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Christine VI : Midlife Crisis

Chapitre 12

Hétéro
A la maison, Christine rentre à 3h du matin le jeudi soir. Elle m’avait dit qu’elle sortait. Son entrée me réveille mais je fais semblant de dormir. Je l’observe se dévêtir. Elle a un porte-jarretelles sous sa robe. Elle le retire. Nue, elle se regarde dans le miroir et je la désire alors ardemment. Je bande dur. Elle entre dans la salle de bains et je décide d’y aller également faire un besoin pressant. Hypocrite, je fais comme si de rien n’était :— Salut.— Salut. Nous sommes nus tous les deux, j’ai un barreau de malade entre les jambes. Je frôle ses fesses en passant derrière elle. Je remarque ses coups d’œil rapides. Je me contorsionne sur les toilettes pour parvenir à faire quelques gouttes puis je me lave les mains, épaule contre épaule avec elle. Je retourne me coucher mais je ne m’endors pas tout de suite. Quelques minutes plus tard, Christine revient dans la chambre et je sens qu’elle m’observe quelques secondes. Alors, elle retourne à la salle de bains et rapidement, je l’entends gémir. Je me relève sans bruit et viens jeter un coup d’œil dans l’entrebâillement de la porte. Assise sur les toilettes, mon épouse se masturbe vivement, caresse ses seins. En pensant à qui ? A quoi ? La réponse tombe sous la forme d’un murmure et emballe mon cœur :— Mon amour… Comme ta grosse bite me manque…Je retourne me coucher, le cœur battant, heureux et rassuré. Je m’endors avant qu’elle ne revienne se coucher. Au réveil, Christine est toujours aussi froide avec moi, mais je sais qu’elle brûle de l’intérieur.
Mélissa revient au travail l’après-midi du mercredi 3 avril après une semaine de vacances et deux jours de travail dans son nouveau job. J’ai organisé une petite réunion de travail à 14h pour son retour et je lui ai préparé un petit cadeau d’accueil pour le début de son contrat à durée indéterminée. Elle entre et s’approche de mon bureau. Elle est très joliment bronzée et son teint hâlé contraste avec son chemisier ivoire et sa jupe courte portefeuille. Je me lève et prenons le risque de nous embrasser assez longuement. — Tu es magnifique, Mel, et tu sembles en pleine forme.— Cette semaine m’a fait un bien fou. J’ai l’impression d’avoir tiré un trait définitif sur le passé. Je peux avancer à nouveau.— Ton nouveau job ?— Super bien accueillie. Pendant deux semaines, je vais faire le tour de tous les départements pour me familiariser avec l’entreprise, j’ai tout un programme d’accueil. Je lui souris : — Et les conditions vestimentaires sont aussi dures qu’ici ?Elle éclate de rire.— Non ! Il n’y a pas de dress code, mais ça semble assez strict. Un peu comme dans une banque.— J’espère qu’aujourd’hui, pour ton premier jour, tu respectes les consignes.— Je te laisse vérifier…Je me rassieds sur ma chaise. Mélissa reste debout et j’écarte les pans de sa jupe. Elle porte des collants et rien dessous. Les collants sont clairs et sa toison noire est bien visible. Je dépose un baiser dessus. Mélissa gémit. — Tu passes chez moi tout à l’heure ? J’ai très envie de toi.— J’allais te le proposer.
Je me lève, un baiser, et nous allons nous installer à la petite table de mon bureau. Discussion professionnelle. Je lui explique ce que je désire exactement et quel soutien j’attends de sa part. J’apprécie énormément qu’elle ait pu "switcher" très vite entre l’intime et le professionnel. Je lui dis de poser des questions pour tout ce qui ne semble pas clair. Je lui donne plusieurs dossiers à traiter d’ici à vendredi après-midi où nous referons un point de situation. Elle quitte le bureau.
A 18h, nous sommes dans son lit et nous faisons l’amour. Divinement. Alors qu’elle est sur moi, je lui demande :
— T’as baisé en vacances ?— J’aurais bien aimé, mais non. Le mec qui me plaisait était gay !Multipliant les orgasmes, Mélissa se montre pour le moins bruyante, surtout vers la fin de notre rapport. Ensuite, je reste un petit quart d’heure avec elle, dans son lit, puis je m’en vais.
Le second contrôle vestimentaire a lieu le jeudi 11 avril. Mélissa porte une jupe de tailleur qui lui fait des fesses absolument divines. Je sais qu’à 10h, il y a un meeting qui réunira notamment la plupart de mes contacts internes. J’ai envie de prendre un risque. Je la fais venir. Avant qu’elle n’arrive je me masturbe doucement et enfile une capote quand je suis bien dur. Mélissa entre, fait le tour de mon bureau et constate. Elle sourit. Ni une, ni deux, elle passe les jambes de part et d’autres des miennes, écarte son string et vient s’empaler sur mon sexe. Excitation instantanée. Mélissa sautille frénétiquement sur mon sexe, jouit puis m’emmène l’orgasme à mon tour. Quatre minutes. Elle se redresse, remet son string en place et s’en va en me faisant un clin d’œil.
Cette même semaine, Christine rentre à deux reprises plus tard du travail. Une fois à 19h30 et une fois à 21h.
Le mardi 16 avril, elle m’écrit qu’elle ne passera pas la nuit à la maison. Je lui réponds de la même manière qu’elle : "ok". En réalité, cette information fait autant de bien que de mal. Elle est positive car elle évite à celui qui reste de se faire du souci en ne voyant pas rentrer l’autre. Mais elle fait mal : Christine va passer la nuit ailleurs. Mais alors que je m’apprête à passer une soirée difficile, je reçois un message de Barbara : "je suis seule à la maison ce soir, tu viens manger ?". Sauvé. J’arrive juste avant elle à la maison. Elle me demande d’attendre dans la rue, car il faut qu’elle désactive les caméras qui filment intérieur comme extérieur. Une fois cela fait, j’entre et nous faisons immédiatement l’amour sur le canapé. Je prends un pied géant, tout comme, apparemment, la jolie brune.
Nous faisons ensuite la cuisine ensemble, nous mangeons puis nous discutons dans le canapé en buvant un digestif. Barbara a mis la télévision qui marche pour les alouettes. Alors que je pose mon verre sur la table, j’appuie malencontreusement sur la télécommande. Au milieu des chiffres. La chaine 896 se charge à l’écran. Barbara dit :— Mais tu as fait quoi ?L’image apparait. Un film pornographique. Barbara éclate de rire. — Je ne savais pas que j’avais ce genre de chaines. — Pour les avoir, il faut faire une demande d’accès spécial ou acheter un pack de chaines de ce genre. Si ce n’est pas toi…— Ok, je vois. Quand je vais me coucher la première, je sais désormais ce qu’il fait.
A l’écran, une scène se termine et la suivante débute dans un bureau avec une secrétaire perverse tout ce qu’il y a de plus cliché : tailleur jupe ultra moulant, chemisier bien trop étroit pour sa volumineuse poitrine, et bientôt, une guêpière torride. Je plaisante :— C’est vraiment dommage, on a travaillé sept ans ensemble et je ne t’ai jamais vu habillée comme ça !Barbara rit. L’actrice suce toutes les bites qui se présentent à elle.— Je n’ai jamais fait ça non plus, hein ! Je ris à mon tour. Nous ne parlons plus et regardons la secrétaire se faire pénétrer de partout. Barbara se rapproche de moi et commence à caresser mon sexe déjà dur.— On dirait qu’elle te fait de l’effet. Ça te plairait que je m’habille comme ça ?— Ai-je besoin de répondre ?Le regard de braise, elle murmure :— Je vais aller regarder dans mes armoires alors…Elle se lève alors et je l’accompagne dans la chambre. Je m’allonge sur le lit tandis que Barbara ouvre son armoire, prend des vêtements et sort de la chambre. Dix minutes plus tard, elle y revient. Copie conforme de l’actrice, j’en ai le souffle coupé. Je me lève, elle dit :— Que cela reste à jamais entre nous, hein ! Tu ne m’as jamais vue habillée comme ça !Je ris, elle aussi. Après un baiser, Barbara s’agenouille et me suce. Par la suite, j’aurais aimé qu’elle poursuive dans une attitude provocatrice et un peu vulgaire, mais ce n’est pas son truc. Nous faisons l’amour et c’est certes très agréable, mais j’aurais vraiment aimé baiser.
Je passe la nuit avec elle et cette fois, pas de panique au réveil. Au contraire, Barbara se montre très sensuelle et très proactive. Elle dit adorer faire l’amour le matin.
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