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Ma chère sœur soumise

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Le passant avait commençé par lui poser les mains sur ses seins, qu’il pressa avec avidité. Il s’attarda sur ses mamelons roses, qui étaient devenus extrêmement durs avec le froid. Il les pinça, les tira, approcha sa bouche et les mordit. Enora poussa un cri de douleur, mais l’homme continua a mâchouiller ces deux pointes. Une larme coula sur la joue de ma sœur, et je demandai au passant de passer a autre chose. Celui-ci claqua les seins de ma petite sœur, et, tout en gardant une main sur son sein gauche, commença a caresser le vagin de ma sœur. Celle-ci était visiblement gênée, au milieu de la rue, à se faire caresser son sexe par un inconnu, mais elle commença vite a ressentir de la jouissance. Juste au moment ou elle commençait a prendre beaucoup de plaisir, je remerciai le passant, lui disant de continuer son chemin. Je souris a l’idée de laisser ma sœur sur sa faim.Nous poursuivimes notre route sans croiser personne, et nous arrivames ensiute sur un parc vide.
«On va s’arrêter là un moment, dis-je à ma sœur. Je veux que tu te couche par terre.»
La neige était tombée, et ma sœur hésita beaucoup avant de s’allonger sur le sol. Elle était frigorifiée, mais je m’approchai d’elle, saisi une poignée de neige, et la lui posai sur le sexe. Elle hurla de surprise, tant la sensation était désagréable, et moi, je bandais à la voir souffrir. Nous découvrions ensemble mon côté pervers. Je la ramenai a la maison, où je lui fit une proposition.
«Elle t’as plu, cette soirée?-... Je crois oui...-Alors voilà ce que je te propose: poursuivre cette soirée sur une durée indéterminée. Désormais, tu obéiras a tous mes ordres, même s’il ne te font pas plaisir. Es-tu d’accord?-... Écoute, je sais pas si c’est une bonne idée...-Alors laisse-moi reformuler différemment: Tu es d’accord.-En fait j’ai pas le choix... Bon...-On commence demain, on n’a pas cours, on aura toute la journée!»
Le lendemain, nous nous réveillames après que les parents s’en soient allés. Je la trouvai anxieuse au salon, et je l’étais aussi. Je m’approchai d’elle, et elle me salua avec un petit sourire.
«Bon! Pour commencer, va te changer, tu ne vas pas passer la journée en pyjama! Et souviens-toi du premier ordre que je t’ai donné hier!»
Aucun sous-vêtements. Elle vint donc a moi en jeans et en t-shirt moulant, qui faisait apparaître la forme de ses seins. Elle s’assit a côté de moi.
«Debout! J’ai vu que tu te débrouillais bien hier, avec tes doigts... Je suis sur que tu as quelques jouets, non?»
J’avais penser toute la nuit à ce que j’allais lui faire faire. Elle rougit, lorsque je lui dit cette demande, et s’en alla chercher un gode assez long, et totalement rigide. Je m’en emparai, et lui ordonnai de retirer son jean. Elle refusa d’abord, je lui saisi le sein et pressai fortement dessus. Elle eut un petit cri de douleur, et se baissa pour ôter son pantalon. Elle était devant moi, avec son t-shirt moulant et son sexe a l’air. Je me rapprochai un peu d’elle et fit glisser le gode le long de sa cuisse. Sans préavis, je le lui dit rentrer entre ses cuisses serrées, avec un peu de peine. Elle eut un frisson de plaisir, et j’entre pris un va-et-vient dans son vagin, avec son jouet. Elle était toujours debout, et avait écarté les cuisses. Au moment où elle voulut s’asseoir, je lui dis:
«Stop! Je ne t’ai pas ordonné de t’asseoir! Tu fais ce que je te dit de faire, et uniquement!»
Elle resta donc debout, tout en jouissant, et je la sentis perdre des forces. Je faisais tout pour que le plaisir dure le plus longtemps, et elle commença alors a trembler. J’arrêtais tout, elle me regarda d’un air dépité.
«Bon! Après cette mise en train, il est temps de s’occuper mieux de toi! D’abord, tes petits seins!»
Sans que j’aie a le lui demander, elle retira son t-shirt, libérant sa maigre poitrine. J’allai chercher des élastiques assez serrés, et m’en servi pour entourer ses seins. Le diamètre était parfais: on voyait qu’elle souffrait, et ses petits seins jusqu’alors intacts commençaient déjà a rougir, mais un flot suffisant de sang pourrait encore circuler. Quand sa poitrine fut devenue suffisamment dur en rouge - en tirant sur le violet - j’accrochai a ses tétons devenus incroyablements durs des pincettes, et je la vis se mordre la lèvres pour ne pas crier. Puis, je m’attaquai à ses bras. J’attachais derrière son dos ses poignets, et resserai encore tout le long de ses pars avec de la ficelle. Ses bras étaient ainsi totalement immobilisés. Je la poussai en arrière, et elle de put se rattraper correctement, elle eut un peu mal. Je lui saisi les jambes et les relevai derrières sa têtes. Je les reliai aux bras, de sorte qu’elle ressemblait désormais à une sorte de boule difforme...
«J’ai mal... dit-elle.-Alors on va ajouter un peu de plaisir a ça!»
J’allais chercher son téléphone portable et lui fourrai dans le vagin. Puis, je composai son numéro, et on entendit bientôt son téléphone vibrer. Je laissai sonner un moment, afin que son plaisir vienne malgré sa douleur, qui était encore augmentée par la forme bizarre que prenait son sexe, avec son téléphone a l’intérieur. Puis elle jouit. Elle cria fort, et je bandai a voir ma sœur prisonnière, ayant du plaisir. J’arrêtais l’appel et prit une photo.
«Maintenant, si par hasard tu avais envie de tout arrêter, sache que j’ai le moyen de détruire ta vie sociale, alors réfléchi... Maintenant, écoute moi bien: dorénavant, c’est moi qui choisirai ta garde robe. Tu ne pourras mettre que ce qui se trouve dans ton armoire, et passer devant moi chaque jour avant de partir. J’ai la priorité sur toute chose: si je t’appel, tu viens, sans discussion. On va bien s’amuser tous les deux!...»
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