Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 26 J'aime
  • 1 Commentaire

Christine en Niqab

Chapitre 6

SM / Fétichisme
CHRISTINE EN NIQUAB – 6 de 6Libre ! Si je veux…

Une semaine plus tard, Ali me propose brutalement de lui céder mon entreprise d’informatique. — C’est une blague !— Tu dois savoir qu’en affaire je ne blague jamais !— Tu veux que je sois ton employé. — Non, ton équipe locale est très compétente. Je pense qu’il est temps pour toi et ta copine de regagner l’Europe.— Mais c’est ma boite ! J’ai mis dix ans pour la construire. Une des plus importante place de marché du moyen orient. Je ne la vends pas ! Je ne vais pas tout perdre.— Qui te parle de tout perdre ! Tu es un ami ! Je t’en offre deux millions de dollars, plus un contrat de consultant de deux cent mille par an. C’est bien payé, non ? Sincèrement, je te conseille fortement de me la vendre avant que d’autres s’en occupe. Beaucoup moins gentils. Tu fais des envieux chez les cousins du prince et il est versatile. Tu risque l’expulsion ou même pire. Les conséquences pourraient être terribles pour Christine.— Pour Christine ?— La princesse va quitter le harem. Elle sera assignée à résidence dans un oasis. Christine ne va pas rester dans un sérail toute sa vie ? Elle s’ennuie depuis que la princesse à retrouvé son demi amoureux. Il est temps de jouer la dernière séquence ! Je mets à ta disposition un avion privé qui vous conduira à Beyrouth. Jean du faire contre mauvaise fortune bon cœur. Assuré que son compte numéroté soit nantie de la somme promise, il accepta de quitter le pays. Il du se rendre sur cet aéroport de province où sa dulcinée devait l’attendre. Mais, ne faisait aucune confiance à Ali, il prit la précaution d’envoyer sur le disque dur d’un ordinateur secret tout ce qu’il fallait pour s’assurer de sa survie et de celle de Christine. Un de ses collaborateur que Jean avait formé confirma à Ali que des milliards de pixels s’étaient évaporés quelque par dans le monde. Beau joueur, Ali respecta le pacte. « Tu es un salaud mais c’est de bonne guerre ». On c’est quand même bien marré, non !Au petit matin, des policiers font irruptions dans le harem. Ils enlèvent discrètement Christine qui dormait dans les bras d’un homme avec lequel elle a du passer la nuit. Elle se retrouve transportée dans le coffre d’une voiture nue, dans sa burqa et son hijab, tremblante d’effrois et d’angoisse. Après mains chaos, la voiture s’arrête. La proie est soulevée comme un sac et déposée sur un siège. Là un policier lui enlève son masque. « You are free ! » Lui dit-il en refermant la porte. Elle est seule dans un avion et aperçoit le tarmac d’un aéroport. Elle n’ose pas baisser son hijab. Une voiture s’approche jusqu’au au pied de la passerelle. Son cœur explose quand, elle reconnaît Jean-Paul ! Bien qu’il l’ait « visité » en secret deux jours avant, Jean-Paul ne feint pas l’émotion.— Christine… Mon amour… Enfin !— Oh Jean-Paul, Répondit-elle en voulant soulever le niqab.— Attend, un petit peu que l’avion ait décollé. Deux minutes pas plus. Dit-il en abaissant le voile et en posant un baiser à travers la soie. On n’est jamais trop prudent ! Les portes se fermèrent et l’avion se met à bouger. Jean enlace sa compagne lui caresse doucement les cheveux. Enfin, le jet prend de l’altitude alors, Jean soulève le niqab et le visage de Christine bouleversé par l’émotion émerge. Elle ne sais pas ce qu’il se passe.— Nous sommes libres ! Le cauchemar est fini ! On va à Beyrouth et de là, on prend un avion pour la Suisse. Libre !, tu comprends !Comme si elle sortait d’un long sommeil, elle se contente de demander.— Quelle heure est-il ? — Onze heure, environ…
— Quel jour somme-nous. — Samedi vingt six mai. Nous avons été arrêtés le 12 février, cela fait cent deux jours. Mon dieu, mais je sens le sexe se dit-elle. Ses mots s’embrouillent. — C’est affreux ! Mes parents… que vont-ils penser. Je sens mauvais !— Ils seront prévenus. Au moins dès que nous serons à Beyrouth. — Qu’est-il arrivé ?— Tu as été la victime collatérale d’un complot qui visait le prince à travers moi. On a été au secret.Elle revient progressivement à la vie.— Je n’ai rien à me mettre. — On va s’en occuper à Beyrouth. . Elle ouvre de grands yeux.— On m’a libéré hier. J’ai tout laissé. J’ai même perdu même ma société. On ne m’a remis que nos papiers. — Je suis nue en dessous.C’est vrai se dit Jean-Paul, elle sent le stupre.— Ne t’inquiète pas. On pourra faire sa toilette et acheter des vêtements à l’aéroport. Je vais demander au pilote d’appeler un ami qui travaille à l’ambassade. Dis-je en me levant vers la cabine. Christine se rend aux toilettes pour tenter d’effacer le mieux qu’elle peut les effusions nocturnes. — C’est bon, j’ai pu joindre mon ami. On sera pris en charge à Beyrouth. Puis on a une réservation pour Genève. Ce soir. Nos parents sont prévenus. — On va porter plainte… Dit-elle en se pendant à mon cou. Je me jette sur sa bouche pour étouffer ses mots.— Chut ! On m’a fait comprendre qu’il valait mieux oublier. Pour notre santé et celle de notre famille. On en a assez bavé, non ?Je cajole ses seins libres sous le satin. Elle réagit en me tendant ses lèvres. — Oh, si tu savais… Soupire-elle. Et toi que t’ont-ils fait ? — On a tout le temps. Il ne reste qu’à espérer qu’on vole bien vers Beyrouth…A Beyrouth, nous fume transférés dans la suite d’un hôtel de luxe. Mon ami de l’ambassade nous apporta des vêtements à Christine. Nous avions près de sept heure à attendre. A peine entré dans la chambre, elle balança son tchador et sa burqa dans une poubelle. Puis elle se jeta dans le bain. Je n’osais la déranger.— Tu veux boire quelque chose.— Un verre de vin rouge !Je trouvais dans le bar une petite bouteille de vin local. Je lui déposais le verre et me retirais, elle m’arrêta. .— M’aimeras-tu encore me dit-elle.— Plus que jamais…Elle y resta un long moment. « Pour me purifier » me dit-elle ! Pourtant, elle n’a pas été privé de bains voluptueux et parfumés en agréable compagnie. La chose était commune. Elle devait se débarrasser des souillures faîtes à son corps. Je devais moi aussi effacer les effluves de la nuit que venais de passer avec Zohra. Je me glissais sous la douche. Elle sembla désappointée.— Tu ne me rejoins pas ? — Pas du tout, je voulais te laisser profiter de du bain. — Viens ! Dit-elle en me tendant les bras. Elle vint s’assoir dans mes bras en me tendant ses lèvres et en prenant mes mains pour les promener sur ses seins. Elle ronronnais, câline, offerte comme je l’avais pratiquée dans le harem. De mon coté, j’abandonnais le registre soudards pour celui de l’amoureux courtois. C’est elle qui vint s’agenouiller sur moi et s’enfoncer sur ma pinne. Sa jouissance ne semblait pas feinte. J’avais gagné. Ce n’était plus la mégère de Genève.— J’ai faim dit-elle alors que nous nous séchions. Je veux du porc, des frites et du Bourgogne rrouge.— Pour le cochon, je ne suis pas sur mais un steak, ça devrait être possible. Pour moi aussi, fini le rata infect de la prison. Fini la mauvaise bouffe arabe…— A bon, tu as mal mangé ? Pas moi mais j’en ai mare des plats d’agneaux et de tagine… et des terribles desserts au miel. Je veux du fromage !En attendant le repas, elle inventoria les nippes que le conseillé avait déposé. Elle ne fit aucune remarque particulière en enfilant le soutiens gorge et le shorty qui aurait fait bander une statue de marbre. Elle passa une robe beige, bon chic mais assez sexy elle fit une remarque étrange. — Tu vois me dit-elle – en mentant – j’ai passé trois mois avec une burqa comme unique vêtement. Menteuse ! C’était une façon de ne pas m’avouer qu’elle avait été pendant trois mois, une prostituée, une courtisane de harem… Une fille perdue !Nous mangeâmes avec voracité et faute de Bourgogne, nous nous enfilâmes une bouteille d’un bordeaux acceptable. La belle commençait à être émue. Elle se leva et entrepris une danse lascive en commençant à relever sa robe. Je cru à une provocation mais quelques instants plus tard, la culotte tombait sur le tapis.Alors, elle vint se placer devant moi et engouffra ma pinne avec une voracité et un regard lubrique.Elle accomplit son devoir jusqu’au bout ! Les bonnes institutions, il n’y a que çà de vrai ! Et elle avait été très studieuse…
L’airbus de Suiss amorce sa descente sur Genève. Ma Christine a vraiment changée : Nulle arrogance ou impatience. Elle semble avoir bien assimilée le comportement qui sied aux orientales. Reste à le vérifier une fois dans ses pénates. Mais j’ai bon espoir. Quand un peu avant l’atterrissage, j’ai tenté une timide intrusion sous la robe, elle ne manifestée aucune objection. Au contraire, elle se laissa peloter avec complaisance. Elle écarta même spontanément les cuisses quand mes doigts voulurent inventorier la petite culotte. De bons augures ! Je ne poussais un tout petit peu l’inspection. L’effleurement de sa vulve lisse suffit à la transporter. J’étouffais dans ma bouche un bel orgasme. Pas mal ! Tout cela ! Les autorités genevoises nous invitèrent dans un salon particulier où nos parents nous attendaient mais surtout où nous fumes dument chapitrés sur le voile – c’est le cas de le dire – qu’il était bon de jeter sur cette malheureuse affaire. Pour faire bonne mesure, un diplomate oriental nous présenta les regrets du prince et nous assura que nous serions largement dédommagés. Ali a fait du bon boulot ! Me dis-je dans ma barbe.Le lendemain Christine retrouva Domi. Les effusions furent longues et spectaculaires. Christine se confondit en regrets pour son comportement passé mais Domi lui pardonnait par avance. Christine étreignit sa copine avec une fougue et un savoir faire qui surpris sa compagne. Dans les jours qui suivirent, Christine continua de manifester une docilité et une volupté de bon aloi mais il me paru vite évident que c’est avec Domi qu’elle se montrait la plus fougueuse. Ayant perdue toute pudeur, elle circulait nue dans l’appartement et butinait à tout bout de champ sa compagne l’amenant à des orgasmes aussi nombreux qu’intenses. Mais à la stupéfaction de Domi, elle s’agenouilla plusieurs fois devant le canapé, puis écartant les fesses, elle m’offrit ses trous ! Elle me demanda d’héberger Domi qui devint une drôle de servante. Le soir même, elle l’invita dans notre King size mais ne m’autorisa que des caresses sur les gros nichons et la vulve obscène de son amie. Domi avait grossie. Au lieu de la fustiger comme elle l’aurait fait quelques mois auparavant, elle lui dit qu’elle l’a trouvait très belle que surtout de ne rien changer. Les yeux humides, Domi ronronnait de reconnaissance et d’amour. . La vie quotidienne repris ses droits. Le prince nous versa un viatique représentant une année de salaire. J’installais une nouvelle entreprise. Christine se laissa chouchouter par Domi et moi. Par quelques bribes elle nous raconta un peu de ce qu’avait été son calvaire pendant trois mois. Mais, pour moi qui connaissais le scénario, je compris qu’elle en atténuait les aspects les plus scabreux. Pudeur ? Peur d’effrayer ? Volonté de ne pas s’étendre sur quelques faiblesses ? Elle nous raconta l’effrayante histoire de la lapidation d’Hilary dont j’ignorais tout. Christine qui se sentait un peu responsable voulut rechercher ses parents Elle les contacta sur internet et leur racontera qu’elle à connu leur fille dans un hôpital au moyen orient où elle a succombé à une maladie infectieuse. Elle a été incinérée. Les parents lui expliquèrent qu’elle devait faire erreur sur la personne car leur fille leur parlait régulièrement sur Skype ! Elle avait trouvé une place de secrétaire à la présidence d’une république d’Asie centrale. Christine était interloquée. Elle demanda l’adresse et effectivement Hilary lui répondit. Mais la conversation fut interrompue à l’instant même où Christine lui parla de la lapidation. Elle ne pu plus jamais entrer en contact avec elle… Bizarre, bizarre ! Enfin Christine était un peu rassurée.
Progressivement, Christine fit évoluer nos relations sexuelles. C’est tout d’abord par le truchement de Domi qu’elle nous engagea dans une voie que je contrôlerai de moins en moins.Un soir, Christine, plus biche que jamais, me fit la surprise de m’accueillir dans un long déshabillé vaporeux fait d’un voile de tulle rose aux transparences brodées. Ses magnifiques seins, sa sublime courbe des hanches, ses longues jambes de gazelle avec au milieu cette merveilleux instrument de plaisir, de la fente verticale complètement glabre élevèrent de façon anormale ma tension artérielle. C’est alors que Domi sorti de sa chambre revêtue d’une combinette minimaliste dont le tout petit bustier noué dans le cou contenait très difficilement ses amples mamelles. Une jupette ne couvrait qu’avec peine le milieu des fesses laissant même à l’occasion tout deviner de sa raie culière et de sa grosse moule obscène. Tout çà pour moi ! — Nous avons fait quelques emplettes pour l’anniversaire de Domi. Tu aimes ? Demanda-t-elle hypocrite.Ma figure écarlate répondait à ma place.Nous dégustâmes un succulent repas de traiteur pendant que mes convives maintenaient ma libido dans le rouge par de petits attouchements et baisers réciproque.— Le dessert va te combler… Me susurra-t-elle en m’entrainant dans ma chambre. Les deux filles me mirent nues, puis Christine me désigna un fauteuil en plaçant un doigt sur sa bouche pour m’inviter à la patience. Elle s’allongea lascivement sur le lit et prenant la main de son amie elle lui murmura :— Mon maître va me couvrir, tu vas me préparer…Bizarre, elle n’avait jusque là jamais employé ce mot ? Domi aussi écarlate que moi, ne se fit pas prier. Elle s’agenouilla devant sa complice, entrouvrit le déshabillé et plongea ses lèvres sur les seins. Bien qu’elle se mette instantanément à gémir, il était clair que Christine conservait la maitrise de la situation.Quand à moi, je me m’efforçais à calmer l’envie de prendre ma bite en main. Domi me présentait son dos. J’avais sous les yeux en gros plan sa chatte baveuse que la trop courte liquette ne pouvait plus dissimuler. Je ne pu résister plus longtemps. Je m’approchais comme un chat et j’osais effleurer la vulve si offerte. Elle se redressa brusquement dans un reflex de panique.Il me faut à se stade préciser que je n’avais jamais jusque là approché les appâts de Domi. Christine ne l’aurait pas permis. Quand il lui arrivait d’assister à nos ébats, Christine arrêtait dans l’instant mes moindres tentatives vers la petite qui manifestait alors une appréhension mêlée de répulsion qui me laissait perplexe. « Il faut la comprendre, m’expliqua Christine, elle a été violée par son beau père quand elle était ado ».Pourtant ce soir là, elle attira sa partenaire dans ses bras et la calma.— Ce n’est rien, laisses-toi faire…— Non, je ne veux pas…Elle prit la tête de son amie et la plaça sur ses seins.— Têtes-moi. Domi absorba avec avidité les bougeons. Christine me fit signe de reprendre mon exploration. J’avançais la main avec précaution, me contentant de flatter les gros hémisphères puis, je laissais ostensiblement trainer un doigt sur ses grandes lèvres. Bien que toujours sur le qui vive, petit à petit, Domi se lassa domestiquer. Mon manège amusait Christine qui prit la tête de Domi dans ses mains pour l’embrasser fougueusement. J’en profitais pour introduire un doigt dans la vulve qui ruisselait. — Il est temps que tu connaisses Jean-Paul lui dit-elle à l’oreille.— Non, je ne veux pas ! Répondit-elle les larmes aux yeux.— Ne crains rien. Il est doux. Jean-Paul sait prendre les filles… Partout…— Non, je t’en prie, je ne veux pas…— Tu es beaucoup plus disponible dans ta tenue de servante. Va te changer et reviens aussi vite…Domi hésitait.— Vas la mettre, crois moi, tu jouiras, je te me promets. Je sais de quoi je parle. «Prendre partout », « Je sais de quoi je parle ? » Ces mots équivoques me prolongèrent dans une grande perplexité. Je n’avais jusque là jamais pris Christine par derrière, sauf dans le harem mais comment aurait-elle pu savoir que c’était moi ? - Tu feras attention, elle a peur des hommes.Quand la petite réapparue, je fus sidéré. Elle s’était enveloppée dans une burqua de tulle rose pastel complètement transparente. Son visage était voilé par un niqab. Si on devinait ses lèvres d’un rouge soutenu, seuls ses yeux étaient visibles. Le maquillage bleu intense interprétait tout l’envoûtement de l’orient. C’est Aicha la servante du harem que j’étais sensé ne pas connaître que Christine recréait devant moi. Je n’eu pas le loisir de me perdre en conjectures. Domi s’agenouilla à nos pieds. — Elle est belle, non ?— Euh… Elle est… — Tu vois comme Jean-Paul est ému. Puis se tournant vers moi elle ajouta :— Elle jouie beaucoup avec ce costume. Viens me caresser. Domi s’enfonça entre les cuisses de Christine qui me fit un signe sans équivoque.Je me plaçais derrière la petite dont la vulve ruisselait. Mon membre s’attarda un instant sur les lèvres puis, le plus délicatement possible, il pénétra le vagin.Domi eu comme un haut le cœur tout de suite réprimé par Christine.— Ne t’occupe pas de ton derrière, tu ne dois penser qu’a moi !Alors, je me mis à limer son fourreau de plus en plus vite, de plus en plus fort. Plus je la pilonnais, et plus elle s’acharnait sur la vulve de Christine. Quand elle mordit le petit bouton, le souffle de Christine s’accéléra jusqu’au hurlement final. Je la suivis en déchargeant dans la matrice de Domi qui s’envola dans un orgasme incontrôlé. Nous retombâmes sur le lit, carbonisés.— Tu vois ! Ce n’était pas si terrible. Maintenant tu es prête…— Prête à quoi, lui demandais-je.— Mais à t’honorer mon amour.— C’est toi que j’aime honorer… désolé Domi…— Tu n’es pas très élégant alors qu’elle vient de t’offrir son pucelage. — Elle avait pourtant l’air affranchie, répondis-je maladroitement.— L’autre n’a pas compté me répondit-elle durement. Le premier c’est toi !
Le lendemain Christine partagea mon lit sans y inviter Domi. Je lui en fit la remarque. Elle me répondit qu’il ne fallait pas abuser d’elle ? Malgré la frustration visible de son amie, Christine ne permit plus de familiarité. Quelques jours plus tard, en rentrant du cinéma, nous eûmes la surprise d’être accueillis par Domi enveloppée dans sa burqa et son hijab transparent. Elle s’était placée à genoux devant un fauteuil, les mains écartant ses fesses, offerte et soumise. Je vis dans le rictus de Christine un agacement certain. Elle avait fait connaître l’homme à son amie, pour elle s’était terminé. Il ne lui venait même pas à l’idée qu’une gouine put prendre durablement goût au sexe masculin. En d’autre temps elle lui aurait fait goûter le fouet pour moins que çà. Mais, bien qu’elle n’en ait jamais parlé, le traitement qu’elle avait subie ou auquel elle avait assisté en orient lui avait définitivement hotté tout relents sadique. Pour Domi au contraire, les coups que lui octroyais Christine étaient synonymes d’amour et d’intérêt à son endroit. Chacun sait que le comble du sadisme est de priver le masochiste de ses coups de fouets ! En outre Domi culpabilisait d’voir découvert le plaisir avec un homme. Elle sentait bien chez son ami de l’agacement alors, dans l’espoir d’être fustigée, elle multipliait les provocations. Dans une combinaison beaucoup trop courte, elle venait se frotter contre moi, m’aguichant et me passant sous le nez ses grosses miches ou ses fesses callipyges. Christine se contentait du mépris la traitant de chatte lubrique bonne à finir sur les quais du lac.Mais ce soir là, quand elle la vit sur le canapé jambes écartées, elle gagna sa chambre en ronchonnant.— Couvre là ! Si tu veux… Ou jette lui un seau d’eau ! Puis elle ajouta :— Je vais lui préparer un programme spécial comme celui que j’ai connu en Arabie.Loin d’en être inquiète, la petite se plaça à mes pieds et commença à défaire les boutons de mon jeans. Puis, ayant dégagé l’objet de ses désirs, elle me gratifia d’un sourire pervers, elle soulevant le voile de soie, elle prit mon mandrin dans sa bouche. Après quelques minutes, jugeant la bête à son goût, elle vint promener le gland sur sa chatte humide et s’y empala d’un coup dans un grand feulement hystérique.Je me ruais dans la fente. Domi meugla à en perdre le souffle. Elle jouit trois fois de suite. Mais sentant ma délivrance proche, je la retournais et relevant le voile et je forçais la tête de la servante sur mon pieu. Elle fut surprise mais absorba goulument mon engin. Alors que mes mains étreignaient ses baudruches. Je lui ravageais la bouche et me vidait au fond de la gorges l’empêchant de se retirer. Christine qui assistait au spectacle de l’encoignure de la porte, lâcha une remarque méprisante : Tu n’es qu’un garage à bite… Une putain ! Domi s’enfuie dans sa chambre en pleurant.Christine ne s’étendait pas trop sur son séjour au harem. Elle nous parla à peine de la prison de femmes dans laquelle une épouse du prince était maintenue et qui était devenue son amie. Je n’insistais pas. A compté de ce jour, sans que je su si cela résultait d’un ordre de son amie ou d’une volonté de sa part, Domi revêtit en permanence une buqua et un hijab sous laquelle elle laissait ses mamelles et ses fesses apparentes au moindre contre jour. Je lui fis observer que même à Genève, ville tolérante, elle risquait d’être poursuivie pour exhibitionnisme. Alors, Christine la dota d’un pyjama de satin sans boutons qui laissait facilement accessible ses appâts de fausse musulmane. Pour le prouver, elle écarta la burqua en sortit les seins et les lèvres baveuses. Domi ria de cette intrusion. La ville de Genève est habituée à ces femmes arabes qui pillent les magasins de lingerie et de bijoux. Mais, un soir l’escalade prit une toute autre tournure. Je devais sortir au restaurant avec les filles. Domi était en burqa. Elle m’avertit que sa maîtresse m’attendait dans la chambre. A ma stupéfaction, je la découvris complètement recouverte d’un voile de tulle noire d’où n’émergent que les yeux. — Allons, c’est ridicule. On ne va pas sortir comme ça.— Bien sur que si me dit-elle. C’était ma tenue au harem. J’aimerai la porter ici. Je vais essayer ce soir. J’ai réservé dans un restaurant oriental. Je leur ai demandé si c’était possible. Aucune objection. Ils ont l’habitude. J’ai vu des femmes la portent, elles ne sont pas importunées. Domi soulève la tunique de soie et Christine apparait en tenue d’Eve ! Mon pantalon enfle à vu d’œil. — Tu vois que tu aimes. Je vais te préparer et nous pourrons partir. Pour toi, jr resterai nue en dessous, comme au harem. Je suis sure çà va te plaire … N’est-ce pas ?Christine me fixa d’un regard de braise. Elle défit la fermeture éclair de mon pantalon et se mit à me lécher le gland ! Elle absorba le manche jusqu’à la glotte, puis gobera les parties. Je ne pu me retenir plus longtemps. Christine perçu les signes de délivrance, elle se jeta sur le vit et l’assécha jusqu’au bout sans recracher. Elle nettoya avec application le membre puis remonta le slip et le jeans.— Voilà, je crois qu’on peut y aller.Je ne savais que penser. — Mais pourquoi ? Osais-je dans l’ascenseur.— Dans une burqa on est en sécurité. On ne voit pas le regard des hommes. C’est ce que j’ai appris dans le sérail.— Le sérail ?Je devinais un sourire ironique sous le hijab.— Oui, tu sais bien, cet hôtel où on garde les filles pour le plaisir de l’émir. Tu en as bien entendu parler.— Euh, oui, bien sur… Enfin dans un film.— La réalité souvent dépasse la fiction… Ajouta-t-elle avec un sourire énigmatique.L’arrivée du taxi mit heureusement fin à cette conversation délicate. Christine avait retenu un salon privé dans un restaurant oriental. Les filles abaissèrent leurs foulards. Les serveurs ne pénétraient pas dans le salon sans y être invités. Elles s’empressaient alors de remettre leur hijab. J’étais de plus en plus mal à l’aise. Le repas, très raffiné au demeurant se déroula sans encombre. La burqa de Christine était si légère que ses seins libres de toutes contraintes ne cessaient de me narguer. Le pauvre serveur était proche de l’apoplexie. J’espère qu’il ne s’agit pas d’un intégriste. Tout à coup, je sentis un pied revêtu de bas de soie, remonter entre mes jambes. Christine me gratifiait d’un sourire mutin. Mon sexe bondit littéralement au point de me faire mal. Domi, se dévoua pour le sortir de sa tanière étriquée. Alors, les pieds gainés, enserrèrent ma pinne qui fut porté à son paroxysme. Christine pria Domi de terminer le travail. La petite se glissa sous la table et me pompa divinement. Le serveur qui patientait derrière la porte fut témoins de bien étranges soupirs. Encore que, il était surement habitué. — Cette nuit, tu va retrouver les nuits que tu as surement connues au moyen orient. Tu pourras abuser de ta maîtresse. La nuit fut terrible, Christine ne quitta pas sa burqa. Elle offrit ses seins, son sexe et sa bouche avec une bienveillance totale. Mais c’est quand elle me supplia de prendre son œillet que j’eu la certitude qu’elle savait. Défoncée jusqu’au fond, elle poussa un rugissement ou s’exprimait toute la trahison du monde. Je tombais dans le lit, littéralement consumé. Christine envoya la petite dans sa chambre. Christine me parla. Elle me confirma le pressentiment qui était le sien depuis quelques semaines: Ton odeur masqué par les parfums, tes gestes dont la dureté ne pouvais pas être poussé jusqu’au bout, la forme de ton sexe qui s’était imprimé dans la bouche ou dans mes fesses, tout cela je l’ai connu dans une autre vie. Pour en avoir la preuve, je me suis enfermé dans la burqa et l’évidence me sauta aux yeux, tu m’as visité dans le harem. D’ailleurs, tu n’as jamais voulu parler de ton séjour en prison. Tu n’a pas la moindre trace de sévices et ton absence de curiosité que je pris au début pour une extrême délicatesse… à fini par devenir suspect. — Mais…— Laisse moi finir, j’en ai pour un instant…Je ne ferai pas de scandale. Je ne sais pas qu’elle est ta part de responsabilité dans cette histoire qui a changé ma vie. J’étais orgueilleuse, capricieuse et perverse, surtout avec Domi. Tu m’as changé, en bien, je te le dois, nous sommes quitte mais tu va me rendre un dernier service : Je veux retrouver Sanaa et la petite Naomie pour laquelle je suis inquiète. J’ai connu dans le bordel les pires souffrances. Mais dans le gynécée, j’ai rencontré l’amour, la douceur, la volupté, la sensualité. Une jouissance inconnue jusque là et désolé, que je n’ai pas retrouvé depuis.Je veux y retourner m’y vendre s’il le faut. Domi m’accompagnera. Elle est d’accord. C’est ça ou je déballe tout ! Je t’ai vraiment aimé mais maintenant je sais que ce ne sera plus possible….— Attend, c’est une décision très grave. Tu sais à quel point ces contrées peuvent être dangereuses…— Il a suffit d’un mot de Sanaa pour que je ne sois pas lapidée. Elle m’aime. Si elle le veut je serai à elle. Je sais que je lui dois la vie… mais si elle veut me la reprendre... — Je vais essayer de la joindre mais réfléchie en attendant. Je t’aime…— Moi aussi mais je n’ai jamais vraiment aimé les hommes. Il ne me restait plus qu’à réactiver le réseau. Dans les jours qui suivirent Christine fut d’humeur badine. Elle sortait uniquement vêtue de sa burqa sans attirer trop de regard dans cette ville habitué aux riches musulmanes. Elle m’obligeait à l’accompagner en ville et s’amusait de ma confusion. C’est moi qui étais mal à l’aise. Les filles en riaient et se moquaient de moi. Avec Domi recouverte de blanc, parfaite dans le rôle de servante et Christine dans sa camisole noire, je passais pour un chauffeur ou secrétaire au service de quelques riches princesses. .Un samedi alors que j’attendais mes fatmas devant une boutique de lingerie, je tombais sur une connaissance familiale. Nous échangeâmes quelques banalités. J’eu le temps de lui dire que je guidais l’épouse d’un gros client arabe quand les femmes sortirent du magasin. Mon cousin s’embrouilla dans quelques civilités puis s’enfuit presque en courant. Christine et Domi furent mortes de rire. Ma réputation dans la famille venait d’en prendre un coup !J’eu un contact avec Ali. Sanaa serait très heureuse de la recevoir. Christine et Domi dansèrent de joie ! Restait la demande de visa qui fut rejetée sans explication par l’embrassade. Je pu établir une liaison par skype, Christine et Sanaa fondèrent en effusions. Elle promit de trouver une solution. Genève vivait les premières chaleurs estivales. Christine m’expliqua combien il était confortable et sensuel de se promener nue sous une burqa et un niqab. C’est comme si je vivais nue en permanence protégé derrière une fine palissade.Alors que placé derrière elle, nous regardions des feux d’artifices sur le lac, profitant de la foule et de la nuit, elle remonta lentement sa burqa et pris mes mains pour les passer sur ses seins. Elle se mit à gémir, à se contorsionner. Puis, elle me susurra à l’oreille : — Prend-moi !— Là !? Tu es folle ! — Les gens ne s’occupent pas de nous, ils regardent les feux. Prend –moi ! Insista-t-elle en remontant son vêtement. Elle écarta les jambes et s’appuya sur Domi comme si elle lui chuchotait à l’oreille. Les mains dans son dos, elle fit glisser ma fermeture éclair et m’attira à elle. Sa chatte était trempée. Je n’eu aucun mal de m’y couler. Nous fîmes quelques aller et retours. Mes mains étreignaient ses seins, elle alla perdre un violent orgasme dans le cou de Domi. Chaque soir, Christine et Sanaa passaient des heures à se parler sur skype. Elles évoquèrent une des filles du harem qui portait un pendentif à la vulve, gravé au nom de son maître. — Tu accepterai que je le fasse pour toi, interrogea Christine.— Ce serai une belle preuve d’amour. Répondit Sanaa. Deux minutes plus tard, Christine fit irruption dans mon bureau pour que je lui fasse placer un anneau avec une médaille au nom de Sanaa. Tu comprends quand les hommes viennent la nuit, ils doivent savoir que je ne leur appartiendrai jamais !— Tu es vraiment frappé, lui répondis-je.— D’accord mais tu t’en occupe dès demain. C’est ainsi que quelques jours plus tard, nous commandions deux bijoux en or fait d’un anneau d’une petite chaînette et au bout de laquelle une médaille était sertie sur laquelle elle avait fait graver sur une : «Sanaa’s property » et sur l’autre « Jean-Paul’s property » Tu vois je penserai à toi, elle sera sur mon sein droit ! Quelques jours Sans la moindre pudeur, Christine quitta sa burqa, sous laquelle elle était nue ! Et, gardant son Nijab s’allongea docilement sur la table du toubib. — Mon époux souhaite que son secrétaire assiste. Le docteur m’offrit une chaise tout en face de la table. Son assistante me revêtit d’une blouse d’un calot et d’un masque chirurgical. L’assistante lia les mollets, le ventre et les mains de Christine. « Par sécurité précisa-t-elle ». — Sincèrement, Madame, avez-vous bien réfléchie. Vous voulez vraiment vous faire percée sans anesthésie ?— Christine répondit en anglais que son émir le voulait ainsi.Le médecin leva les yeux au ciel et commença son office. Il roula entre ses doigts le téton gauche qui se dressa immédiatement. Quand l’aiguille s’enfonça, Christine n’émit qu’un petit gémissement. Avec le visage dissimulé par son voile, il ne fut pas possible d’y lire les stigmates de la souffrance. Le médecin passa l’anneau, il le referma définitivement au moyen d’une pince spéciale. — C’est un mélange d’acier inoxydable et d’or. Pour l’enlever, il faut le faire scier. Pour le clitoris, cela risque d’être beaucoup plus douloureux. S’inquiéta-t-il.La réponse de Christine me laissa pantois.— J’ai subit bien pire, demandez à Monsieur….— Comme vous voudrez… Répondit le médecin tandis que je regardais mes chaussures. Il fit ériger le gros bouton puis le badigeonna d’un liquide antiseptique. Là, ma maîtresse eu un soubresaut. « C’est froid, dit le médecin » D’un geste sur, et rapide, il perça au moyen d’une grosse aiguille coudée. Christine se tendit Le médecin glissa un anneau et le sertit. Il contrôla l’hémorragie au moyen de produits adéquat. — Vous devez rester quelques minutes immobiles. Quand le clitoris est érigé, il se gonfle de sang. Il faut donc s’assurer que cela ne saigne plus. L’assistante proposa à Christine une serviette humide. Bien qu’elle fasse tout pour garder son visage masqué, nous pûmes constater furtivement que ses yeux étaient gorgés de larmes. Je m’approchais pour la consoler mais d’un geste elle me maintient à l’écart. Elle fut déliée mais elle resta sur le lit. Pendant Christine reprenait ses esprits, le docteur m’offrit un remontant et en rédigeant une ordonnance. — Il faudra badigeonner les endroits avec une pommade cicatrisante et tourner les anneaux très régulièrement pendant dix jours. Vous viendrez me voir dans une semaine pour un contrôle. En cas de suintements suspects ou d’hémorragie, il faut m’appeler immédiatement. Dans dix jours, il n’y paraitra plus. Je dois vous prévenir Madame que certaine femmes ne supportent pas cet anneau dans le clitoris Il peut provoquer des élancements ou une excitation quasi permanente qui peut indisposer. Pas de rapports même protégés pendant dix jours, c’est important.Pendant dix jours, Christine m’offrit des fellations ou son anus avec une soumission parfaite. J’étais ému par les médailles débordant du sein et de la chatte. Elle faisait tout pour que je crève de la voir partir. Jusqu’à son départ, elle ne se dérobera pas à mes effractions mais elle ne me recevra que revêtue de sa burqa et de son hijab. Enfin, Sannaa prévint que le dix huit juin à seize heure un avion privé viendrait la prendre avec Domi à Cointrin côté France.
Quelques heures plus tard, elle fondra dans les bras de sa princesse arabe. Christine retrouva avec émotion le visage parfait, les seins majestueux, les hanches admirables, la vulve magique, et les jambes de danseuse de sa princesse. Sanaa habite un oasis de verdure, dans un palais des mille et une nuits. Recluse volontaire, entourée de sa cour : De Zohra, son ex amant devenue sa première concubine, de Christine, sa maîtresse occidentale presque aussi belle qu’elle, avec à ses pieds, la petite Naomi pleurant du bonheur de la retrouver et de ses servantes Aicha et Domi si dociles et dévouées. Il arrive que le prince demande à son épouse de lui prêter une se ses concubines pour satisfaire quelques visiteurs étrangers. Que ne ferait-elle pas pour combler son époux ! Alors, comme dans le harem, celle qui est désignée est préparée, revêtue de sa burqa, de son hijab de satin noir, elle se rendra dans une chambre où l’attend un homme. Christine hérite presque toujours des visiteurs africains, les mieux pourvus. Au petit matin, ivre de fatigue et de sexe, elle retrouve sa maîtresse qui effacera les salissures masculines. Mais pendant cet office, si elles livrent leur corps, jamais parcelle de leur âme ne se dispersera de l’amour qu’elles vouent à leur princesse. Nous nous parlons sur skype. Un soir Christine me gratifia d’un striptease toride. — Je serai en pensée près de toi la semaine prochaine. Je dois me rendre dans ton pays d’adoption. — J’aimerai que tu me visite. J’ai tellement de chose à te dire… Puis elle raccroche un peu brusquement.Cette dernière phrase ne sort pas du cerveau de Jean-Paul : « Tellement de chose à me dire… Ce n’est pas du tout une phrase usuelle chez Christine. Bizarre, vous avez dit bizarre ? Ce départ vers l’Arabie faisait suite à une conversation avec mon ancien adjoint de la société que j’avais vendue à Ali. Il m’appela avec une carte prépayée. « Ali m’a demandé de piéger les systèmes. Il écoute tout le monde. Même le prince. Si tout cela est découvert Je crains pour ma vie. Il regarde vos conversations avec votre amie sur skype ». — Je peux planter son serveur à distance. Tu n’arriveras pas à le débugger. Il m’appellera en consultance. — Faites attention. Effectivement Ali m’appelle en catastrophe, le système de sécurité de l’aéroport est planté. — Tu vas trop sur des sites pourris. Tu t’es pris un virus.— Avec tous les systèmes de protection, c’est impossible. C’est toi qui en a conçu l’architecture. Il faut que tu viennes.. Je prends le premier avion et me met tout de suite à l’ouvrage. Tout d’abord je détecte les programmes de surveillance. J’installe un programme de destruction que je déclencherai dans quelques semaines. Puis je débuggue le virus que j’ai moi-même envoyé depuis Genève. Je demande à Ali de pousser jusqu’à la palmerai pour retrouver Christine l’espace dune nuit… — Sacré blanc sentimental ! Se moque Ali. Ok, je vais arranger çà !Je retrouve ma maîtresse avec une vive émotion. Nous faisons l’amour toute la nuit. Elle n’est heureusement habillée que de ses pendentifs. Au petit déjeuné, Sanaa veut me parler.Tout d’abord, j’installe un brouilleur. Elles m’apprennent qu’Ali avait jeté son dévolu sur la petite Naomi. Il fallait empêcher çà ! — Le prince est de plus en plus agacé par Ali m’explique Sanaa qui détient des fichiers dans un ordinateur dont il ne se sépare jamais. Il peut faire chanter tout le monde même le prince ! Si vous arrivez à prouver au prince qu’Ali l’écoute… — Je vais essayer.Comme tous les chefs de police, Ali est parano. C’est ce qui va le perdre. Il enregistre sur son ordinateur ses propres conversations dont celles où il s’épanche à l’ambassadeur de Russie des conversations du prince avec des diplomates occidentaux. Le prince va aimer ! Sous prétexte d’effacer les virus, je transférais le contenu sur mon serveur et le lendemain, avec l’aide de mon adjoint, qui entretien des relations coupables avec un de ses secrétaire, le prince fut discrètement informé. Ali disparu dans la fosse aux crocodiles de l’émir qui en raison des services rendus lui aura au préalable fait tirer une balle dans la tête… Charmant pays !
Epilogue :Sanaa, Zohra, Christine et Naomi vivent, heureuses et comblées, à l’abri du monde dans l’amour, la volupté, le luxe et la beauté. Jean-Paul voulu punir Christine. Il voulu la soumettre, il a réussi mais il l’a perdue. Les années ont passées, il s’est consolé dans les bras de Florence qui lui a fait trois beaux enfants mais il pense souvent à sa belle Shahrazade.
Fin.Bruxelles le 20/04/2013.
Diffuse en direct !
Regarder son live