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Chauffeur de taxi, tout un métier

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
2.
    Je me dirigeais vers le perron de la maison en réajustant ma courte robe rouge sur mes hanches et m’apprêtais à rentrer à la maison avec mon profond sentiment paranoïaque. J’avais passé en revue tous les détails pouvant mener Julien à une quelconque conclusion sur ce qui s’était passé un peu plus tôt. J’avais réussi à me débarrasser de toute trace de sperme sur le visage, ce qui était à mon sens un premier exploit, quand je me souvins de la quantité de cette pate blanchâtre qui s’est écrasée sur mes joues. Le problème, c’est que mon sac avait été vidé par une satanée crapule, sûrement à l’aéroport, et je n’avais eu d’autre choix que d’essuyer les souillures de la soirée avec mon string blanc qu’il m’avait heureusement rendu. J’avais eus pourtant bien du mal à essuyer tout mon visage tant le foutre était épais et ma culotte trempée.
    J’étais seule devant ma porte d’entrée, et la voiture était partie depuis un bon moment. Pourtant je ne pouvais m’empêcher de repenser à ce qu’il venait de se passer. D’aucuns auraient qualifiés cet acte d’odieux, mais d’autres, dont je fais partie à l’évidence, trouveraient ça terriblement excitant. A l’instant où cet enfoiré de chauffeur avait insinué les quelconques actes que j’allais devoir réaliser pour me sortir de cet impasse, j’avais eu l’envie de déguerpir, peu importe ce qui m’attendait dehors. Pourtant, je ne l’ai pas fait, et j’ai de plus en plus de mal à regretter. D’ailleurs, le regard dans le vide de ma porte d’entrée, je me dis qu’il m’était inutile de me voiler la face. J’avais adoré être prise comme une vulgaire pute ramassée sur un trottoir. Ces mots dans ma tête commencèrent d’ailleurs à faire à nouveau couler ma vulve si sensible.
    Puis je sentis le chaud couler sur mes cuisses. « Merde ! ». J’avais complètement oublié que Paul m’avait complètement rempli le cul, et voilà que maintenant, à quelques mètres de mon mari, mon trou du cul se met à lâcher ce qu’il a ingurgité sans peine. J’avais bien pris garde à serrer les fesses pendant le trajet, mais mon soudain regain d’excitation eu l’effet d’une petite bombe qui m’ouvrait à nouveau de toute part. Je me sentais moite et chaude, alors que ce n’était ni l’endroit, ni le moment. Je tentai tant bien que mal de me ressaisir, mais c’est bien en peine que j’entendis mon mari à travers la porte d’entrée, relativement loin :
— Manon t’es arrivée ? J’ai cru entendre un taxi !
    Merde, j’entendais ses pas se rapprocher de plus en plus et j’avais cette trainée blanchâtre sur toute la hauteur de la cuisse ! Je me saisis du bas de cette robe que j’aimais tant et la tira vers le bas afin d’essuyer ma jambe comme je le pouvais.
— Chérie ? Je suis sûr d’avoir entendu les talons de sandales sur le perron ! ajouta Julien.
    J’entendais ses pas se rapprocher, et cette magnifique robe était trop courte. Les pas devaient se trouver à trois mètres de la porte, puis deux. Il allait soit ouvrir pour voir si j’étais là, soit regarder par le judas, voir que j’étais là, et ouvrir quand même. Pas le choix. De ma main droite, avec l’index, je raclai ma cuisse de bas en haut pour récolter tout le sperme malvenue, que je portai à ma bouche dans une moue écœurée. Je gobai tout en une fraction de seconde, ma jambe nickelle, et j’eus tout juste le temps de reprendre un sourire radieux avant de voir mon chéri ouvrir la porte.
    Je le trouvais magnifique avec son beau torse nu, et ses cheveux bruns coupés courts. Il me sourit et me sauta dans les bras pour m’embrasser. Evidemment je le repoussai après un ridicule petit smack, en me justifiant :
— Désolé bébé, j’ai fait une longue route et franchement je n’ai pas l’haleine très fraîche.
    Et hop, je retombais sur mes pattes. Sur mes pattes, mais clairement en appétit. Non mais je n’osais pas croire un instant que tout ceci m’avait excité à ce point ! Franchement, je me sentais chaude, ouverte et complètement hors de contrôle. J’avais envie que mon beau Julien me baise à nouveau, et après m’être brossée les dents pour pouvoir l’embrasser comme il se doit sans qu’il ne sente quelque chose d’anormal, je le rejoignis dans le salon et grimpai au-dessus et face à lui, les genoux écartés sur le canapé. Je l’avais ensuite regardé avec mon regard le plus sexy et avait guidé sa main vers mon entrecuisse trempé que je n’avais pas rhabillé. Heureusement pour moi, lui pensa que je venais juste d’enlever mon string pour lui faire plaisir. L’effet sur lui fût immédiat, et une fois son pantalon déboutonna, il me pénétra fougueusement comme-ci cela faisait deux semaine qu’il n’avait pas baisé. Et j’étaisen partie rassurée car j’étais bien partie depuis deux semaines en vacances, et ça m’aurait bien fait chier qu’il n’ait pas envie de tripotée ma peau claire fraîchement nacrée.
    Après trois quarts d’heure de baise intense pendant lesquelles il me prit en Andromaque, en Levrette sur le canapé, puis en Missionnaire en me levant les jambes dans un immense « V » triomphant – alors qu’il n’avait pris la peine de retirer ni ma robe, ni mes chaussures, il se décida à me remplir à son tour… Dans le minou cette fois-ci. J’étais ravie qu’il ne me prenne pas par les fesses, car j’aurais été bien en peine de lui expliquer pourquoi mon anus était encore aussi dilaté. Je le maintenais alors encore contre moi, sa queue qui rétrécissait tranquillement dans la chaleur humide de ma douce caverne. Nous nous embrassâmes passionnément, avec amour et tendresse, et je pris conscience que jamais il ne devrait avoir une quelconque connaissance de ce qui s’était passé sur mon trajet de retour en taxi.
    J’avais passé une nuit vraiment agitée, peinant à trouver le sommeil et plus encore à le maintenir. Les images de cette banquette arrière me revenaient sans cesse en tête. Je me revoyais encore protester de plus en plus timidement, vaincu par le désir qui s’était frayé un chemin entre mes cuisses un peu trop rapidement. Je suis une jeune femme bien éduquée, j’ai une vie de couple et une vie sexuelle rangée dans laquelle je m’amuse pleinement, et pourtant, ma chatte à vibrer toute la nuit en repensant à cette queue derrière la vitre qui avait craché son jus devant moi, à cette bite que j’avais pris dans le cul, et tout le reste. Jusqu’à ravaler le sperme fraîchement de mon cul, tout dans cette histoire m’excitais, c’était pire qu’un film porno. J’aurais dû me sentir souillée, abasourdie, mais nullement. J’avais l’impression d’être une putain de salope qui avait supplié des voyeurs de la baiser sur une aired’autoroute. C’est ce que je j’avais fait en tout cas. Je n’avais pas vraiment dit oui, mais je n’avais surtout pas dit non. Et plus j’y pensais, plus je prenais conscience que dire oui aurait ruiné le fantasme de beaucoup de femme qui est d’être un peu forcée (sans être vraiment obligée) avec un inconnu. Bref, j’avais adoré être sa salope.
***
    Le lendemain matin, je me réveillai collante, évidemment, et il fallait absolument que j’aille me laver. Je me suis levée, et j’ai couru jusqu’à la salle de bain, où je commençai à faire couler l’eau chaude. J’y ai passé plus de dix minutes à me tourmenter l’esprit, laissant mes mains savonneuses courir sur ma grosse poitrine et entre mes cuisses. Moi qui voulais me laver, je prenais un bien mauvais chemin. C’est donc fin propre mais toujours excitée que je quitte la douche pour aller me préparer. Julien dormait encore – il dormait pourtant rarement plus longtemps que moi, cette fois-ci sans doute parce que lui avait bien dormi. C’est donc nue et sur la pointe des pieds que je me redressais devant mon miroir pour commencer à appliquer crèmes, fards, et autres poudres sur mon joli visage d’ange. J’avoue que je m’aimais bien, je me trouvais plutôt jolie, et de ce fait, le miroir était un de mes complices favoris.C’est seulement lorsque j’appliquais mon fond de teint avec mon plus gros pinceau, alors que les dernières gouttes d’eau glissaient encore au creux de mes reins, que je vis julien arriver derrière moi. Je ne pus voir que son visage, mais il me parut de bonne humeur, et je me fendis donc d’un large sourire. Il vint se coller à moi, caressant la peau tendre de mes flancs et me faisant frissonner en m’embrassant dans le cou. En revanche, quand il pénétra ma petite chatte toujours humide de mes caresses dans ma douche, quand je sentis sa longue bite parcourir mon vagin de part en part, les frissons explosèrent, je me mis du fond de temps dans les cheveux et je gémi plus fort que ça ne m’était jamais arrivé – de surprise et de plaisir. Quelle bonheur d’être envahi par un membre si puissant sans s’y attendre ! J’eus l’impression que mon corps de répondais plus, et penchée sur le lavabo, je laissais Julien me faire l’amour alors même qu’il ne m’avait pas dit bonjour.
***
    Je me sentais de mieux en mieux. Sans oublié ma journée de la veille, mes deux rapports passionnés avec mon chéri m’avait clairement ouvert les yeux sur ce que je désirais vraiment. Ce qui s’était passé devait être oublié, et jamais plus je ne devrais y repenser, ou pire, réitérer. C’est guillerette et enfin propre que je quittais la maison et fermai la porte derrière moi. Je marchais, habillée d’une petite jupe blanche à volants et d’un top noir à strass mettant en valeur mes gros seins, chaussée de sandales à talons noires, en profitant des rayons du soleil déjà bien présent en ce début d’été. J’étais en chemin pour aller acheter des croissants pour Julien et moi, qu’on prenne enfin notre petit déjeuner ensemble après ma longue absence. « Hm, c’était vraiment torride ce matin dans la salle de bain »…
    Je me choquais toute seule. Je ne pensais plus qu’au cul, sans arrêt, et uniquement le cul. Les baises avec Julien, son torse, sa bite, ses mains… La bite du chauffeur. La bite du voyeur. La bite du deuxième voyeur. Leur jus sur la vitre, sur mon visage et dans mon cul. Putain, je ne pourrais jamais me défaire de ces idées ! C’est comme-ci depuis ce moment je n’étais plus Manon. Enfin, une autre Manon, complètement différente de cette que Julien avait laissé partir aux Maldives. Pourtant, là-bas le soleil, les grands noirs baraqués m’avaient vraiment tentée, mais je tenais à ma réputation de femme fidèle, et puis je n’avais aucun intérêt à tromper Julien alors que ce dernier était une vraie perle rare. Pourtant le fait était là, je me sentais salope, je voulais être une salope, et me faire traiter comme telle. Il allait falloir que j’ose demander à Julien de devenir plus rugueux avec moi, en espérant que çasuffise…
    Puis ma tête se vida, mon sang ne fit qu’un tour et ma culotte frissonna. Devant moi, un taxi garé, et à son bord un chauffeur qu’il me semblait connaître. En fait je savais déjà que je le connaissais, mais il était dur pour moi de me l’avouer tant la surprise faisait battre mon cœur. De stress, de peur et d’excitation. Il me faisait des signes par sa fenêtre, il n’était donc pas garé ici pour rien, et j’étais prête à parié que ce pervers avait retenu mon adresse pour m’y retrouver ! Il me fit signe d’approcher de la fenêtre passager qu’il avait ouverte. Je n’avais aucune idée de ce qu’il me voulait et j’avoue que même si j’avais pris mon pied le jour d’avant, le revoir ici, m’attendant à deux cent mètres de chez moi me fit vraiment peur. Et je n’étais pas au bout de mes surprises. Je me penchai par la fenêtre passager pour passer ma tête dans la voiture et écouter ce qu’il avait à me dire, lui offrant une vue imprenable sur mon décolleté.
— Bonjour Manon, tu te souviens de moi ? demanda-t-il.— Evidemment, vous voulez quoi ?— Toi. Monte s’il te plaît.
    Sa voix était étrangement douce. Trop douce. Ça sentait vraiment mauvais, et je n’avais aucune confiance en ce type. Aussi je refusais catégoriquement de monter dans sa voiture.
— Hors de question, taré va ! rétorquai-je
    Alors sans un mot, il prit son portable qu’il débloqua et me le mis sous le nez, m’obligeant à regarder une putain de photo. Merde.
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