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Christine I : Prémices et frustrations

Chapitre 2

Hétéro
Le samedi 20 mai 1995, je fête mes 20 ans avec deux copains. Nous avons organisé une grosse soirée à la salle communale de notre village. Christine est là avec son copain, le dénommé Christophe. Néanmoins, celui-ci quitte la soirée à minuit, au moment où la fête bat son plein, car il doit se lever tôt le lendemain matin. Christine l’accompagne à sa voiture et revient vite danser, ce qu’elle fait incroyablement bien. Elle semble vraiment s’amuser, se liant avec des personnes qu’elle ne connait pas pour une danse ou un verre. Pourtant, je dois reconnaitre que je suis un tout petit peu contrarié, car elle ne montre pas beaucoup de préoccupation à mon égard.
Peu après que Christophe soit parti, un copain vient me dire qu’une femme m’attend à l’entrée de la salle. Il s’agit de Nicole, 44 ans, une amie de mes parents avec qui j’avais eu une liaison l’hiver précédent. Elle rentre d’une soirée chez des amis et s’est arrêtée pour me souhaiter un joyeux anniversaire. Sous une veste courte, elle porte une robe longue à carreaux rouges et blanc, à larges bretelles, fermée verticalement par cinq gros boutons blancs haut. Belle. Je lui dis de rentrer dans la salle, mais elle refuse. Elle dit être fatiguée et il lui tarde d’être dans son lit. Elle n’habite pas loin mais je lui demande néanmoins si elle veut que je la raccompagne. Elle rit :— Jusqu’à ma voiture, là-bas, si tu veux !
En chemin, elle me complimente, me dit que je suis toujours plus charmant et galant. A la voiture, un petit smack se transforme en un baiser fougueux. J’ouvre les cinq boutons entre ses seins et dévoile sa poitrine. Nicole ne porte pas de soutien-gorge. Elle s’agenouille, sort mon sexe et commence une fabuleuse fellation. Elle aspire, lèche, suce, mordille ma verge et je suis rapidement à bout. J’explose dans sa bouche et elle continue à me sucer comme si de rien n’était. Nicole se relève, m’embrasse :— Joyeux anniversaire, Florent.Un clin d’œil, elle rit. Dernier baiser et elle s’en va. Je viens de recevoir mon cadeau le plus coquin et je me dépêche de retourner à la fête.
Nous diminuons le volume de la musique à partir de 2h et la soirée se termine vers 3h. Le nettoyage se fera le lendemain. Nous saluons nos amis qui sont restés avec nous jusqu’à la fin de la soirée. Christine s’avance vers moi et me dit qu’elle n’a pas de moyen de locomotion pour rentrer. Elle rentre dans la salle pour m’attendre. Amicalement, mes deux compagnons de fête me proposent de s’occuper d’éteindre et fermer la salle afin que je ramène Christine. Nous partons. Sur le chemin, je passe par la route du Château de Gombavires; je m’arrête dans le parking du château et cela semble parfaitement normal pour Christine.
Nous sortons de la voiture. Il fait bon cette nuit-là et nous nous baladons main dans la main au clair de lune. C’est lugubre à souhait et Christine finit par se blottir contre moi. Nous tournons derrière le château et nous asseyons sur un banc. Les baisers ne tardent pas. Christine me caresse l’entrejambe sans oser ouvrir mon pantalon. Je l’attire à califourchon sur moi, elle se frotte doucement avant de sortir ses seins de sa robe bustier. Je les goûte, les lèche, c’est tellement bon. Elle ne veut pas que je caresse ses fesses.
J’allonge ensuite Christine sur le banc et plonge la tête entre ses jambes, sous sa robe. Elle essaye de les fermer puis, lentement, les rouvre. J’embrasse son string noir, l’embrasse et le lèche doucement, il est mouillé. La jambe droite de Christine tombe à terre tandis que la gauche prend appui sur le dossier du banc : la voie est libre. J’écarte lentement l’étoffe. Christine a joliment débroussaillé sa touffe en un triangle large mais tondu à ras. Je goûte à son sexe humide et très odorant. Ses lèvres, son vagin, son clitoris. Insistant sur ce dernier, je glisse simultanément mon majeur dans son minou : "Non, pas dedans !". Le ton impératif me fait sortir immédiatement mon doigt et je me contente de la lécher. Elle gémit bruyamment. J’aspire et excite son petit bouton. Levant les yeux sur elle, je l’aperçois qui se caresse la poitrine, pétrissant ses seins, pinçant ses tétons. Elle tressaille et jouit, longuement. Je la laisse savourer cet orgasme.
Elle s’assied à nouveau, son regard a changé. Elle m’embrasse, sa main vient à mon entrejambe, mais cette dois, elle ouvre ma ceinture, déboutonne mon pantalon et sort mon sexe. Elle me masturbe vivement, un peu maladroitement. Je l’attire sur moi, elle dit timidement non. J’insiste et elle reprend place sur mon sexe. Elle n’a pas remis son string en place et nos sexes sont l’un contre l’autre. Elle gémit. "Non ! Oh oui ! Arrête ! Encore !". Excitée mais gênée, Christine reprend place à côté sur le banc. Elle me branle à nouveau, je prends sa main et masturbe avec elle. Peu avant de jouir, je lâche sa main. Christine me fait jouir droit, le sperme gicle et retombe en grande partie sur sa main. Elle s’essuie, l’air un peu dégoûtée. Elle replace ensuite son string avant d’ajuster sa robe notamment au niveau de la poitrine. Elle sourit tristement. "On y va ?". Nous retournons à la voiture et je la dépose devant chez elle. Long bisou appuyé sur la joue.
Le lundi, de retour en classe, Christine n’a pas l’air bien du tout. A midi, nous allons dans le parc et elle me dit à quel point elle regrette de s’être laissée aller. Je m’excuse, mais elle me dit que je n’ai rien à me reprocher. C’est de sa faute. J’ai été respectueux et si elle avait dit "Non", je me serais arrêté. Ce qui est vrai. Cependant, après quelques jours un peu distants, je retrouve vite la Christine "habituelle" et nous reprenons nos "jeux". Mais je me dis que je ne suis pas prêt de me retrouver à nouveau seul à seul avec elle. Je me trompe lourdement.
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