Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 28 J'aime
  • 0 Commentaire

Christine V : Coeur, sexe et imagination

Chapitre 3

Hétéro
Le mardi 19 mai, Christine et moi allons boire l’apéro sur une terrasse puis nous allons manger au restaurant. J’ai pris Christine directement à son travail. Elle est en tailleur jupe noir et chemisier rose pâle. Super élégante. Je la cherche :— Tu portes quoi dessous ?— On est de sortie, pas vrai ?— Je voulais des détails…— Tu auras tout loisir de le découvrir plus tard.Malicieuse, elle sourit et attaque sa terrine de saumon. Nous mangeons très bien une nouvelle fois.
Habituellement quand nous sortons, nous ne rentrons pas tard afin pouvoir faire l’amour longuement… ou de le faire deux fois. Pourtant, ce soir, je propose à Christine d’aller boire un verre. Elle est étonnée :— Tiens donc ! Je pensais que ta curiosité te pousserait à rentrer tôt.— Et bien non, pas ce soir. C’est un soir spécial. Je me délecte du regard interrogateur de Christine. Elle réfléchit à tout va. — A part ton anniversaire dans deux jours, je ne vois vraiment pas.Je lui dis de ne pas y penser. Nous prenons un verre puis nous partons. Dans la voiture, je l’invite à passer le masque de nuit qu’elle porte parfois. Elle sourit. Christine est joueuse et je sais qu’elle est très excitée par ce genre de situation. Je sais qu’elle ne trichera pas mais qu’elle va me questionner tout le long du chemin. Ce qui est le cas.
Nous arrivons au Château de Gombavires. Je me gare et aide Christine à sortir. Je la prends par le bras et l’emmène sur le banc où, il y a exactement vingt ans, après ma soirée d’anniversaire, je l’avais fait jouir pour la première fois. Nous nous asseyons. Elle enlève le masque. D’abord, elle ne reconnait pas. Il fait assez sombre. Puis elle s’écrie :— Mais non ! Elle éclate de rire et demande :— Mais pourquoi ici ? Je ne comprends toujours pas !Je ne dis rien. Elle non plus. Elle réfléchit. Puis :— Oh mon Dieu !!Elle m’embrasse à pleine bouche :— Mon Dieu, comme je t’aime !! C’est pas croyable !Christine remonte sa jupe et me saute dessus. Baisers profonds, longs, torrides. J’ouvre son chemisier sur une guêpière bleue ciel, cela me rend fou. Christine est dans le même état :— Cette fois, on ne part pas sans le faire. Couche-toi !Je m’allonge sur le banc, tandis que Christine, debout, enlève rapidement son string. Elle déboutonne adroitement mon pantalon, sort ma queue et me suce. J’attire ses fesses à moi et lui fait passer une jambe au dessus de mon visage. 69 sous les étoiles. Christine mouille abondamment. Mes coups de langue sur son clitoris la font rapidement jouir tandis que je doigte son petit trou. De son côté, elle m’astique comme une folle.

A nouveau debout, elle se penche sur le banc, un genou sur celui-ci. Derrière elle, je pénètre son vagin et je la bourre sans ménagement. Elle halète plus qu’elle ne gémit. Nouvel orgasme. Elle dit :— J’ai 40 ans et je me fais sauter derrière le Château de Gombavires comme une adolescente avec son premier copain ! J’adore ça…Je me retire et recule de deux pas pour admirer son auguste postérieur qui me fait fantasmer depuis deux décennies. Christine n’a plus aucun complexe avec moi :— Mmmh… Reviens ! — Laisse-moi le regarder.— Il y a vingt ans qu’il t’appartient, mais regarde-le encore, tant que tu veux.Christine ondule des fesses et m’allume :— Tu aimes toujours mon gros cul après toutes ces années ? Quand tu en parles, ça me rend dingue, ça me rend folle. Ça m’excite tellement !Elle ajoute :— J’adore que tu me baises en levrette, quand tu t’agrippes à mes hanches et que tu me prends bien fort !Elle passe un doigt sur son anus puis le glisse dedans et se doigte. Elle m’achève :— Mais mon péché mignon, c’est quand tu me prends par là. Ici même, il y a vingt ans, je n’aurais jamais imaginé que la sodomie serait au centre de mon activité sexuelle. J’aime tellement quand tu m’encules. Viens, s’il te plait, prends-moi par le cul !
Surexcité, je reviens derrière elle. Elle n’est pas prête pour une sodomie et je le lui fais remarquer. Elle dit :— Tant pis, viens quand même ! Doucement, mais viens… J’ai trop envie !Malgré ma salive, je vais enculer ma femme à sec pour la première fois. Je fais le plus doucement possible, mais j’ai l’impression du lui arracher l’anus en poussant contre celui-ci. Elle gémit douloureusement et crie quand mon gland franchit le cap. Je bouge, mais ça ne glisse absolument pas. Christine insiste :— Pousse, entre plus loin ! J’obéis et avance lentement. Elle crie, mais m’exhorte à poursuivre. Elle a beau se détendre, le problème est que ça n’est pas lubrifié. A sa demande, je commence mes va-et-vient. C’est douloureux pour moi, ça brûle et j’imagine ce que ça doit être pour elle. Mais ça semble l’exciter. Je prends ses hanches et accélère. L’étreinte se desserre un peu et j’accélère encore. Christine ne dit rien, je n’entends que son souffle haletant. J’explose abondamment en elle et me retire illico. Suffocante, Christine s’affale à plat ventre, cul nu, sur le banc, l’anus rougi et ouvert par mon passage forcé.
Il lui faut plusieurs minutes pour reprendre son souffle. Elle se redresse ensuite pour s’asseoir mais la douleur la fait s’allonger à nouveau. Elle se lève tant bien que mal et s’accroche à mon bras :— Toutes celles qui oseront me dire qu’elles se sont faites "défoncer le cul" me feront désormais bien rire. Je descends sa jupe et ramasse son string. Je ris, mais Christine peut à peine marcher et je dois vraiment la soutenir. Il nous faut cinq bonnes minutes pour atteindre la voiture qui est à 50m. J’aide Christine à s’asseoir. Sur le côté.
En chemin, les douleurs diminuent un peu et Christine parvient à s’asseoir normalement à quelques encablures de la maison. Elle sollicite néanmoins mon aide pour sortir de la voiture. Je l’aide ensuite à se déshabiller et pour faire sa toilettes. Je suis particulièrement doux en nettoyant son anus dont la couleur a viré du rose clair au violet. Au lit, elle en rit :— Ça m’apprendra à jouer à la salope !Je l’embrasse :— Tu ne joues pas, tu es une salope.— Mmmh… tu crois ? "Salope", je ne pense pas, mais "perverse", je prends.Nous éclatons de rire. Je m’embrasse passionnément.— Moi, je pense que tu es une belle salope, parce que là, malgré ton cul en vrac, tu as envie de te faire sauter encore une fois.Elle sourit largement et rougit.— Je ne peux rien te cacher. Mais je vais me contenter d’une petite pipe. Des paroles aux actes, Christine se penche sur ma queue et entame sa fellation. Qu’elle assurera jusqu’à la dernière goutte.
Le mercredi matin, Christine pourra marcher mais les chaises ne seront pas ses amies. Heureusement, celle de son bureau est doublement rembourrée.
Diffuse en direct !
Regarder son live