelles j’avais reporté mon attention sur mon téléphone, une femme debout devant moi m’interpella.
« Excusez-moi, vous êtes disponible ? »
    Je levai les yeux vers elle en envoyant mon sourire le plus commercial possible que j’utilise pour appâter le client, mais je compris bien vite qu’il me sera inutile de feindre un air chaleureux, tant il serait tout à fait naturel. Mon sourire devient immédiatement plus crédible et sincère à la vue des grands yeux noisette semblables à des billes taillées dans un bois précieux. Elle avait un sourire gêné, comme pour s’excuser de me déranger ou de m’obliger à faire mon travail. Mais dans ces moments-là, mon travail devenait presque plus un hobby qu’un boulot.
« Bien sûr Mademoiselle, laissez-moi charger votre valise et prenez place à l’arrière. »
    Sa bouche aux lèvres pulpeuses se fendit d’un sourire « ultra white » sous son gloss rouge discret. Non de dieu qu’elle était belle ! Une de ces femmes dont un moindre regard créait un long métrage complet dans l’esprit des hommes qui le croisait. Je pris sa valise à ses pieds pour aller la déposer dans le coffre et le regarda se diriger vers la portière de la voiture que j’avais ouverte au passage, en bon gentleman. Elle portait une petite robe bustier en soie rouge, qui lui arrivait bien au-dessus du genou. Rien d’étonnant pour un mois de juin, mais sur elle, c’était comme habiller une œuvre d’art avec une autre. De plus il m’était absolument impossible de ne pas remarquer sa poitrine proéminente qui semblait être comprimée sous ce bustier. Mais avant que je ne puisse détailler plus en détail ce corps de rêve, elle s’était engouffrée sur la banquette arrière. Je fermai le coffre, et passant par le côté de la voiture, je fermai la portière derrière elle, et m’installai derrière mon volant.
« Alors Mademoiselle, où allons-nous ?— Boulevard Longchamp s’il vous plait, me répondit-elle toujours souriante »
    Avec les clients, je restais toujours discret et j’attendais qu’ils engagent – ou non, la conversation. Certains aimaient être tranquilles, mais je priais pour que ce ne soit pas le cas de cette délicieuse jeune femme. Malheureusement, elle ne semblait pas très loquace, et mis à part les banalités d’usage qui me permirent d’apprendre qu’elle revenait de vacances aux Maldives et qu’elle avait vingt-quatre ans.
    La conversation n’alla pas plus loin, et je me contentais alors de regarder dans le petit miroir qu’était mon rétroviseur, le corps de ma cliente. Elle avait croisé ses jambes longues, fines et dorées qui m’excitaient beaucoup. Elle portait des sandales compensées rouges assorties à sa robe, et ses pieds étaient fins et pédicurés. Ses jambes m’excitaient déjà pas mal, mais c’était peu comparé à ses seins, si gros et ronds qu’ils semblaient avaler la ceinture de sécurité. Finalement outre ses grands yeux clairs et sa bouche pulpeuse, même ses cheveux bruns mi-longs laissés sauvages me rendaient dingue. Nous roulions sur la nationale à l’orée d’une forêt dans une ambiance calme et discrète, jusqu’à ce que je remarque dans mon rétroviseur que son air doux avait disparu. Elle fouillait son sac à main et semblait paniquée, comme si elle avait laissé quelque chose d’important aux Maldives.
« Ça ne va pas Mademoiselle ?— Non, répondit-elle paniquée. Vous n’allez pas y croire, j’ai plus mon portefeuille !— Bah ne vous en faites pas il doit bien être quelque part ! Toutes les femmes ont un sac à main horriblement chargé, faut juste fouiller un peu… ironisais-je.— Le mien est vide »

    Elle me montra dans le rétroviseur le fond de son sac à main ouvert. Entièrement vide. Putain, elle à pas un rond la salope, et elle compte me baiser ! La colère me gagna instantanément, je braquai le volant vers la droite pour me ranger sur le bas-côté et arrêtai la voiture dans un crissement de pneus assourdissant. Je me retournai alors vers elle.
« Donc, vous avez pas un rond ?— J’ai peur que non, mais ne vous…— Descendez, lui dis-je en la coupant sèchement.— Pardon ? Mais c’est impossible, nous sommes…— Descendez bon sang ! Je ne travaille pas gratos moi !— Mais vous pouvez au moins m’emmener à un distributeur au moins ? s’énerva-t-elle.— On me l’a déjà faite celle-là… Descendez ! »
    Elle commençait vraiment à m’agacer ! Elle me regardait avec son air de chien battu, ses gros seins me faisant de l’œil comme pour me supplier. Je ne pouvais pas continuer à transporter cette possible escroqueuse sans avoir la moindre garantie qu’elle allait payer. Il était hors de question qu’elle s’en tire comme ça, surtout après avoir fait la moitié des kilomètres. Il ne me fallut pas longtemps pour avoir l’idée qui allait suivre. A vrai dire, j’ai toujours eu envie de ce qui, je l’espère, allait suivre.
« On peut s’arranger autrement si tu veux.— Comment ? me demanda-t-elle d’un air suspicieux.— Je vous trouve très jolie— Merci…— Et vraiment bandante. »
    Elle me regarda, outrée, avec un regard lourd de reproches et de surprise. Surprise qui n’en était pas. Je suis certain que dès le premier compliment elle avait compris ce que j’allais proposer, et c’est d’ailleurs pour ça que je ne suis pas passé par quatre chemins. Si je ne pouvais pas avoir son argent, il me fallait son cul, ou bien elle finirait le trajet à pieds. Elle me dit alors :
« Ne dites rien de plus c’est bon, je me casse, espèce de gros pervers !— Je ne suis pas pervers comparé à ceux du bois. Vous êtes du coin, vous connaissez cette forêt n’est-ce pas ? Si je vous laisse rentrer seule à pieds dans cette tenue, ce ne sont pas des hommes élégants et courtois que vous croiserez. Ils seront sales, violents, et ne penseront qu’à eux.— Mais… — Comment vous appelez-vous ?— Manon…— Bien Manon, montrez-moi vos seins maintenant. — Vous allez me violer ? »
    Je pouvais cerner une légère panique dans sa voix. Elle semblait fébrile et me regardait en tenant fort son sac entre nous comme pour se protéger – ce qui se serait d’ailleurs avéré inutile si j’avais décidé d’être dangereux - ce qui n’était pas le cas. Mais je lui laissais le choix bien évidemment, et si elle n’acceptais pas je ne pourrais pas me résoudre à la laisser aux mains de ces voyeurs là dehors. En revanche, j’avais bien envie d’être un peu insistant et de voir si cette jolie jeune femme pouvait être bien plus qu’une simple cliente.
« Non, vous pouvez être consentante ou dégager de mon taxi, c’est vous qui choisissez. »
    La pauvre semblait désespérée, ce qui arrangeait bien mes affaires je dois l’avouer ! Elle regardait par la vitre l’orée de la forêt de laquelle elle imaginait des hommes sortir, leur pantalon aux chevilles pour profiter d’elle. La lumière tombante du début de soirée n’arrangeait rien. Elle médita un bon moment, puis elle écarta ses cheveux derrière son cou gracile, leva le menton, et de ses deux mains attrapa le haut de son bustier qu’elle rabattit sur son ventre pour dévoiler ses seins. Bordel ! Ça c’était une poitrine ! J’avais à peine eu le temps de réagir face à cet agréable paiement, que je sentais l’excitation me gagner. Je levai les yeux un instant vers le joli minois de ma « victime », mais elle tournait la tête vers l’extérieur de la voiture, fuyant mon regard à tout prix. Peu m’importe si elle ne voulait pas me voir, moi je la voyais, et ça me convenait.
    Je repris alors la contemplation de sa divine poitrine. Ses seins étaient énormes, bien ronds et durs, et ses petits tétons clairs pointaient bien au centre. Un régal. Je les observai quelques secondes, puis je sorti de la voiture et rejoignis la jolie Manon sur la banquette arrière. Elle eût alors un mouvement de recul, mais je la rassurai :
« N’ayez pas peur, je ne vous forcerais pas Manon, je n’ai pas fermé à clé, vous pouvez sortir quand vous voulez ! »
    Elle ne disait plus un mot, mais en guise de réponse, elle tourna à nouveau la tête vers l’extérieur, comme pour s’échapper virtuellement du taxi. J’en profitais alors pour empoigner ses gros seins fermes. Je les pressais doucement, je sentais leur douceur, mes doigts passant du haut de ses seins jusqu’en dessous, passaient sur les tétons qui bien malgré elle, étaient de plus en plus durs à chaque passage de mes pouces. Mais tout ceci était bien sec… Aussi je ne me fis pas prier pour me pencher sur sa poitrine nue et embrasser sa peau chaleureuse. Les lèvres glissaient sur les globes de chair, puis finirent par s’entre ouvrir sur ses tétons roses et durs. Je sortis le bout de ma langue et lécha les bouts, je les aspirais, les mordillais, et malgré tout ça, malgré tout ce que Manon pu dire, je sentais, j’entendais sa respiration se faire plus profonde, saccader. Je la voyais ouvrir la bouche pour réprimer les frissons qui la parcouraient. Lorsque j’en eus finit avec sa si merveilleuse poitrine, je me reculai, elle les renferma dans leur prison de soie et me dit :
« C’est bon, on reprends la route ?— Tu rêves ma jolie, pas avant de t’avoir baisée ! »
    Cette fois-ci elle ne sembla pas plus outrée que ça. Elle me regarda finalement dans les yeux d’un air indéchiffrable, comme si elle se doutait évidemment de ma réponse avant même que je la lui donne. Et elle aurait été sacrément naïve de penser l’inverse ! Elle était vaincue et nous le savions tous les deux, c’est pour ça qu’elle m’avait offert ses seins, et qu’elle allait m’offrir bien plus. Tout ce que je voulais. D’ailleurs, j’espèrais qu’elle s’était déjà fait sodomiser, parce que si ce n’était pas le cas, ça allait lui faire tout drôle…
« Êtes-vous sérieux ? Elle sembla réfléchir. Comment vous appelez vous ?— Paul. Vous voyez qu’on peut s’entendre, lui souriais-je— Jamais nous ne nous entendrons Paul, vous êtes un gros connard ! Un sadique profiteur !— J’y peux rien si t’as envie de moi ma belle…— Je n’ai pas envie de vous ! Je n’ai juste pas vraiment le choix !— Ah… Et ces tétons durs comme la pierre quand je vous ai caressé les seins ? »
    Elle rougit comme une pivoine à l’écoute de ma dernière phrase. Je suis certain qu’elle n’avait pas envie de moi, mais que cette situation où elle se retrouvait forcée par un inconnu à l’arrière de sa banquette arrière l’excitait terriblement. Cela l’excitait de plus en plus, et elle ne pourrait pas cacher très longtemps qu’être forcée à payer le taxi en nature sur ma banquette arrière la faisait couler entre les cuisses.
« C’était une réaction purement physique, me dit-elle froidement.— Bien, je vais t’en montrer une autre, réaction physique.— Qu’est-ce que vous êtes romantique, c’est à vomir… »
    Là, vraiment, elle me saoulait de plus en plus. Elle n’avait pas un rond, elle s’habillait comme une chienne en chaleur, et maintenant elle se permettait des sarcasmes de petite fille prétentieuse. Je défis ma ceinture, baissai mon pantalon et mon caleçon, et ajoutai :
« Bon, Maintenant tu fermes ta gueule et tu restes bien sage. Tu commences à m’agacer avec tes remarques — Je vous interdis de me parler comme ça ! — Donnes-moi immédiatement ta culotte, et cesses de geindre ! »
    Après avoir regardé avec étonnement la queue longue et tendue qui se dressait entre mes jambes, elle décroisa les siennes, et sans protester une seconde, leva ses fesses de la banquette et fit glisser son string blanc jusqu’à ses chaussures. Elle le ramassa et me le tendit froidement en détournant le regard de mon vit. Je m’en saisis alors, l’approchai d’abord de mes yeux pour contempler le léger tissu brodé de dentelles, puis j’approchai alors la plus grande partie, celle ayant passé le plus de temps dans la chaleur des cuisses de Manon, près de mon nez. Le fond du string sentait tout aussi fort le désir sexuel qu’il brillait de mouille.
« Ma parole, mais t’es une vraie salope en fait ! t’es trempée, m’étonnais-je.— Cette banquette m’excite. Cette forêt m’excite. Être forcée m’excite. Mais pas vous !— Parfait, parce que je m’en branle. Viens par là et suces moi bien à fond ! »
    Je la saisis alors par les cheveux et l’attira assez brusquement vers mon gland luisant de plaisir. Elle se saisit de ma queue de sa main droite, ouvrit la bouche puis commença à entourer mon gland de ses lèvres en me branlant doucement. Quelques instants plus tard, elle faisait de long aller-retour bien baveux sur ma queue qu’elle avait bien du mal à mettre entièrement dans sa bouche ? Elle se contentait donc d’aspirer mon gland, de le sucer et le lécher, de le branler de plus en plus vite. Je la soupçonnais de tout faire pour me faire jouir rapidement avant d’avoir pu la baiser, mais elle se trompait lourdement sur ma motivation. Rien ne me ferait alors reculer et si d’aventure je devais jouir maintenant, je patienterais le temps qu’il faudrait pour être sûr de la baiser correctement. Alors qu’elle s’acharner à me sucer de sa jolie bouche, je me surpris à penser sincèrement qu’elle suçait comme une grosse salope malgré son visage d’ange et ses habits bien portés. Et elle semblait adorer tellement ça que je me devais de vérifier. Alors qu’elle était penchée sur ma queue à s’occuper de moi docilement, ma main se fraya un chemin entre ses cuisses qu’elle écarta gentiment. Mes doigts glissèrent alors entre ses lèvres bien humides, de l’entrée de son vagin à son clito, et en ressortirent complètement mouillés.
« Ah, tu as un admirateur on dirait, lui dis-je. »
    Elle se retourna brusquement vers la fenêtre de son côté, et vit la bite encore à moitié molle d’un homme qui se tenait là, debout, à mater sa petite chatte luisante que je caressais de mes doigts. Il se branlait à la vue magnifique de cette salope qui me suçait la bite. Cela sembla la troubler un peu, mais je sentis de mes doigts avec lesquels je la branlais qu’elle était plus excitée encore que dix secondes auparavant. Elle me suçait alors vigoureusement, comme une damnée, et je du rapidement ralentir pour évider de lui jouir tout de suite dans la bouche.
« Je crois que le monsieur aimerait un peu de spectacle, lui dis-je calmement.— Vous me prenez pour une pute ou quoi ?— T’es une putain de salope ouais. Allez, viens par-là !
    Je la saisis alors par ses magnifiques cheveux brune et je la fis basculer contre mon torse, et elle se retrouva les pieds sur la banquette du côté du voyeur qui avait alors une vue imprenable sur l’entre cuisses de Manon. Je rabattis sa robe pour découvrir ses gros seins moelleux, et de mon autre main j’en relevais le revers pour offrir à la bite observatrice une jolie vue des doigts que je lui mettais dans la chatte. D’abord un, puis deux, et finalement trois. Je la doigtais si vigoureusement que Manon fermait les yeux et commençait vraiment à gémir… Elle ronronnait comme une putain, bien qu’au fond de moi je savais que c’était une femme distinguée. Mais je m’en foutais clairement, à cet instant, elle vendait son corps pour une course en taxi. Certes elle n’avait pas le choix, mais tout de même, se faire doigter la chatte et pincer les tétons devant deux mateurs, ce n’est pas commun, et pourtant elle commençait à gémir suffisamment fort pour que vitre fermées, les voyeurs se mettent à se branler de plus en plus vite. Parce que oui, ils étaient maintenant deux à mater ses petites lèvres intimes sous son pubis parfaitement épilé.
    Ils ne furent cependant pas deux longtemps, car le premier arrivé se masturbait depuis maintenant un long moment, et lors que fis jouir Manon de mes doigts en lui ajoutant mon pouce dans son anus glissant, l’homme avait éjaculé sur la vitre du taxi. Il avait laissé sur le verre de longues trainées blanches et épaisses, pour le plus grand bonheur de Manon, complètement dépassée par les évènements. Elle se laissa aller à son orgasme, tremblant dans mes bras comme une feuille. Une fois son orgasme passé et son esprit retrouvé, je voulu la baiser, et sans même ajouter mot, je la repoussais pour la mettre à quatre pattes sur la banquette arrière, le visage cette fois à quelques centimètres de la vitre derrière laquelle une seconde queue apparemment puissante était branlée par son propriétaire. Je voyais cette salope entre ouvrir la bouche et jouer du regard avec l’envie et la frustration de l’homme qui était là. Elle souriait en m’offrant son cul parfait, ses deux fesses aussi rondes et fermes que ses seins. Bon sang cette femme-là n’a donc aucun défaut ?
    Je soulevais sa robe et d’une main j’attrapai sa fesse gauche que j’écartais de la droite pour avoir l’honneur de voir sa chatte luisante et son petit trou serré. J’approchai alors ma queue tendue, ma longue et épaisse queue que son bassin qui ondulait sans arrêt rêvait d’accueillir en lui. Je ne comptais pas faire dans la dentelle, et d’une poussée, mon gland la transperça et ma queue avança en elle rapidement, jusqu’au fond de son vagin. Elle poussa un hurlement de plaisir et de bonheur, et je commençai alors à la limer sans aucune douceur, échauffant son vagin par les glissements rapides de ma bite en elle. Elle avait les yeux mi-clos et la bouche entrouverte alors qu’elle couinait comme une garce, ce qui ne manquait pas d’allumer le pauvre voyeur qui ne pouvait alors que profiter du visage angélique mais déformer par le plaisir de ma cliente salope. Elle le remarqua d’ailleurs bien et s’en amusa, passant sa langue sur sa lèvre, puis la mordant, histoire d’allumer encore cette bite dont la vitre la protégeait. Enfin, c’est ce qu’elle croyait. De ma main qui tenait la croupe parfaite, j’atteignis le bouton d’ouverture du carreau, qui commença à se baisser rapidement devant le visage de Manon. Cette dernière protesta dans un cri de surprise :
« Putain mais vous jouez à quoi là ?!— Crois-tu que je ne t’ai pas vu faire ta salope avec ce pauvre homme, à lécher et mordiller ta lèvre, à mimer une pipe.— C’est bon c’était pour le chauffer, il est là pour ça nan ?!— Nan, il est là pour que tu lui fasses du bien ! »
    Je m’adressais alors à l’homme, qui en plus n’était pas très beau et plutôt gros. Cette salope d’allumeuse allait regretter de l’avoir motivé.
« Vas-y mon gros, donnes lui ta bite à manger ! »
    Il avança sa tige luisante vers la bouche joliment nacrée de gloss de Manon et cessa de se masturber pour se laisser sucer. Elle, elle me regarda avec rage, mais se contenta d’obéir docilement. Elle se retourna donc vers l’homme et ne fit qu’une bouchée de sa petite bite tendue qu’elle aspirait jusqu’aux couilles en l’enveloppant de sa langue.
« Fais plus baveux que ça, montre au Monsieur la salope que t’es ! »
    Une nouvelle fois elle s’exécuta, suçant cette bite pendant que je la baisais de plus en plus profondément, faisant remuer ses seins énormes sous son torse. Elle suçait sans vraiment fermer la bouche et sa salive commençait à s’en échapper et à couler en de longs filaments qui finissaient leur course sur l’extérieur de la portière. Manon qui voulait simplement rentrer chez elle, se retrouvait maintenant à l’arrière d’un taxi, à moitié nue, prise en levrette par la queue de son chauffeur, et en suçant une autre qui se tenait à l’extérieur. Quelle putain de salope, j’avais eu une sacré veine de tomber sur elle à l’aéroport, et qu’elle ait perdu son portefeuille qui plus est.
    Mais je me lassais de sa chatte. D’une main je sortis ma queue de son vagin, et je la posais devant son petit trou du cul. Elle protesta :
« Non s’il vous plait ! Pas ça ! Je ne suis pas habituée et préparée !— S’il te plaît, dis-je en m’adressant à l’inconnu, baises lui bien la bouche qu’elle la ferme un peu cette catin »
    Il ne se fit pas prier un instant et saisit Manon par ses beaux cheveux bruns pour lui baiser la bouche avec violence, tapant dans sa gorge comme s’il s’était agi de son vagin. Elle tentait de crier un peu mais en vain. J’en profitais alors pour pousser doucement mon gland à l’entrée de son cul, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’elle parvienne enfin à se décontracter et laisser passer mon gland luisant. Le bout de la tige en elle, elle lâcha un gros soupir de douleur mais je m’en fichais, et je voyais que c’est ce qu’elle voulait ; Que j’abuse d’elle encore et encore. Je poussais toujours, et ma tige s’infiltrait de plus en plus, la remplissait, jusqu’à ce qu’elle se sente pleine et que mes couilles butent sur son vagin. Sortant alors la bite de sa bouche, elle prit conscience qu’elle vivait un de ses profonds fantasmes, et elle m’implora enfin :
— Vas-y, baise le cul de ta petite chienne ! Je suis ta putain, j’en peux plus vas-y lime moi le cul à fond !
    Il ne fallut pas me le dire deux fois. Dans des grand mouvements amples du bassin, ma queue sortait presque entièrement de son ventre puis le remplissait à nouveau, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Sa rondelle se contracta à plusieurs reprise et elle criait de plus en plus, ce qui m’annonça clairement l’arrivée d’un nouvel orgasme qu’elle allait avoir par le cul. Ces gémissement, ces glapissement eurent raison de notre voyeur, qui se retira de la bouche de notre salope et se branla jusqu’à jouir copieusement sur les jolies joues ambrée de Manon. Elle se retourna alors vers moi pour me faire admirer son visage souiller. Elle en avait partout, et ajoutée à cette vision la sensation de ma bite sans son cul, je ne pus me retenir plus longtemps, et je me laissais me décharger en elle. Je me retirais alors en lui disant :
« Rhabilles toi Manon, t’as gagné le droit de rentrer chez toi, allégée de deux orgasmes… »
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