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Christine VI : Midlife Crisis

Chapitre 18

Hétéro
A 14h, je quitte la tablée sans prendre de café et j’emprunte la voiture de Fabienne pour aller chercher Mélissa à la gare de Saint-Flureau. Le meeting reprend à 15h. Il me faut vingt bonnes minutes pour arriver à la gare. Le train de Mélissa s’y arrête à 14h28. La belle me saute au cou comme si elle rentrait d’un long voyage. Nous rions. Peu après, elle s’inquiète :— Ça reprend à quelle heure ? Il faut que je me change, ce con de dentiste a fait gicler un truc qui a taché mon chemisier et mon pantalon.— On va faire vite alors, car on doit y être à 15h et là, on en a bien pour vingt minutes de voiture.A peine sorti du centre de Saint-Flureau, Mélissa se penche sur mon entrejambe et me suce durant presque tout le trajet. J’éjacule dans sa bouche à quelques encablures de l’hôtel.
Mélissa dépose rapidement sa carte d’identité à la réception et nous courrons dans sa chambre. En un instant, elle est en soutien-gorge et string et je la regarde passer un tailleur jupe blanc de toute beauté avec un chemisier bleu roy.— C’est nouveau ?— Non, ça me va à nouveau.Je ris.— Tu es sublime.— Vrai ? Alors on y va.Nous marchons d’un pas vif dans le couloir. En entrant dans l’ascenseur, je remarque qu’on voit beaucoup le string de Mélissa en transparence. Je lui dis :— Je pense que tu avais prévu une autre couleur de string pour ce tailleur.Elle fait la grimace.— On le voit beaucoup ?— Oui. C’est très sexy.— C’est pas le but de ce genre de rendez-vous.— Au moins, ils se rappelleront de toi.— T’es con.Mélissa oublie cela dès que nous sortons de l’ascenseur car nous nous retrouvons immédiatement dans le flux des participants au meeting qui se rendent dans la salle.
Trois nouvelles heures de discussion. Mélissa est ravie et regarde tout et partout. Comme moi le matin. A la fin de la journée, à 18h, elle est comme un poisson dans l’eau au nouvel apéro. Les vestes tombent et l’ambiance est bien plus décontractée que le matin. Fabienne charrie Mélissa pour son string noir et elle lui demande de la tutoyer. Même Sabrina, toujours si stricte et froide, rit et blague. Nous avons rendez-vous à 20h30 dans un des grands salons de l’hôtel pour le souper. J’ai envie de me reposer un peu, de me doucher et d’appeler ma famille avant de redescendre. Mélissa monte avec moi. Fabienne me fait un clin d’œil.
Mélissa et moi faisons l’amour très tendrement en prenant notre temps. Je me dis que ce rapport est peut-être le dernier et je sens que Mélissa est dans le même état d’esprit. C’est divinement bon. Nous restons un peu au lit avant d’aller nous doucher. Je profite ensuite que Mélissa retourne dans sa chambre pour s’habiller pour appeler la maison. Je parle quelques instants à mon fils et à ma fille. Celle-ci raccroche ensuite. Comme d’habitude. Je rappelle. Christine répond.— Il y a un problème ?
— Non. Je voulais juste savoir comment tu allais.Il y a un blanc. Furtif, mais il existe.— Mais… heu… je vais bien.— Ta journée ?— Un peu compliquée, beaucoup à faire. Je n’ai pas chômé.J’hésite puis lâche :— Je me réjouis de te voir demain soir.Elle ne répond pas tout de suite.— Moi aussi. Passe une bonne soirée.— A demain.
Je n’ai pas le temps de penser à ce coup de fil. Je raccroche et Mélissa entre dans la chambre dans une robe fluide rouge entièrement plissée, à col montant et sans manches. Ma réaction semble la contenter plus que n’importe quel mot. Elle demande :— Sandales à talons ou escarpins fermés ?— Les plus hauts.— Ok, alors les escarpins.Mélissa retourne dans sa chambre et revient quelques instants plus tard. Elle a ajouté des bas résilles couleur chair. J’adore. Elle me scrute et "me fait beau" comme si j’étais son mari. Je suis dans la salle de bains quand Fabienne toque à la porte communicante. J’ouvre. Elle porte une robe patineuse bleue très évasée sur le bas et étroite sur le haut, avec une joli décolleté en V. En escarpins elle aussi, elle a également du nylon sur les jambes. Je souris.— Tu es magnifique. Et j’ajoute plus bas :— Et tu n’as pas de soutien-gorge.Elle rougit.— Non.— Ça me plait.Elle entre dans la salle de bains et me prend contre elle.— Toi aussi, tu me plais…Elle m’embrasse de façon assez coquine, un baiser assez long, interrompu par un :— Oups… pardon !De retour de sa chambre, Mélissa n’avait pas entendu Fabienne entrer. Alors que je termine de me coiffer, Fabienne sort de la salle de bains et dit à Mélissa :— Viens me montrer ta tenue !
Je reviens vers le lit. Mélissa et Fabienne sont en train de se prendre en photo. Fabienne me tend son téléphone portable :— Prends-nous en photo !Je prends plusieurs clichés des deux femmes. Lorsque je pense la séance terminée, j’entends Fabienne dire à Mélissa :— Tu crois qu’il a mérité ?— Je crois que oui.Fabienne et Mélissa soulèvent alors leur robe. Deux sexes glabres, pas du culotte. Fabienne a un porte-jarretelles. Elles rient :— On a pensé que c’était plus coquin comme ça !Photo. Recto. Verso. Je les embrasse tour à tour. Fabienne regarde sa montre et sourit. Elle se baisse, ouvre mon pantalon et sort ma bite tendue. Mélissa hésite mais Fabienne s’agenouille et commence à me sucer. J’embrasse Mélissa qui se met ensuite elle aussi à genoux. Les deux femmes se passent mon sexe de bouche en bouche. La superbe bouche charnue de Mélissa et les vifs aller-retours de Fabienne. Alors que je suis proche de jouir, elles se font des amabilités. Mélissa rit :— Je l’ai déjà avalé tout à l’heure, dans ta voiture.— Ah ok ! Alors oui, c’est à moi !Fabienne n’a besoin que de me reprendre dans sa bouche avant que j’explose.
Fabienne va chercher Sabrina et nous descendons tous les quatre au souper. Pendant le repas, les mains de Fabienne, à ma gauche, et de Mélissa, à ma droite, viennent régulièrement se poser sur mon entrejambe. A un moment, elles s’y croisent même. Nous rions.
Comme prévu, nous ne nous attardons pas après le repas, mais nous montons les uns après les autres avant de nous retrouver dans la chambre. Pour la première fois de ma vie, je fais l’amour avec deux femmes. C’est d’ailleurs une première pour elles aussi. Elles sont très complices sans pour autant avoir d’échanges intimes l’une avec l’autre. Je sodomise Fabienne sous les yeux d’une Mélissa médusée par la vigueur et la profondeur de l’acte. Je jouis en levrette avec Mélissa.
Allongé dans le lit, une femme sur chaque épaule, je profite de l’instant, sachant pertinemment que je ne risque pas de le revivre de sitôt. Je leur propose de rester dormir mais Fabienne préfère retourner dans sa chambre. — Je dois parler quelques minutes demain matin. Il faut que je sois fraiche.Je la raccompagne dans sa chambre. Long baiser.— On se voit demain matin. Ne faites pas trop de bruit !Je ris et reviens vers Mélissa. Nous nous couchons, enlacés, sans dire un mot.
Elle brise le silence :— Il y a quelques mois, après que j’ai refait l’appartement, j’ai hésité à te proposer de venir vivre chez moi. Je n’ai jamais eu autant envie de faire l’amour de toute ma vie et j’aurais bien aimé vivre une expérience très sexuelle, faire l’amour quatre ou cinq fois par jour sur une longue période. Vivre dans une tension sexuelle quasi permanente, choisir mes tenues en fonction de tes goûts pour te plaire, t’exciter, me faire désirer. Puis j’ai ressenti autre chose pour toi et j’ai compris que ça n’aurait pas été que sexuel si tu étais venu à la maison. Et j’aurais souffert bien plus que je souffre aujourd’hui.
Elle se met à pleurer, doucement. Je la prends contre moi. Elle pleure longtemps avant de s’endormir.
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