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Christine V : Coeur, sexe et imagination

Chapitre 6

Hétéro
Christine lance un fond musical moderne, agréable et entrainant. Assis dans le canapé, je me délecte du string de Véro que je sens et lèche. Divin. Cinq minutes plus tard, sa voix résonne dans les enceintes de la chaine hi-fi :— Voilà, nous allons commencer le défilé. Pour ce premier passage, Marie porte une robe de soirée noire. Toujours la tête dans la cagoule de cuir, Véro apparait au fond de la pièce, s’arrête, puis s’élance face à moi. Je regrette de ne pas voir l’expression de son visage car je suis sûr qu’elle a un sourire immense. Montée sur des talons vertigineux, elle marche fièrement, tel un mannequin, sans peur aucune du ridicule. D’ailleurs, elle ne l’est pas du tout.— Cette robe évasée sur le bas et très décolletée met en valeur sa formidable poitrine. On ne croise pas tous les jours des bonnets E, n’est-ce pas, mon chéri !Très décolletée, ce n’est pas un vain qualificatif : je vois son nombril et les quatre grains de beauté ! Véro repart, revient, et pose devant moi.— Elle avoue n’avoir portée cette robe qu’à trois reprises pour sortir et toujours en galante compagnie. Taux de sexe en fin de soirée : 100%.Véro se tourne et s’en va. Je ne peux qu’applaudir, ce qu’elle vient de faire est juste incroyable.
La voix de Véro se fait ensuite entendre, elle est clairement travestie. Je souris. — Pour entamer son défilé, Christine est vêtue d’une courte robe rouge.Ma femme arrive dans une nouvelle robe tout à fait sexy. Sa démarche est moins assurée que celle de Véro mais son sourire est lumineux. C’est émouvant de la voir ainsi. Arrivée devant moi, elle se tourne.— Elle s’est offerte cette nouvelle robe, avec ses empiècements de volants sur le haut, pour te plaire et exposer son cul !Je ris mais il faut bien dire que de dos, cette robe est royale : une fine et astucieuse couture incline légèrement le tissu à l’intérieur de la raie des fesses de Christine, si bien qu’elles sont complètement moulées dedans. Repartie au fond de la pièce, elle revient et et tourne.— Première sortie officielle très prochaine et sans culotte. En me fiant à ce qu’il s’est passé durant la soirée, je pense que tout cela se finira très certainement entre les fesses de Christine !Ma femme s’en va en riant. Pas exclu que Véro ait ajouté la dernière phrase d’elle-même. Je bande comme un cheval et imagine déjà me retrouver avec ma femme au restaurant.
Durant la petite pause qui suit, je me ressers de rhum. Je n’attends que quelques instants. A travers les enceintes, ma femme me demande si tout va bien. Que lui répondre d’autre que la soirée est parfaite ? — Je suis très heureuse qu’elle te plaise. Je t’aime.Elle marque une courte pause.— Marie va faire son entrée dans une robe de plage très florale.Marie s’approche.— Marie a choisi cette robe courte à fines bretelles, cintrée sous la poitrine. Elle s’arrête, se tourne, pose, mais ne repart pas. Elle attrape le bas de la robe et l’élève pour la retirer.— Dessous, Marie a revêtu un bikini string vert pastel qui appartient à sa petite sœur. Qui fait tout e même un très honnête bonnet C. Les seins de Véro débordent du haut du bikini. C’est à la fois sexy et vulgaire. Cela me plait énormément et cela me rappelle quelques instants la chanteuse Sabrina, dont les seins quittaient la même étoffe de tissu dans un fameux clip des années 80. Véro repart au fond, dévoilant maintenant son magnifique arrière-train. Revenant face à moi, Véro a désormais les seins à l’air et ne semble pas du tout décidée à les remettre à leur place. Je reluque avec excitation ces deux grosses meules qui sautillent à chaque pas. Marie sort.

— Mon Dieu, cette petite robe de plage en dentelle ressemble davantage à un nuisette sexy !Véro lance le passage de Christine qui arrive dans un voile transparent. — Le déshabillé bleu ciel met en valeur la nouvelle acquisition de Christine : un bikini string du même coloris. Pour le haut, elle a choisi le triangle le plus étroit pour ne dissimuler guère plus que ses aréoles. Pour le bas, il s’agit du modèle "micro" qui ne cache que les grandes lèvres de son sexe.Je suis ébahi. Christine retire sa robe par le haut après avoir posé devant moi. Le bikini est minuscule et je sors ma bite compressée dans mon pantalon. Christine prend un glaçon et le passe sur le bas de son bikini :— A la plage, en plus de lui reluquer le cul, ses hommes auront tout loisir de mater sa chatte humide puisque, tu peux le constater, le tissu devient transparent une fois mouillé.  Christine fait de même avec le haut. Je deviens fou et je me masturbe doucement devant elle.— Allongée dans le sable, elle sera le fantasme des plagistes. De face, les détails de son anatomie intime n’auront plus aucun secret pour eux. De dos, sa jolie rondelle deviendra l’objet de tous les désirs.A ces mots, Christine se penche en avant, jambes légèrement écartées. Avec ses mains, elle écarte autant que possible ses fesses, dévoilant largement son anus traversé par la ficelle bleue. Je n’en peux plus : je m’agenouille derrière elle et lèche avec avidité ce petit trou si appétissant.— Christine avait prévue que tu ne résisterais pas. Les tubes de lubrifiant sont déjà dans le sac de voyage !J’éclate de rire et dois cessez ma caresse. Christine en profite pour se redresser et se tourner. Elle me rassied sur le canapé. Je lui dis :— Tu le mettras ?— Pourquoi l’ai-je acheté sinon ? Mais on verra où.Elle me fait un clin d’œil, m’embrasse et repart. Je l’applaudis.
Nouvelle pause. Je n’ai pas envie de boire le champagne tout seul et j’attends les filles pour ce faire. Je patiente en m’imaginant la suite. Que vont-elles me proposer ? J’en salive déjà. J’entends du bruit à la sortie de la chambre, des talons qui claquent contre le sol. Christine dit :— Ce soir, tu invites Marie au restaurant, mais vous devez être discret car ta femme t’a à l’œil.Je souris, Véro apparait.— Elle a ainsi opté pour cette sobre mais élégante robe-chemisier noire, manches courtes, fermée par huit boutons et agrémentée d’une ceinture.Véro repart au fond de la pièce.— Mais Marie a très envie de rentrer avec toi. Elle cache bien son jeu, mais saura sortir le grand en temps voulu. Voilà pourquoi, dessous, elle porte cette guêpière en dentelles rouges.En revenant, Véro déboutonne entièrement sa robe et la laisse tomber en chemin. Elle pose dans cette tenue outrageusement sexy. Ses seins débordent du décolleté, le string est inséré dans sa fente, elle est vulgairement attirante. — Chez toi, Marie aura particulièrement envie de deux choses : la première, c’est de pouvoir glisser sur ta grosse bite alors que tu es couché dans son lit.Véro s’agenouille au sol et simule la position d’Andromaque en sautillant et gémissant. Je suis estomaqué, c’est magnifique.— Mais surtout, elle meure d’envie que tu la prennes en levrette…Véro se tourne alors, à quatre pattes. Je ne vois que ses fesses et la ficelle rouge. Mon cœur bat à 300km/h. — Puis-je te demander de retirer ton pantalon et de t’agenouiller derrière elle ?Comment refuser ? Je saute du canapé, vire mon futal et me place derrière elle.— Tu peux commencer à simuler la levrette.Je commence mes va-et-vient contre les fesses de Véro, qui gémit doucement. J’accélère un peu tout en étant un peu plus ferme. Seul le tissu de mon boxer…— C’est bien, continue ainsi. Marie adore être prise ainsi…Attrapant mieux ses hanches, j’augmente l’intensité une nouvelle fois.— Vas-y, oui, comme ça ! Marie est une belle salope et son péché mignon, c’est ça, être prise avec vigueur en levrette ! Prends-la plus fort !Je suis pas loin de mon rythme maximal et mes hanches tapent vivement contre ses fesses. Véro gémit, se laisse aller à plusieurs "Oh oui !".— Tu es au bout, un dernier effort !Encore deux mouvements et dans un ultime et vif coups de rein, je simule ma jouissance. Véro joue le jeu, reste contre mes hanches avant de s’affaler sur le côté. Dans un coup d’oeil, je constate que son string est tout mouillé. Je l’aide à se relever. Elle prend sa robe et sort.
Malgré quelques secondes de répit, Véro est encore essoufflée lorsqu’elle prend à son tour la parole.— Vous… vous êtes invités à un cocktail dinatoire très chic et Christine s’est offerte une tenue de circonstance, tenant compte de tes préférences.Ma femme se montre.— Elle défile dans cette très élégante robe chemisier beige en coton stretch, ornée d’un noeud du même coloris, qu’elle a strictement boutonnée jusqu’au ras du cou, très classe.La robe est juste magnifique, tout comme elle, qui se tourne et repart. Son cul est divinement moulé dans le tissu. Elle revient.— Mais les réceptions mondaines, très peu pour elle. Ce qui l’intéresse, c’est le sexe.Christine commence à déboutonner sa robe par le bas.— Voilà pourquoi elle a revêtu dessous ce corset à jarretelles en cuir clouté, seins nus, fermé jusqu’au cou par de larges lanières à boucles. Une magnifique petite pute SM, non ?Sidéré par la vision de ma femme dans cette tenue fétichiste au possible, je ne réagis même pas à la façon dont Véro l’a appelée. A vrai dire, je n’en pense pas moins. Ma femme peut être une vraie pute et j’adore ça. — Mais quand tu es un vrai garage à bites, la tenue ne te suffit pas. Christine me tend une petite télécommande et retire son string en cuir. Un ficelle pend de son minou :— Habituée au gros format, Christine a pris un œuf vibrant de belle taille. Tu peux jouer.J’actionne la télécommande. Christine sourit. Je lui demande si ça marche. Elle dit que c’est très agréable. J’augmente la puissance puis diminue. Elle retire délicatement l’œuf et me le donne. — Christine a cependant besoin de ton aide pour un accessoire. Tu le trouveras à ta droite, derrière le dossier du canapé. J’exécute la demande et découvre un gigantesque plug anal et un tube de lubrifiant.
Christine s’allonge à plat ventre en travers de mes genoux, les fesses relevées. Je mets du lubrifiant autour de son petit trou et commence à masser. Coutumière, Christine est parfaitement décontractée et son sphincter se détend rapidement. Cependant, compte tenu de la taille de l’engin, je poursuis la préparation. Je lui demande si on peut y aller. Elle acquiesce. Je badigeonne le plug de lubrifiant et le pousse lentement dans l’anus de ma femme. — Six centimètres de diamètre, douze de longueur insérable. Pour sodomites chevronnées…Le plug est entré. Je l’enfile sur toute la longueur et aide Christine à se relever. Ses premiers pas sont difficiles, elle dit que c’est aussi excitant qu’intrusif. Je ris. Elle ramasse sa robe en se baissant de manière pas du tout naturelle et disparait au fond de la pièce.
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