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Chroniques immortelles

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Je me sens d’humeur badine ce soir. Je vais donc faire une petite pause ludique au sein de ma saga, en vous parlant un peu de ce couple prés de chez qui j’habite, à savoir Pascal et Magali Marchand. Pascal est adjudant de gendarmerie, né en 1756. J’ai appris lors d’un banal contrôle de police sa nature d’immortel. Assez étonnant, il est né femme et l’est resté jusqu’au décès de son mari au début du XIXe siècle. A cette date, il est devenu homme et a participé à la guerre d’indépendance contre l’empire Ottoman. Et depuis, il est resté homme sous de multiples identités, et bizarrement toujours militaire. Il est venu en France au début de la grande guerre, s’y est battu, puis y est resté. Au cours de sa longue carrière, il a connu toutes les armes et se trouve aujourd’hui dans la gendarmerie.
Il forme un couple atypique avec Magali, car cette dernière est une « simple mortelle » si vous pouvez me passer l’expression. Quand je lui ai demandé pourquoi il s’était mis en couple avec elle, alors qu’il allait avoir la douleur de la voir vieillir et mourir un jour, il m’a simplement répondu « Parce que je l’aime… ». Cette dernière ignore tout du statut d’immortel de son mari et Pascal vieillit «extérieurement» au même rythme que sa femme, tout en restant jeune intérieurement. Le jour ou il la perdra… sans doute une nouvelle vie ?
Quant à Magali, elle tient un magasin de vêtements pour femme boulevard Gassendi. Je vous en ai parlé dans le chapitre 3 de « l’héritier de Protée ». J’y achète l’essentiel de ma garde robe. Et c’est une coquine ! Lors de mes premiers achats, elle m’a entraîné dans l’arrière boutique pour une séance de baise torride. Et ce jour là, on fait la même chose pour la même raison ! Je suis couchée sur elle. On s’embrasse langoureusement, faisant attention à nos mouvements.
— Aaaaaaah… alors c’est d’accord ? On… on vous attend, aaah... samedi soir pour dîner ?— Ouiiiiiii….. paaaaas de problème, et je… oooooh, j’amènerai le, hou ! Dessert….— Et tu dis, oooooh…. Que ton mari est au… au courant de tes aaaaaventures extra… conjugales avec, ouch ! Tes clientes ?— Oui, on… on est un couple… tréééés, très libre, libertin, oooooooh ! Et… et toi, Aaaaalex est au… au courant ?
Excusez ces coupures de son et ces gémissements, mais voilà, Magali a inventé un nouveau jeu. Non seulement nous sommes unies l’une à l’autre par un double dong qui présentement remplit nos chattes, mais en plus, comme nous avons toutes deux des piercings aux tétons, elle a imaginé de nous relier l’une à l’autre par les seins grâce à des petites chaînes de bijoutiers. Nous n’avons que trente centimètres de marge l’une par rapport à l’autre. Autant dire que le moindre mouvement incontrôlé de l’une ou de l’autre nous génère un étirement de nos tétons et une douleur à nos poitrines proportionnelle au mouvement que nous faisons ! Dans ces conditions, je ne tarde pas à jouir. Et mes mouvements désordonnés pendant l’orgasme torturant cruellement nos seins, Magali jouit à son tour immédiatement, occasionnant de nouveaux cris de douleurs. Si avec çà on n’a pas fait fuir les clientes...
— Alors à samedi, dis-je essoufflée. Ouille. Mais…— Oui ma chérie ?— Comment on se libère de ces trucs maintenant ?— Ben……— ………………
Samedi soir. Alex et moi avons fait une jolie table. L’apéritif et les amuse-gueule sont prêts. Pour la circonstance, j’ai mis une robe courte noire à dos nu, dentelle au bas de la robe et dentelle intégrale pour les manches longues. Tenue très sexy, sans être vulgaire et qui laisse deviner que je ne porte qu’un string noir et des sandales à talon assorties.
Pascal et Magali arrivent, l’une avec une tropézienne pour le dessert, l’autre portant un bouquet de fleurs, c’est trop mignon. Les deux hommes sont assez classe avec leur chemisettes. Quant à Magali elle a mis une jupe courte et un haut à bretelles très décolleté. Le plus dur va être de faire semblant de se découvrir mutuellement avec Pascal en cachant notre nature. Je connais à présent la sexualité débridée des immortels, et comme Magali est une vraie coquine, pas la peine de se demander comment va finir la soirée. Et je pense également qu’on aura du pot si on arrive jusqu’au dessert avant que les choses ne dégénèrent !
Mais on y arrive quand même au dessert. L’atmosphère polie et réservée du début de soirée s’est un peu relâchée. L’apéritif d’abord, le rosé de Provence ensuite ayant fait leur œuvre, le vouvoiement du début à laissé place au tutoiement. On a parlé de tout et de rien, mais à présent on rigole beaucoup, car cette coquine de Magali a fait glisser progressivement la conversation sur leurs expériences libertines. Comme les deux hommes sont déjà au courant de nos petites séances d’arrière boutique, on leur raconte ouvertement nos jeux avec force détails. Et l’ambiance devient carrément très érotique.
C’est en dégustant la tropézienne que la soirée a dégénéré. Vous connaissez la tropézienne ? Une brioche au sucre coupée en deux tranches séparées par une couche de crème à la formulation secrète. Parait-il. Je l’ai accompagnée dans les assiettes avec une boule de glace à la vanille, et une lichette de chantilly en bombe. Cette coquine de Magali s’amuse avec la crème, la faisant glisser sur ses lèvres avec des mouvements de langue suggestifs. Je ne vous fait pas un dessin... Oh la vache, tout s’est crispé en moi ! Comme je ne veux pas être en reste, j’attrape la bombe de chantilly et m’en garnit la bouche. Après quoi, je fais comme elle, laissant la crème couler lentement sur mon menton et oups !… Ma robe sera à laver…
Magali rigole, elle en fait autant. Je ne lui laisse pas le temps de se livrer à une autre exhibition. Comme je suis assise à coté d’elle, je la prends dans mes bras et l’embrasse voluptueusement, langues nouées l’une à l’autre, fouillant dans la chantilly qui déborde et dégouline sur nos visages. Du coin de l’œil, je vois le regard amusé et gourmand des deux hommes qui n’en perdent pas une, et se sont reculés légèrement pour mieux profiter du spectacle.
Un peu de chantilly a coulé sur l’encolure de Magali. Je me penche, la lèche, en profite pour mettre une main. Je tombe une de ses bretelles, découvre partiellement un de ses seins, dégage le téton. J’ai pris la bombe en main et y dépose une touche de crème que je m’empresse d’étaler et de savourer avec délectation. Oh là là, j’ai chaud, et Magali aussi.
Elle me rend la pareille, ses mains dénudent mes épaule, rabaisse le tissu de ma robe, laisse apparaître mes seins, qu’elle suce et tète à tour de rôle comme  avec pasion. En même temps, je fais glisser son haut sur sa taille, dégrafe son soutien-gorge. Je la redresse, l’embrasse, tout en frottant nos poitrines l’une contre l’autre. On jette un regard lubrique aux deux hommes. Ils ont laissé leur main disparaître dans leur pantalon et profitent du spectacle.
— Oh les pauvres, dit Magali, on leur fait de l’effet. On ne va pas les laisser comme çà ?— Non ; mais il vont attendre un peu. Ils faut qu’ils soient bien excités et bien durs si on veut en profiter un max ! Les garçons, allez vous mettre sur le divan, on va s’occuper de vous après !
Je la fais lever. Ce soir c’est moi qui prend l’initiative. Je la débarrasse de son haut, fait glisser sa jupe et, oh ! Elle avait pas de culotte ! Elle achève  de faire tomber ma robe, enlève rapidement mon string. J’ai saisi la bombe de chantilly, dépose une bonne giclée sur son torse, une autre dans sa bouche. On s’embrasse, on se colle l’une contre l’autre, on se frotte, on laisse glisser nos mains sur nos corps qui deviennent luisants de crème.
J’ai trop envie d’elle ! Je me met à genoux, je l’attire au sol, je l’allonge. Oh, sa chatte déjà si humide, si généreuse, si luisante ! Je veux la bouffer, et je veux qu’elle me bouffe ! Je me met une dose de crème sur ma chatte, en met une autre sur la sienne. Je lui présente mon entre-jambe dans lequel elle presse fougueusement son visage. Je sens sa langue me fouiller. Ça m’électrise, je la veux ! A présent en soixante neuf, je me jette sur sa chatte, je m’y noie, je lance ma langue à l’aventure, nettoyant et récurant chaque recoin, caresses qui lui occasionnent spasmes sur spasmes. Et elle me les rend bien ! Je ne vais pas tarder à… Oh mon Dieu, je jouis ! Je pousse un long cri de plaisir pendant lequel je lui caresse frénétiquement son point sensible, et elle jouit à son tour.
Nous reprenons notre souffle. On est assises cote à cote et on rigole. Les deux hommes ont bien profité du spectacle. On leur jette des regards espiègles. Ça fait un petit moment qu’ils ont sorti leurs queues de leur pantalon et qu’ils se branlent. Ils commencent à se déshabiller. Ils vont être à point. Il est temps de s’occuper d’eux. Je fais un signe à Magali. Nous avançons vers eux à quatre pattes comme des chiennes en chaleur, l’œil lubrique, se léchant déjà les lèvres. Je m’infiltre entre les jambes d’Alex, Magali entre celles de Pascal. J’ai gardé la bombe avec moi et la tend à Magali après m’être remplie la bouche de crème. Puis j’engloutis sa queue jusqu’à la garde, noyée dans la crème dont l’excédent glisse sur ses boules avant de descendre plus bas.
Pendant quelques minutes, on n’entend plus que les bruits de succion gourmands et les soupirs d’aise des deux hommes. J’adore sucer mon Alex. Sa queue est longue est fine, je la laisse pénétrer loin au fond de ma gorge, je l’avale jusqu’à étouffer. Mais j’ai envie de goutter à autre chose. Je me redresse, interrompt Magali.
— Tu me prêtes ton mari ? J’ai envie de le bouffer lui aussi.— Mais avec plaisir ma chérie. Viens ici mon petit Alex, tu vas voir ce que je sais faire !
Les deux hommes se laissent faire, tu m’étonnes… Pascal a une très belle bitte, de longueur moyenne mais relativement large, accompagnée de deux boules bien fermes qui ne demandent qu’à être dévorées. C’est une constante chez les immortels, ils sont très soigneux de l’aspect de leurs attributs sexuels. Et toujours en forme ! Je l’engloutis à son tour. Plus épaisse que celle d’Alex, j’ai un peu de mal à l’avaler. Je force sur elle, me défonce la gorge. J’ai un haut-le-cœur, mais elle passe ! A chaque retrait, ma gorge proteste bruyamment et laisse échapper des flots de bave qui se mêlent aux écoulements de chantilly. Je suis comme une folle… Mais j’ai la chatte qui réclame furieusement.
— Oh j’en peux plus ! Venez les garçons, venez nous prendre maintenant ! Et n’oubliez pas la chantilly !
Alex et pascal achèvent de se déshabiller. Magali et moi nous mettons à genoux cote à cote sur le canapé. Une giclée de crème remplit ma chatte.
— C’est froid ! Oh oui ! Comme çà, c’est trop bon, prends moi vite Pascal ! Aaaaah….. oui, plus fort, vas-y c’est trop bon. Oh punaise Magali, ton mari il est trop booon !— Aaaaah… Alex… n’est pas mal… non plus, oh qu’elle est longue, il… il me tape dans le fond, oooooh !
Les deux hommes nous baisent vigoureusement. Je suis noyée sous les sensations. La bitte de Pascal me ravage comme seul un immortel expérimenté sait le faire. Je sens de la crème s’écouler de mon vagin, glisser sur l’intérieur de mes cuisses. Alex n’est pas en reste et Magali pousse des petits gémissements répétés. Tout se met à tourner. J’attrape Magali par le cou, l’embrasse comme une dingue pendant que les deux hommes nous pilonnent. Je ne vais pas tarder à jouir… et meeeerde ! Aaaaah…………..
Magali a joui également. Les deux hommes ont relâché leur effort. Nous nous écroulons sur le canapé. Oh punaise, quelle secousse ! Et j’en veux encore ! On continue Magali ? Tu parles qu’on continue ! Je m’enfonce de dos sur le canapé, jambes relevées, imitée par Magali, et nous offrons offre toute notre intimité aux deux hommes.
— Allez les garçons, continuez, venez nous enculer !— Ah non, j’aime pas çà…
J’ai un moment d’étonnement. Magali rebutée par la sodomie ? C’est inattendu connaissant à présent cette petite cochonne.
— Ah, pourquoi ? Tu n’as jamais pratiqué ?— Si, mais je suis trop sensible, çà me fait mal… J’ai jamais réussi à…— Mais c’est rien çà ma chérie, çà fait mal juste un peu au début et après tu te laisses aller pour jouir comme une folle. Tiens regarde : Pascal, vient m’enculer. Oui, comme çà, aaaaah… Oh qu’elle est grosse ! Attend un peu… voilà, je me détends… Tu peux y aller. Oh ouiiiii, c’est merveilleux ! Regarde Magali, regarde comme ton mari m’encule bien ! Il va loin, si loin, ah ! Il tape contre mes fesses ! Oh ! J’ai des frissons partout de la tète aux pieds ! Tu vois ? Je me branle en même temps la chatte. C’est trop booon ! Tu ne peux pas passer à coté de çà !
Je la sent hésitante, je devine qu’elle a envie, d’autant que je ne boude pas mon plaisir. Mes fesses parfaitement lubrifiées par la crème, le sexe de Pascal coulisse sans effort dans mon anus. Je la regarde d’un air suppliant, comme si je l’implorais de faire quelque chose pour moi. Je me met sur le coté pendant que Pascal se couche derrière moi sans déculer. Je jette un coup d’œil complice à Alex. J’embrasse Magali et pose une main sur sa chatte, introduit deux doigts dans son vagin et commence à la caresser..
— On ne peut pas te laisser comme çà ma chérie, il faut faire quelque chose ? Alex, vient la lécher partout entre ses cuisses. Oui, comme çà… Non, laisse sa chatte, je m’en occupe avec mes doigts. Charge toi de son petit trou avec ta langue… Oui, c’est çà, très bien… Oh, elle s’ouvre je le vois bien ! Tu sens Magali ? Il est en train de t’enculer avec sa langue !— Oh non, faites pas çà ! Oooooh… oh je sais plus, c’est trop bon , vous êtes dingues tous les deux. Oh ouiiiii ! Continues Alex !
Elle se tortille, elle frémit, elle a des frissons. Je sens les crispations de son bas ventre sur mes doigts. Si elle n’aime pas la sodomie, elle est en train de changer ! Elle est mure. J’augmente la cadence de mes caresses sur sa chatte.
— Oui, c’est çà ma chérie, laisse toi aller. Viens Alex, viens la prendre… mais doucement. Oui, comme çà… Oh regarde ma chérie, son gland est entré dans ton anus ! Ne bouge pas Alex. Détends toi ma chérie… c’est bon, tu peux continuer, tout en douceur. Oh là là , toute sa queue est en train de disparaître, il est en train de t’enculer totalement !
Alex fait de lents mouvements de va et vient. Je continue à la masturber frénétiquement. Magali gémit, bouge dans tous les sens, nous traite de salauds, de pervers, oh que c’est bon dit-elle, je me fais enculer, qu’est ce que je suis conne, putain, je vais jouir ! Je suis en nage, moi aussi submergée par les sensations et ivre de plaisir de donner du plaisir à ma partenaire. J’arrive à lui prendre un de ses tétons entre mes dents, le mordille, l’étire. Je jette un regard complice à Pascal, ravi de la tournure prise par les événements. Et une nouvelle jouissance secoue Magali qu’elle accompagne d’un vrai hurlement de bête.
— Vous êtes des salauds ! Nous lance t-elle. Oh mon Dieu quel pied ! J’ai jamais joui comme çà…
Je la prend dans mes bras, je continue à la caresser.
— Tu ne peux pas t’arrêter en si bon chemin, lui dis-je en souriant de façon gourmande. Vient, on va passer au niveau supérieur.— Quoi ? Que… qu’est-ce que tu veux me faire faire ?— Tu vas voir. Pascal, allonge toi sur le canapé. Bien... Viens Magali, empale toi sur sa bitte. Ah non, pas comme çà. Tu lui tournes le dos et c’est dans ton cul que tu mets sa queue.— Ooooh… non, pas çà. Oh Christine, tu es vraiment la reine des salopes !— Oui je sais, voilà, très bien. Voilà, je la mets en place. Laisse toi descendre maintenant… Ouiiiii ! Elle est rentrée toute seule, tu vois ? Laisse toi aller, allonge toi sur ton mari. Attend, je te caresse un peu, tu sens comme mes doigts rentrent facilement dans ta chatte ?— Oooooh j’y crois pas ! Je croyais être la reine des cochonnes, tu me bats largement !— J’ai eu des bons profs… Viens Alex, elle est à point, prend là à ton tour.— Hein ? Vous… vous voulez me faire une DP ? Mais çà ne passera jamais ?— Mais si ma chérie… Tiens regarde, Alex t’a déjà forcée le vagin, çà passe tout seul !
Magali n’est plus qu’un jouet entre les deux hommes, elle gémit, elle hurle son plaisir, elle nous insulte, nous supplie d’y aller plus fort. Elle pleure, elle rit, tout se mélange en elle, sauf un intense plaisir qui monte lentement en elle. Je suis fière de moi. Je m’amuse avec mes partenaires masculins. Je caresse les queues chaque fois qu’elles sortent tant soit peu. Je rajoute mes mains à leurs sexes. J’y aventure mon visage, lèche leurs fesses, agace leurs petits trous, les encule avec ma langue, les doigte, gobe leurs boules les unes après les autres.
Je n’y tiens plus, je suis trop excitée. Je passe devant eux, enjambe Magali et Pascal, puis je me laisse descendre, présente ma chatte devant la bouche de Magali. Elle est morte de faim, submergée par le plaisir. Elle enfonce ma langue dans mon vagin, faisant monter progressivement le plaisir en moi. l’orgasme est violent. Je laisse échapper un jet de liquide qui inonde son visage. Je suis au bord de l’évanouissement. Tout tourne autour de moi. Tant pis, j’en veux encore, au moins une dernière fois.
Je me relève en tremblant. J’ai amené avec moi un double dong, suite à nos aventures érotiques dans l’arrière boutique. J’enfonce un bout dans ma chatte. Je suis secouée de spasmes. Mon vagin est brûlant. Ça va pas durer.
— Alex… retire toi, je veux prendre ta place ! Ensuite tu m’enculeras en même temps !
Alex s’exécute. Je me met en position, enfonce l’autre bout du double dong dans la chatte de Magali lui arrachant de nouveaux cris. Alex vient derrière moi. D’une seule poussée, il me pénètre à fond, me faisant crier à mon tour. On se laisse aller, comme des fous. Les deux hommes nous pilonnent maintenant sans retenue, on n’entend plus que les claquements des chairs les unes contre les autres et nos cris de plaisir mêlés. Magali est la première à jouir. Elle s’arrache à son mari, s’arrache à moi. Je jouis instantanément. Nous crions ensemble. C’est à peine si je sens Alex se vider en moi.
Je m’effondre sur elle. Pascal et Alex nous libèrent. Je suis épuisée, je capitule. Magali est vidée et les deux hommes ne valent pas mieux. Ils ne se sont pas gênés pour jouir à plusieurs reprises et du sperme s’écoule de nos orifices mélangé à la crème chantilly. Nos corps sont luisants de sécrétions, de transpiration, de jus sucré. Nous haletons tous les quatre, on cherche à récupérer, on s’est vaincus les uns les autres. Magali est aux anges. Jamais elle n’aurait imaginé prendre un tel plaisir à se faire défoncer par tous ses orifices.
La soirée touche à sa fin. On se relaie à la salle de bain. Je prête une tenue à Magali pour qu’elle puisse rentrer chez elle. On s’embrasse une dernière fois. A bientôt ? Oui promis, la prochaine fois, c’est nous qui venons. Puis Alex et moi nous écroulons sur le lit.
Je me lève la première le lendemain matin. Le salon ressemble à un champ de bataille. Oh punaise… Je met mon tablier de ménage et commence à ranger déjà la vaisselle. Alex arrive à son tour. Il éclate de rire en me voyant nue, avec seulement le tablier sur moi, les fesses et le dos à l’air, une vraie tenue de soubrette soumise. Je le regarde méchamment, mais… C’est le matin, et son érection matinale est bien visible, séduisante, désirable...
— Oh punaise…
Le ménage attendra.
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