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Chroniques villageoise

Chapitre 2

Divers
2 – Histoire du curé et de sa servante
Monsieur le curé rentre au presbytère après la messe des mâtines et les séances de confessions comme chaque lundi matin. Dans son pantalon, sous sa chasuble, une tension insoutenable ne demande qu’à être soulagée. Il faut dire qu’aujourd’hui la Baronne Blanche de Mareuil a fait fort. Pourtant il devrait être habitué mais les confessions de la Baronne réservent toujours des surprises et ce matin elle avait mis le paquet. Non seulement elle avait raconté ses frasques du week-end mais elle avait pris un malin plaisir en ajoutant moult détails croustillants. Il avait aussi perçu, dans la pénombre du confessionnal, que la main de la baronne ne restait pas inactive afin de calmer l’excitation qu’elle ressentait en faisant son récit qu’elle s’était certainement plu à enjoliver.Il était pratiquement certain que cette provocation gratuite n’avait pour but que de mettre l’abbé mal à l’aise et de l’inciter à se soulager dans le confessionnal Car, bien qu’elle ne puisse pas le voir, elle savait que le prêtre bandait. Il aurait pu profiter du peu de lumière pour se caresser par dessus de ses vêtements ce qui aurait été pour Blanche une victoire. Mais il avait toujours résisté à la tentation, ne voulant pas succomber au désir qu’elle essayait à chaque fois de susciter chez lui et de l’encourager, par ce biais, à entamer entre eux une relation de complicité qui pourrait déboucher sur une relation charnelle. Bien-sur la chair est faible se complaisait-il à répéter à toutes ses ouailles et pour lui aussi il est difficile d’y résister mais s’il cédait à la baronne cela le mettrait dans une position de faiblesse vis-à-vis d’elle et ça il voulait à tout prix l’éviter.Une fois arrivé dans ses appartements il enleva sa chasuble et son étole et les rangea. Une se ses mains se posa sur sa braguette gonflée par son sexe en érection. — Marie, cria-t-il, vous êtes là ?Pas de réponse, aussi se dirigea-t-il vers la cuisine. Pas de Marie non plus. C’est bizarre se dit-il, depuis qu’elle est à son service elle a toujours été ponctuelle. Tant pis je ne peux pas l’attendre marmonna-t-il et il s’assit dans le fauteuil, ouvrit sa braguette et sortit son membre turgescent. Quatre, cinq allers-retours suffirent pour qu’il éjacule projetant son foutre sur sa chemise. Il pesta se traitant d’idiot pour ne pas avoir pensé à prendre une serviette mais d’habitude Marie est là pour récupérer son sperme dans sa bouche. Il se rendit au cabinet de toilette pour effacer les traces de son éjaculation.Il s’était levé tôt et sa masturbation, bien que brève, l’avait fatigué aussi, se remit-il dans le fauteuil et s’assoupit mais son esprit restait éveillé et il se remémora le parcours qui l’avait conduit dans cette paroisse.Pierre, c’était son prénom, était issu d’une famille bourgeoise et catholique où l’ainé devait faire une carrière militaire et le cadet, lui en l’occurrence, une carrière ecclésiastique. Il fut élevé selon les principes religieux où le sexe était exclu. C’est donc vierge autant moralement que physiquement qu’il entra au séminaire et c’est là, hypocritement, vivant 24h sur 24 entre garçons, qu’il connut ses premiers émois.C’est lors d’une séance de douche qu’il fut, pour la première fois, confronté à la sexualité. Ce jour-là, deux de ses camarades avaient entrepris de se savonner mutuellement et, faisant fi de sa présence, arrivèrent à se frictionner leurs sexes qui, bien vite, se dressèrent fièrement. Il savait que le pénis pouvait se rigidifier et cela lui arrivait régulièrement le matin au réveil mais un simple pipi lui faisait reprendre sa position habituelle. Jamais il n’avait eu le besoin de se frictionner comme ces deux camarades le faisaient. Leurs mains continuaient leurs va-et-vient en se regardant l’un l’autre. Leurs glands se couvraient et se découvraient à cadence régulière. Il resta là à les regarder, médusé. L’un deux se tourna vers lui et lui dit :— Cela ne te donne pas envie d’en faire autant? Se branler à plusieurs est bien plus excitant que de le faire seul dans son lit. Puis, lâchant sa queue pour prendre celle de son voisin et que celui-ci prenait la sienne, il ajouta :— Et se branler mutuellement c’est encore meilleur. Puis, s’adressant à son camarade, il ajouta :— Tu vois il commence à bander. Il a l’air d’avoir une belle bite. Et s’il venait plus près on pourrait le branler tu ne crois pas ? Approche !Pierre resta immobile n’osant faire aucun geste mais son sexe, lui, indépendamment de sa volonté, commençait à réagir et se redressait lentement. Bientôt ses deux compagnons émirent de légers grognements, la cadence s’accéléra et, par saccades, il vit jaillir de leur sexe de nombreuses giclées d’un liquide blanchâtre. Son sexe, quant à lui, était maintenant entièrement dressé et, lorsque le plus grand de ses camarades s’approcha de lui, qu’il lui saisit la queue en le complimentant sur sa taille et entama sur elle une branlette, il voulut se reculer pour l’empêcher de continuer mais le second s’était collé dans son dos et il sentait son sexe maintenant ramolli plaqué contre ses fesses. Il prit le parti de laisser faire surtout que les va-et-vient sur sa queue commençaient à faire effet. De plus il sentait la pine du deuxième se redressait lentement. Non seulement les ondes qui traversaient son corps annihilait toute volonté de fuir mais, au contraire, il tendait son ventre pour aller au devant de la caresse. Derrière lui le sexe, redevenu raide, s’était faufilé entre ses fesses et le gland se trouva sous ses testicules. Que lui arrivait-il, il se laissait branler et acceptait qu’un autre se branle en même temps entre ses cuisses. Il ne fallut guère de temps pour que son excitation soit à son paroxysme et il éjacula. Pour Pierre ce fut la révélation. La queue de celui qui l’avait branlé était, elle aussi, redevenue raide. Il le laissa prendre sa main qu’il guida jusqu’à son sexe. Pierre n’opposa aucune résistance et s’en saisit. Contrairement à ce qu’il aurait pu croire il avait tout de suite aimé sentir cette queue vivre sous ses doigts et, maladroitement surement, il la branla. Entre ses cuisses la queue du deuxième continuait ses va-et-vient. Quelques minutes plus tard ses deux compagnons éjaculèrent. Cette première jouissance fut une révélation et en amena bien d’autre, provoquées par lui-même ou par un autre. Il fut surpris par le nombre de ses camarades qui pratiquaient la masturbation. Dans cette ambiance strictement masculine, jamais les séminaristes ne faisaient allusion à la gente féminine et ce qui était, il le supposa, à l’origine d’une homosexualité latente chez les prêtres car même parmi les religieux d’un âge certain qui dirigeaient le séminaire et qui, par le biais de la confession, savaient très bien ce qui se passait dans les chambrées, il en vit quelques-uns se joindre à eux et participer activement.Quand on le jugea capable de prendre en charge une paroisse, il fut envoyé dans une charmante commune rurale. On lui octroya une servante d’âge canonique cela va de soi. Une brave paysanne répondant au même prénom que la mère de Jésus mais n’ayant pas, comme il le découvrit plus tard, acquis les mêmes vertus. Marie donc, avait 45 ans. Solide sur ses robustes jambes, des hanches larges et un fessier rebondi, une poitrine volumineuse dressée fièrement grâce à un soutien-gorge renforcé et par-dessus tout ça un visage poupin, avenant et toujours souriant. Elle était veuve et vivait dans une maison à proximité du presbytère avec sa fille Justine âgée d’une vingtaine d’année qui terminait ses études d’infirmière. Le curé commençait à faire connaissance avec ses ouailles, les incontournables bigotes qui, toujours présentes à la messe du matin et qui se confessaient régulièrement pour avoir le loisir de dire du mal de ses congénères, le plus souvent sur leurs liaisons extraconjugales. Aussi il put rapidement se faire une idée sur la véritable foi de ces braves dames et leur véritable nature. Et il y eu la châtelaine, la baronne Blanche de Merteuil, une belle femme toujours élégamment vêtue qui approchait de la cinquantaine mais paraissant plus jeune qui, chaque lundi, venait se confesser. Petit à petit ses confessions devenaient de plus en plus intimes et elle ne tarda pas à faire des confidences sur sa vie dissolue et notamment sur son addiction au sexe. Sa position, sa fortune semblaient lui donner tous les droits même celui de malmener un pauvre curé de campagne. Peut-être avait-elle l’intention de l’entraîner vers le péché de chair car l’abbé était bel homme et avait sa jeunesse comme garantie de son endurance. Mais, au grand désespoir de la Baronne, il tenait bon.Ce que la baronne ignorait c’est qu’après avoir entendu ses croustillants récits, il se précipitait dans sa chambre pour se masturber, une pratique qu’il avait conservé pour l’avoir souvent pratiqué durant ses études au séminaire mais, qu’habituellement, il ne faisait que le soir dans sa chambre. Il aurait pu profiter de l’obscurité du confessionnal pour se soulager mais il craignait que la baronne ne s’en aperçoive. Puis il arriva ce qui devait arriver mais il ne le sut que plus tard, sa masturbation hebdomadaire du lundi après les confessions dont il ne pouvait se passer, n’était pas passée inaperçue. Marie était souvent présente lorsqu’il revenait de l’église et elle l’aidait à se débarrasser de ses vêtements sacerdotaux. Elle ne tarda pas à remarquer la bosse qui déformait le devant de son pantalon et évaluait la grosseur du membre emprisonné à des dimensions plus que respectable et la faisait fantasmer. La promptitude avec laquelle le curé se rendait dans sa chambre lui mit la puce à l’oreille, oreille d’ailleurs qu’elle finit par coller à la porte de la chambre. Pas de doute, en entendant ses borborygmes, Monsieur le curé se branlait. Quoi de plus normal se dit-elle, elle se doutait bien que les curés étaient des hommes comme les autres. Elle, qui depuis son veuvage vivait sans homme, savait que les pulsions sexuelles étaient naturelles quelque soit l’âge ou le sexe. N’était-elle pas, elle aussi, soumise à la tentation à laquelle elle ne pouvait résister et que des doigts, qui malheureusement n’étaient que les siens, lui permettaient de calmer les incontrôlables excitations qui assaillaient trop souvent son corps. Elle vit donc, dans l’attitude du curé, une opportunité qu’elle comptait bien exploiter.Aussi, le lundi suivant, Marie resta plus longtemps à l’écoute et suivit la progression de la montée du plaisir. « Ah la garce, la salope » tels étaient les mots qu’il prononçait à voix haute juste avant d’éjaculer. Quel malheur se disait-elle, un si bel homme, réduit à se masturber alors que tant de femmes aimeraient tenir son chibre dans la main ou même se le mettre entre les jambes. Marie mouillait. Ces derniers jours elle n’arrêtait pas de mouiller et de se branler en pensant à la queue du prêtre. Elle avait repris le rythme qu’elle avait lorsqu’elle était adolescente c’est-à-dire deux fois par jour au minimum. Mon dieu (pardon monsieur le curé) ! Qu’il est bon de se faire jouir (merci monsieur le curé).Cette situation dura plusieurs mois. Pour Marie le curé se branlait une fois par semaine, ça c’était certain, mais, au contact de l’abbé chaque jour quand elle le croisait, elle l’imaginait la queue dans la main et sa chatte mouillait. Ses masturbations devenait plus fréquentes et avait de plus en plus de mal à se contenir pour ne pas se branler au presbytère. Pour Marie cette situation ne pouvait pas durer. Elle savait que l’abbé n’avait pas de verrou à sa porte de chambre et tant pis si cela devait la mettre au chômage et la conduire en enfer mais le lundi suivant, oreille collée à la porte elle écouta la montée du plaisir et attendit l’instant où le point de non retour était atteint, c’est-à-dire lorsqu’il injuriait tout haut la baronne. Elle ouvrit la porte brutalement, se jeta aux pieds du curé et emboucha son sexe juste avant qu’il n’explose. La grosseur du membre avait surpris Marie et n’avait pu enfourner qu’une partie de son gland et la quantité de sperme déversée était si importante que le foutre déborda par la commissure de ses lèvres. Marie déglutit le liquide qui était parvenu au fond de sa gorge et leva les yeux vers le visage du prêtre, elle attendit son verdict qui ne manquerait pas d’arriver suite à son intrusion. A sa grande surprise seul un grand silence s’installa. Marie, toujours à genoux devant le curé, baissa les yeux et son regard se retrouva face au sexe qu’elle venait de gober. Il avait diminué de volume, certes et perdu un peu de sa rigidité mais il restait néanmoins imposant. Voyant que le curé restait immobile et ne disait rien, Marie pris cela comme une approbation et osa saisir le sexe entre le pouce et l’index. Elle avait été mariée et savait comment était faite l’anatomie masculine ainsi que son fonctionnement. Un léger frottement sur le frein du gland suivi d’une caresse à peine appuyée de l’index de l’autre main sur toute la surface encore humide de celui-ci suffit à lui redonner un semblant de vigueur. Il était jeune et la situation nouvelle eut vite fait de remettre le membre en position verticale. Qui ne dit mot consent se dit Marie et elle se mit à le branler toujours entre le pouce et l’index positionnés au même endroit. Levant alors les yeux elle remarqua que le prêtre regardait le plafond. Profitons-en se dit-elle en ouvrant les cuisses, elle passa sa main sous sa robe, écarta la culotte et plongea les doigts dans sa chatte trempée, à la recherche de son clitoris qu’elle trouva facilement tant il était bandé. Elle jouit très vite en étouffant ses gémissements. Elle aurait aimé recommencer pour savourer son orgasme plus sereinement mais les borborygmes du curé l’en empêchèrent, devinant que lui aussi était au bord de l’éjaculation, elle le repris en bouche plus calmement que la première fois. Saisissant la peau du sexe entre ses lèvres, en les serrant fortement et les faisant aller et venir régulièrement sur le gland, notre curé ne put que laisser ses couilles se vider.Marie se releva, quitta rapidement la pièce et alla se réfugier dans la cuisine, la seule pièce du presbytère où elle était chez elle. Tout en essayant de préparer maladroitement le repas, ses pensées restaient occupées par la masturbation et fellation qu’elle venait de faire sur monsieur le curé. Pourquoi a-t-il fallu que le repas du jour fut à base de carottes ? Une invitation divine peut-être ? Lorsqu’elle l’éplucha ce fut inéluctable, son désir de jouir revint. Elle fit demi-tour, retroussa sa robe, descendit sa culotte aux chevilles et en écartant les genoux, elle posa ses fesses sur le bord de la table. Avec deux doigts de la main gauche elle écarta ses petites lèvres gonflées par l’excitation et sa main droite passa la carotte de haut en bas et de bas en haut, du clito gros et rouge comme une cerise jusqu’à l’entrée du vagin. Sa mouille coulait le long de ses cuisses et quand elle décida de se pénétrer, la carotte à moitié enfoncée, la porte de la cuisine s’ouvrit et le prêtre apparut, resta figé devant ce spectacle.Marie poussa un « oh » de surprise mais garda sa carotte plantée dans le vagin puis analysant la situation, joua le tout pour le tout en continuant sa masturbation sous le regard ahuri du curé, regard qui accéléra la montée de son plaisir et Marie arriva rapidement à sa conclusion. Match nul se dit Marie, une branlette à une, bien que la sienne n’avait reçu aucune aide extérieure à l’instar de celle du curé.— Marie, dit le prêtre, je crois qu’il est temps de s’expliquer.Pendant une bonne heure, le curé et sa servante discutèrent. Chacun expliquant les raisons qui les avaient amenés à cette situation. En conclusion chacun a reconnu qu’ils se branlaient mais que ce qu’ils venaient de vivre avait une saveur particulière. Le prêtre avoua n’avoir aucune compétence en l’anatomie de la femme ni de sa sexualité. Marie, sourire aux lèvres, ravie de la tournure que prenaient les événements, lui dit qu’elle pouvait y remédier. Marie s’acquitta parfaitement de sa tache d’enseignante, d’autant plus que pour étayer la théorie elle y adjoignit les cours pratiques. Quand, de ses doigts, elle vint explorer sa chatte, lui désignant les diverses parties de son sexe, surtout celles qui procuraient, chez elle, le plus de plaisir, s’attardant sur le liquide tapissant les parois de des petites lèvres et du vagin, sur le rôle prépondérant du clitoris lequel sous le regard intéressé de l’abbé et sous les attouchements qu’elle se faisait, avait pris ses dimensions plus que respectables. Lorsqu’elle demanda au curé de venir le titiller, elle partit instantanément dans une intense jouissance trop longtemps contenue.La matinée s’achevait mais Marie fut obligée, après sa leçon d’anatomie, d’aider le curé à extraire son membre du pantalon. La queue apparue dans toute sa splendeur mais cette fois Marie se contenta de sa main pour l’amener à éjaculation ayant eut soin de se munir d’un torchon pour éviter les éclaboussures.Marie s’aperçut bien vite que le lundi n’était pas le seul jour qui pouvait être réservé à la masturbation. Monsieur le curé avait un solide appétit ce qui n’était pas pour lui déplaire, elle avait, elle aussi, de nombreux orgasmes de retard et qu’elle mettrait tout en œuvre pour les rattraper. Pour l’instant ses jouissances venaient principalement de sa propre main pendant qu’elle branlait ou suçait la bite du curé. De rares fois elle eut droit à l’index ou le majeur de l’abbé et bien qu’il manquât de technique, une main étrangère apporte un petit plus. Mais Marie ne se décourageait pas et entendait bien l’amener à pratiquer le cunnilingus et pourquoi pas à ce qu’il la baise.
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