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Le chien vagabond

Chapitre 1

Zoophilie
Depuis plusieurs années j’avais découvert l’existence de la zoophilie. Sur le coup cela m’avait paru être une façon dégoutante d’avoir des relations sexuelles. J’avais du mal à imaginer des femmes se faire mettre par un chien, un cheval, un âne ou même un porc. Décidant d’en avoir le cœur net, j’utilisais internet pour découvrir ce que cela donnait. Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvrais des images et des vidéos zoophiles. Cela ne me laissa pas indifférent et je ne fut pas écœuré du tout. Au contraire, cela m’excita. Je n’eut alors plus qu’une pensée : essayé l’expérience par exemple en suçant un chien, voir en le faisant me sodomiser. Malheureusement, dans mes relations ou connaissances, il n’y avait personne qui pouvait mettre un chien, voir un âne à ma disposition. Cela n’était donc qu’un rêve et j’étais réduit à prendre du plaisir devant des images. Cela me fut pénible, jusqu’au jour où, un après-midi, voulant fermer mon garage, je découvris que s’y trouvait un grand chien noir et blanc qui avait profité que le portail extérieur était entrouvert pour entrer. Il sniffait la poubelle, probablement à la recherche de nourriture. M’apercevant, il n’avait pas réagi pas et ne semblait pas menaçant. Je lui apportais quelques morceaux de sucre qu’il venait manger dans ma main, sans aucune agressivité. J’en profitais pour lui caresser le dos, la tête et sous la gueule, ce qu’il sembla apprécier. Je retournais en cuisine et lui apportais, sur une assiette papier, quelques restes du repas du midi. Il mangea avec bon appétit et je profitais pour lui caresser le ventre en m’approchant du fourreau velu qui cachait son sexe. Je me mis à tripoter lentement le fourreau et au bout d’une paire de secondes, je sentis que la pointe de son zob venait de sortir. Poussant mon avantage, je branlais carrément le fourreau et, comble de bonheur, voyait sa bite sortir entièrement, s’allonger et grossir, pareil à une petite batte de base-ball rouge pointue. Lui couiner et jappait alors que j’entreprenais de lui branlocher son dard canin, le faisant encore s’allonger et grossir. Surtout il commença à engluer ma main de ses jets de jute de clébard. Ayant changé de main, je portais l’autre à mes lèvres et je me devais d’avouer que son foutre était particulièrement délicieux, sirupeux à souhait. Bien vite, je n’eut plus qu’une idée : le piper et lui caresser les couilles. Me décidant, je m’allongeais derrière lui et parvenait à passer son vit canin entre ses pattes. Son bulbe du pénis était sorti et après avoir languoté l’extrémité de son zob quelques instants, j’enfournais toute sa biroute dans ma bouche et me mettais à le pompelarder avidement, en recevant ses jets de foutrasse de plus en plus importants. Une de mes main lui caressais également les bourses velues, de l’autre je lui titillais le trou de balle. Il jappait de plus en plus et couinait de plaisir, à ce qu’il me semblait. Ayant avalé une impressionnante quantité de sperme, je décidais de recracher sa tige. J’ôtais short et slip et, assis contre son postérieur, je m’emparais de son poireau viril et l’introduisait dans mon rectum. Le diamètre du zob fit que j’eus un peu de mal au début, mais étant si excité, en quelques secondes et centimètre après centimètre, le braquemard clébardien fut englouti dans mon fion. Lubrifié par ses continuels jets de sirop viril, je me mis à cavaler de plus en plus vite sur son zob et cela me faisait triquer à tel point que je dus sortir mon membre et me branler. Ce jour là, j’eus trois éjaculations, trois torrents de foutre qui m’inondèrent de jouissance avant qu’il ne se décide à se retirer de mon derge. Je suçais encore sa biroute ramollie quelques secondes avant qu’elle n’ait réintégré le fourreau. Comblés, lui et moi nous quittâmes ce jour là.Depuis j’espère son retour.
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