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Chroniques villageoise

Chapitre 3

Divers
3 - histoire de Marie la servante du curé et de sa fille
Mais revenons à la veille de ce lundi où le prêtre sortant du confessionnal, le sexe bandé, appelait désespérément Marie qui pour une fois était absente et qui l’obligea à se calmer seul.Nous étions donc dimanche, jour de repos pour Marie. Dans son lit elle aime paresser, elle n’est pas pressée de se lever. Tout est calme, sa fille aussi fait la grasse matinée. Elle à 20 ans sa petite Justine et travaille durement pour obtenir son diplôme d’infirmière. Elle fait beaucoup de stages pratiques en hôpital, de jour comme de nuit, de ce fait elles ne passent pas souvent de temps ensemble. Les week-ends sont pratiquement les seuls jours où elles se voient. A cause des horaires décalés et du travail harassant de sa fille, Marie se fait du souci pour elle quant à sa vie en dehors de ses études et qui ne semble pas vivre dans l’insouciance des filles de son âge. Surtout qu’en plus de ses études, depuis un an et plusieurs heures par semaine pour se faire un peu d’argent de poche, elle se rend au château pour s’occuper de la vieille mère de la baronne. Moi, se disait Marie, à son âge, j’allais bientôt me marier. Bien entendu elle connaissait, depuis plusieurs années, la jouissance qu’elle se procurait régulièrement mais elle préférait nettement la main de ses nombreux « fiancés » dont elle acceptait l’intrusion dans sa culotte ainsi que leurs doigts dans son minou ce qui l’amenait à l’orgasme. Bien-sur elle n’était pas égoïste et savait, elle aussi, leur rendre les plaisirs qu’elle avait reçu. Par contre elle était restée vierge jusqu’au mariage – Au fait Justine l’est-elle encore vierge? Marie regarda le réveil. Dix heures déjà, elle se leva. Depuis qu’elle vit son histoire avec le curé, elle dormait nue et quand elle quitta son lit, la glace de l’armoire lui renvoya son image. Elle aimait prendre quelques minutes pour se contempler, soupeser ses seins qui, du fait de leur grosseur, avaient tendance à s’affaisser, elle saisit les longs tétons, les pinça et les étira. Un agréable frisson la parcourut. Arrête Marie se dit-elle, ce n’est guère le moment, ta fille attend son café. Mais ce fut plus fort qu’elle et ne put s’empêcher de porter sa main sur sa chatte qui, à cause de des caresses esquissées sur sa poitrine, affichait une certaine moiteur. Non, se dit-elle encore, ce n’est pas raisonnable mais sa main n’arrêta pas ses caresses. C’était trop tard, la machine était en route. Tant pis, allons-y, après tout rien de tel qu’un bon orgasme pour commencer une bonne journée. Marie se fit jouir, enfila sa robe de chambre et se rendit dans la cuisine. Tandis que le café se faisait, Marie laissa ses pensées vagabonder et, bien-sur, c’est vers le presbytère qu’elles se dirigeaient. Elle était devenue accroc au sexe de son curé qu’elle aimait branler, sucer, faire juter. Qu’importe si lui ne s’occupait que très peu d’elle, elle s’en chargeait et ses masturbations suffisaient à la rendre pleinement heureuse.Sa robe de chambre mal fermée s’était ouverte et toujours occupée par ses pensées salaces elle mit un certain temps avant d’apercevoir Justine, en tee-shirt qui lui arrivait à mi-cuisses, debout sur le seuil de la cuisine et qui devait avoir une vue imprenable sur sa nudité, notamment sur son sexe nettement visible entre ses cuisses grandes ouvertes. D’un geste rapide Marie se recouvrit.— Tu as un très beau corps maman tu sais, c’est dommage de le cacher dit-elle avec un énorme sourire. Nous sommes entre femmes après tout.— Peut-être rétorqua Marie en prenant un air sévère, mais je suis ta mère !— Oui mais femme avant tout n’est-ce-pas ? répondit Justine sur un ton plein de sous- entendu. Ton corps dont les désirs, les envies sont ceux de n’importe quelle femme dont je fais partie et par là même a, elle aussi, ses désirs, ses envies et ses besoins n’est-ce pas?    A cette question ou plutôt affirmation Marie ne savais plus quoi répondre, elle sentait que Justine savait des choses et elle se mit, malgré elle, à rougir.    - Tu dois te douter maman, reprit Justine, qu’à mon âge et avec ma profession je n’ai plus rien d’une oie blanche. Des corps nus d’homme et de femme j’en côtoie chaque jour et que des demandes saugrenues ne manquent pas principalement du côté de la gente masculine, surtout ceux qui sont jeunes et normalement constitués. Tu as compris, je ne vais pas quand même te faire un dessin. Marie se mit à rougir un peu plus.— Oui, répondit-elle alors d’une petite voix mais ce ne sont que des demandes, tu ne… tu ne cèdes quand même pas ?— Pourquoi devrais-je refuser ? La chair est faible et je suis normalement constituée, j’ai des envies et tant pis si je me sers de mon métier ou futur métier pour en assouvir quelques unes. J’ai 20 ans maman.— Excuses-moi Justine mais pour moi tu es toujours ma petite fille et les petites filles sont des êtres asexués. Je m’aperçois aujourd’hui que j’ai quelques années de retard. — Oh ! Tu sais maman, cela se cantonne à des caresses principalement manuelles et généralement à sens unique. Mets-toi à ma place, lorsque, faisant la toilette d’un beau jeune homme victime d’un accident, le plus souvent victime d’une fracture avec une jambe ou un bras dans le plâtre et que je découvre chez lui une belle érection qu’il ne peut réprimer, qu’il essaie tant bien que mal de dissimuler et bien je suis tentée tu comprends. Alors, feignant ignorer son état, les passages du gant de toilette sur ses parties génitales se font plus précises et je devine très vite si ma caresse est acceptée. Tu dois te douter que le résultat ne se fait pas attendre et si cela dure un peu j’utilise la méthode buccale pour accélérer l’éjaculation. Si, pendant que j’officie je sens une main qui cherche à me tripoter alors je permets au patient, après qu’il eut pris son plaisir, de me rendre la pareille. Souvent il n’ose pas alors … Marie était toute ébaubie par les révélations de sa fille mais, à son corps défendant, elle réagissait au film qu’elle se faisait du récit de Justine. Elle mouillait.— Alors… demanda-elle, incitant Justine à continuer quoique devinant sa réponse ?— Alors, continua Justine, aussitôt terminé je cours m’enfermer dans les toilettes et je me soulage. Excuses-moi maman de ne pas avoir employé le mot plus approprié.A cet aveu, Marie mouilla un peu plus. Elle voulut prendre la parole mais sa fille ne lui en laissa pas le temps et repris son récit, apparemment satisfaite de pouvoir parler de choses intimes avec sa mère ce qui scellerait, entre elles, une tendre complicité.    - Je me doute que tu devais te poser des questions sur ma vie intime c’est ce que j’aurai fait à ta place, alors maintenant tu le sais. Es-tu rassurée que ta fille chérie ne vive pas en nonne et puisse avoir des besoins sexuels ? Quoi de plus normal quand on est la fille d’une mère qui a les mêmes besoins. Ne le nie pas, pas plus tard que ce matin et ce n’est pas la première fois, passant devant ta chambre en allant aux toilettes, j’ai entendu tes gémissements qui étaient forts explicites. Je sais, en principe les enfants ne peuvent pas admettre que leurs parents puissent avoir une activité sexuelle, mais moi je le conçois très bien. Pour toi comme pour moi se donner du plaisir en solitaire est une solution qui nous aide à supporter notre célibat. Il n’y a pas de mal à se faire du bien alors, faisons-le sans honte ni culpabilité.  - C’est le jour des révélations. J’apprends que ma fille a des activités sexuelles dont quelques-unes ne me seraient pas venues à l’esprit mais heureusement j’ai l’esprit large et en même temps, elle me fait savoir qu’elle est au courant de mes propres activités intimes. Bien que tu me dises qu’il ne faut pas avoir honte, tu admettras que cette conversation puisse me mettre mal à l’aise. Bon, Justine savait que sa mère se masturbait mais heureusement, se disait Marie, elle ignore encore sa relation avec son curé. Devant cette nouvelle liberté de parole Marie, se sentant plus à l’aise, demanda à sa fille :— Au début de ton récit tu parlais d’hommes et de femmes, t’ai-t-il déjà arrivé quelque aventure avec la gente féminine ?— Oui, bien-sur, peut-être auraient-elles préféré un homme, à moins qu’elles ne soient lesbiennes mais les infirmiers sont très peu nombreux alors, quand chez elles, le désir devient trop pressant, elles ne dédaignent pas les doigts ou la langue d’une femme et crois-moi je me débrouille très bien. Qui connaît mieux les désirs d’une femme qu’une autre femme.— Et toi tu acceptes aussi leurs caresses?— Oui et j’avoue qu’elles m’amènent à l’orgasme plus rapidement qu’un homme.— Pourtant tu n’es pas homosexuelle ?— Non mais…Faute de grives on mange des merles.Marie mouilla de plus belle. Et pour cause, elle se souvient qu’à l’adolescence, à l’âge où l’on se pose plein de questions sur la sexualité et que l’on n’ose pas interroger les adultes, où les seules personnes capables de nous renseigner sont vos camarades, celles un peu plus âgées, qui ont un peu plus de connaissances sur le sujet et qu’une fois qu’elles ont comblé vos lacunes votre seule priorité est de mettre en pratique les renseignements acquis d’abord en solo puis avec votre meilleure copine. Pour Marie ce fut le cas avec Monique. Ensemble elles ont connu le grand frisson en se masturbant, d’abord chacun pour soi, face à face puis mutuellement avec les doigts et ensuite avec la bouche. A cet instant, Justine, avant de reprendre la parole, passa sa langue sur ses lèvres et ce simple geste déclencha un mini orgasme chez Marie. Ses jambes furent agitées d’un tremblement que Marie n’arrivait pas à maîtriser.— Maman, cria Justine, que t’arrive-t-il. S’il s’agissait de quelqu’un d’autre je dirais que cela ressemble fortement à un orgasme. Mais…Mais tu rougis ! Je ne me trompe pas alors.— Non, si, peut-être, je ne sais pas moi-même. Oh ! ma Justine chérie, j’ai honte. Que veux-tu, depuis une heure nous parlons de caresses, de masturbation, de jouissances. Je ne suis pas de bois.— Non maman, tu es faite de chair et de sang. Telle mère, telle fille, d’après toi, dans quel état suis-je ? Crois-tu que je ne ressente pas les mêmes effets. Sais-tu que j’ai une furieuse envie de me faire jouir.En parlant Justine avait saisi son tee-shirt au niveau de la taille et le chiffonnait entre ses doigts ce qui eut pour effet de le faire remonter au dessus du pubis. Marie découvrit la chatte de sa fille complètement imberbe comme elle l’avait connue à sa naissance et qu’elle avait nombre de fois lavée, séchée, enduit de crème adoucissante, sauf qu’aujourd’hui de la fente du petit abricot des petites lèvres et un clito, gonflées par l’excitation, étaient bien visibles.Marie fixa la chatte et resta bouche bée ce qui encouragea Justine qui, prenant cette attitude comme un assentiment, porta la main sur son sexe. Justine se branla. Seul un bruit de clapotis venait troubler le silence quasi religieux qui régnait dans la pièce. Marie remarqua que la manière dont sa fille s’y prenait ressemblait en tout point à la sienne. L’hérédité sans doute se dit-elle. Elle effectuait plusieurs va et vient entre les petites lèvres, se dirigeait ensuite vers le clito, repartait chercher de la mouille et revenait vers le bouton gonflé de désir. Justine se fit jouir. A partir de ce moment, Marie, fut certaine qu’un lien dépassant l’amour maternel allait les unir et pour en donner la preuve elle se masturba devant sa fille, déclenchant un de ses plus intenses orgasmes.Elles prirent leur petit déjeuner en devisant comme deux copines, firent leur toilette ensemble dans la douche en chahutant comme des adolescentes qu’elles semblaient être redevenues. Justine, avec ses économies, offrit le restaurant à sa mère et rentrèrent chez eux deux heures plus tard, un peu pompette et riant comme des folles. L’après-midi était déjà bien avancé, elles s’écroulèrent chacune dans un fauteuil, repues tant par le plantureux repas que par les orgasmes qui l’avait précédé. Elles ne se réveillèrent que tard en soirée. Marie emmena sa fille vers sa chambre en la soutenant par la taille, l’aida à se dévêtir et la coucha. Puis dans sa propre chambre elle se déshabilla, fit un brin de toilette et revint dans la chambre de sa fille, lui bisouta les lèvres et alors qu’elle faisait demi-tour pour rejoindre son lit, une main la saisit au poignet et la fit chuter sur le lit. Mère et fille s’enlacèrent et passèrent une grande partie de la nuit à s’aimer. Le soleil était déjà haut quand elles ouvrirent les yeux, elles se sourirent, aucune ne voulait se lever. Elles étaient nues, les draps chiffonnés sentaient l’amour, elles avaient récupérées des forces et le désir était de nouveau présent. Au diable le curé, au diable les cours, il n’y avait plus que deux femmes avides de jouir et c’est en 69 qu’elles atteignirent le nirvana avant de replonger dans un sommeil réparateur. Le reste de la journée fut réservé aux repas succincts et courtes siestes, courtes parce qu’elles étaient, le plus souvent, entrecoupées de caresses, de baisers et d’orgasmes mais la fatigue finit quand même par les rattraper et, tard dans la nuit, elles sombrèrent dans un profond sommeil.
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