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Christine VI : Midlife Crisis

Chapitre 9

Hétéro
Le lendemain matin, Christine ne me pose aucune question sur ma soirée de la veille. Habituellement, elle me demande au moins si j’ai passé une bonne soirée. Là, rien. Le week-end se passe plutôt bien. Nous allons skier le samedi après-midi et le dimanche, nous avons la visite de nos parents. En fin de journée, j’appelle mon ami qui vend son lit. Il m’envoie un mail avec les photos que je lui ai demandé.
Le lundi matin, en arrivant au travail, j’envoie un message à Mélissa pour lui dire de passer dans mon bureau durant la matinée. Elle y entre une dizaine de minutes après. Nous sommes un peu gênés et ne savons pas tellement comment nous saluer. Un smack semble convenir.— Il faut que nous soyons discrets ici, Mel.— Je sais, ne t’en fais pas. Tu as passé un bon week-end ?— Mon vendredi soir était absolument délicieux. Le reste du week-end était… habituel. Et toi ?— J’ai des petites étoiles dans les yeux depuis vendredi. C’était trop parfait.Elle semble planer et j’en suis ravi. Je coupe un peu court à notre conversation intime car nous sommes au travail.— Viens de ce côté, il faut que je te montre quelque chose.Elle ironise :— Tu n’as pas dit que nous devions être discrets ?Je ris. Elle vient. J’ouvre le mail de mon ami.— Regarde. Un ami quitte son appartement et il doit se séparer de ce lit escamotable au plafond. — C’est quoi ce truc ?— C’est une structure fixée au mur qui permet de monter le lit au plafond durant la journée et de le baisser le soir pour dormir. Tu as assez de hauteur chez toi pour le fixer. Le lit fait deux mètres par deux. — Tu veux dire qu’il ne prend aucune place la journée ?J’ouvre une petite vidéo dans laquelle il descend le lit. — Il a installé son salon sous le lit. Le soir, il couche les coussins du canapé et descend le lit qui vient se poser dessus. Je ne sais pas comment est le fond de ta pièce avec la baie vitrée, mais ça pourrait être une solution.
Mélissa ne dit rien, elle observe les photos et semble réfléchir à comment installer cela chez elle. Elle est penchée sur mon bureau et je pose la main en haut de ses fesses. Je les caresse doucement. Elle dit :— Oui, ce serait bien, mais ça doit coûter un max, non ?— Ecoute, mon pote est emmerdé avec ça, car il doit tout enlever avant la fin du mois, exigence de la régie. Si quelqu’un vient démonter la structure, il donne le tout. — Merde… Il faut que je trouve quelqu’un. Je vais appeler mon frère.
Mélissa se redresse et s’appuie contre mon bureau, de biais par rapport à moi. Elle porte une jupe mi-longue marron et un chemisier beige en satin assez moulant.
— Tu es très élégante et très belle, Mel. Ce chemisier te va à merveilles.Elle rougit et sourit avec douceur. Ses yeux brillent soudain et une larme tombe sur sa cuisse.— Ça me touche beaucoup…Elle ajoute :— Tout ce qui s’est passé vendredi… Je…Mélissa est très émue et je lui donne des mouchoirs. Elle se calme, souffle.— Nous en reparlerons… En privé… — Quand tu le souhaiteras.— Tu peux quand ?— Demain, dès la fin de la journée.— Va pour demain.Mélissa se lève et se dirige vers la porte. Avant qu’elle ne l’ouvre, je lui dis en souriant :— Cette jupe aussi te va super bien.Elle revient vers mon bureau et chuchote :— J’y crois ou t’as maté mon cul ?— Comment ne pas avoir le regard attiré ? Il est parfait…Mel me regarde, la lèvre inférieure pincée, ses yeux sont incroyables.— Tu es un ange.Et elle s’en va.
Le mardi, en fin de journée, Mélissa et moi nous retrouvons directement chez elle et nous faisons immédiatement l’amour. Ce second rapport est à nouveau très chaud et intense. Nous restons ensuite au lit et Mélissa se confie :— J’ai vécu des moments durs, très durs, surtout les deux dernières années. Il m’insultait sans raison, il m’appelait "Gros tas", "Gros cul", "L’affreuse", "Vipère" et j’en passe… Il critiquait tout ce que je faisais, ce que je ne faisais pas, j’étais toujours en tort. Quand il me voyait en petite tenue, c’était "faut vraiment que tu fasses quelque chose, tu deviens vraiment dégueulasse". Et j’encaissais sans broncher. Bien entendu, il ne me touchait plus. Je me suis souvenue après coup que notre dernier rapport datait de septembre 2016, pendant nos dernières vacances ensemble. Avec nos amis, il me critiquait violemment, m’engueulait, me traitait comme de la merde, vraiment. En mars l’an dernier, j’ai perdu mon job. Il m’a humilié pendant des jours, en me disant que je n’étais qu’une moins que rien, une assistée. Et le pire, c’est que s’il n’était pas parti trois mois plus tard, je serais certainement encore avec lui. Pourtant, c’est juste après la séparation que j’ai vécu la pire période de ma vie. Je suis restée cloitrée chez moi tout l’été, j’ai pris dix kilos en deux mois. Quand je suis enfin sortie, j’étais une mort-vivante. J’ai racheté des fringues sans couleur et sans forme. Et puis…Mélissa se retient de pleurer :— Et puis, la chance tourne. Je suis arrivée dans l’entreprise et vous avez tous été adorables avec moi…Elle fond en larmes, je laisse couler. Encore et encore. Plus de vingt minutes. Mélissa évacue et c’est très impressionnant.
Elle essaie ensuite de reprendre son récit :— Je voulais me foutre en l’air, Florent. Vous m’avez tellement aidé. Vos sourires, votre joie communicative malgré les tâches quotidiennes, vos plaisanteries. Et puis toi. Quand tu me regardais, j’avais l’impression que tu savais tout de moi, comme si tu connaissais mon histoire, mes souffrances. C’était très étrange. Quand j’ai appris que tu serais seul le 24 décembre, je n’ai pas hésité une seconde et j’ai été m’acheter la jupe et le top. Ce jour-là… C’était Noël et c’était un rêve. Les croissants, tes compliments, notre balade. Tu t’intéressais à moi. Tu étais attentionné. J’ai réagi avec agressivité sur le moment. En bête blessée. Le soir même, le soir de Noël, j’ai été courir. Aujourd’hui, j’ai déjà perdu cinq kilos sur les dix que j’avais pris l’été passé. Je peux remettre certaines de mes fringues. Et si j’étais si émue hier, c’est que vendredi, tu m’as traitée comme une princesse, tu m’as offert une soirée magnifique, tu m’as regardée avec envie. Je lisais le désir dans tes yeux, l’appétit et l’excitation quand je me suis déshabillée. Je savais que tes yeux ne mentaient pas. Ne me demande pas comment. Tu m’as communiqué ta confiance. Tu voulais faire l’amour avec moi parce que tu me trouvais belle, attirante et désirable. Et tu m’as rendue folle de plaisir parce que tu m’as tout donné. Tu vas me prendre pour une grande malade, Florent, mais c’était le plus beau jour de ma vie. Même si je ne t’avais jamais revu, ce jour restera gravé à jamais.Je souris et embrasse Mélissa. Nous faisons l’amour avec passion, ardeur et tendresse, comme deux amants éperdument amoureux l’un de l’autre…
Après ce nouveau rapport, nous revenons dans le salon. Je mesure tout ce qui peut être mesuré contre la baie vitrée. Ce que je trouve incroyable, c’est qu’il n’y a pas la moindre ouverture. Entre les armoires, il y a du papier collant. Au sol, je trace la place que prendrait le lit avec une ficelle des deux côtés de la pièce. Mélissa essaie de l’imaginer, nous échangeons beaucoup. Elle cherche des idées sur internet. J’envoie un message à mon ami pour la disponibilité du lit. Une semaine. Entre temps, Felipe, un ami ébéniste du frère de Mélissa pourrait récupérer le lit, le transporter et le remonter chez elle. Il fallait qu’elle soit sûr du lieu d’installation. Alors que nous finissons une pizza commandée sur la table de la cuisine, Mélissa dit :— Envoie un message à ton pote. Je prends le lit.— Génial !A son regard, je sais que Mélissa s’est décidée. Elle se lève et dit :— Les armoires sont vieilles, dépareillées et trop grandes pour entrer dans la pièce. Je vais m’en débarrasser. Pour la chambre, je vais demander à Felipe de me faire un devis pour un dressing. Il est au chômage en ce moment et il pourrait me faire ça au black. Je lui écris un message pour qu’il passe demain ou jeudi.
Elle envoie le message et ajoute :— Pour l’heure, je veux voir dehors. Viens !Nous déplaçons à grand peine une immense armoire. Même posée sur du carrelage, elle bouge difficilement. J’ironise sur la puissance des produits de nettoyage qu’il faudra utiliser. Nous sommes en sueur alors que le meuble n’a bougé que d’une quarantaine de centimètres. Suffisant pour Mélissa qui attaque le papier collant qui part en lambeaux lors qu’elle tire dessus. Trois quarts d’heure pour libérer un surface de deux mètres carré. La vue est à couper le souffle. De nuit, les lumières de la ville s’étendent devant nous et je n’ose imaginer l’impression de jour. Effectivement, nous nous trouvons dans la pièce comme au bord d’un précipice, mais le panorama est probablement le plus saisissant de la ville. J’enlace Mélissa et nous regardons au dehors. — C’est impensable de s’être privé de ce bijou durant tant d’année. En journée, c’est un tableau gigantesque que tu as devant les yeux. Aucun vis-à-vis, une hauteur impressionnante, on voit à des kilomètres. C’est fou.— Tu as encore un peu de temps ? Tu es encore motivé ? J’ai envie de tout révolutionner ici !
Nous vidons entièrement deux armoires. Rapidement, je remarque des minijupes et des robes assez sexys. Nous déposons les vêtements sur le canapé et la table à manger. Felipe passera le lendemain en fin de journée. Nous travaillons jusqu’à minuit et dégageons environ les trois-quarts du vitrage. Vidés de nos forces, nous nous affalons à même le sol, avec chacun une bouteille d’eau à la main. Mélissa murmure :— La douche ne va pas être de trop…— Je la prendrais chez moi, je n’ai rien pour me changer.Je me lève, m’essuie le visage et la tête avec une serviette déjà humide. Je remets mon blazer sur ma chemise trempée de sueur et je me dirige vers la porte d’entrée. Mélissa vient m’embrasser et m’enlace. Elle m’indique la pièce. — Je vais mettre le lit tout à gauche, le plus près possible de la vitre. Quand il fera beau, on viendra ici après le boulot et on fera l’amour au soleil couchant.— Je valide cette idée !Nouveau baiser, je la pelote doucement avant de goûter à son sein droit. — Arrête, sinon je ne vais plus pouvoir me contrôler.Je ne stoppe pas, bien entendu, et Mélissa me caresse doucement l’entrejambe. Je la regarde, la tourne doucement contre le mur. J’enfile une capote puis je descends lentement son jogging puis son string. Je caresse ses fesses, sa vulve détrempée et odorante, puis j’y glisse mon sexe. Cette pénétration initiale est le seul passage doux. J’astique ensuite vigoureusement l’arrière-train de ma collègue qui, appuyée contre le mur, me regarde l’oeil lubrique par-dessus son épaule. Bouche ouverte, mâchoire serrée, son visage provocateur me fait redoubler d’ardeur. Aucun doute, la belle adore se faire baiser ainsi. Je tape sans ménagement contre son postérieur et jouis. Je me retire. Elle se tourne, la mine satisfaite, et m’enlève le préservatif. Elle m’embrasse. Je lui souris. Elle sait à quoi je pense :— Oh, mais tu ne me connais pas encore, mon cher !— Je vois ça…Un tendre baiser.— C’est toi. Tu réveilles en moi des désirs enfouis, des pratiques presque oubliées. — Tu aimais comme ça ?— Un coup de rein en vitesse, deux minutes tout compris, j’adorais ça !Elle éclate de rire. Je provoque : — Qui sait si dans quelques temps je ne te surnommerai pas "Miss Quicky" ?— Heu… Tu n’as pas dis que l’on devait être discrets au travail ?— Discret ne veut pas dire inactif. Elle sourit et ajoute :— Et un quicky, ça peut être une turlutte sous ton bureau…Je soupire en imaginant Mel en train de mon pomper à mon bureau. Un fantasme. Un dernier smack et je m’en vais. Dans la voiture, je suis aux anges. Mélissa est tellement inattendue. J’adore baiser cette femme grande et larges d’épaules et je sens que je ne suis pas au bout de mes surprises avec elle.
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