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Le chien de ma chienne

Chapitre 1

Zoophilie
Les premiers ébats
Depuis que j’étais en primaire, j’avais toujours eu beaucoup de succès auprès de la gente féminine.
Jeune homme bien doté et j’étais, alors, un des élèves pour qui, pas mal de filles, avaient le béguin.
Pas mal d’aventures se sont succédées dans toute l’insouciance de mon jeune âge, mais ni le véritable amour, ni le désir qu’on pourrait espérer, n’était au rendez-vous.
Enfin à 12 ans et demi, je rencontrai une cousine à ce que je crus comprendre, mais comme on me l’avait expliqué, pas de mon sang, en raison d’une séparation. Cette jolie jeune fille du même âge que moi était nommée Hermione, avait provoqué chez moi une véritable et irrésistible envie de conquête. Depuis, j’étais devenu son ami, non sans arrières pensées, dès lors, nous nous voyions souvent. Je n’avais jamais connu une telle complicité avec une fille. Amis pour la vie, se disait-on souvent.
Un jour, elle m’invita à faire une ballade avec elle et ensuite d’aller passer voir son cheval, car elle faisait de l’équitation.(Rien de bien extraordinaire me direz vous).
On passait alors dans un petit chemin de campagne pour s’y rendre, quand elle me posa une question fort intrigante :
-Dis, tu m’aimes bien ?
-Pourquoi ? Remarquez à cet âge là…
-Parce que moi je t’aime bien, tu sais… dit-elle avant de me déposer un délicat baiser sur ma joue.
J’avais compris, dès ce moment là, son attitude affective envers moi et qu’elle aussi avait des projets.
Nous nous dirigèrent donc vers le box de son cheval, un mâle m’avait elle dit. Il s’appelait Pégase. Je comprendrais plus tard la signification de ce nom.
Je me suis approché plutôt avec calme car je n’avais rarement eu un cheval en face de moi.
Il était d’un noir magnifique et je lui déclarai que je trouvais que c’était plutôt une belle bête.
-Tu trouves ? Alors il te dit merci !
Il ne manquerait plus que les animaux parlent !
-Je te trouve un peu folle parfois ! Mais à propos de ce que tu m’as demandé tout à l’heure… Oui je t’aime bien.
Elle se mit à pouffer de rire.
— Caresse-le ! Sois pas timide !
Je m’exécutais alors et commençait à lui caresser le flan.Il avait un poil vraiment soyeux.
-Il est chaud…
Maintenant, cette remarque me parait tellement sordide ! Mais elle acquiesça avec un léger sourire.
-Tu voudrais…
Visiblement elle avait l’air gênée de la fin de sa phrase.
-Je voudrais ?
Je n’aurais décidemment pas la fin de ses pensées… Tant pis !
Pendant qu’elle s’occupait de lui, je lui adressai des regards rêveurs qu’elle avait elle remarqués, mais n’y faisait guerre attention, comme si elle avait trouvée mon attitude normale…
Dès ce moment, j’avais compris qu’on ne voulait qu’une seule et unique chose, passer le plus de temps possible ensemble.
Une fois que nous soyons respectivement rentrés dans nos maisons, elle m’appela au téléphone. Préférant avoir plus de calme, je me rendis dans ma chambre pour poursuivre notre conversation.
J’arrivai à déceler une telle excitation dans sa voix et la première chose qu’elle dit fut :
-Il y a quelque chose qui me tient vraiment à cœur que je te dise !
-Hum… et donc ?
-Nan pas maintenant ! Demain viens chez moi !
Je m’exécutais et allai chez elle, le lendemain dans ma précipitation la plus grande. À peine sur le seuil de sa porte qu’elle m’ouvrit avec précipitation, visiblement, elle devait m’attendre. Elle me serra fort dans ses bras, elle avait toujours la même excitation que le soir précédant au téléphone.
-Comment tu vas ?
-Comment veux-tu que j’aille, alors que tu viens de me prendre dans tes bras ?
À peine avais-je fini d’entrer qu’elle se jeta sur moi pour m’embrasser d’une façon qui aurait pu exciter le plus aigri des hommes. Elle avait les lèvres douces et pulpeuses… Difficile de le cacher, son baiser m’avait terriblement excité et désormais, elle me saisissait le bras pour me conduire en vitesse dans sa chambre.
C’est alors que je remarquai qu’elle avait un chien. Un énorme berger allemand. Je n’avais jamais réellement eu de l’affection pour aucun chien, mais celui-ci me paraissait plus mignon…, peut-être parce que c’était le sien.
On se mit alors à parler de tout et de rien, mais visiblement, du moment que je lui portais de l’attention, cela semblait lui aller.Par ailleurs j’avais remarqué que son berger allemand semblait s’intéresser d’un peu trop près à son entrejambe… Elle le repoussa à plusieurs reprises, car elle devait trouver que cela devait me gêner.
-Susucre ! Arrête mon beau…
Cela ne paraissait pas sincère.
Finalement je me décidais à lui dire :
-Laisse le faire… Il à l’air de bien t’aimer, je me trompe ?
-Non tu as raison, il est très…, affectueux…
Sa main avait laissé dévoiler sa culotte, tellement humide, sous laquelle on devinait sa chatte dégoulinante de mouille, ce que son chien avait l’air de particulièrement apprécier…
Le silence se suffisait à lui-même, elle l’avait repoussé définitivement et désormais, elle prenait un plaisir que je ne saisissais pas, à se doigter la moule, à travers sa culotte…
-Retire-la-moi, vas-y !
-Humph… si tu savais comme j’en ai envie…
Je lui retirai le morceau de tissu trempé qui lui servait de sous-vêtement pour qu’elle me dévoile enfin ses belles lèvres, dégoulinantes de cyprine.
Elle ne semblait même pas imaginer à quel point je bandais !
C’est seulement lorsque je commençai à retirer mes vêtements pour lui dévoiler ma queue bandante, n’en pouvait plus d’attendre sa récompense, qu’elle me demanda de la doigter bien profondément…
Elle n’en pouvait plus à la vue de ma queue ; elle la saisit pour me faire jouir à mon tour !
Les seuls moments où l’on cessait de garder le silence était pour lâcher des petits cris de joie étouffés, pour ne pas ameuter toute la maison.
Je trouvais qu’on avait l’air d’un sacrée duo tout les deux !
Après avoir bien passés une demi-heure à se faire jouir mutuellement, nous sommes allés prendre une douche ENSEMBLE, pour le plus grand de ses plaisirs !
Elle avait un visage angélique ainsi qu’un corps de rêve…, et en plus de ça, c’était une vraie CHIENNE !!!
Après avoir terminé de se laver, nous sommes allés nous balader… On était allé boire un verre, puis rendre une très courte visite à son bel étalon. Je ne sais pourquoi, mais je commençais aussi à éprouver un vif désir pour son beau compagnon équin, ainsi que canin…
Ce n’est que lorsque qu’avant de me laisser sur le seuil de chez elle qu’elle se décida à me dire qu’elle était absolument folle de moi…
Enfin, cerise sur le gâteau, elle m’avait avoué qu’elle n’en pouvait plus de porter des culottes en ma présence.
En effet, j’allais en avoir l’occasion de le vérifier…
A suivre…
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