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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 5

Chez Denise

Hétéro
Encore à moitié endormi, je commence doucement à émerger, aidé en cela par la lumière du soleil. La lumière du soleil... Je n’ai pas pour habitude de dormir les volets ouverts, il ne devrait pas y avoir de soleil... Et je me souviens soudain où je suis, et aussi de la soirée passée hier. Chez Jenny avec Julien, le glory-hole à l’institut de beauté et puis pour finir la nuit (restante) en agréable compagnie. Mon mètre 90 est bien étalé sur le canapé, ce qui, du coup, me pousse à regarder à côté de moi. Pas de Jenny, je suis seul, recouvert à moitié par la fine couverture. Commençant à m’étirer, je me rends bien vite compte que, comme très souvent quand je me réveille, me voilà l’heureux propriétaire d’une très belle érection matinale ! Je jette un œil sous la couverture et en effet, mon sexe est fièrement dressé, le gland pointant vers moi. Je le prends en main pour en constater la belle fermeté et, si je n’ai pas pour habitude de me faire jouir au réveil, j’aime néanmoins me branler doucement quelques minutes, ne serait-ce que pour soulager cette vive tension.
Soudain, une voix se fait entendre :
— Bien dormi ?
Je m’assois brusquement sur le canapé tout en cachant mon sexe tendu à l’aide de la couverture. Je vois alors Denise dans l’encadrement de la baie vitrée, tenant une tasse de café et me souriant tout en me regardant.
— Euh, oui, oui, très bien merci ! Bredouillai-je, surpris.
Je ne l’avais pas remarqué et je ne sais pas depuis combien de temps elle m’observait.
— Tu veux un café ?— Oui, avec plaisir, ça m’aidera à me réveiller, merci !
Elle me sourit puis fait demi-tour et prend la direction de la cuisine. J’en profite pour vite chercher mes affaires, histoire de ne pas rester à poil. Je regarde par terre, sur les chaises, rien, mon pantalon n’est pas là, je suis pourtant sûr de l’avoir posé sur une chaise avant de me coucher. Quant à mon boxer, aucune trace non plus. J’ai le souvenir que Jenny me l’a baissé pour me sucer, mais je ne l’ai pas remonté après ça et me suis endormi direct. Peut-être a-t-il glissé le long de mes jambes durant la nuit... Je cherche rapidement sur le canapé et par terre, rien. Je n’ai pas le temps de pousser plus loin mes recherches que j’entends Denise revenir. Je m’assois donc sur le bord du canapé, la couverture posée sur mes cuisses et cachant ma queue toujours en érection. Denise entre sur la terrasse et me tend la tasse :
— Merci beaucoup !
Elle s’assoit sur une chaise à quelques pas de moi. Elle est toujours habillée de la même robe de chambre en soie de la veille, sauf que cette fois-ci, elle est particulièrement échancrée, donnant une vue somptueuse sur une bonne partie de sa poitrine généreuse, ses auréoles dépassant très légèrement du tissu et ses tétons épais pointant au travers de celui-ci. Plus bas, c’est sensiblement la même chose, elle croise les jambes et ne prend pas la peine de les recouvrir si bien que j’ai à ma vue l’intégralité d’une de ses jambes avec en prime la naissance de sa fesse, étant assise sur le rebord de la chaise.Voilà qui ne va pas arranger mon érection...
— Jenny est partie ? Demandai-je en buvant à ma tasse ;— Oui, elle est partie assez tôt, elle avait pas mal à faire ce matin. D’ailleurs, il faudra que tu l’appelles une fois rentré chez toi.— D’accord. Quelle heure est-il ?
— Presque 9h30 ;— La vache, j’ai bien dormi !!— Vu la soirée que vous avez passée et l’heure à laquelle vous vous êtes couchés, c’est bien normal !— Oui, mais bon, je ne veux pas abuser de votre hospitalité non plus ;— Mais non voyons, tu ne me déranges pas ! Et tu peux me tutoyer au passage ; me dit-elle en m’envoyant un clin d’œil ;— D’accord Denise !
Elle se retourne alors pour tendre le bras et entrouvrir une fenêtre. Pour ce faire, elle décroise les jambes et m’offre une superbe vue sur sa chatte. Son pubis est recouvert d’une belle toison châtain foncée et de belles lèvres légèrement brunies sont visibles, bien écartées, dessinant agréablement l’entrée de son antre. Je ne peux m’empêcher d’admirer cette vue s’offrant à moi, mon sexe toujours tendu commençant à laisser s’échapper quelques gouttes trahissant mon excitation du moment. Elle se retourne et je me mets alors à siroter mon café, avalant ce qu’il restait d’une traite.
— Tu veux aller prendre une douche ? Me demande-t-elle ; tu dois avoir envie de te rafraîchir ;— Euh, oui, ça me ferait du bien, mais je ne veux pas abuser ;— Mais non tu n’abuses pas, ne t’inquiètes pas ! Dit-elle en se levant ; tu as une serviette à disposition et tes affaires pliées t’attendent dans la salle de bain.— Oh, merci, je me demandais où elles étaient !
Elle me sourit, puis rajoute :
— Si ça ne te dérange pas, je vais récupérer la couverture histoire de pouvoir lancer une machine.
Elle me tend alors la main en me souriant. Elle sait pertinemment que je suis nu vu qu’elle a plié mes affaires... Inutile de jouer le timide de toute façon !
— Bien sûr, tiens.
Je lui tends la couverture, dévoilant par là même mon sexe toujours tendu. Elle l’attrape tout en jetant un œil à mon entrejambe. Elle me regarde ensuite, me sourit puis fait demi-tour.
— Suis-moi !
Je me lève et la suis à quelques pas. Je peux sentir une goutte de mouille couler le long de ma queue. Je meurs d’envie de lui arracher sa robe pour qu’elle soit tout aussi nue que moi...Elle se retourne et m’indique la salle de bain. Je passe à quelques centimètres d’elle, ma queue frôlant le tissu en soie de sa robe de chambre. Une fois entré, je me contente de repousser la porte en la laissant largement entrouverte, jetant un œil pour la voir entrer dans une autre pièce, la couverture en main. Mes affaires sont posées sur un petit banc en bois faisant face à une belle douche italienne, une barre fixée au mur sur le côté accueillant des serviettes. Je rentre dans la douche et commence à ouvrir les robinets pour régler la température de l’eau. Une fois fait, je me mets sous la pluie bien chaude ; hmmmmm, que ça fait du bien...Je prends le temps de me mouiller tout le corps, savourant la chaleur de la douche, puis j’entends, venant de derrière moi :
— Tu permets ?
Je me retourne et vois Denise, face à moi, toujours vêtue de sa robe de chambre.
— Tu es chez toi, c’est ta douche, lui dis-je en souriant ;
Elle desserre la fine ceinture maintenant sa robe fermée et la laisse glisser le long de ses jambes, dévoilant enfin son corps. Ses seins semblent lourds et ses tétons bien épais, un léger espace se dessinant entre ses deux belles mamelles, je ne peux qu’imaginer ma queue venir y prendre place, bien au chaud entourée par ses seins matures. Elle a des hanches larges et de belles cuisses, le tout semblant assez ferme, son sexe recouvert en parti par une belle toison. Si la tendance du moment est à l’épilation totale (comme Jenny), j’aime quand même aussi les chattes poilues, si tant est que le tapis de poils soit un minimum entretenu, ce qui est le cas de Denise.Elle s’approche de moi et je me décale pour la laisser prendre place sous la douche.
— Mmmmm, je vois que tu es comme moi, tu aimes l’eau bien chaude ! Me dit-elle.
Elle se mouille tout le corps, prenant soin de passer ses mains partout sur elle. Je ne peux m’empêcher d’admirer l’eau coulant entre ses seins, suivant chaque courbe de son corps et imbibant les poils de son pubis. Elle décale ensuite le jet d’eau sur le côté, attrape un tube de gel douche posé sur un rebord un peu plus bas, en verse une bonne dose au creux de sa main et vient commencer à l’étaler sur mon torse, montant, descendant, frottant ma peau, passant sous mes aisselles et n’oubliant pas mes bras. Elle descend ensuite ses mains sur mes hanches et revient devant, passant délicatement sa main recouverte de mousse sur mon sexe, toujours dur. Elle le caresse de haut en bas, le passant entre ses doigts, pour ensuite venir me masser les couilles et me caresser le périnée, jusqu’à la limite de mon anus. Ma queue recouverte de mousse, elle s’agenouille pour continuer de me savonner les jambes, jusqu’aux mollets, puis elle se relève et vient se coller complètement à moi, passant ses mains dans mon dos, me frottant délicatement.
Sa lourde poitrine collée à moi roule sur mon torse à la mesure de ses gestes, ma queue tendue plaquée sur le bas de son ventre et mes couilles caressant son tapis de poils. Elle descend ses mains sur mes fesses :
— Hmmm, en voilà un beau petit cul bien ferme... Lance-t-elle en me le massant, ses doigts allant et venant entre mes fesses.
J’attrape à mon tour le gel douche et en mets dans ma main. Elle se retourne alors et vient se coller dos à moi. Je l’enlace de mes bras, venant commencer par étaler le gel sur son ventre avant de remonter mes mains vers ses seins. Sa tête posée au creux de mon épaule, je me mets à lui masser la poitrine, ses seins débordant allègrement de mes mains pourtant assez grandes. Elle a les yeux fermés et gémit presque imperceptiblement tout en ondulant légèrement ses hanches, ce qui a pour effet de masser ma bite, coincée entre mon ventre et son cul. Je passe ma main dans son cou, l’entourant de mes doigts, elle se met alors à placer ses mains sur le bas de mon dos ainsi que sur mes fesses, me massant et me caressant du bout de ses doigts. Je descends ensuite sur ses cuisses en remontant par l’intérieur de celle-ci jusqu’à entrer en contact avec son sexe. Elle frissonne quand le dos de mes mains vient appuyer de part et d’autre de son sexe. Je lui caresse les cuisses comme ça un moment avant de venir passer ma main sur sa chatte, la recouvrant entièrement.
Elle se met à gémir plus franchement, venant passer sa main derrière ma tête et dans mes cheveux. Elle décale alors ses hanches de moi et vient se saisir de ma queue pour commencer à me branler. Je continue à lui caresser la chatte, pinçant et faisant rouler délicatement ses lèvres charnues entre mes doigts, lui caressant le clitoris. D’une de mes mains, je passe sur ses fesses et commence à les caresser, mes doigts couverts de mousse passant dans son sillon interfessier, je passe sur son anus et continue jusqu’à rejoindre mon autre main, toujours occupée sur sa chatte. Sa tête toujours posée sur mon épaule, elle a les yeux fermés, savourant mes caresses en se mordillant les lèvres tout en branlant doucement mon sexe. De son autre main, elle vient attraper la tête de douche, orientant sur nous le jet d’eau. L’eau commençant à nous rincer, elle se retourne et se met à faire courir ses mains sur mon corps afin d’enlever la mousse, je fais de même de mon côté, passant mes doigts sur et entre ses seins, sur son ventre et enfin sa chatte.
Comme lorsqu’elle m’a savonné, elle vient se coller à moi pour finir de me rincer, l’eau se mettant à couler sur son dos, je lui attrape ses deux belles fesses pour les caresser, évacuant le savon se trouvant encore entre celle-ci. Tout en faisant de même de son côté, elle se met à embrasser et à mordiller la peau de mon épaule tout en me griffant légèrement les fesses. Je la repousse alors, attrape le pommeau de douche et, me mettant à genoux, je viens passer le jet sur sa chatte. Elle se met à gémir plus franchement en sentant le jet d’eau s’écraser sur son sexe, s’appuyant contre le mur de la douche et venant poser son pied sur le rebord afin de m’offrir un accès plus aisé. Je passe le jet tout en la caressant de mon autre main, traquant la moindre trace de mousse encore présente dans sa toison et entre ses lèvres. Je les pince entre mes doigts, les faisant glisser une à une en passant le jet d’eau dessus. Denise gémit toujours plus fort, ondulant doucement son bassin, sa main dans mes cheveux, elle savoure mes caresses.
Une fois la mousse enlevée, je viens commencer à lui lécher la chatte, passant ma langue entre ses lèvres et appuyant jusqu’à trouver l’entrée de son sexe.« mmmmm ouiiiiii » gémit-elle tout en se massant la poitrine.
Positionnant le jet d’eau au niveau de son clito, je me mets à la pénétrer à l’aide de deux, puis trois de mes doigts. Ses gémissements deviennent de plus en plus saccadés et, presque instinctivement, elle se met à monter et descendre sur mes doigts. Puis, je me retire d’elle et me relève pour venir prendre ma bite en main et frotter mon gland entre ses lèvres, l’eau coulant toujours à flots sur son sexe. Elle s’appuie alors un peu plus contre le mur, avance son bassin vers moi et écarte ses jambes pour me permettre de la prendre. Je repose le pommeau de douche et la pénètre en agrippant ses larges cuisses, gémissant de satisfaction en sentant ma queue entrer en elle. Elle passe ses mains autour de mon cou pour se maintenir à moi et éviter de glisser à cause de mes pénétrations appuyées la faisant toujours plus gémir. Elle me regarde à travers ses cheveux trempés barrant une bonne partie de son visage et se lèche les lèvres de satisfaction, je ne peux alors m’empêcher d’aller l’embrasser, suçant sa langue avant de plonger la mienne dans sa bouche.
J’accélère encore mes mouvements, la sentant gémir plus fort, me mordant presque la langue, agrippée qu’elle est à mon cou. Puis je ralentis mes coups de reins, la pénétrant à présent lentement. Elle relâche son étreinte, me permettant d’aller m’occuper de ses lourdes mamelles. Une par une, je les lèche et viens emprisonner entre mes lèvres ses tétons, les aspirant comme un enfant qui tête sa mère, tout en lui massant les seins, alternant l’un, puis l’autre. Elle retire d’elle-même ma bite de sa chatte et commence à frotter mon gland sur sa toison. J’adore cette sensation, ses poils venant me gratter doucement le frein, je savoure tout en continuant à lui manger la poitrine.Après quelques instants comme ça, elle finit par me repousser pour se mettre à genoux devant moi et venir m’embrasser le sexe tout en me branlant lentement, la fine pluie de la douche venant s’écraser sur ses épaules. Puis, elle vient gober ma bite entièrement, sa bouche chaude est délicieuse, si délicieuse que ça me dit quelque chose... Cette manière de me sucer me fait furieusement penser à une des deux bouches qui se sont occupées de moi la veille, derrière la cloison...
— Mmmmmmmm, je connais cette bouche, je suis sûr que ce n’est pas la première fois qu’elle s’occupe de moi...
Elle lève le regard vers moi et, tout en me suçotant le gland, elle m’adresse un clin d’œil qui veut tout dire. C’était donc elle derrière le glory-hole. Pour sûr que je préfère largement pouvoir l’admirer en train de s’occuper de ma queue ! Elle me suce délicieusement, s’occupant de chaque millimètre de ma bite, me massant les couilles avant de venir me les lécher et les gober une à une, tout en me branlant. Au fur et à mesure, elle accélère la fellation, me suçant en agrippant mes fesses de ses mains, rapidement et tout en aspirant, ses joues formant un beau creux à chaque va-et-vient. Puis elle arrête et prend ma queue en main pour la lécher tout en me lançant un regard empli d’envie et de gourmandise.Elle se relève ensuite et vient se pencher, se tenant à la barre de douche, le jet d’eau venant couler sur son dos et ses fesses. Elle écarte un peu les jambes et je viens alors m’accroupir pour passer ma langue sur sa chatte, entre ses lèvres, avant de remonter sur son cul, et je me relève et viens lui pénétrer la chatte. Elle gémit, me sentant la prendre entièrement, l’eau qui coule en cascade sur sa croupe vient éclabousser à chaque fois que ma peau vient claquer contre la sienne, son gros cul vibrant et tremblant à chacun de mes assauts. Elle ne cesse de lancer de petits cris, s’accrochant fermement à la barre de douche. J’agrippe alors ses hanches et me mets à la pénétrer rapidement et puissamment, déclenchant chez elle des gémissements beaucoup plus sonores, entrecoupés de mots exprimant sa satisfaction et m’en demandant toujours plus, la voix tremblante. Je continue cette puissante pénétration encore quelques instants avant de m’immobiliser entièrement en elle, finissant de la faire crier.
Je lui attrape les seins et la fais venir contre moi, lui massant les nichons tout en l’embrassant dans le cou, faisant de nouveau de lents va-et-vient en prenant soin de bien utiliser toute la longueur de mon sexe. Je me mets de nouveau à la pénétrer plus vite, ses mains venant agripper mes fesses, accompagnant, et même appuyant, la pénétration. Je suis si bien dans sa chatte bien chaude, ses lèvres entourant si délicieusement ma bite...Puis, elle tourne sa tête vers moi et vient m’embrasser tout en retirant mon sexe du sien. Elle se cambre alors légèrement et me branle un peu avant de passer mon gland sur son cul. Je lâche ses seins et viens écarter ses fesses et, d’elle-même, elle vient chercher son anus à l’aide de mon gland. Une fois celui-ci calé à l’entrée de son cul, je viens avancer doucement mon bassin, l’enculant lentement. Si la veille elle avait eu besoin de gel, il n’en fut rien ici, l’eau dégoulinant en cascade sur nos corps faisant bien office de lubrifiant. Sentant ma bite dilater son anus, elle gémit, sa langue toujours dans ma bouche. Je viens de nouveau agripper sa lourde poitrine tout en la sodomisant profondément, déclenchant chez elle de retentissants gémissements à chaque fois que ma bite est entièrement en elle.Elle finit par se pencher à nouveau, agrippant la barre de douche, mes mains venant tenir son cul, je me mets à la pilonner durement, l’obligeant à se tenir fermement tout en gémissant toujours plus fort, gémissements se transformant en cris quand je me mets à l’enculer plus puissamment encore, mes mains giflant ses fesses tremblantes. Ma queue sort de son cul par accident et elle s’empresse de venir la remettre bien en elle, me suppliant de continuer à la prendre aussi fort, ce que je ne me fais pas prier de faire, son anus à présent bien dilaté accueillant sans effort mon sexe tendu à bloc. C’est un délice que de la voir s’agiter et crier sous mes yeux, je peux aussi voir ses seins ballotter dans tous les sens, au hasard des mouvements de son buste et des assauts de ma queue.
— Je vais venir, balbutiai-je d’une voix tremblante.
Elle se redresse alors et me fait asseoir sur le petit rebord. Trop petit pour accueillir mes fesses, je m’y maintiens à l’aide de mes mains, et elle vient s’accroupir entre mes jambes, venant mettre mon sexe sur le point d’exploser entre ses seins. Elle emprisonne ma bite et se met à me branler avec ferveur, ses mamelles faisant office de fourreau. Elle fait quelques rapides mouvements puis, sous un long râle de jouissance, mon gland finit par cracher de belles giclées venant lui souiller le bas du visage et le cou, le sperme venant aussi couler entre ses seins enserrant toujours mon sexe, je peux sentir la chaleur de ma semence s’étalant sur ma queue. Elle prend alors ma bite dans sa bouche, me suçant tout en savourant le sperme l’ayant imbibé, elle passe sa langue partout, consciencieusement, sa poitrine souillée de sécrétions continuant à dégouliner sur et entre ses seins. Elle n’arrête pas de me sucer, continuant doucement en me massant les testicules. Puis, elle sort ma queue de sa bouche :
— Désolé, je suis très gourmande, me dit-elle en se léchant les doigts.
Elle sourit et se relève, mettant son corps sous le jet d’eau pour se rincer. Je me lève à mon tour et me mets face à elle afin de l’aider dans sa tâche. Je passe ma main dans son cou et sur et entre ses seins afin de la débarrasser de mon sperme. Ce faisant, je ne peux m’empêcher d’aller lui sucer ses beaux tétons, elle se met alors à me caresser les cheveux tout en nettoyant mon sexe de son autre main. Nous restons comme ça, à nous caresser mutuellement, d’une manière beaucoup plus douce cette fois :
— Alors c’était donc toi hier derrière la cloison... lui dis-je ;— Eh oui, j’aime bien commencer par le glory-hole avec quelqu’un que je ne connais pas encore, et si ça me satisfait, alors je passe en direct dès que j’en ai l’occasion !— Et la deuxième coquine ?— Comment l’as-tu trouvé ?— Elle est douée, son piercing est un gros plus, mais elle est un peu... fougueuse on va dire !!
Elle rigole :
— Oui, elle est encore jeune, elle apprend !— Euh, jeune comment ??— Ahah, ne t’inquiète pas, elle est majeure. C’est Marion, elle travaille au salon avec moi. Elle a 22 ans, elle est bi mais elle a surtout connu des nanas et a un peu de mal avec les mecs, donc je l’habitue comme ça. Tu es sa première queue depuis longtemps et elle a bien apprécié, elle a hâte de recommencer !!— Elle a un bon professeur, ça ne devrait que bien se passer pour elle !!
Elle me sourit et nous continuons à nous caresser mutuellement.
— Je peux te poser une question peut-être un peu... indiscrète ? Lui demandai-je ;— Mais bien sûr !!— Est-ce que je peux connaître ton âge ?— J’ai 54 ans mon chou !!— Et bien tu ne les fais pas, tu as vraiment un superbe corps, nombre de femmes de ton âge rêverait d’avoir des formes comme les tiennes !!— Tu es mignon, me dit-elle avant de déposer un petit baiser sur mes lèvres, c’est un corps d’esthéticienne, je sais l’entretenir et j’essaie de faire un peu de sport quand je peux, je vais parfois courir avec Jenny d’ailleurs, histoire de garder un semblant de ligne et de raffermir le tout, j’ai un peu pris ces temps-ci, continue-t-elle en se touchant les hanches et les fesses ;— Non, tu es parfaite, tu as de belles formes et je préfère avoir de quoi toucher !! Lui dis-je en mettant ma main sur son cul pour lui pincer la peau ;— C’est très gentil de ta part, j’ai pris beaucoup de plaisir avec toi entre hier et aujourd’hui, me dit-elle en caressant de nouveau mon sexe, ma queue plus molle se promenant entre ses doigts.
Puis, elle sort de la douche et attrape une serviette. Je l’admire alors en train de se sécher, faisant courir la serviette sur ses jambes, ses seins, ses fesses, j’aime vraiment son beau corps de femme mûre. Je n’ai toujours eu de relations sexuelles qu’avec des nanas autour de mon âge, et de me taper une femme de son âge m’a vraiment beaucoup plus. Je la regarde encore avec gourmandise alors qu’elle repose la serviette sur la barre avant de se diriger vers le lavabo. Toujours sous le jet d’eau, je ne vois que son ombre floue à travers la vitre embuée de la douche, et cela suffit à commencer à doucement faire remonter mon sexe. Je le prends entre mes doigts pour me caresser, devinant toujours son corps bougeant derrière la vitre. L’eau me coulant dessus, les caresses de ma main ainsi que mes fantasmes sur Denise finissent par me faire bander de nouveau.Je la veux encore.Je coupe l’eau et sors de la douche, mon sexe calé au creux de ma main, de nouveau tendu et bien droit. Elle est devant le miroir en train de sécher ses cheveux, légèrement penché en avant pour se voir un peu mieux dans le miroir, lui aussi embué. Son cul est devant moi, remuant à chacun de ses mouvements. Mmmmmmm, sa chatte, que je peux deviner, semble me supplier de venir y mettre ma queue. Je vais l’honorer une nouvelle fois. Elle ne me voit pas arriver, concentrer qu’elle est sur son séchage, et après avoir mis un peu de salive sur mon gland, je m’approche et viens la pénétrer sans prendre la peine de la prévenir.
— Oh !!! dit-elle en se redressant, sentant mon sexe entrer en elle.
Elle lâche la serviette qui tombe dans le lavabo et tourne sa tête vers moi. Son regard, d’abord surpris, se transforme en excitation à mesure que je la pilonne en levrette. J’accélère mes mouvements, agrippant un de ses seins pour pincer son téton bien dur, lui claquant les fesses de mon autre main. Cela la fait gémir et elle me dit :
— Mmmmmmm oui, cravache mon gros cul, vas-y !!!
Nous sommes tous les deux comme dans un état second, je la baise sans retenue et elle aime ça, en rajoutant encore :
— Vas-y, je suis ta chienne, défonce-moi !!!!
Je l’attrape par les épaules, la redressant tout en la baisant en profondeur, mon pubis claquant violemment contre son cul, ma bite ne semble pas vouloir s’arrêter de la pilonner, elle ne cesse de m’encourager :
— Oui, oui, tu vas me faire jouir, défonce-moi, continue !!!
Cette phrase me fait encore accélérer, la lâchant pour agripper ses fesses, elle retombe, la tête quasiment dans le lavabo, je la prends sans retenue, sans douceur et elle aime ça, ses cris résonnant sur les parois du lavabo et envahissant la salle de bain et même l’appartement tout entier. Si elle a des voisins, il est quasiment sûr qu’ils nous entendent ! Elle crie toujours sous mes assauts répétés, ses seins, appuyés sur le meuble, débordent sur les côtés. Tout en la pilonnant, je lui hurle :
— Tu l’aimes ma queue espèce de chienne ??— Han oui, j’aime la sentir me défoncer, c’est trop bon !!!!
Je me retire d’elle et la fais mettre à genoux :
— Maintenant suce-moi !!!
A peine a-t-elle le temps d’ouvrir la bouche que ma queue s’engouffre en elle entièrement, provoquant un haut-le-cœur alors que mon gland appuie au fond de sa bouche. Je lui pénètre la bouche rapidement, ses mains appuyant tant bien que mal sur mes cuisses, essayant d’amortir mes mouvements. Je retire ma bite de sa bouche, plusieurs coulées de salive la reliant toujours à ses lèvres, elle reprend à peine son souffle que d’elle-même, elle vient de nouveau gober ma bite entièrement, restant collée le nez à mon pubis, faisant son possible pour la garder le plus longtemps possible comme ça malgré les soubresauts de sa gorge. Je retire ma bite de sa bouche.
— Je veux ton cul maintenant !!— Mmmmm oui, encule-moi, vas-y !!! me dit-elle en se relevant et en écartant ses fesses.
Je viens passer ma langue sur son anus, elle frémit en sentant cela, puis je laisse de la salive dessus et viens y poser mon gland. Je le caresse un peu, étalant ma salive :
— Mets là, entièrement, vas-y !!!
Je m’exécute, rentrant en elle d’un trait, la faisant crier de plaisir. Je me mets à la pilonner de nouveau tout en passant une main par-devant pour aller stimuler son clitoris.
— Han oui putain, c’est bon, vas-y !!!!
Je continue à la prendre comme ça, brusquement, virilement, sans lui laisser une once de répit. Elle finit par s’écrouler sur son meuble, jouissant de plaisir, sa chatte trempée coulant dans ma main.
— Remplis mes trous de ton foutre !!!
Entendant ça, je me mets à l’enculer aussi fort que je peux, accentuant ses cris, bientôt suivis d’un long gémissement grave venant de moi alors que je jouis dans son cul. Puis je me retire et viens lui prendre la chatte, provoquant un nouveau hurlement de plaisir en sentant mon sperme couler en elle. J’alterne comme ça, entre sa chatte et son cul, tant que ma bite est assez dure pour la pénétrer. Cela dure un moment, chacune de mes pénétrations étant ponctuées de petits cris de sa part, cris qui se font plus discrets au fil des secondes. Je finis par me retirer d’elle, haletant et transpirant de cette soudaine et intense baise. Je m’assois sur le petit banc, reprenant doucement ma respiration. De son côté, elle se pose par terre, les cheveux en bataille et le visage rouge me regardant intensément.
— Qu’est-ce qui t’a pris dis-moi ??— Je ne sais pas, je t’ai vu sortir de la douche et te sécher, et je me suis remis à bander et à en vouloir encore ;— Eh bien, j’avoue que je ne m’y attendais pas du tout, tu m’as vraiment surprise !!!
A moitié affalée au sol, elle caresse sa chatte et son anus, jouant de ses doigts avec le sperme qui en sortait.
— Désolé, j’ai pas pu m’en empêcher, c’était plus fort que moi !!!— Oh ne t’excuse pas, ça fait si longtemps qu’on ne m’avait pas baisé et fait jouir comme ça !! J’ai toujours aimé être prise par surprise, ça me rend dingue, comme tu as pu voir !! Ouf, j’ai bien pris là !! Dit-elle en regardant sa chatte toujours gonflée d’excitation et son anus encore légèrement dilaté.
Je rigole et lui dis :
— Désolé, tu vas devoir de nouveau aller te laver ;— Tu rigoles ?? Je vais rester comme ça oui, j’adore sentir du sperme s’échapper de moi au fur et à mesure de la journée...
Elle s’efforce de remettre en elle le sperme coulant de ses trous. Je finis par me rhabiller, et une fois fait, je l’aide à se lever.
— Tu permets que j’y aille, lui demandai-je ?
Elle réfléchit :
— Hum... Un autre jour, je t’aurais pas lâché la bite de la journée, mais je dois aller au salon, mais tu perds rien pour attendre mon beau, je n’en ai pas fini avec toi !!!
Je lui souris en me penchant pour l’embrasser fougueusement tout en lui pinçant un de ses tétons.
— Mmmmmm, allez, file petit pervers !!! Dit-elle en me repoussant, visiblement à regret.
Je lui fais un clin d’œil et sors de la salle de bain, puis de chez elle. Je suis vidé, dans tous les sens du terme, et arrivé chez moi, je dévore quelques restes se trouvant dans le frigo avant de me jeter sur le canapé comme une loque. Je repense au fait que je dois appeler Jenny.Oh, je le ferais après une petite sieste, après tout, elle peut bien attendre !!
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