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Christine VI : Midlife Crisis

Chapitre 13

Hétéro
Le jeudi 18 avril, une importante réunion professionnelle a lieu. J’y présente mon analyse sur le poste que je viens de reprendre et les améliorations que je souhaite mettre sur pied dans les semaines et mois à venir. Mélissa avait préparé la séance de travail, les slides que je présente. Tout est calé et tout se passe à merveilles. J’ai les félicitations du directeur pour la clarté de ma présentation et de mes supports. Je lui indique que tous les supports ont été créé par Mélissa. Il la regarde en hochant la tête. La grande brune sourit, rougit, gênée.
Nous revenons au bureau pour débriefer. Mélissa dit qu’il n’était pas nécessaire de la citer et m’embrasse tendrement. Elle me fait un retour sur les réactions de autres personnes présentes, comme je lui avais demandé. Ses impressions sont conformes à ce que j’avais ressenti pendant ma présentation. Alors que nous terminons, elle me dit : — Par contre, tu es vraiment un bourreau des cœurs !— Hein ? Mais pourquoi tu dis ça ?— Ne me dis pas que tu n’as pas remarqué ?— Remarqué quoi ?— Rien vu de particulier pendant la séance ?— Non. J’étais concentré sur ma présentation. Et avant, quand j’étais assis, j’ai essentiellement reluqué ton soutien-gorge que j’apercevais entre les boutons de ton chemisier. Mélissa rit. — T’es con !— Dis-moi…— Quand tu as pris la parole, il y en a une qui ne t’as pas lâchée du regard et qui matait ton entrejambe en suçant son stylo. Et je suis prête à mettre un joli pactole que sa culotte était plus qu’humide après la séance !— Tu me charries, arrêtes !— Je te jure, Florent.— Qui ?— Fabienne.J’éclate de rire.— Mais bien sûr, la DRH !J’ajoute :— Une autre, j’aurais éventuellement pu y croire, mais là non, c’est trop gros !— Je prends le pari que si tu l’invites au resto, tu la sautes !— Mel, elle vient d’être maman. Sa fille a quoi… 8 mois ? 9 mois ? Et aux dernières nouvelles, son couple va bien et d’ailleurs, ils partent demain en vacances pour dix jours en Grèce. Tu te fais des idées, ma belle.
Silence. J’adore ce moment. Mélissa me regarde en souriant, sûre d’elle et de son analyse. De mon côté, je ne peux pas croire une seconde que Fabienne, 38 ans, froide voir même revêche de prime abord, puisse en pincer pour moi. Certes, elle est une belle femme, blonde aux yeux bleus et ses tenues élégantes et strictes ont toujours eu une certain impact sur moi. Mais non. Pas elle. Pas cette BCBG qui semble si coincée du cul. Je réfléchis un instant. Par jeu, je relève le défi de Mélissa :— Ok, je l’invite dès son retour de vacances. — N’oublie pas les capotes ce soir-là, hein !
Mélissa et moi fêtons le succès de notre présentation chez elle, en fin de journée. Pas de sentiment. De la baise pure et dure.
La fin du mois d’avril se passe entre Mélissa et Barbara, chez qui je passe une nouvelle nuit. Je papillonne entre mes deux collègues et cette situation me convient parfaitement. Les deux femmes sont très différentes, leurs attentes aussi et je prends beaucoup de plaisir avec chacune d’elles. Mais je commence, de temps en temps, à avoir des envies tout plaquer pour partir avec Christine. Elle me manque. Au début de la séparation, elle me manquait physiquement. J’avais essentiellement envie d’elle. Aujourd’hui, je commence à ressentir le manque d’elle. Nos discussions, nos échanges, nos joies, nos peines.
Début mai, je me lance à nouveau et je lui demande si elle a vu quelqu’un d’autre. Cette fois, elle me répond qu’elle a eu plusieurs déjeuners en février et mars et deux rendez-vous. — Et depuis ?— Tu es sûr de vouloir le savoir ?— Totalement.— J’ai une relation avec un collègue, un jeune assistant financier rencontré lors d’un meeting fin mars. Il a 21 ans et nous avons couché à quatre reprises ensemble en avril. — Et ? C’était bien ?— Très bien, oui. Il est très endurant, très viril. Il manque d’expérience, mais il apprend vite.— C’était chez lui ?— Non, ici. Il vit encore chez ses parents.Elle sourit. Je la remercie pour sa franchise et je vais au lit. En m’allongeant, je me demande si elle et lui ont couché là ou s’ils l’ont fait ailleurs. Je ne me fais pas trop d’illusions… Je n’arrive pas à trouver le sommeil. J’étais obligé de lui demander et maintenant, ça m’agace et ça m’excite. Je constate surtout que j’ai très envie de la voir baiser avec un autre. Mais si je lui dis quoi que ce soit, elle ne sera pas naturelle. Je finis tout de même par m’endormir.
Le mardi 7 mai, je me suis décidé : je prends ma journée et j’installe sept caméras miniatures dans la chambre, ainsi que des micros et un détecteur de mouvement à l’entrée pour déclencher mon installation. Après quelques réglages, les tests sont tout à fait concluants.
Je n’ai pas à attendre très longtemps puisque deux jours plus tard, je constate que les caméras ont fonctionné à midi. Alors que je rentre de chez Mélissa, je regarde la vidéo. Une séquence de baise hallucinante. Pas de préliminaires. Le jeune homme passe une capote et pénètre Christine pendant un demi-heure presque non-stop. Une vraie machine. Ma femme prend un pied d’enfer, elle jouit à de très nombreuses reprises. Quasiment aucun contact autre que sexuel entre eux, ce qui est plutôt rassurant. Pas de mots non plus, sauf lié à l’acte. Ils passent ensuite tour à tour à la douche et s’en vont.
Mon sentiment premier est le soulagement. J’étais inquiet, je ne sais pas de quoi, mais j’avais beaucoup d’appréhension. Je regarde à nouveau la scène à plusieurs reprises en changeant de caméra. Je suis très excité de voir Christine prendre du plaisir en se faisant baiser de la sorte et je vais me masturber en la regardant se faire prendre durement en levrette. Christine ne récidivera pas les jours suivants.
Au travail, je trouve l’occasion d’inviter Fabienne à un apéro et nous fixons au 16 mai. Mélissa est ravie car elle sera là ce jour-là. Entre temps, je prends un bon pied avec une "semi-baise" avec Barbara, chez elle, durant une pause de midi. Un rapport très rapide et bien vigoureux avec la petite quadra qui me dit qu’elle ne l’avait jamais fait ainsi.
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