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Chienne

Chapitre 12

Zoophilie
Le sexe d’André était maintenant tout flasque et pendouillait entre ses cuisses. Il me regardait, ou plus exactement, il fixait le liquide blanchâtre qui sortait de ma chatte.
— Ta chatte aime se taper mon chien ?
Me demanda-t-il en riant.Alors que je ne répondais pas à la question, sans hausser vraiment la voix, il se donna un ton plus autoritaire.
— Réponds quand je te parle.
J’ai sursauté et lui donnait enfin la réponse qu’il attendait.
— Oui, c’était divin.— Tu vas le refaire ?— Je ne sais pas ?— Tu aimerais, si tu as à nouveau la possibilité, tu le referais ?— Oui.
J’avais répondu sans aucune hésitation. J’avais un peu honte de ce que j’avais fait, mais j’avais réellement envie de le refaire.
— et toi, elle te plait comme chienne ?
Demanda-t-il à son chien.Celui-ci releva la tête et fit bouger sa queue.
— On dirait vous êtes tous les deux d’accord pour commencer une bien belle aventure.

Dit-il en s’adressant autant à moi qu’à son chien.
— Mais si tu veux être un bon chien galant, il faut nettoyer mieux que cela ta partenaire ensuite.
Le chien repose sa tête entre ses pattes comme s’il avait compris le reproche de son maitre.
— Allez, va tout nettoyer.
A peine avait-il terminé sa phrase que le chien avait déjà bondi sur le lit pour me lécher entre les cuisses.André alluma la télé et alors que le chien me léchait, je m’entendais crier de plaisir, je jetais un œil vers le téléviseur et je me suis vue… prise par le chien.
— Tu as tout filmé ?
J’avais pris un ton plus surpris qu’irrité.
— Je t’avais dit au départ qu’il y avait des caméras partout.— Oui, mais je ne pensais pas que… enfin, j’avais oublié.
Il ria.
— Je pense que nous allons passer de bonne soirée avec mes amis, car tu as été très bonne.— Tu as l’intention de…— Oui bien entendu, nous faisons avec quelques coquins des soirées pornos ou nous nous masturbons en regardant ce style de film.
Je ne savais pas trop ce que je devais en penser. L’idée qu’ils se masturbent en me regardant ne me laissait pas indifférente, mais j’étais un peu honteuse, ils allaient me voir prendre mon pied avec un chien.
— D’ailleurs, je vais les contacter de suite pour les inviter ce soir… ainsi tu pourras être présente.— Je ne sais…— Mais ne t’inquiète pas, ce n’est pas une invitation, tu seras notre chose, tu devras nous servir et faire tout ce que nous voulons.— Mais…— Pas de mais, c’est ainsi et tu n’as pas intérêt à protester ce soir, tu devras être serviable à souhait.— Bien maître !
J’avais pris un petit air taquin pour lui répondre, non pas pour le provoquer, mais pour me rassurer moi, en prenant cela avec légèreté et comme une plaisanterie me permettait de mieux l’accepter.
— Je ne blague pas, ce soir tu n’auras pas intérêt à faire la rebelle.
Il se dirigea vers un placard et en sorti un fouet.
— Voilà ce qui t’attend si tu n’es pas à la hauteur.
Il fit claquer le fouet à quelques centimètres de moi.
— Et mon ami Maurice adore jouer avec… et quand il joue, lui il ne fait pas semblant.
Il quitta la pièce en riant. Sa dernière phrase claqua à mes oreilles comme le bruit du fouet peu de temps avant… cela n’était pas pour me rassurer.Le chien devait sentir mes craintes, il s’approcha de moi et me lécha le visage en gémissant. Puis il a commencé à s’exciter, il chercha à s’agripper à moi, mais j’étais allongée sur le dos et ce n’était donc pas la position idéale pour lui permettre d’arriver à ses fins.
— Eh bien mon vieux, si tu crois que tu vas y arriver ainsi…
Mes propos n’avaient aucun effet sur son entêtement. Je l’ai poussé pour qu’il s’éloigne un peu de moi, il n’était pas vraiment content.
— Attend mon vieux, sois pas si pressé.
Je me suis retournée et j’ai relevé mes genoux pour lui offrir ma croupe.
— Me voilà prête !
Je n’avais pas terminé ma phrase qu’il essayait de me monter.Son maitre n’étant pas là pour le guider, ses coups de boutoir allaient dans toutes les directions, mais bien loin de ma chatte. Il m’aspergeait de son liquide qui s’écoulait déjà en grande quantité.
— Du calme, du calme…
Je plaçais ma main sous mon ventre pour essayer d’attraper son sexe et le guider vers sa destination. Quand ce fut fait, je l’ai positionné face à mon vagin et sans demander son reste, il me pénétra aussitôt. Je laissais ma main pour éviter qu’il ne ressorte et ne se perde sur mes fesses jusqu’au moment où son « nœud » fut complétement en moi.Je m’emplissais de lui et c’était tout simplement « sublime »… jamais un homme ne m’a apporté autant de plaisir. Nous sommes restées ainsi un bon moment.
— Mais que faites-vous sales bêtes !
André venait d’entrer. Il nous gronda, puis voyant que je ne pouvais m’écarter de son chien, il alla chercher un seau d’eau et nous le lança. L’eau était froide, mais le traitement efficace. Le chien s’écarta de moi et je m’affalais sur le lit.
— Sale petite chienne, tu changes les draps tout de suite.
Il s’amusait à l’offusquer et il était très convaincant.
— Je prends une douche et je refais le lit.
Lui ai-je répondu innocemment.
— Non, tu le changes tout de suite et toi, tu ne prendras une douche que quand je te le dirais.
Je me suis donc levé et j’ai commencé à défaire les draps mouillés. Le chien n’avait pas pu venir me nettoyer comme la précédente fois et l’abondance de sa semence ruisselait sur mes cuisses.
— Non !
André arrêta par cet ordre mon geste. J’avais l’intention d’utiliser le drap que je venais d’ôter pour nettoyer mes jambes de ce liquide gluant qui dégoulinait de mon vagin pour s’écouler sur mes cuisses. Il me fit promettre de ne pas chercher à me nettoyer dès qu’il aurait le dos tourné.C’est ainsi que lorsqu’il m’appela dans le salon pour me présenter à ses invités, j’étais encore toute poisseuse et les jambes couvertes des reliefs gluants de ma dernière relation « canine ». Les effluves n’étaient guère plus reluisants.Il y avait dans le salon, deux couples et un homme seul. Le plus jeune des hommes devaient approcher la soixantaine, on aurait dit qu’ils participaient tous au concours de la « plus grosse brioche »… l’une des femmes devait avoir la trentaine, l’autre avoisinait, certainement, la soixantaine aussi. Elles étaient élégantes et fines. Mon amant, le chien, était assis à côté du fauteuil où était assis l’homme seul.
— Voici ma chienne !
Leur dit André pour unique présentation. Il me montra le fauteuil pour m’y installer, ou plutôt me placer à côté de celui-ci.
— Me voilà les deux mains prises, l’une pour ton chien et l’autre pour ta chienne.
Dit l’homme assis dans le fauteuil. Dès que je m’étais assis à côté de lui, à même le sol, Il avait posé sa main sur ma tête et me caressait les cheveux. Son autre main caressait le chien.Il s’approcha de moi et me renifla.
— Elle sent la bonne chienne, elle est à toi ?
Plaisanta-t-il en regardant ensuite le chien.La vieille dame se leva et prit le collier et la laisse qui étaient posés sur la petite table de salon. Elle s’approcha de moi et me mit le collier en me parlant comme si j’étais un vrai chien. Elle accrocha la laisse au collier et se releva.
— Viens faire ta petite balade.
Comprenant ce qu’elle voulait, je me suis mis à marcher à quatre pattes à côté d’elle.
— Elle te plait ma petite chienne Victor ?
Demanda-t-elle à son mari alors que nous marchions elle et moi dans le salon.Le Victor en question s’approcha sans répondre, se mit à quatre pattes derrière moi et renifla mes fesses.
— Mais c’est vrai qu’elle pue.
Dit-il en prenant un air faussement dégouté.
— La chienne en chaleur !
Lui son épouse.
— Montre-lui que tu es un bon mâle.
Plaisanta l’homme assis dans le fauteuil.Toujours à quatre pattes derrière moi, il posa ses mains sur mon dos et frotta son bassin contre moi pour mimer un coït canin.
— Mets-lui ton engin !
Lui dit l’homme qui était assis à côté de la jeune femme.Victor dégrafa son pantalon et le baissa. Il frotta son sexe contre mes fesses, mais il bandait mou.
— Eh bien, je l’ai connu en meilleure forme.
Ricana la vieille femme.
— Marie, va aider ce pauvre chien, j’ai l’impression qu’il ne trouve pas son chemin.
Dit l’homme qui était assis à côté de la jeune femme. Victor, le mari de la vieille femme, Marie, la jeune femme… qui doit certainement être avec le vieil homme assis dans le canapé, celui qui l’invite à aider Victor, je commence à connaitre enfin quelques prénoms.Marie s’approcha de nous, pris le sexe de Victor, le masturba un peu et le suça. Le sexe commença à prendre meilleure allure, elle le dirigea alors vers ma chatte.Victor me pénétra sans ménagement et s’activa avec une frénésie que je n’aurai pas imaginée quelques instants plus tôt. Rapidement il vint en moi… Il se retira et s’adressa au compagnon de la jeune femme.
— La tartine est beurrée, si tu as faim ?
Le vieil homme accepta l’invitation, il baissa son pantalon, se positionna derrière moi, mais se trompa volontairement de destination. Sans lubrifier auparavant le chemin, il me sodomisa à sec et sans se soucier de mon bien être. Son acharnement était vif et ses coups de butoir cherchaient à entrer le plus profondément possible en moi. Il s’activait aussi rapidement que rapidement et ce fut un réel soulagement quand il déversa toute sa semence dans mon anus.Ils éclatèrent tous de rire.
— Couchée !
Me dit André entre deux éclatements de rire.J’avais les fesses en compotes et je m’affalais sur le sol, bien heureuse que cela soit terminé, même si je savais que mon répit n’était que temporaire.
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