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Christine II : Retour de flammes

Chapitre 1

Hétéro
** Ce récit est la suite de "Christine I : Prémices et frustration" **
Novembre 1999. J’ai fini mes études et travaille désormais dans une fiduciaire. Durant une pause de midi, je me rends au centre commercial qui jouxte mon lieu de travail pour y faire un peu de shopping. Dans un magasin de vêtements, alors que je traverse la confection femme, je tombe nez à nez avec Christine. Elle n’a changé que de coupe de cheveux (carré court en pointe), sinon elle est exactement la même. Elle porte un pantalon de tailleur noir et une épaisse veste de motarde. Au milieu des vêtements, nous commençons à discuter, prendre des nouvelles l’un de l’autre. Je ne me souvenais plus de son sourire si chaleureux, si communicatif, et de son charme. Elle m’apprend qu’elle travaille à 60% au sein d’une association sportive. Elle m’indique également qu’elle est célibataire depuis quelques mois.
Je lui annonce également mon célibat et quand bien même elle dit compatir, cela ne semble pas tout à fait sincère. Nous échangeons nos numéros de téléphones. J’ai une chemise dans la main, elle a un top et, tout en continuant à papoter, nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage qui sont toutes occupées. Lorsque l’une des cabines se libère, sans nous concerter, nous y entrons ensemble. Dedans, nous nous embrassons à pleine bouche. Longuement. Quatre ans après, comme si c’était hier.
Après quelques tendres mots, Christine retire sa veste et je découvre un joli chemisier court rose pâle. Le miroir est derrière elle et j’en profite allègrement pour regarder son postérieur moulé dans un pantalon étroit. Elle le remarque :— Héééé !— Je crois que je suis toujours amoureux de tes fesses.Elle rit et déboutonne son chemisier :— Regarde un peu par là, alors !!
J’obéis et découvre le joli soutien-gorge rose qui orne sa poitrine. Je lui dis qu’elle a de beaux seins. J’avais également oublié comme Christine pouvait rougir. Le privilège des rousses. Tandis que je retire mon pull-over et mon t-shirt, elle enfile son top et se tourne face au miroir. De mon côté, je constate immédiatement que la chemise me va très bien, Christine confirme. Derrière elle, mes mains glissent sur ses hanches, sa taille, puis remontent sur son top jusqu’à ses seins. Je la pelote doucement, elle pose ses mains sur les miennes et apprécie :— C’est vrai que je te plais encore ? — C’est clair, tu es toujours aussi excitante.
Christine descend sa main derrière elle et caresse mon sexe à travers mon pantalon, visiblement intéressée. Elle dit : — Il faut que je retourne au travail, je suis déjà en retard. Je t’invite à souper.— Volontiers, quand tu veux.Elle se tourne, nous nous embrassons, mais elle garde une main sur mon sexe. Elle dit :— Une minute de retard de plus ou de moins…Christine ouvre mon pantalon avec une rare habileté, sort ma trique, se penche dessus et me pompe très vivement. Une fellation sublime. Une fellation devant le miroir. Une fellation hyper excitante.
Elle se redresse, m’embrasse :— Tu as toujours une aussi belle queue.— Tu suces toujours aussi bien.Éclats de rire et nouveau baiser. Cette fois, c’est moi qui tente de déboutonner son pantalon. Elle dit qu’elle est vraiment en retard. Je lui réponds qu’il s’agit de circonstances exceptionnelles. Elle rit. Je descends à peine son pantalon, juste pour lui découvrir les fesses que je regarde dans le miroir tout en la câlinant. Je bande durement d’autant plus que son string est très fin. Christine :— Je n’arrive pas à croire que mes fesses puissent t’exciter autant et j’en suis très… flattée.
Je ris, elle aussi. Je m’agenouille, elle se tourne et j’embrasse chaque fesses à plusieurs reprises. Grosses, imposantes, larges, mais si douces, musclées et rondes, ses fesses sont mon aphrodisiaque. Je me relève, glisse mon verge dure dans la raie de ses fesses et simule une pénétration par de petits va-et-vient. Christine respire plus bruyamment. Elle se tourne ensuite lentement et m’embrasse. Je lui dis que j’ai très envie d’elle. Elle prend ma main, la dépose sur son string. Trempé. Elle sourit :— Je crois que moi aussi. Mais là, c’est vraiment pas possible.
Nous nous changeons en vitesse. Nous nous embrassons encore une fois avant de sortir de la cabine. Christine s’en va sans prendre le top qui ne lui plait pas. Nous nous saluons à proximité de la caisse où je vais payer ma chemise. Je lui dis en riant :— Samedi, je pourrais voir tes fesses ?— Si tu es sage, je te les monterai peut-être.— Alors je vais être très très sage.Elle m’embrasse sur la joue et murmure dans le creux de mon oreille :— Si tu es très très sage, il est même possible que tu les prennes.Un clin d’œil et elle s’en va. Je reste bouche bée et la regarde partir. Je me dirige vers la caisse puis retourne travailler.

Le soir, vers 21h, je l’appelle. Je lui dis à quel point j’ai été ravi de la revoir. Elle semble contente également. Nous ne parlons pas trop longtemps et évitons de parler des quatre dernières années. Ce sera le sujet de discussion de notre souper. La seule chose que j’apprends est que Christine a eu deux relations durant ce laps de temps. A ce sujet, Christine me demande ce que je fais le samedi, deux jours plus tard. Rien. Le rendez-vous fixé. Avant de raccrocher, elle me fait une confidence :— J’ai beaucoup pensé à notre passage dans la cabine d’essayage cet après-midi et j’ai été vraiment touchée par ce que tu m’as dit au sujet de mes fesses. Peut-être que ça parait idiot, dit comme ça. Mais c’est très important pour moi.
Nous raccrochons. Confortablement allongé dans le canapé, je me remémore les moments passés avec elle durant la seconde partie de l’année scolaire. Je commence à me masturber doucement au fur et à mesure que les images me reviennent en tête. Je revois alors l’image d’elle à quatre pattes au milieu des champs. Ce fut très court mais je n’ai jamais oublié cette vision. Je me branle plus vite, j’imagine la prendre en levrette et jouir en elle. J’éjacule sur mon ventre, haletant. Il me tarde d’être samedi. Alors que je suis à la salle de bains, le téléphone sonne. Myriam, une copine, est au bout du fil et elle n’est pas contente. Elle a de quoi, j’ai oublié que nous devions aller manger au restaurant touts les deux.
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