Après 18 mois de chômage et de galères je retrouvais enfin du travail comme opérateur de production dans une société italienne récemment installé prés de chez moi, bien que le salaire n’était pas terrible l’ambiance était super et les italiens et italiennes aussi. Je travaillais sur une ligne de fabrication en produit profilé pour l’automobile, ma chef Maria étais très sympa avec moi, il faut dire que j’étais le seul homme sur la ligne, elle la quarantaine divorcée très mignonne elle m’avait tapé dans l’oeil le premier jour et elle s’en étais rendu compte. Cela faisait 2 semaines que je travaillais avec elle, un vendredi elle vint me voir en fin de poste pour me demander de rester avec elle pour faire des heures supplémentaires pour assurer une commande urgente: j’acceptais sans problèmes. Une fois les collègues partis je restais seul pendant environs 20 minutes lorsque Maria vint me chercher pour manger une pizza dans son bureau, je n’en revins pas, elle avait quitté sa tenus de travail pour enfiler vite fais une robe noir assez courte ouverte sur les cotés et très échancrée au niveau de la poitrine, et je n’arrivais pas à détacher mon regard sur elle, arrivés dans son bureau elle ferma la porte et m’invita à m’assoire prés d’elle pour manger, elle profita dans la foulé pour m’avouer que la production n’était pas urgente comme elle me l’avait prétendu, mais qu’elle avait juste eu une journée stressante et qu’elle avait envie de passer un bon moment. Surpris je me levais et pris la direction de mon vestiaire dans l’idée de rentrer chez moi, à peine arriver devant la porte j’entendis Maria me demander:-tu prends une douche?-oui pourquoi?sans se soucier de rien elle enleva sa robe, la laissa tomber à terre et pris la direction de celle-ci, bien qu’hésitant je me déshabillai aussi et rentrai à mon tour dans les douches, celle-ci étaient communes, elle datait de l’époque des mines de fer. Maria m’attendait à sa façon elle était assise sur un tapis les cuisses bien relevées et écartées tout en étant appuyée sur le carrelage du mur,je la regardai un moment et m’éloignai pour me laver. Je revins ensuite au vestiaire pour me rhabiller mais Maria avait tout fermée je du me rendre à son bureau. Comme je m’en doutais elle y était: elle était penchée sur son bureau toujours nue, ayant remarqué ma présence elle se retourna et me sourit, elle vint vers moi me pris la main et me poussa d’un geste brusque sur son canapé, sans attendre elle se jeta sur mon sexe avec une fougue que je ne connaissais pas, elle me branlait et me suçait sans retenue, après ma première éjaculation sur son visage elle se retira, s’essuya et m’invita à manger un morceau de pizza avec elle une fois fini elle attrapa ma tète et sans ménagement la mis entre ses cuisses pour que je lui lèche son intimité autant dire que sur ce coup là je ne la ménageais pas, très vite je lui fis passer ses caprices en lui prodiguant des caresses buccale dont j’avais le secret, ma langue commença par son clito et finit au plus profond de son vagin tellement elle s’était ouverte, ses cris et ses mouvements de hanche en disait long sur son traitement, je continuais ainsi jusqu’au moment ou je décidais d’y mettre un doigt puis deux puis trois, voulant en rester là elle me supplia de tout lui mettre et je tentais ma chance, une fois ma main complètement enfoncée dans son vagin elle attrapa mon poignet et commença à se branler avec, craignant de la blesser je décidais de l’enlever c’est à ce moment qu’elle poussa un gémissement de plaisir et de soulagement, ne lâchant pas l’affaire elle attrapa mes doigts et se mis à les sucer les uns après les autres voyant que cela m’excitait elle s’allongeât sur le ventre écartât ses petites fesses et m’invita à la prendre: constatant que je ne sentais rien dans son vagin elle m’invita dans son anus et là je là pénétrais d’un violent coup de rein, elle hurla sur le coup des insultes en italien, puis une fois mon membre accepté dans son trou elle commença à rejouir comme une chienne je la poussais jusqu’à l’évanouissement et réussis avec beaucoup de mal mais une fois fini j’eus une satisfaction, celle d’avoir baissé ma chef!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!comme une salope.
