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Christine IV : Turpitudes adultères

Chapitre 1

Hétéro
Christine et moi avions emménagé en ensemble le 1er juin 2005 et une frénésie de sexe s’était emparée de nous. Était-ce la frustration de ne pas avoir été ensemble plus tôt ? Le bonheur d’être officiellement en couple ? Toujours est-il que jusqu’à la fin de l’année 2005, nous l’avons fait… tous les jours, y compris durant les périodes où Christine avait ses règles et durant lesquelles nous pratiquions fellations et sodomies. Certains jours, nous l’avions même fait jusqu’à huit fois. Par curiosité, en fin d’année, Christine avait estimé le nombre de rapports que nous avions eu en six mois à au moins 350. Mais selon elle, ça devait être un peu plus…
Entre temps, nous nous étions mariés. Très vite, très tôt, dès le mois d’août, soit moins de trois mois après avoir emménagé. Une cérémonie civile uniquement, pour laquelle Christine portait un ensemble blanc composé d’un blazer, d’un chemisier en mousseline et d’une jupe plissée. Elle n’avait mis aucun dessous. Nous avions ensuite fait un court voyage de noces à Copenhague, la ville préférée de Christine. La cérémonie religieuse avait eu lieu l’année suivante et nous étions ensuite partis une semaine aux Seychelles. Pour le mariage, elle m’avait fait la surprise de vêtir sous sa robe le porte-jarretelles qu’elle portait lorsque je lui avais proposé d’emménager avec elle.
Les trois premières années furent emplies d’un amour puissant, sincère et fou. Une passion brûlante faite de complicité et de complémentarité. Une passion non-dévorante, entretenue et enthousiasmante. Tout comme moi, Christine aime faire l’amour et elle aime le sexe. De ce côté-là, elle est ouverte, épanouie et coquine. Sa curiosité la pousse à accepter des nouvelles choses, de nouveaux jeux. Active, elle en propose autant que moi. Rapidement, Christine a tenu un "livre du sexe" dans lequel elle rapportait par écrit des moments mémorables de notre vie sexuelle. Il contenait également un "tableau des records" où était indiqué par exemple que durant le week-end du 20 au 22 avril 2007, nous avions fait vingt-trois fois l’amour en 48h, ce qui constituait pour l’heure, notre "high score" dans cette tranche horaire.
Durant ces mêmes années, la "garde-robe coquine" de Christine s’était largement étoffée. Le nombre de guêpières était passé de une à huit, celui des porte-jarretelles de trois à… vingt-et-un. En effet, dès l’automne 2005, Christine prendra l’excellente habitude de porter des jarretelles lors de chacune de nos sorties. Six bodystrings, deux combinaisons en dentelles, deux costumes (infirmière et soubrette) avaient en outre rejoints la collection. Côté jouets, aux deux godemichets de Christine se sont ajoutés un vibromasseur, un plug anal, des boules de geisha, un œuf vibrant et une cravache en cuir. Autant dire que notre sexualité était tout à fait épanouissante pour tous les deux
Début 2008, Christine est tombée enceinte. Une joie incommensurable. Christine était d’une beauté incroyable. Notre activité sexuelle s’est poursuivie presque jusqu’à l’accouchement et Toby est né le 15 octobre 2008. L’accouchement avait été un peu difficile et les complications nous ont empêchées de faire l’amour durant plus de deux mois. Puis la fatigue, la place prise par Toby dans notre vie, la nouvelle organisation de notre famille, que sais-je encore, toutes ces choses ont rogné sur notre vie de couple. Les moments à deux étaient rares et ils servaient surtout au repos. Notre activité sexuelle a alors largement décliné. Dès ce moment, j’aurais dû m’inquiéter. Mais je me disais que notre vie avait changé et qu’il en était ainsi. Nous prenions toujours du plaisir à nous retrouver à deux mais cela était plus souvent dû au hasard qu’à notre organisation.
Nous avons eu un second enfant, Flora, le 30 juin 2010 et nous étions les plus heureux des parents du monde. Pourtant, un bilan implacable pouvait être fait les mois suivants : nous nous étions complètement oublié. La situation commençait à me peser énormément et j’en faisais part à Christine ne semblait pas entendre l’alarme.
Le printemps 2012 fut à ce titre très compliqué. Une jeune collègue me faisait du rentre-dedans et je ne parvenais pas à la repousser. Je sais que je lui laissais des ouvertures, des possibilités. Je mangeais régulièrement avec elle à midi et j’étais émoustillé qu’une jeune femme s’intéresse à moi. Et il ne faisait aucun doute que Sandra, 23 ans, avait des projets à caractère charnel nous concernant. Il est fort possible que ce fut son style vestimentaire jeans-pull-basket qui m’ait empêcher de fauter. Car cette blonde à lunettes avait tout pour me plaire : des yeux magnifiques, une poitrine d’enfer, une taille fine et des fesses rebondies et un peu larges, tout à fait à mon goût.
Le point culminant de cette liaison dangereuse fut atteinte au mois de mai, quelques jours avant mon anniversaire. Ce jour-là, pour la première fois, Sandra était en jupe. Et quelle jupe ! Un jupe noire taille haute, mi-longue et moulante à souhait. Ses jambes étaient galbées de nylon et des talons vertigineux ornaient ses pieds. En haut, un chemisier orangé en mousseline arrondissant sa poitrine parachevait l’œuvre. Une beauté fatale. Après l’avoir découverte ainsi vêtue le matin, j’avais pris soin de l’éviter. Pourtant, en milieu d’après-midi, elle m’avait écrit un mail pour me dire qu’elle m’invitait à boire un verre après le boulot pour mon anniversaire, car la semaine suivante, elle partait en vacances avec son copain et serait absente le jour exact. Comme un con, j’avais accepté et j’étais tombé dans le piège. En fin de journée, Sandra avait prétexté un surplus de travail pour différer notre départ. A 18h30, il n’y avait évidemment plus personne dans les bureaux quand elle était entrée dans le mien, une bouteille de champagne à la main. — Florent, vu qu’il est un peu tard, je te propose que nous buvions ici
Ici, ça voulait dire dans le bureau jouxtant le mien, une salle de réunion que nous utilisions parfois pour des apéros. Salle fermée par un code, connu de mes deux collègues et de moi-même uniquement. Je l’y ai accompagnée, j’ai ouvert le champagne, rempli les coupes. Nous avons trinqué, bu et c’est là que Sandra a dit :— Assieds-toi, il faut que je te donne ton cadeau.
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