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chris

Chapitre 2

Gay
Hello, c’est encore Chris… J’espère que vous vous souvenez de moi. Je suis la petite femme d’Akim, toujours prête à me faire prendre par mon mari, mais aussi par ses proches… La dernière fois c’était son cousin Driss et les deux hommes se sont servis de moi durant tout le w-e… j’en ai pris plein l’anus, mes deux amants m’enculant plusieurs fois par jour, sans compter les fois où ils ont éjaculé leur semence épaisse dans ma gorge.Moi même j’étais devenue insatiable, heureuse de me faire enculer par leurs grosses tiges noires, dégorgeant leur jus brûlant dans mon fondement.Le week end dernier Akim m’avait demandé de me vêtir comme une véritable pute, car il voulait m’emmener dans un foyer, comme une vulgaire tapineuse…Pomponnée et parfumée, j’enfilais des bas couture, retenus par des porte jarretelles, passais une petite culotte de soie noire par-dessus, ma verge coincée entre les cuisses… Je me vêtis encore d’un caraco de satin et enfin passais une mini assortie, juchée sur des talons hauts qui cambraient à merveille mes petites fesses de pute. Mon visage angélique encadré de cheveux blonds, j’étais redevenu une femme.Je passais chercher Akim et nous partîmes dans ma petite voiture, vers le foyer d’immigrés, où nous fûmes accueillis par un ami de mon mari.Après quelques palabres, je fus introduite (déjà) dans une pièce uniquement meublée d’un lit en fer. Restée seule, j’appréhendais un peu de la suite des évènements, quand on fit entrer un jeune arabe, celui se débraguetta illico, arborant une verge de belle taille déjà raidie. L’engin du jeune homme était dressé et recourbé vers le haut dépassant largement le nombril. Je fis glisser ma jupette et m’agenouillais devant le jeune. Sans plus attendre, je m’emparais de la bite dure comme l’acier, je lui câlinais ses belles testicules, masturbant la tige durcie. Je l’embrassais sur toute sa longueur, insérant ma langue dans le méat, puis je suçais avec gourmandise la fève grosse comme une prune… Je salivais sur la jeune verge prometteuse. En quelques minutes le jeune se mit à gémir, empoignant son membre, il éjacula à longs traits sur ma langue, emplissant ma bouche avide de larges rasades de semence; Je tétais la jeune bite avalant toute la jute…
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