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Un cheval pas comme les autres

Chapitre 2

Zoophilie
Le vent gifle violemment mon visage. Mes bras nus sont gelés par le froid de la douce matinée. Le paysage autour de moi est désert. La rosée parsème encore l’herbe de la plaine. Il court. J’écoute avec fascination son lent galop, régulier, hypnotisant. Ma peau est en contact avec la sienne. Cela fait presque deux heures que je suis partie de la grange, mon sexe dégoulinant encore de la semence de Francis. Nous errons tous deux, heureux, surprenants amants au fin fond de la campagne. Au loin, la forêt est découpée par le jour pointant. Je me baisse et lui lèche lentement l’encolure. Il frémit, aime cette sensation. Déjà les premiers arbres passent à nos côtés. Il ralentit. Les heurts de ses sabots sur l’humus forestier se font plus lents. Les branches se font plus denses. Il s’arrête.  "Bon cheval."  Je descends pour le conduire par la bride. Quelques gouttes de cyprine tombent sur le sol. Mes pieds nus écrasent doucement les feuilles mortes. Soudain les arbres s’écartent, laissant place à une petite clairière parsemée d’herbe fraîche. La brise caresse mon visage. Je lève les yeux.  Un cheval noir se tient en face de moi. Ce n’est pas un cheval. C’est une jument. Une substance blanche et visqueuse dégouline de sa croupe. Ce n’est pas moi qu’elle regarde. C’est Francis. Et Francis, ce bon vieux Francis, la regarde aussi. Son sexe commence déjà à s’allonger lentement, encore lubrifié par ma propre mouille. D’un coup, je me sens triste. Francis, mon compagnon. Francis, mon partenaire. Francis, mon amant. Il se laissait conquérir par la première jument venue. C’était moi sa jument ! Je lève les yeux, et croise son regard. Il me fixe avec insistance. Sa queue bat au vent. Les larmes me montent aux yeux. Il détourne la tête et se dirige lentement vers la jument noire. Abattue, je le contemple tristement se dresser sur le dos de sa nouvelle amante, et fourrer prestement son braquemart déjà lubrifié par mes effluves génitales. Il déchaîne son désir sur mon animale rivale, ravi de pouvoir assouvir sa soif de sexe sur une membre de son espèce. Cela fait si longtemps qu’il n’avait pas vu une jument… Je me rappelle encore la fois où je l’avais rencontré. C’était il y a trois années exactement, un jeudi de juillet. Je me souviens que le même soleil brûlant enflammait le ciel du crépuscule. C’était si bon. Assise sur une souche, pendant que Francis se déchaîne sur sa jument, je me replonge dans mes souvenirs.
  "Maman ! Je suis rentrée !"Je balance avec rage mon sac de cours dans la cuisine. Enfin, le dernier cours de l’année ! Désormais, je pourrais me reposer chez moi en attendant de trouver un travail. Dès septembre, je rechercherai une annonce correspondant à ma formation de BAC +4. Mais en attendant, je profiterai des vacances. Ma mère n’arrive toujours pas. Je décide de monter la voir dans sa chambre. En montant l’escalier en bois qui grince beaucoup, j’entendais des bruits prouvant qu’elle était là. Je poussai la porte lentement.  Un homme était là. Ce n’était pas mon père, car il était mort sept ans auparavant. Celui-ci était brun, grand et musclé, mais surtout, il était nu. Et à cheval sur ma mère qui me regardait en cherchant comment m’expliquer ce qui se passait devant moi. Alors, j’ai regardé ma mère dans les yeux, puis j’ai fermé la porte. Je suis allé dans ma chambre, tout au bout à droite du couloir. Je suis entré et j’ai verrouillé la serrure. Je me suis entièrement déshabillé, puis je me suis couché sur mon lit. J’ai branché la musique à fond. Comme par hasard, c’était Girls just wanna have fun qui passait à ce moment précis. J’entamai alors une masturbation torride, en pensant bien fort à Jason, sur qui je fantasmais depuis le début de l’année. Je n’avais même pas réussi à avoir son numéro, mais j’avais toujours son visage dans ma tête. Rapidement, mon clitoris s’était contracté, et ma cave s’était humidifiée. L’orgasme arriva vite.  Je ramassai mes habits, et les enfilai. Une tache de mouille se forma sur mon jean bleu clair. Je décidais d’enfiler une jupe à la place. Puis, dans un fantasme torride, je décidai de ne pas mettre de culotte dessous. Ensuite je sortis.  L’air chaud courrait sur mes jambes nues. Je marchais sans me presser, soulagée de ne plus sentir le poids de mon sac sur mes épaules. Un peu de cyprine dégoulinait le long de ma cuisse gauche. Je tournai au virage de la boulangerie Dupont, et soudain je le vis. Jason. Mais pas seulement. Il embrassait sensuellement une jeune fille de ma classe, Johanna. Pétrifiée par cette vision, je m’immobilisai, incapable de manifester ma présence à Jason. Je voulais qu’il arrête d’embrasser cette fille, je le voulais pour moi. Toute l’année, j’avais attendu le moment où il poserait ses lèvres sur le miennes. J’avais compris brusquement que cela n’arriverai jamais. Je fis volte-face, et me mis à courir. Courir pour m’enfuir loin de ce monde. Loin des trahisons, des infidélités et des cœurs brisés.  Je ne sais pas comment, mais j’ai fini par arriver à la grange des Marnier. C’était à deux kilomètres de ma maison, et je songeai à repartir avant qu’il ne fasse nuit, mais soudain j’aperçus dans le champ une scène qui me choqua pour le restant de mes jours. Un cheval blanc était affalé sur une jument noire, son sexe dressé. Même à quelques mètres, je pouvais voir cet engin d’une taille ahurissante s’agiter sans réussir à s’enfoncer dans la chatte de la femelle. Encore perturbée par les rebondissements de la journée, je décidai de me rapprocher pour voir la scène de plus près. Le pénis de l’animal mesurait environ une vingtaine de centimètres, et continuait de s’allonger tandis que l’équidé tentait de saillir sa partenaire. Cependant, malgré ses efforts, il n’arrivait pas à la pénétrer. Alors, je m’approchai lentement. Je ne réalisai pas à cet instant précis la folie que représentait l’action que j’allais réaliser. Les deux amoureux ne semblaient pas m’avoir remarquée. Je m’approchai du mâle par derrière. Lui remuait toujours dans l’espoir de réussir à enfoncer sa conjointe. Et soudain je l’ai fait. J’ai saisi le sexe imposant du cheval blanc. Son contact m’électrisa. En un instant, un courant me parcouru tout le corps, et je fus paralysée. L’étalon ne bougeait plus. Lui aussi était saisi par ce contact. Il descendit de sa femelle. Celle-ci, sans doute lassée de la lenteur de son amant, se dirigea au trot vers un autre mâle susceptible d’assouvir ses envies. Le cheval blanc me regarda. Son regard était profond, intense. Je ne pouvais pas retirer mes yeux des siens. C’est alors que je me rendis compte que j’empoignais toujours sa verge. Celle-ci était parcourue de frissons réguliers, rapides. Une grosse veine la parcourait dans toute sa longueur. J’ai replongé mes yeux dans ceux de l’animal. Et alors j’eus l’idée la plus folle de toute ma vie. J’entamai un mouvement lent autour du membre contracté de l’étalon. Celui-ci s’agita, hennit doucement. Je n’avais jamais branlé un humain. J’aurai aimé le faire sur Jason, mais désormais je savais que ce serait impossible. Alors, de plus en plus excitée, je continuai de masturber le cheval, dont la bite devenait toujours plus dure et plus longue. Pour plus de facilité, je me plaçai sous lui, agenouillée, ma tête en face de son organe. Soudain, je le sentis se contracter. Je savais ce qui allait se passer. Terrifiée, je lâchai le sexe du cheval, qui, défiant la gravité, s’aligna avec mon visage. Horrifiée devant ce sexe énorme en gros plan, j’ouvrai la bouche pour crier, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Au même moment, le cheval a juté un liquide blanc, épais, à l’odeur forte. Sa semence gicla sur mon visage, dans ma bouche ouverte, dans mes cheveux coiffés avec amour. Le nectar envahit ma gorge, l’emplit de son musc intense puant le foin, dégringola dans mon estomac. Je tentai d’ouvrir les yeux à travers le flot de sperme qui coulait sur mon visage. La semence de l’animal s’écoulait en un torrent continu, semblant ne jamais vouloir s’arrêter. Le nectar giclait sur ma veste, ma jupe, mes jambes nues. Je devais l’arrêter. Mais comment ? Une idée atroce germa dans mon esprit. Un instant je la rejetais, mais devant le flot éternel salissant mon corps, je l’adoptai. J’ouvris la bouche, et englobai la bite gonflée de l’étalon. Aussitôt je sentis l’incroyable puissance du torrent de sperme s’échappant du braquemart du cheval. Le liquide frappait le fond de ma gorge avec violence, si bien que je devais lutter pour garder mes lèvres sur l’énorme gland qui se dressait de toute sa hauteur. Enfin, après quelques interminables secondes, le courant s’arrêta. Lentement, je retirai mon visage, guettant un nouvel assaut. Je baissai la tête, pour contempler les dégâts. Ma veste en jean, offerte par ma mère à mon vingt-troisième anniversaire, était collante, et toute sa couleur avait été remplacée par du blanc coulant. Ma jupe était encore pire, souillée de semence et d’herbe sèche. Soudain je sentis quelque chose couler là où ça n’aurait pas dû. Je retirai ma jupette en vitesse.  "Oh, non !"Du sperme avait coulé entre ma peau et ma jupe, et pénétrait dans ma chatte trempée de cyprine. Je me mordais la lèvre, faisant couler un peu plus de semence animale le long de mon menton. Pouvais-je tomber enceinte ou malade si du sperme bestial souillait mon intimité ? Effrayée, je m’allongeai dans l’herbe pour réfléchir. Mais ce faisant je heurtai ma tête à une paire de chaussures. Je me retournai.  Le vieux Marnier se tenait campé sur ses jambes, la braguette baissée, la bite entre les mains. Il me regardait avec des grands yeux, et je supposai qu’il ne m’avait pas reconnue de dos. Je fuyais son regard, et mes yeux se posèrent sur son sexe fripé encore gonflé qu’il tenait d’une main ferme. Cela faisait trop de bites que je voyais aujourd’hui. Épuisée par les évènements, je laissai tomber ma tête en arrière, et fermai les yeux pour ce que j’espérais être la dernière fois.

En espérant que mon histoire vous aura plus.Jenny Starks et Francis sont des personnages de fiction. Toute ressemblance avec la réalité est purement fortuite.
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