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Christine II : Retour de flammes

Chapitre 3

Hétéro
Mercredi 1er décembre 1999, je retrouve Christine dans un restaurant non loin de chez elle. Elle se lève en me voyant arriver. Elle porte une jupe évasée noire, mi-longue, et un chemisier rouge en satin qu’elle a laissé ouvert jusqu’au milieu de sa poitrine, dévoilant subtilement un soutien-gorge du même coloris qui remonte ses seins.
Même si le souper est excellent et je ne peux détacher mon regard de ses deux seins gonflés dans son décolleté. Elle est vraiment très belle et je ne taris pas d’éloges, la faisant rougir plusieurs fois. Au dessert, je lui demande de me montrer ce qu’elle porte sous son chemisier. Christine hésite. Elle est dos à la salle, aucun risque. Elle ouvre alors deux boutons supplémentaires de son chemisier qu’elle garde néanmoins serré. Je lui indique qu’il n’y a aucune serveur à l’horizon et elle écarte un peu les pan de son chemisier, dévoilant un magnifique soutien-gorge rouge. Elle referme le chemisier. Je taquine :— Je n’ai pas bien vu.Elle rougit, mais entre dans le jeu. Je lui dis :— Je veux voir largement et je veux pouvoir compter jusqu’à trois.Elle rit et écarte soudain largement le chemisier :1… Le soutif est vraiment beau. 2… Elle est super excitante. 3… Je me rince l’œil.
Écarlate, Christine sourit, manifestement fière d’elle. Je lui demande si elle ose me montrer un sein. Elle se prépare et me demande de lui dire quand la voie est libre. Ok. Christine ouvre le chemisier, descend légèrement les bretelles de ses épaules et sort ses seins de leur coque. Je suis époustouflé par son courage. Et je bande dur.
Tandis qu’elle boutonne à nouveau son chemisier, je sors ma bite. Je dis à Christine :— Je pense que tu devrais faire tomber ta cuillère.Elle me regarde l’air interrogateur. Je précise :— Tu devrais ramasser ta cuillère qui va tomber par terre. Il y a une surprise sous la table. Christine sourit, mais ne fait pas tomber sa cuillère. Elle fait un quart de tour avec sa chaise et surveille ce qu’il se passe dans la salle. Alors elle plonge sous la table et je la sens arriver jusqu’à moi. La longue nappe la dissimule entièrement et elle commence à me sucer. Drôlement bien. Elle me demande une serviette. Sa fellation est divine et ce serait l’un des moments les plus excitants de ma vie si le serveur ne se dirigeait pas directement vers notre table. Il débarrasse les assiettes vides des desserts alors que je sens monter la jouissance. — Vous prendrez un café, Monsieur ? Un digestif ?Ma bite me brûle, Christine me pompe comme une déesse. Je vais jouir.— Non, non, m… merci !— Et Madame ? — Non plus !
Au moment où il tourne les talons, je décharge violemment… dans la serviette. Christine me nettoie et me dit de lui donner un petit coup de pied lorsqu’elle pourra refaire surface. Mini-shoot et la voilà de retour à sa place, contente d’elle. Elle vient s’asseoir sur la banquette à côté de moi et nous nous embrassons. Le serveur revient et Christine lui commande un café. Il l’amène avec l’addition que je lui ai réclamée. Nous quittons l’établissement.
Nous rentrons chez elle à pied, main dans la main. Dans le hall d’entrée de son appartement, Christine s’agenouille et me suce avant de me faire glisser entre ses seins. Je n’attendais que ça.
Dans la chambre, je découvre le porte-jarretelles que Christine porte sous sa jupe, rouge lui aussi. Un 69 intense accompagne les préliminaires, durant lequel je doigte son petit trou avant de le lécher avec délicatesse. Christine vient à califourchon sur moi, de face, puis de dos. J’en profite pour chatouiller une nouvelle fois son anus. En missionnaire, elle jouit à deux reprises avant que je ne descende la lécher une nouvelle fois, glissant rapidement à sa rose. Je viens sur elle :— J’ai envie de te prendre par derrière.— Florent, je ne l’ai jamais fait.
Nous en étions si proche quatre ans auparavant que j’ai du mal à la croire. Elle assure :— J’en avais incroyablement envie ce soir-là, je te voulais tellement en moi. Laurent voulait, mais moi non. Hubert ne m’en a jamais parlé.
Elle n’a pas de gel. Je la prépare au mieux avec de la salive et sa cyprine. Malgré ma douceur, Christine peine à se détendre. Elle veut quand même que j’essaye de la pénétrer. En chien de fusil, j’enfile lentement mon gland. Elle suffoque à son passage. J’entame de courts allers-retours, lui demandant sans cesse si ça va. Elle dit que oui, mais grimace. Je me retire. Excité, je me masturbe en regardant le large fessier que je viens de pénétrer. Je jouis sur ses fesses. Elle se tourne vers moi, m’enlace :— Je pense que ça aurait été plus facile il y a quatre ans.Nous rions.
Plus tard, au moment de nous coucher, nous refaisons l’amour de manière très tendre, très douce. Il est près d’une heure du matin quand Christine éteint la lumière.
Le réveil sonne à 6h30. Christine profite de mon gourdin matinal et s’y empale vivement. Je la pelote tandis qu’elle sautille rapidement sur ma queue. Elle jouit très bruyamment. La levrette finale est non moins énergique et je me permets de claquer son cul à deux reprises. Au café, Christine révèle :— Depuis que je travaille, j’aime baiser au réveil, ça booste ma journée !
Le soir, nous nous téléphonons et, sentant Christine s’emballer, je lui explique que je ne veux pas m’engager. Je préfère avoir des relations plus légères, je n’ai pas envie de me caser pour le moment. Douche froide. Elle n’est pas contente et me dit qu’elle ne sait pas si elle veut continuer de cette manière. Je lui dis que je respecterai sa décision.
Deux jours plus tard, elle dit préférer ne pas continuer. Elle est extrêmement déçue, mais elle a peur de tomber amoureuse et de souffrir. Elle dit qu’elle se prend déjà trop la tête après deux rendez-vous. Fin de l’histoire ?
La veille de Noël, je reçois une invitation : Christine fête ses 25 ans et m’invite.
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