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Ma chère sœur soumise

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Un soir, quelques jours avant Noël, nos parents s’étaient absentés pour se rendre à un dîner chez des amis, nous laissants seuls, ma sœur et moi. Ce n’était pas la première fois que cela arrivait, et nous avions pour habitude d’ouvrir une bière et de nous poser devant la télévision. Je dois bien admettre que nous avions un peu forcé sur la boisson, ce soir là, et nous commençâmes a parler de choses malsaines entre frère et sœur. Ce fut elle, Enora, qui commença a me demander si j’avais déjà couché avec une fille. J’éclatai alors de rire: mon innocent sœur, juste seize ans, qui interrogeait son frère, vingt ans, sur sa vie sexuelle! Mais comme je vis qu’elle restait absolument sérieuse, je me repris et lui avouai que parfois j’allais plus loin que simplement "coucher avec une fille". J’était bien décider a ne pas dévoiler d’avantage de détails quand elle me proposa de jouer aux cartes: si je perdais la partie, je lui dévoilerais une facette de ma vie sexuelle, tandis que si je gagnais, ce serait moi de lui imposer un gage. L’alcool aidant, j’eus l’audace d’accepter.Le jeu commença mal: je perdis deux parties de suite. Je lui parlai donc des 69, de la sodomie... Je vis dans ses yeux l’étonnement d’apprendre mes vices cachés, et cela me dit sourire. Puis, enfin, je gagnai une partie, et je me trouvai fort bête a ne pas savoir que lui ordonner... Elle tenta de m’encourager:
«Allez... Tu viens de me raconter des exploits sexuel... On ne se cache plus rien! Demande moi n’importe quoi, venge-toi de mes questions!»
Enhardi par ces encouragements, je lui demander d’aller ôter ses sous-vêtements. Elle quitta le salon pour sa chambre et revint peu de temps après, en t-shirt et short. Je voyais pointer ses petits seins a travers le t-shirt, preuve qu’elle avait respecter ma demande. Je crus un moment la voir rougir, et je me dis qu’elle de devait pas se promener souvent sans sous-vêtements. Nous fîmes une nouvelle partie, je perdis une nouvelle partie... Je décidai de lui raconter l’aventure que j’avais eue chez un ami, le week-end précédent, avec la jolie inconnue que tous les garçons de la fête avaient essayé d’avoir. C’est moi qu’elle avait choisi, finalement, et je découvrais par la suite que c’était la première fois qu’elle rencontrait l’amour. Toujours cette lueur amusante d’étonnement dans les yeux de ma sœur, lorsque nous entamâmes la quatrième partie, arrosée d’une nouvelle bière. Elle perdit à nouveau, d’une manière qui me laissait penser qu’elle avait fait exprès...
«D’accord, lui dis-je. Cette fois, je veux te voir te tripoter les seins!»
J’avais très peu d’imagination... Elle m’obéit a nouveau. Elle n’alla pas jusqu’à ôter son t-shirt, mais elle joua avec ses mamelons a travers, et se pressa légèrement les seins. Tandis que je voyais ses tétons pointer plus fort, je me rendis compte qu’elle riait, à m’obéir, et cela me surprit. Je la sentais prête a faire ce que je voulais...Lorsqu’elle perdit la fois suivante, devant mon mutisme gênant, elle me proposa:
«Je sais! Et si je me masturbais devant toi? Je suis sur que tu m’as jamais vu de fille le faire directement devant toi!»
Je ne lui avouai pas que c’était déjà arrivé, mais lui demandai plutôt:
«Euh... Tu es sur que tu devrais faire ça? C’est pas un peu mal?...-Mais non! Oh! Je croyais que tu osais tout! Mais bon, si tu es si coincé!...»
Devant sa réponse, je me tus un moment, puis finis par accepter. Elle me dit un grand sourire, puis commença par enlever son haut. Elle découvrit alors ses deux jolis petits seins. C’était une fille assez maigre, par conséquent sa poitrine n’était extraordinairement opulente. Enora ne fit rien pour me les cacher, et tacha t’ôter son short. J’admirai alors le sexe de ma sœur, rasé, bien lisse. Je me rendis alors compte, honteux, que j’avais une érection, et priai pour que ma sœur ne s’en rendît pas compte. Celle-ci se rassit, et entrepris de se caresser le clitoris, les jambes écartées. Elle eut tôt fait de s’introduire un doigt, puis deux, et effectua un va-et-vient avec sa main. Puis commencèrent les gémissements. On voyait a son visage qu’elle prenait vraiment du plaisir. De sa main libre, elle chercha ma jambe, a laquelle elle s’agrippa, tandis qu’elle entrait un troisième doigt et que les gémissements devenaient plus intenses. Moi, devant de spectacle, je ne savais plus si j’étais infiniment gêné ou comblé. La main qui tenait ma jambe remonta lentement, et atteignit mon entre-jambe. A travers le training, ma sœur agrippa mon pénis et commença a le caresser. Je sentis une vague de plaisir grimper en moi, tandis que les gémissements de ma sœur étaient devenus des cris. Puis, elle eut un orgasme, et arrêta tout. Elle resta un moment couchée, essoufflée, puis se redressa. Elle me jeta un coup d’œil en souriant.
«Ça t’a plu?»
Je ne répondis pas. Elle savait pertinemment que ça m’avais plu, mais j’en avais plutôt honte. Puis je me dis que c’avait été son idée, et que je n’avais nullement besoin de me sentir coupable. Je lui demandai:
«Tu as envie de continuer? Le jeu.-Évidemment! J’ai envie de connaître le reste de tes secrets!»
Elle ne les connu pas à la partie suivante, qu’elle perdit. Inspiré par l’événement qui venait de se produire, je lui dit d’aller sur la terrasse. Je l’y accompagnai, et une fois la-bas, je lui demandais d’ôter les vêtements qu’elle venait de remettre. Je vis que l’idée de ne lui plaisait pas, mais elle obéit néanmoins. Elle se retrouve nue sur la terrasse, qui était exposée à la vue de tout le quartier. Elle avait de la chance, car personne ne regardait par la fenêtre a ce moment-la.
«Tu as froid! lui dis-je. Un peu de mouvement, fais le tour du quartier comme ça!»
Enora ne souriait plus, mais elle accepta. Je n’aurais su dire si c’était pour m’impressionner ou pour me faire plaisir, mais elle y alla. Elle croisa même un passant en route, que la regarda d’un air pervers. Je l’arrêtai alors.
«Elle vous fait envie, ma sœur? demandai-je au passant. Allez-y, caressez-la»
Cette fois, je savais que j’atteignais un point de non retour. Je regardai le passant, un homme d’une trentaine d’année, malaxer les seins de ma petite sœur, qui souriait a nouveau, mais avec un sourire un peu forcé, et je me dis qu’elle serait prête a faire tout ce que je lui demanderais...
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