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Christine en Niqab

Chapitre 2

SM / Fétichisme
CHRISTINE EN NIQUAB -2 DE 6L’aéroport.
Dans l’avion qui me ramène à Genève, je ne peux chasser de mon esprit le complot qu’Ali et moi avons préparé pour celer le sort de Christine. J’aurais probablement encore hésité à lui faire subir cette épreuve si lors de la dernière nuit, les caméras placées chez moi, à son insu, n’avaient à nouveau révélé l’étendue de sa duplicité et de sa perversité. Tout d’abord, elle corrigea son amie Domi avec une violence inouïe. Dès que la malheureuse eu pénétré dans l’appartement, Christine lui donna l’ordre de se déshabiller dans la chambre et d’apporter le pèse personne. La petite revint dans le salon baissant la tête, nue, les mains derrière le dos. Elle semblait être encore plus dodue, avec ses mamelles tombantes, ses hanches de génisse, et ses grosses babines libidineuses envahissant le compas de ses cuisses. Elle déposa la balance monta dessus en hésitant. — Soixante et un ! On s’est lâchée ! Et bien ma petite, tu vas la sentir passer. D’autant que je suis sure que tu vas te gaver pendant mon séjour en Arabie. Tu vas recevoir ton dû et un acompte pour les prochaines semaines. Tu réfléchiras avant de t’empiffrer.— Je ne veux plus être punie…— Tu as signé, rappelles-toi ? Un bout de papier sur lequel tu t’engage à maigrir et dans le cas contraire, tu me donne toute liberté de te châtier. Et ce pendant une année, sans dérogation aucune. Tu as signé, non ?— Oui, mais je ne veux plus jouer…— Ce n’est pas un jeu ! C’est un accord, conclu entre adultes responsables. Grace ce protocole , tu as perdue six kilos en neuf mois même si tu viens d’en reprendre un.— J’étais tellement contente d’avoir passé les soixante que je me suis un peu relâchée. Mais, ne me punie pas, je te promets qu’à ton retour je pèserai cinquante sept kilos… Je te promets…— Promesse de grosse ! Si je ne te corrige pas, je perdrai toute crédibilité et tu te retrouveras à septante avant trois mois…Passant outre les gémissements de son amie, Christine sorts de nulle part une chaîne qu’elle accroche au lustre. J’espère qu’elle en a vérifié la solidité me dis- je devant les écrans. Elle passe deux bracelets en cuir autour des poignées puis, juchée sur une chaise, elle la suspend à la limite de l’étirement jusqu’à ce que ses orteils effleurent le sol qu’elle a recouvert d’une toile. Elle lui fixe derrière la tête un bâillon buccal munis d’une boule. — Je sais que tu préfère crier mais Jean m’a dit que des voisins s’étaient plaints au concierge de curieux bruits.Enfin, elle s’empare d’un fouet de cocher, le présente à la pénitente dont les yeux humides et les signes de dénégation supplient une vaine clémence. Christine se déshabille devant son amie qui n’en est pas rassuré pour autant. Elle frotte ses seins sur ceux de sa camarade dont le corps se balance lentement. Ses mains empoignent la vulve et fouille brutalement le vagin. — Tu vas souffrir ma grosse truie !La fustigée geint. Christine se recule. Je vois en gros plan ses magnifiques fesses. Le fouet claque. La pauvresse gémit et s’agite en vaines arabesques pour tenter de parer les coups. . Le fouet laisse derrière lui de longues traces, rouges sanguinolentes au hasard, sur les cuisses, le ventre, les seins, les épaules. Les yeux exorbités, le visage ravagé par la douleur, la proie n’en peux plus de couiner à travers le bâillon. Christine est déchainée. Sa copine est balafrée sur tous le corps. Son bourreau pousse des exclamations incohérentes. Elle lèche le sang et les plaies un instant puis reprend la correction. La pauvre Domi n’a plus de réaction.Ce n’est pas possible, je dois intervenir. Elle va la tuer !Je forme le numéro de téléphone. Je l’a vois qui abandonner le knout et s’allonger dans le canapé pour décrocher.— Allo, mon amour, comment ça va… Lui susurrais-je en forçant le ton. — Jean-Paul ? Je ne m’attendais pas. On s’est parlé il y deux heure.— Tu as l’air essoufflée. Çà va ?— Je raccompagnais mon amie Domi quand le téléphone a sonné.
Tu parles !.— En fait, un voisin m’a appeler sur mon portable. Il m’a dit entendre des bruit bizarres venant de chez moi. Comme des sifflements… Je voulais m’assurer que tout allait bien ?— Ce sont tes voisins qui sont bizarres pourquoi ne sont-ils pas venus sonner chez moi ?— Ce sont des calvinistes, il ne s’occupe pas de ce que font les autres ou alors de façon détournée. — J’ai aussi entendu quelque chose mais cela a cessé. — Cela a cessé c’est sur, comme la guerre de sécession… Essayais-je de plaisanter… En vain, elle n’a pas compris ma feinte…— Je plaisante. Mais tu as travaillé toute la journée, tu dois être fatiguée. Il me tarde d’être dans tes bras. — Moi aussi. Je t’aime…— Plus que deux jours dormir… Allez, bonsoir Chérie !— Bonsoir mon amour. A dimanche…Pendant cette conversation j’observais ma concubine, vautrée dans le canapé, les jambes écartées, entrain de se caresser la moule devant le corps inerte de sa victime. Elle se lève, lui étreint les seins et la chatte. Elle lui prodigue une respiration artificielle qui semble ranimer la mourante. Les deux ribaudes sont prisent de convulsions hystériques. Pendue par les bras, la petite martyre grimace, gémit puis, jouit dans ses liens ! — Sans le savoir, cet idiot a interrompu ta séance. Et ces connards de voisins, de quoi ils se mêlent. Bon, je n’ai plus le courage de te battre. Je vais te soigner. . Elle détache son amie, qui s’écroule sur le sol. Christine la conduit dans la salle de bain. Elle, si dure, se voue à son amie avec une douceur et une prévenance incongrue. Après l’avoir longuement douchée, elle la roule dans un peignoir. Domi geint faiblement distribuant des baisers et des regards éperdus à son amie – enfin, avec des amies comme çà … qui la frictionne d’une crème apaisante et cicatrisante avec précaution et sensualité. — Voilà, demain il n’y paraitra plus.— Pourquoi as-tu battue ta Domi si méchamment ! Ce n’est pas juste. Demande la petite encore bouleversée.— Mon amour, ne m’en veux pas. Il le fallait. Je suis triste de te quitter. Je vais suivre mon futur époux. Je vais me vendre pour toi !— Te vendre pour moi ? — Oui, je vais prêter mon cul à ce salop pour assurer notre avenir. Ce n’est pas du sacrifice çà.— Pourquoi dis-tu que c’est un salop ?— Tu sais ce qu’il m’a fait lors de notre week-end sur la côte. Il m’a obligé à rester nue pendant trois jours. Il m’a baisé partout !— Partout ?— Partout, oui ! Dans la piscine, la cuisine, sur les escaliers des chambres. — A bon, j’ai eu peur…— Il a même essayé de me prendre par derrière. Qu’est ce que tu crois !— T’enculer ? — Il m’a baisé comme un malade ce qui a déclenché mes règles. Alors, il a voulu m’enculer comme tu dis si élégamment. Je ne voulais plus, c’est trop sale ! Ce n’est pas un sacrifice çà ? Je n’aime pas les hommes. Je m’en sers.— Oui mais il ne l’a pas fait… Fait-elle remarquer avec bon sens.Une gifle lui démonte la tête.— Défend le quand tu y es ! Il a voulu le faire, c’est pareil ! Sous ses dehors charmants, c’est un pervers narcissique comme tous les mâles. Je lui couperai les couilles, je te le jure. Je les lui couperai…Après ça, allez avoir des remords…Elle m’accueilli à Cointrin comme le messie. C’est normal j’arrivais du levant. Avec une hypocrisie consommée, elle m’entoura de sa passion et de sa tendresse. Au lit, elle fut même un peu plus vaillante. Le séjour à Genève se déroula sans anicroche. Nous préparons le voyage de Christine. Je composais avec réalisme mais avec un peu de réserve toute fois, le rôle de l’amoureux transit. Fou de joie à l’idée d’emporter sa promises vers les terres exotiques. Christine écoutait avec attention mes recommandations au comportement adéquat que doit avoir une femme dans ces contrées hostiles. Elles se résument finalement à peu de chose : Discrétion, réserve, préséance masculine. Christine pensait qu’elle s’y adapterai d’autant mieux que tout compte fait, sont séjour ne dépasserai pas deux semaines. — Ce n’est pas une épreuve insurmontable. Ajouta-telle.Voire, ne puis-je m’empêcher de penser. Ses parents voulaient absolument me rencontrer. Rien de plus normal que de connaître celui qui allait enlever leur fille vers l’Arabie. Ma proposition de joindre les miens reçu un accueil enthousiaste. La soirée fut tout à fait charmante. La sainte ni-touche ne touchait plus terre. Toute la nuit suivante, elle se donna avec une fougue de novice. J’ai même cru un instant qu’elle allait m’offrir sa rondelle, mais dans un sursaut de pudeur, elle se ravisa. Ce n’est que partie remise, me dis-je dans ma barbe. Tu seras défoncée, ma fille ! Dès le lendemain, elle me parla mariage. — N’est-ce pas un peu prématuré. On ne se connaît que depuis quelques semaines.— Mais non ! On se connaît depuis dix ans ! J’ai trente cinq ans et je veux des enfants.Bien, voilà autre chose ! Moi, qui ne veut absolument pas de petits teignes pour qui vous sacrifiez vingt ans de votre vie et qui pour vous remercier vous reprocherons de les avoir mis au monde. Encore une raison de l’envoyer finir ses jours dans un harem.C’est le grand jour. Ma belle Christine, pendue à mon bras, bruissant de bonheur, nous franchissons le sas de départ en faisant un dernier au revoir à la famille rassemblée. A l’arrivée du vol, la douane sera suspicieuse lui annonçais-je. Comme aux USA répondit-elle. Oui, c’est à peux près ça. Je plaçais un foulard sur les cheveux de ma belle. Il n’est pas obligatoire pour les non musulmans mais il vaut mieux ne pas se faire remarquer.— Monsieur, Madame, vous êtes ensembles ? Demanda le gabelou en examinant nos passeports.— Je suis résidents ? Et voici ma fiancée.— Veuillez me suivre s’il vous plait.Je rassure ma belle : Formalité.Nous fûmes introduits dans un bureau séparé. Les femmes d’un côté les hommes de l’autre. Normal. Affirmais-je à Christine en lui baisant les doigts. A tout de suite.J’allais partager un thé avec Ali qui alluma un moniteur qui filmait le bureau où était restée Christine. On l’a laissa seule.— On la fait mijoter une demi-heure. Ma belle commençait à s’agiter. Un besoin présent ?— Elle se retient mais tout à l’heure, elle pissera sur elle. Cà participe à l’humiliation.Enfin, après un long moment, deux femmes et un policier, la mine sévère firent leur apparition dans la pièce.— Fatima et Noura, m’expliqua Ali. Les meilleures. Elles savent qu’il y a un microfilm dans les Tampax. Najib est là pour impressionner.— Mon nom est Fatima et voici Noura. Expliqua-t-elle dans un français sans accent. Je suis d’origine algérienne. Madame, Nous allons procéder à la fouille de vos bagages. N’avez-vous rien à déclarer.Elle n’avait pas jugé bon de présenter le militaire. Christine conservait encore une voix claire et assez assurée.— Non, rien.— Avez-vous laissé vos valises hors de votre vue à l’embarquement.— Euh, Non, non…— Bien, ouvrez vos valises.Les douanières procédèrent à une fouille minutieuse des vêtements. Détaillants les robes, les pantalons et s’attardant sur les dessous intimes. Visiblement, elles commentaient en arabe et s’amusaient à passer sous le nez de Najib les petites culottes, les soutiens et les porte-jarretelles. La Christine devint écarlate et très mal à l’aise. Elle invectiva celle qui devait être la chef. — Mais, Madame, j’ai droit à un peu de respect ! Ali me fit un coup d’œil.— Nous respectons les étrangers, Madame, mais nous avons une information vous concernant. Vous et votre fiancé.— Une information ? Ce ne peut être qu’une erreur…Toute la valise y passa. Les doublures des vestes furent analysées, les produits de beauté ouverts, tout. Christine était accablée. Elle ne tenait plus sur place !— S’il vous plait, je voudrais sortir un instant…— C’est impossible ! Le règlement exige que vous soyez présente tout au long de la fouille. Mais si vous nous avouez où vous avez caché les documents, nous gagnerions du temps.La Christine se mit à pâlir.— Mais je n’ai pas caché de documents. Je veux voir mon fiancé.— Restez tranquille ou nous serons très méchants. Déshabillez-vous !— C’est un cauchemar ! Je veux voir mon ami. Je ne sais pas de quoi vous parlez. Ajouta-t-elle très énervée. Puis elle prit une voix suppliante.— Il me faut aller à la toilette, s’il vous plait…La douanière présenta une badine.— Je ne le répéterai pas ! Déshabillez-vous !Anéantie, Christine défit les boutons de sa veste. Commença à faire glisser son pantalon. — Allez, plus vite. Si vous voulez aller faire pipi.Alors, elle accéléra pour retirer son chemisier. Elle se présenta en petite tenue.— Nue ! J’ai dis nue ! Aboya la chef en frappant les fesses de la jeune femme. Christine couina. — Oh, non ! Pas devant Monsieur… Ce n’est pas possible.La douanière parla avec l’officier qui sorti de la pièce laissant la porte ouverte. Christine put découvrir avec saisissement son fiancé de dos, les mains liées sur une chaise. Des militaires lui donnaient des coups. Elle voyait sa tête partir violemment de gauche à droite. Elle poussa un hurlement et au même instant, une fontaine coula entre ses jambes. Noura se précipita pour glisser sous la jeune femme une corbeille à papier. Le son émit par la cataracte qu’elle ne pouvait arrêter la plongea dans un avilissement absolu. Le spectacle d’horreur de son ami maltraité la sidérait. La douanière refermât la porte. Devant l’accident, elles s’esclaffèrent.— Et bien, maintenant, à poil… Votre culotte…Christine se retrouva entièrement nue. — Qu’est ce que vous lui faites… Jean-Paul ! Laissez-le, il n’a rien fait….La douanière ignora les suppliques.— Placez-vous face au bureau ! Les mains à plat. Ordonna Fatima. Parfaitement remis de mon faux interrogatoire, J’avais repris ma place face au moniteur. « Elle est forte quand même. Elle a tenue deux heure » Fit remarquer Najib à l’assemblée.Je pouvais à tout instant interrompre l’épreuve. Si mon cœur d’artichaut me conduisait à la mansuétude, le souvenir du cynisme de Christine à mon endroit et de la cruauté à celui de son amie Domi, m’incitait à poursuivre la séance encore un moment. Fatima avait installée la malheureuse de façon à bien présenter ses fesses à la caméra Le public n’allait rien ignorer de la scène qui allait suivre. Se plaçant face à sa victime, elle enfila ostensiblement une paire de gant chirurgicaux, les enfonça complaisamment dans un flacon de lubrifiant, puis contourna la malheureuse et parcouru la vulve exposée en lançant une œillade à la caméra. Maintenant, Christine pleurait de toutes ses larmes, murmurant faiblement :— Je vous en prie… C’est indigne !Quelques claques vigoureuses sur les fesses lui enjoignaient d’écarter fortement les jambes. Un, puis deux, enfin trois doigts exploraient méthodiquement la cavité vaginale qui ne recelait rien. Presque toute la main disparue dans le vagin. Christine criait, essayant de se relever mais les deux geôlières la maintenaient écrasé sur le bureau. C’est alors que l’index de Fatima s’immisça dans le petit œillet.— Ah, non, pas par là. Je ne veux pas ! Christine poussa une lamentation. Son conduit était forcé. Plusieurs phalanges explorèrent complaisamment la cavité. . Puis, Fatima fit glisser ses doigts de plus en plus vite. Elle introduit son pouce dans le cul et la main en pince dans la vulve, elle branla la malheureuse. Mouna attrapa les seins. Elle pinça violemment les tétines largement sorties. Christine fut parcourue par un terrible frisson. Humilié, atrocement fouillée, elle ne pouvait retenir le plaisir qui montait le long de son échine. Oh, non, s’apostropha-t-elle. Je ne vais pas jouir. ? Il ne lui sera même pas donner cette faculté. Les filles retirèrent leurs mains justes avant l’instant fatidique. Elles redressèrent Christine lui plaçant les mains sur la tête. Christine ne pu réprimer un murmure de frustration.— C’est une gouine. Elle voulait qu’on la baise… Donne ta chatte.Christine qui n’en était plus à une humiliation près se retourna sans protester. Assise sur la table, face à la vitre, Fatima lui caressa la vulve jusqu’à ce qu’elle jouisse sans retenue offrant sans le savoir le spectacle de son abandon et de son beau visage ravagé par les larmes et le rimmel. . C’est alors que dans un ballet bien réglé, Mouna avisa une petite boite qui s’était échappée du body bag de la jeune suissesse. Elle examina à travers une lampe de bureau, les Tampax qui la contenaient. Elle poussa une exclamation en arabe. Fatima découpa délicatement le tampon et déroula un ruban de papier couvert d’une minuscule écriture arabe. — Je ne comprends pas… Murmura la pauvre européenne.Fatima lui lança un regard noir et de pitié. — Si tu avais avoué…Elle donna un ordre et dix secondes plus tard, l’officier, suivi de plusieurs militaires firent irruption dans la pièce. Christine était tétanisée. Au point de ne pas penser à sa tenue totalement indécente.— La tête dans les mains, elle s’effondra sur sa chaise.— Les officiers se précipitèrent dans la pièce où se trouvait son compagnon. Des bruits de coups et des hurlements se firent entendre. Jean subissait un (faux) interrogatoire musclé. .Christine se leva dans un reflex de révolte mais, en un instant, le noir se fit. Elle fut recouverte d‘une immense étoffe. Son visage cloitré par un niqab qui ne laissait passer la lumière que par un grillage de tissu. Elle fut épouvantée par son image dans la vitre, le corps totalement enveloppé dans une burka noire. On lui glissa une paire de chaussure et de longs gants noir, c’est alors qu’elle s’évanouie…Elle fut réveillée par des secousses. Elle était dans une camionnette entièrement occultée.
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