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Christelle

Chapitre 1

Hétéro
Je suis dans la chambre d’hôpital de ma grand-mère quand elle rentre. Au début, je ne la remarque pas. C’est son odeur qui m’a fait prendre conscience qu’une personne était là avec nous. Elle dit bonjour à sa mère en me présentant son cul et quel cul ! Je peux dire que si sa mère avait eu des mitraillettes à la place des yeux je serai mort. Je fais comme si de rien n’était mais, instantanément, mon deuxième cerveau, lui, se réveille. Le mauvais regard que sa mère a toujours envers moi l’incite à se retourner et j’ai le coup de foudre immédiat. Je ne sais pas si elle l’a vu ou senti. Peut-être les deux. A partir de là, tout chez elle change. Je ne fais pas vraiment attention au début car je m’occupe de ma grand-mère. Lorsque je lève les yeux, elle soutient un peu mon regard puis détourne les yeux.« Un point pour moi, me dis-je. Voyons si c’est sûr. » Je regarde à nouveau, elle tourne aussitôt le regard.« Bon, c’est sûr. Maintenant, le jeu du chat et de la souris va commencer. Mais qui sera le chat et qui sera la souris ? Je reste encore un moment puis je dis au revoir à ma grand-mère. Je sors de la chambre, prend l’ascenseur. Arrivé dans le hall, j’entends qu’on appelle quelqu’un mais ne prête pas attention et continue de marcher vers la sortie lorsqu’une main s’appuie sur mon épaule. Je me retourne, surpris. C’est la femme qui me tend mon téléphone que j’ai volontairement laissé dans la chambre et elle a mordu à l’hameçon.« Vous l’avez oublié dans la chambre quand vous êtes partis.— Merci beaucoup Madame.— S’il vous plaît, appelez-moi Brigitte. — Et bien, merci Brigitte. Puis-je vous inviter à boire un verre ou bien aller dîner pour vous remercier ?— Heu…, elle hésite, oui. Après tout, pourquoi pas ? Je vous laisse le choix, me dit-elle avec un sourire qui finit de me faire fondre. Là, c’est moi qui hésite, puis je me lance :« Bon, alors je vous propose un dîner si vous voulez disons… vendredi soir, vers 21h, cela vous convient-il ? — Oui, va pour vendredi 21h. Où irons-nous ? Juste pour pouvoir choisir ma tenue. »Je lui donne le nom du restaurant et je vois son regard qui s’illumine. Encore un point pour moi, je crois que c’est moi, le chat, et elle, la souris.« Merci encore et au revoir Brigitte. »Je me sauve avant qu’elle ne puisse dire quelque chose ou me demander mon prénom. Arrivé chez moi, je m’assois dans mon fauteuil. Je me dis que la semaine va être dure, mais bon, pas le temps de cogiter.Je m’appelle Philippe, j’ai 35 ans, 1m83, 82 kg. J’ai ma propre boîte, ce qui me permet de faire un peu ce que je veux et je vends. Bon, je passe le reste. Je suis célibataire, ho j’ai des relations mais elles ne tiennent jamais plus de 6/8 mois puis je me lasse un peu : la routine certainement. Et elle aussi peut être. Donc je mange et passe une soirée tranquille à travailler les contrats de vente. Enfin, je croyais la passer tranquille. Je suis à mon bureau à lire les contrats qui doivent être signés quand je reçois un SMS. Je prends le téléphone pour voir qui me l’envoie : numéro masqué. Je reprends la lecture, nouvelle sonnerie. Je regarde à nouveau, toujours pas de numéro. Je vais pour reprendre ma lecture que le téléphone sonne et encore toujours rien. Mais ma curiosité me pousse à ouvrir le premier message, il y a : « <3 ». Je ne comprends pas ce que ça veux dire, certainement un mauvais numéro. Trente secondes plus tard, une nouvelle sonnerie. J’ouvre aussitôt le message, une photo est jointe. Je l’ouvre : c’est Brigitte qui me fait un baiser mais comment a-t-elle eu mon numéro ? Et je me dis qu’elle s’est appelée tout simplement. Je vérifie, mais rien. La coquine, elle l’a effacé. Mais alors pourquoi me le donner maintenant ? Je réponds au message part ces simples mots qui marchent : « Je t’aime ». Deux minutes plus tard, le téléphone sonne, mais cette fois, c’est un appel. Instinctivement, je réponds sur un ton professionnel : « Bonsoir, que puis-je pour vous ? — Bonsoir ! »C’est Brigitte. Sa voie slave me donne un léger frisson. Je me reprends :« Excusez-moi, bonsoir. Comment allez-vous ?— Bien et toi ? (bon elle est passée au tutoiement direct, bien. Allons-y.) — Je travaille un peu pour demain.— Ah… excuse-moi de te déranger. Tu travailles dans quoi si ce n’est pas indiscret ? »Je lui dis que je suis patron de ma boite mais que je vais vendre dans pas longtemps. Je lui retourne la question, et elle me répond qu’elle travaille dans une école. Puis elle passe du coq à l’âne :
« Je crois que je ne vais pas pouvoir attendre jusqu’à vendredi. » A ces simples mots, mon cerveau travaille à vitesse lumière. Elle me dit qu’elle sera en repos mardi et ne reprendra pas avant jeudi. Bien, moi j’ai besoin d’au moins deux jours. Ça y est, j’ai mon plan. Reste à le mettre en application. Bon retour à la réalité. Cela ne fait pas de mal de le dire. C’est mon ex qui me l’a dit quand elle m’a plaqué.La conversation continue pendant encore à peu près dix minutes, puis je lui dis bonsoir. Elle fait de même. Je regarde l’heure sur le téléphone, presque 23h. Je range tous mes dossiers puis je monte prendre une douche et je me couche. Le lendemain, je passe ma journée avec mon associée, mais pendant la pause déjeuner, elle vient me voir dans le bureau et attaque d’entrée :« Tu étais où ce matin ? me demande-t-elle.— Et bien ici, avec toi, à revoir les documents de la société. — Non, tu n’étais pas là ! Physiquement, oui tu étais là mais ton cerveau était ailleurs par contre. »A quoi bon lui raconter un bobard, elle me connaît tellement bien que ce n’est pas la peine d’essayer de lui raconter autre chose. C’est avec elle que j’ai eu ma plus longue relation : 2 ans. Alors je lui raconte mon dimanche après-midi à l’hôpital.« Attends, tu ne vas pas me dire que tu as fait ce que je crois ? »C’est vrai qu’il fut un temps je me serais pas gêner de le faire.« Non attend que je finisse. Je reprends donc mon histoire et quand j’arrive à l’invitation elle sourit et me dit :« Toi, tu ne perds pas le nord. Toujours à draguer. Tu ne peux pas t’en empêcher. Bon j’aime mieux ça. Alors c’est pour ça que tu as la tête ailleurs aujourd’hui. Tu comptes faire quoi maintenant ? »Je ne peux pas lui parler de mon plan pour demain soir, mais d’un autre côté peut-être qu’elle pourrait me rendre un petit service. Pendant que je réfléchis, elle me regarde :« Ho ! Je connais ce regard… toi, me dit-elle en me pointant du doigt.— Hein ? Quoi ? De quoi tu parles ?— Je parle de toi et de ce qu’il y a là-dedans, en me tapant sur la tête. »Alors je lui raconte la fin de soirée avec les SMS que je lui montre. Elle prend le téléphone et regarde, puis s’arrête sur la photo :« Hum… elle est jolie. Tu as vraiment bon goût. Je te souhaite bonne chance. »Je sais que c’est vrai venant d’elle ; puis je lui dis :« Céline tu peux me rende un service s’il te plaît ? »Je ne risque rien a demandé elle me regarde hésite puis me dit :« Oui, pourquoi pas… allez, accouche, dis-moi tout.— Merci ma belle. Est-ce que tu connais un lieu pas trop loin et calme pour passer deux jours ?— Si tu me laisses l’après-midi je te trouve ça.— Céline, est-ce que tous les documents sont en règle ? »Elle me regarde, surprise par ma question et répond :« Heu oui, depuis une semaine… Qu’est-ce que tu attends pour signer ?— Que toi tu me dises de le faire puisque tu as des parts dans la boîte, nous sommes à 50/50. Alors c’est bon ? »Elle me fait oui de la tête, je signe en même temps.« Merci mon amour, je t’aime. Tu as fait de moi une femme vraiment libre, je vais t’aider à conquérir le cœur de ta belle et cette fois-ci, tache de la garder plus longtemps que les autres et même moi. Bon alors maintenant, tu comptes faire quoi au juste ? »Je lui raconte que je veux la surprendre juste après son travail et l’emmener passer un moment dans un lieu romantique.« Ah je vois… 2 jours en amoureux et plus si affinité.— Voilà exactement ! C’est ça que je veux. »Elle prend son sac, sort un stylo puis signe et le repose. Elle se tourne vers moi m’embrasse une nouvelle fois puis s’en va sans rien dire.« Ok, vas-y sauve toi ; je m’occupe de tout. Tiens-moi au courant. »Je passe une partie de l’après-midi au téléphone à prévenir mes anciens clients et les nouveaux propriétaires qui me disent que l’argent sera versé dans deux jours, quand ils auront les documents signés.J’appelle Céline et lui raconte. Elle me remercie encore une fois puis coupe la communication ; quant à moi, je ferme le bureau puis le portail et part chez le notaire pour lui donner les documents et les clefs de la boîte. Il regarde les documents, me dit que tout est parfait, qu’il transmet les documents aux personnes adéquates et qu’il me préviendra pour le reste.« Félicitations monsieur, voilà une affaire bien conclu.— Merci maître. C’est un peu à vous que je le dois.Puis je passe voir mon associé. Je suis déjà sur le perron quand je lui serre la main. Bon maintenant, que vais-je bien pouvoir faire ? Je décide de regagner ma voiture pour rentrer chez moi.Au bout d’un moment je regarde ma montre, je décide de prendre la direction de l’école ou travaille Brigitte. J’appelle un pote à moi qui travaille dans les communications en lui demandant s’il peut me retrouver un téléphone. Il me demande à son tour pourquoi, je lui réponds que c’est mon nouveau téléphone et qu’on me l’a volé mais que je ne veux pas que la police s’en mêle car mon assurance me tombera dessus. Au bout de cinq minutes de palabre pour avoir le numéro d’une de mes ex, il me met en attente. Deux minutes plus tard, il me dit qu’il ne peut que me donner la rue où se trouve le téléphone. « Je te remercie, à charge de revanche. Tu me l’envoies et moi, je t’envoie le numéro de Christelle, non sans l’avoir prévenue. »Je raccroche, j’envoie le numéro puis je patiente deux minutes. Après, je reçois son message en retour. C’est trop tard. J’allume mon pc et cherche l’adresse. Quand je tombe sur le plan des lieux, il me semble les reconnaître. Le téléphone me sort de ma réflexion ; c’est Céline :« Oui allô ? — J’ai trouvé ce que tu cherches — Ho ! Si vite ?— Oui mon cœur. Ne sous-estime pas une femme. »Je la remercie puis je lui demande ce qu’elle va faire maintenant avec sa fortune. Elle me répond :« Rien, juste aider ma mère puis profiter un peu moi aussi. » Pendant que nous parlons, je roule vers l’adresse et le double appel se fait entendre. Je le prends en gardant Céline en ligne. Je discute cinq minutes avec lui puis je raccroche. Céline me demande qui c’est, je lui explique le coup.« Bon, mon cœur, j’espère que tu pourras conclure ton affaire. Moi, il faut que je te laisse »Elle raccroche, j’arrive près de mon futur crime. Lorsque j’arrive, je reconnais la rue. Je me gare le plus loin possible et descend un peu plus près. Je m’adosse contre un mur où je sais que personne ne peut me voir sans s’approcher de moi ; par contre je vois toute la rue. Je me revois dans cette école avec mon(mes) meilleurs(es) ami(es) quand soudain la cloche retentit, c’est toujours la même. Je sors du coin où je me trouve et sans m’en rendre compte je descends plus bas que je n’aurais voulu. Un parent me voit et s’avance vers moi en me criant dessus : « Hé ! Vous ! Qu’est-ce que vous faites là ? », mais je regarde toujours dans la cour. Lorsqu’il arrive près de moi, je tourne la tête et je le reconnais. Je l’appelle par son prénom, il me sourit, me serre dans ses bras. Mais, dans tout ça, j’ai perdu de vue Brigitte, qui s’est rapprochée de nous sans que je m’en aperçoive.« Bonjour monsieur, je peux savoir votre nom et ce que vous faites ici, me demande-t-elle comme si hier n’avait jamais eu lieu.— Alors, ce monsieur s’appelle Philippe et a vécu dans le quartier. Il est même allé dan... »Je lui plaque la main sur la bouche pour le faire taire. Il me regarde puis regarde Brigitte et comprend qu’il vaut mieux se taire.« Bon, moi je me sauve les enfants m’attendent, reprend-t-il.Il s’en va, je reste avec Brigitte mais je ne sais pas quoi lui dire, je n’avais pas prévu ça. C’est elle qui rompt le silence :« Alors tu as vécu ici dans ce quartier. C’est pour ça que, depuis hier, ton visage me disait quelque chose. »Je la regarde plus attentivement. C’est vrai que son visage me dit aussi quelque chose mais je ne peux pas le remettre pour l’instant. Comment oublier cette couleur de cheveux ? Franchement je ne sais pas mais on verra plus tard.Elle me prend la main et me dit : « Suis-moi ». Je me laisse guider lorsque l’on passe devant la cour. Je me revois enfant. Je tourne la tête, je la reconnais de suite, j’en ai la confirmation quand on rentre du côté de l’école. C’est la fille du directeur. Tout me revient en mémoire. Elle a été mon premier amour, celui que l’on n’oublie pas. Elle se retourne et comprend que j’ai deviné qui elle est. « Je sais qui tu es, je viens de le découvrir.— Tu as raison. Je suis bien celle que tu crois que je suis, moi aussi je sais qui tu es. Ça m’est revenu quand ton ami m’a dit que tu avais vécu ici. »Je vois que ces joues commencent à rougir. Je vais dire quelque chose mais elle m’en empêche en me mettant un doigt sur la bouche.« Alors pourquoi ne veux-tu pas rentrer ? me demande-t-elle. As-tu peur de quelque chose ? »Nous sommes sur le pas de la porte. Je la regarde, lui prends la main et passe le seuil de la porte qui se referme. Je regarde derrière moi, elle sourit. Ses yeux sont maintenant pétillants. Elle repasse devant moi pour me guider jusqu’au salon.« Assieds-toi. Tu veux boire quelque chose ? Un alcool ou autre chose ?— Un café fera l’affaire, merci.— Tu es sûr que tu ne veux rien d’autre ?— Non, je conduis. Mais merci quand même. »Elle par vers la cuisine puis revient avec deux cafés. Elle en pose un sur la table basse devant un fauteuil, comme pour m’inviter à m’assoir, ce que je fais quand elle-même le fait. Un silence pèse dans cette pièce, je ne suis pas vraiment à l’aise. On parle de choses et d’autres, puis l’atmosphère se détend. Je lui raconte mes années au lycée et à l’université puis la création de ma boîte qui m’a pris dix ans de ma vie, et que je viens de vendre le matin même.« Ah bon ? Tu as vendu ta boîte ? Et qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?— Je ne sais pas encore, mais dis-moi une chose : comment cela se fait-il que nous soyons passés par l’extérieur pour rentrer chez toi puisque tu travailles ici ?— Ho c’est très simple. Mon père a acheté l’appartement quand il était directeur puis, quand il a pris sa retraite, l’académie a fermé le passage, mais nous avons gardé l’appartement depuis. Je dois en hériter après ma mère. Je travaille et les enfants sont gentils avec moi, de même que le personnel.Je regarde dehors, la nuit est tombée. Je voudrais bien sortir avec elle ce soir mais il est trop tard pour sortir dîner en ville. Bon, je vais quand même tenter ma chance :« Brigitte, dis-moi, je sais qu’il est tard mais comme tu n’as pas dîné. Est-ce que tu veux bien que nous sortions tous les deux ? »Elle me regarde et me dit :« Tu ne préfères pas rester dîner ici plutôt que de sortir ? Car je n’en ai pas trop envie et puis on a bien à se raconter nos vies.— Je ne demande pas mieux— Attends, je vais voir si j’ai… »Je l’attrape au passage et la tire à moi. Elle bascule sur l’accoudoir et tombe dans mes bras. Je l’embrasse, elle ne résiste pas. Sa bouche s’ouvre et ma langue commence à jouer avec la sienne. Au bout d’un moment, elle s’arrête, se lève et me prend par la main. Je la suis dans le couloir, elle pousse une porte, nous entrons. Ça y est, je suis dans sa chambre. Je ne pensais pas en arriver là aussi vite. Sa chambre est décoré avec goût : un lit à baldaquin, une grande armoire dans un coin et à son opposé un secrétaire et, juste à côté, un large canapé. Elle me pousse dedans, c’est maintenant un sourire qui illumine son visage : c’est elle le chat et moi la souris. Cela me va pour l’instant. Elle sort de la chambre. Pendant ce temps-là, je change de place et me met à l’aise dans le fauteuil près de la fenêtre. J’envoie un message à Céline.« Ho petit cachotier ! Je te prends sur le fait accompli. A qui envois-tu un message ? »Je tourne la tête. Elle porte un peignoir de soie blanche. Ma bête se réveille doucement mais sûrement. « A mon associé, lui répondis-je en posant mon téléphone sur la margelle de la cheminée. »Elle prend le téléphone. Son peignoir s’ouvre un peu et me laisse entrevoir la dentelle de son soutien-gorge.« Ton associée s’appelle Céline.— Oui, c’est bien ça, je l’ai connue sur les bancs de l’université. Nous avons eu une aventure qui a duré deux ans, mais en affaire elle est comme moi : un vrai requin. Je te la présenterais si tu veux. »Elle repose le téléphone, s’approche et se penche vers moi en passant sa main sur ma joue, elle me lèche l’oreille. La bête est sortie du sommeil maintenant.« Ça te plaît ce que tu as vu, me dit-elle en s’asseyant à cheval sur moi. »Elle doit certainement sentir mon érection qui durcit, mais elle n’en montre rien. Je défais la ceinture, je passe mes mains dans le col de son peignoir et le fait glisser sur ces épaules. Que sa peau est douce ! Elle sent la lavande et la fleur d’oranger. Le peignoir continue de glisser de même que mes mains qui finissent de le faire tomber. Je prends les bretelles entre le pouce et l’index. Je les fait glisser plusieurs fois en accentuant mes caresses de l’index sur ses seins qui durcissent. Je passe dans son dos où mes mains se rejoignent pour dégrafer son soutien-gorge. Elle est surprise par ma facilité à l’ouvrir. Je m’écarte un peu, je reprends les bretelles pour les faire glisser. Cette fois-ci, elle met ses mains sur sa poitrine. Quand je lui ai presque retiré son sous-vêtement que je finis par jeter sur le lit. Je passe mes mains dans son dos pour la ramener à moi et je l’embrasse. Nos langues et nos salives se mêlent puis je lui lèche le cou en descendant vers ses seins qui sont toujours cachés mais je continue mon affaire. Quand j’arrive à la naissance de ceux-ci, je passe la langue entre ses seins puis continue à descendre sur son ventre et lui embrasse le nombril. Elle est arquée : ses mains sont posées sur mes genoux et sa tête est rejetée en arrière. Je lève les yeux, ses seins sont droits avec une aréole à peine marquée et un téton rose pâle qui pointe à présent et des taches de rousseur un peu partout.J’en profite pour poser ma pomme sur son con et le caresser. Un gémissement se fait entendre dans la chambre. Je continue à la caresser tout en remontant avec ma langue vers ses seins, que je lèche comme une friandise pour en connaître le goût.« Ho ! Doucement… Prends ton temps… Ils sont tout à toi… »Quand elle me dit ça, mon érection reprend de plus belle. Je passe de l’un a l’autre. « C’est moi qui te fait cet effet-là ? me dit-elle quand son bassin vient se coller contre moi. »Oui, c’est elle qui me fait ça. En fait, c’est un tout : le sucre, la douceur, l’odeur de sa peau, la caresse de ses lèvres sur les miennes.« Oui, c’est toi qui me rend dingue. »Ce n’est pas pour autant que je m’arrête de la caresser ni de lécher ses adorables seins. Elle redresse la tête et m’embrasse. Elle se relève et me tire en même temps. Je me retrouve debout face à elle. Son regard va de mes yeux à mon entre-jambe. Je la regarde aussi, mais de bas en haut : ses hanches sont fines, son ventre plat et ses seins qui ne tombent pas. Ils ont l’air presque fiers et me disent : « Viens nous lécher », ce que je m’empresse de faire, mais c’est elle qui prend les devants. Elle pose ses mains sur ma poitrine, me caresse un peu et ouvre ma chemise. Je veux l’aider mais elle s’arrête et me montre son doigt. Je comprends et la laisse faire. Elle reprend ses caresses, ses mains sont chaudes. Quand ses doigts arrivent à ma ceinture, elle l’ouvre, défait le bouton de mon pantalon puis tire ma chemise. Ses mains remontent sur le col et fait la même chose que moi auparavant. La chemise tombe mais reste accrochée à mes poignets que je passe dans mon dos pour défaire les boutons. Pendant ce temps, elle fait glisser la fermeture de mon pantalon qui tombe en même temps que ma chemise. Elle se rapproche et pose une main sur mon sexe. Elle le caresse doucement comme pour en évaluer la longueur, puis sa main remonte sur ma poitrine. De nouveau, elle me caresse puis me pousse. Je tombe dans le fauteuil et retire mes chaussures. Elle s’approche de moi et finit de me retirer le pantalon. Je suis en boxer. De nouveau, elle m’enjambe pour s’asseoir à cheval et murmure : « je t’aime ». Quand elle se colle à moi, je pose mes mains sur son dos, je lui dis :« Brigitte, moi aussi je t’aime depuis le premier jour où je t’ai rencontrée. »Je l’embrasse et la porte sur le lit. Je monte à mon tour, j’ai les mains posées sur le lit à hauteur de ses seins et les genoux bien plus bas que son bassin. Elle a ses mains sur mon dos et le caresse pendant je l’embrasse derrière l’oreille. Je pose mes mains à plat sur son ventre pour sentir la douceur de sa peau ; son souffle ce fait plus court. Je la caresse en descendant vers son con que je ne touche pas. Par contre, son bassin avance vers moi comme pour appeler mon sexe. Il a envie, non, moi j’ai envie, mais je résiste. Pas maintenant, je veux découvrir le reste avant. Je continue à descendre sur ses jambes qu’elle replie comme pour me cacher son con. Je pose mes mains sur ses genoux que j’ouvre en passant mes mains à l’intérieur. Je glisse doucement mes mains sur sa peau douce mais, ne pouvant plus descendre sans lui faire mal, je lui attrape les chevilles, les relève et passe à l’intérieur en plaçant ses jambes sur mes épaules. Je me penche en avant, elle ne peut que les replier. Je l’embrasse, elle me rend mon baiser puis je passe une jambe de chaque côté d’elle. Je me frotte à elle, il n’y a que mon boxer et son tanga qui nous sépare. Sa chatte mouille de plus en plus, je le sens sur mon sexe. J’ai vraiment envie d’en prendre possession mais je veux d’abord goûter cette chatte, alors je me mets à genoux entre ses jambes et je pose mes lèvres sur son ventre qui réagit immédiatement. Je descends et j’attrape le tanga de chaque côte et le descend lentement pour apprécier le moment mais aussi sentir son odeur intime.Arrivé en bas, elle lève les jambes et jette le tanga par je ne sais où dans la chambre. Le haut de ses jambes est serré. Je me redresse et je pose mes mains sur les siennes. J’ouvre lentement ses jambes, je m’approche et reprends là où je me suis arrêté. Je passe mon visage sur ses poils roux, son bassin commence à onduler puis je passe une première fois la langue sur sa chatte. Elle s’arrête, je pose un doigt sur ses lèvres et je cherche son clitoris que je trouve sous son petit capuchon. Je commence à le caresser, son bassin se remet à bouger puis je repasse la langue. Nouvel arrêt. Mais je continue à faire rouler son clito, elle mouille de plus en plus. Je sors ma langue et la pose en bas de ses lèvres et remonte doucement, elle a un gout épicé. Ses mains m’attrapent les cheveux et me plaquent comme pour me souder à elle. Je la lèche de plus belle enfin je lape. Je rentre un doigt dans son puits d’amour et entame un va et viens en même temps. Elle gémit de plus en plus fort puis tout son corps se tend : voilà son premier orgasme. Il est foudroyant mais je continue seulement à la doigter car son corps bouge dans tous les sens puis vient le deuxième presque aussi vite. Je la laisse redescendre sur le lit mais sans la laisser reprendre son souffle. Je me redresse, un râle de plaisir sort de sa bouche quand je la pénètre doucement. Je tape au fond et ne bouge plus, c’est que du bonheur : sa chatte me serre comme dans un étau, puis elle lance les hostilités en bougeant son bassin d’avant en arrière. Je lui attrape les hanches pour lui donner mon rythme, elle se laisse mener puis passe ses jambes autour de moi. Je me relève en passant mes bras sous ses fesses, nous sommes en union suspendue, la tête rejetée en arrière et moi qui lèche la sueur qui perle à présent sur son corps. Je sens que je vais venir, alors je la repose sur le lit et accélère mes va et viens. Je sens ma queue qui gonfle, je veux la sortir et elle le voit, mais elle reste accrocher. Je comprends qu’elle veut que je jouisse en elle alors je la regarde et elle me dit : « Viens en moi ». Et je viens en elle, je me vide et je m’effondre à côté d’elle. Elle prend mon visage et m’embrasse, puis me dit :« Merci mon amour, cela faisait longtemps que l’on ne m’avait pas fait l’amour comme ça.— Non, c’est moi qui te remercie mon cœur ; pour moi aussi cela faisait longtemps. »Puis nous nous endormons. Je me réveille quelques heures plus tard. Je regarde ma montre : « Ouah… Cinq heures… ». Je me lève doucement pour ne pas la réveiller puis je prends une douche et je lui laisse un mot : « Mon cœur, tu recevras une ou deux surprises aujourd’hui, je t’aime. P.S. : Tu m’appelles quand tu as un moment. » et je rentre chez moi vers midi. Mon téléphone sonne, je décroche :« Bonjour mon cœur, je t’aime. Tu as passé une bonne nuit ?— Oui et moi aussi je t’aime. »C’est Céline. Je me reprends.« Excuse-moi, je t’ai prise pour quelqu’un d’autre. Que puis-je pour toi ?— Je voulais prendre de tes nouvelles car je viens de voir que tu m’avais envoyé un message hier soir.— Ah oui… euh… comment dire…— Ça va, je crois que j’ai compris. Bon, celle-là, tache de la garder le plus longtemps possible »Elle n’a pas aussitôt raccroché que le téléphone se remet à sonner, je regarde le numéro, c’est celui de Brigitte :« Bonjour mon cœur.— Bonjour mon amour. Je te remercie pour cette nuit. C’est quoi la surprise ? »Au même moment, j’entends quelqu’un sonner chez elle.« Attends, je vais voir qui c’est. »Je l’entends ouvrir.« Bonjour— Bonjour. J’ai des fleurs pour vous. Si vous voulez bien signer là. Merci. Au revoir. »La porte se referme puis j’entends un papier que l’on déchire et un cri de joie. Elle reprend le téléphone en main :« Merci mon amour ! Comment sais-tu que j’aime les fleurs des champs ?— C’est un secret, je t’aime.— Je t’aime aussi. Alors, c’est quoi la surprise ?— Et bien la première…— Ah bon ? Il y en a d’autres ?— Oui, mais laisse-moi finir mon cœur. Donc la première, tu viens de l’avoir. Pour l’autre, il faut attendre encore un peu.— Non, s’il te plait, dis-moi.— Je ne peux pas sinon ce n’est plus une surprise. Je t’aime. Je viens te voir ce soir.— Je t’aime aussi. »Elle raccroche. Bon, maintenant, le reste. J’appelle le numéro que Céline m’a donné. Je retiens une chambre puis je sors manger.Plus tard, je croise mon banquier. Il me dit qu’une banque l’a contacté pour un virement. Je lui dis que j’ai vendu ma boite. On se serre la main et chacun reprend sa route. J’entre dans une boutique et une femme vient me voir :« Bonjour Monsieur, en quoi puis-je vous aider ?— Oui certainement. Voilà ce que je désirerais. »Je sors une petite liste qui je lui tends. Elle la regarde puis porte de nouveau ses yeux sur moi et sourit :« Bien Monsieur, je vais vous chercher tout ça. Pouvez-vous me donner la taille s’il vous plait ?— Oui, bien sûr. Alors 95 C et 36.— Je vous prie de patienter, je reviens tout de suite. »A peine cinq minutes se sont écoulées qu’elle revient les bras chargés de mes articles qu’elle scanne au fur et à mesure.« Ce sera tout Monsieur ?— Oui. Pouvez-vous me faire un papier cadeau.— Bien sûr. Je vous laisse régler et je vous fais ça. Un seul ?— Oui. »Je règle et elle me tend le sac avec mon cadeau.« Votre femme a bien de la chance. Vous êtes un homme goût, me dit-elle. »Je la regarde et je lui souris.« Je vous remercie. Vous êtes charmante. Au revoir. »Je sors. Un coup d’œil à ma montre m’indique que c’est bientôt l’heure. Je sors du parking et prend en direction de chez Brigitte. Lorsque j’arrive, elle n’a pas encore fini. Je patiente sur les marches de chez elle comme un lycéen. Je suis perdu dans mes pensées quand je vois une main qui vient me caresser. Je lève les yeux puis je bondis comme un voleur et l’embrasse avec fouge. Elle rend mon baiser, je commence à passer une main sur ses hanches.« Attends un peu qu’on soit à la maison, me dit-elle. »Elle pousse la porte et rentre.« Ah attends, je dois récupérer quelque chose dans ma voiture je te rejoins. »Je prends le sac et le pose dans le salon pendant qu’elle se change. Quand elle revient, elle voit le sac :« Qu’est-ce que c’est ?— C’est pour toi.— Pour moi ? »Elle le prend et ouvre le cadeau. Elle me saute au cou en me disant :« Mais… pourquoi tous ces cadeaux ?— Parce que je t’aime et que ça me fait plaisir de te voir heureuse. »Elle ouvre le papier cadeau et son visage s’illumine instantanément.« Tu aimes mon amour ? Ça te plait ?— Oui ça me plait. C’est très joli. Tu veux que je les essaye ?— Pourquoi pas. C’est toi qui vois. »Elle vient s’asseoir à cheval sur moi, m’embrasse et se frotte contre moi.« Oui je crois que je vais essayer un ensemble »Elle part dans la chambre. J’en profite pour me réajuster car la bête s’est réveillée. Lorsqu’elle revient, elle a passé l’ensemble blanc : celui avec un soutien-gorge à balconnets et un tanga. Je suis… comment dire… vous voyez le loup de Tex Avery ? Et bien, c’est moi dans la même situation. Elle s’approche de moi telle une panthère puis se rassoit dans la même position. La bête que j’ai entre les jambes veut sortir, elle le sent et elle en joue en se frottant de nouveau contre moi « Je t’aime, j’ai envie de toi.— Moi aussi j’ai envie de toi, me dit-elle en se frottant plus fort. »Je pose les mains sous ses fesses, je me lève et prends la direction de la chambre. Nous faisons l’amour comme si c’était la première fois nous rêvons un peu puis elle va prendre une douche. Je suis dans le lit en train de réfléchir quand elle pose sa tête sur mon torse. Je la caresse. Elle me demande a quoi je pense vu l’air sérieux que j’ai, alors je lui demande :« Tu fais quoi là maintenant ?— Comment ça je fais quoi ?— Oui, ce soir. Demain. — Ho ! Rien de bien spécial. Pourquoi ?— Habille-toi, on sort. Enfin, si tu veux, bien sûr.— On va où ?— C’est une surprise.— Quoi encore une ? Bon, je m’habille comment ?— Comme tu veux ma chérie »Elle part vers l’autre chambre. Moi, je m’habille aussi et l’attends dans le couloir. Quand elle sort de la chambre, complètement changée et prête à sortir, je n’en crois pas mes yeux. Je me dis : « Comment une robe et des escarpins peuvent il changer une femme à ce point ? ». Elle s’approche de moi et me caresse le visage :« Comme tu es mignon, me dit-elle. Bon, où allons-nous ce soir ?— C’est une surprise, tu verras bien. Allez, en route. Que l’aventure commence ! »Et nous partons vers l’endroit que m’a conseillé Céline. Quand nous arrivons, nous sommes seul car j’ai tout réservé. Nous passons deux jours à faire l’amour et je commence à faire des plans.« Attends… je ne peux pas partir à l’aventure comme ça.— Si, justement ! C’est ça la surprise !— Mais… mon travail… je ne peux pas le laisser sans explication.— Et pourquoi pas ? Tu ne travailles qu’à mi-temps. Tu donnes ta démission.— Non, je ne peux pas. J’aime mon travail. Et les enfants ? Tu as pensé aux enfants qui comptent sur moi ?— Bon d’accord… On part jusqu’à dimanche soir et tu finis l’année.
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