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Chroniques villageoise

Chapitre 7

Divers
7 – Berthe
    Parmi tous les personnages de cette chronique villageoise n’oublions pas la pauvre Berthe, cette brave domestique, victime de la sexualité débridée de ses patronnes.    Elle était chaque jour obligée de côtoyer les baronnes mais depuis qu’elles avaient vécu l’orgie du presbytère, elles la faisaient venir sous n’importe quel prétexte, même futile pendant qu’elles se gouinaient. Elle devait subir leurs quolibets qui lui rappelaient sa modeste condition et sa vie sans sexe.
    Il est vrai que depuis que les baronnes avaient noué une relation incestueuse, Blanche avait arrêté de lui imposer ses cunnilingus et elle avait maintenant l’impression de n’être plus rien aux yeux de celle qu’elle avait pratiquement élevée et cela l’attristait énormément.
    Aussi le jour où Blanche aidée de Jeanne l’obligèrent à se déshabiller, elle s’exécuta sans rechigner. De toute façon sa condition de domestique la rendait trop faible pour refuser, trop vieille aussi, sans famille, sans savoir où aller si elle quittait le château, alors elle se plia aux exigences de ses patronnes. Une fois nue elle eut honte de son corps.
    Petite, boulotte avec de gros seins qui tombaient sur un ventre rebondi couvert de poils jusqu’au nombril et de grosses fesses, elle n’avait rien pour inspirer le désir. Elle eut plus honte encore quand on lui fit écarter les jambes. Malgré son épaisse toison on pouvait distinguer des petites lèvres hypertrophiées.
    Avec un tel sexe Berthe ne pouvait pas être la femme asexuée qu’elle voulait faire croire surtout que, sous les attouchements des deux femmes qui la tripotaient, le clitoris sortit de son capuchon et n’arrêtait pas de grossir jusqu’à prendre des dimensions hors du commun sous les yeux médusés de Jeanne et de Blanche qui chacune leur tour, s’amusèrent à titiller. Deux minutes suffirent pour que le corps de Berthe soit secoué par un orgasme qui de prolongea plusieurs autres minutes, une coulée abondante de sa mouille ruisselait sur ses cuisses.

Malgré cet orgasme le clitoris avait gardé toute sa superbe et Blanche ne pu s’empêcher de le comparer à celui de sa mère aussi eut-elle envie de l’enserrer entre ses lèvres. Elle poussa Berthe vers le fauteuil, lui fit passer les jambes sur les accoudoirs et, à genoux commença son cunni. La domestique entra en transe, poussant des cris en pinçant ses gros tétons. La jouissance arriva tout aussi vite que la précédente mais Blanche continua à la lécher et Berthe repartit aussitôt vers un troisième orgasme qui la secoua si fort qu’elle perdit connaissance.
    La voyant inconsciente, les Baronnes eurent peur que, étant donné son âge, ces jouissances à répétition n’affectent sa santé mais furent rassurées lorsqu’elles la virent revenir à elle. Soulagées elles la pressèrent de questions. Encore essoufflée, Berthe finit par avouer que, durant toutes ces années passées à leur service, elle n’avait jamais voulu leur montrer quelle était sa véritable nature, que son apparente passivité n’était qu’une façade.
    Elle avoua que pour elle, tout avait commencé lorsqu’elle fut témoin des activités sexuelles précoces de Blanche, de ses premières masturbations, de ses relations particulières avec ses cousines, (Elle omit de parler de la liaison de Blanche et Constance sachant que cette dernière fut le grand amour de Jeanne).
    Sa fonction de domestique lui interdisait de participer mais l’excitation qu’elle ressentait se traduisit par un besoin irrépressible de se branler, ce qu’elle finit par faire plusieurs fois par jour. Quand, bien plus tard, Blanche lui avait imposé ses cunnilingus, et bien qu’elle se proposa à lui rendre la pareille, son corps qui n’avait rien pour inspirer le désir, fit qu’elle refusa l’offre et continua de se contenter des ses masturbations. Elle se réfugia donc dans les plaisirs solitaires qui lui permirent, avec l’amour qu’elle portait à Blanche, de ne pas fuir le château ou de se suicider. Berthe termina sa confession par ces mots :
    - Je me rends compte maintenant, que durant toutes ces années je me suis obligé à négliger mon apparence physique pour paraître transparente à vos yeux. Que d’efforts il m’a fallu pour dissimuler mon excitation lorsque je léchais Mademoiselle Blanche ou quand je devais rester spectatrice des masturbations de Madame Jeanne et ces derniers jours quand je me suis senti complètement évincé en vous voyant si proche l’une de l’autre. Aujourd’hui J’ai bien conscience vous vous êtes servi de moi comme d’un nouveau jouet, pour m’humilier.
    Maintenant, ajouta Berthe, vous savez que suis une femme qui peut et qui aime jouir, vous devriez comprendre quel supplice fut pour moi de vivre perpétuellement dans une atmosphère où le sexe était continuellement présent, où je devais vous servir tandis que vous aviez ou donniez du plaisir. Avez-vous remarqué la rapidité avec laquelle j’ai eu un orgasme lorsque vous m’avez caressé, que jamais je n’ai joui aussi fort de toute mon existence et qu’après avoir connu ce plaisir sous des doigts autres que les miens, je devrais continuer à me satisfaire seule sachant que vous êtes là, si proche.

    Les Baronnes se regardèrent et après un hochement de tête Blanche prit la parole.    - Ma très chère Berthe, c’est bien mal nous connaître que de penser ça de nous. Certes nous n’avons pas toujours été gentilles avec toi. Certes ton corps n’est plus celui de la jeune fille que tu as été mais, et nous venons d’en avoir la preuve, il est encore prompt à réagir aux caresses. Dorénavant, en accord avec ma mère qui hoche la tête en signe d’approbation, rien ne s’oppose à ce que tu participes à nos ébats, n’est-ce pas maman ? Maman ! Arrêtes veux-tu de te tripoter la moule. Je sais tu vas me dire que l’on devrait commencer tout de suite, qu’en penses-tu Berthe ?
    - Justement ajouta Berthe d’une petite voix, j’avais la même idée en voyant la baronne se tripoter. En voyant Madame Jeanne se caresser le bouton, je me dis que je pourrais le faire il est tellement semblable au mien et vous, Mademoiselle Blanche, vous connaissez ma langue mais pas mes doigts. Ce sera comme une sorte d’examen de passage.
    La suite est facile à deviner, Berthe fut rapidement acceptée. Elle faisait preuve d’une dextérité diabolique dans l’art de masturber. Cependant, bien que ses orgasmes la comblaient, elle ne connaissait que des jouissances clitoridiennes. Elle n’avait jamais eu besoin de pénétration pour jouir mais au contact de ses patronnes, surtout de Blanche qui vantait les assauts du curé, la grosseur de sa bite, elle émit l’idée qu’à son âge il serait temps de perdre sa virginité. Jeanne lui proposa de se servir de ses godes mais Berthe voulait, au moins une fois dans sa vie toucher la queue d’un homme.
8 – Hervé et ses enfants
    Le désir de Berthe de se faire déflorer posait problème car Blanche n’avait que le curé à proposer et ce dernier était fort occupé. Elle réfléchit quelques jours et trouva une solution en la personne de son frère Hervé qui, veuf depuis peu, désirait venir avec ses enfants se ressourcer au château familial. Elle lui téléphona et sa visite fut programmée au début du mois suivant, dans une quinzaine donc.    Pour Blanche entendre la voix de son frère lui rappela qu’elle avait eu avec lui une tendre complicité, qu’il avait été le premier homme qu’elle ait vu bander et se branler. Il avait maintenant 50 ans et elle se demanda s’il était toujours aussi porté sur le sexe. Et ses enfants Estelle et Denis, qu’elle n’avait pas vus depuis 10 ans? Des jumeaux, fille et garçon, qui venaient d’avoir 21 ans. Avaient-ils hérité de la beauté de leurs parents et de leur tempérament ?
    - Bien, pour ne pas choquer mon neveu et ma nièce, je vous demande de vous tenir correctement ou plutôt de vous retenir. Cette situation ne durera pas, n’oubliez pas que nous devons amener Hervé à baiser Berthe, donc il faudra à un certain moment, que nous payons de notre personne pour lui en donner envie.
    Durant les deux semaines précédant la venue du frangin et de ses enfants, Blanche, Jeanne et Berthe profitèrent pleinement de ces quelques jours pour peaufiner le scénario qu’elles comptaient utiliser.
    Enfin ils étaient là. Hervé avait pris quelques rides mais son corps restait celui d’un sportif et Blanche le regardant s’avancer elle ne put s’empêcher de le regarder au niveau de la braguette pour vérifier que la bosse qui se dessinait avait toujours le même volume que celui qu’elle avait gardé en mémoire. Examen réussi.
    A ses côtés, ses enfants, un magnifique jeune homme portrait du père accompagné par une délicieuse jeune fille aussi belle que l’était sa mère Catherine de Valmont.
    Estelle était grande, svelte avec une poitrine proéminente qui ne semblait pas en rapport avec sa minceur pourtant, malgré l’absence de soutien-gorge que l’on devinait par le dessin que ses tétons faisaient au travers de son corsage, ses seins se tenaient parfaitement. Estelle avait aussi un port altier qui accentuait la cambrure de sa taille et mettait ses fesses en valeur.
    Les enfants qui, visiblement ne l’étaient plus, vinrent embrasser leur tante et grand-mère. Blanche fut un peu surprise car leur baiser s’était appliqué, pour elle comme pour sa mère, à la commissure de leurs lèvres. Elle en fut troublée.
    Après avoir pris ensemble une légère collation, Blanche et Hervé partirent faire une balade dans le parc tandis qu’Estelle et Denis s’occupaient des bagages et en profitèrent pour visiter le château en compagnie de leur grand-mère Jeanne.
    - Alors grand frère comment vas-tu ? demanda Blanche en glissant un bras sous celui d’Hervé. Je me doute que la perte de Catherine fut un véritable drame. Une si belle femme, si jeune encore, presque une sœur pour moi. Je dis presque car ce que nous avons vécu ensemble dans le château était loin de ressembler à de l’amour fraternel. Tu te rappelles Hervé ?
    - Ce dont je me souviens surtout et le plus marqué ce sont nos premières découvertes de la sexualité. Nous étions inexpérimentés, maladroits et pourtant c’est mon meilleur souvenir.
    - Pour moi aussi continua Blanche.
    Le frère et la sœur allèrent s’asseoir sur un banc qu’un bosquet protégeait des regards.
    - Hervé ça me fait tout drôle d’évoquer ces souvenirs, j’ai l’impression de faire un bond de 30 ans en arrière. J’ai des frissons qui me parcourent le corps comme ce jour où je t’ai surpris sous la douche en train de te…de te…
    - De me branler c’est ça, dis-le tu n’as plus 20 ans ! Quoique cette soudaine timidité me touche beaucoup.
    - Tu as raison Hervé, oui tu te branlais ! Après ce jour tu l’as fait si souvent devant moi.
    - C’était bon, je te regardais, toi tu avais la culotte baissée, les doigts dans ta chatte trempée.
    - Oui frérot, c’était bon. Moi je voyais tes va-et-vient sur ta queue, j’attendais de voir ton foutre gicler pour jouir. Oh Hervé depuis que je sais que tu vas venir je ne suis plus la même. Tu ne seras pas non plus étonné si je te dis que je devais me branler. Maintenant tu es à côté de moi avec ta belle queue que je devine bandée, trop à l’étroit dans ton pantalon. Sors-là s’il-te-plaît.
    Hervé s’exécuta sans se faire prier. Il eut des difficultés pour l’extraire tant elle était raide, pendant ce temps Blanche avait ôté sa culotte et posait un pied sur le banc présentant sa chatte au regard de son frère. Comme au bon vieux temps ils se branlèrent et jouirent en même temps. Ils restèrent ainsi, aucun d’entre eux ne s’était rajusté et pour la première fois Blanche osa poser sa main sur la bite d’Hervé qui ramollissait.
    - Elle a dû en connaître des chattes cette chose-là ? Tu as toujours aimé papillonner, heureusement tu avais une épouse qui comprenait tes besoins et n’hésitait pas à payer de sa personne pour les satisfaire. Maintenant que tu es seul comment fais-tu ?
    - Comme toi sûrement sœurette une petite branlette de temps en temps puis il y a… On en parlera plus tard tu veux bien? Toujours pas mariée n’est-ce pas?
    - Pourquoi me marierais-je ? J’ai tout ce qu’il me faut. Non je ne te dirais rien. Tu me fais des cachotteries moi aussi. J’attendrai ton bon vouloir. Il m’arrive de m’octroyer de petits plaisirs mais, une fois par semaine, je m’envoie un beau mâle bien monté bien que j’aime toujours faire l’amour avec une femme.
    - C’est vrai et moi j’ai toujours aimé voir deux femmes se brouter le minou.
    - Si tu es sage peut-être que pendant ton séjour je pourrais t’offrir ce spectacle. Les prétendantes ne manquent pas et parmi lesquelles il y en a que tu…Chut…C’est la surprise…
    - Laquelle ? Dis-moi ?
    - A chacun ses petits secrets. Ce sera donnant-donnant. Viens, rentrons quoique je sens sous ma main une bête qui se réveille.
    - C’est de ta faute ajouta-t-il en rigolant, tu parles de branlette, de broute minou. Je ne suis pas de bois.
    - Je veux bien le croire, continua Blanche en riant elle aussi, bien que le bois semble être la matière dont tu es fabriqué quand on voit la rigidité de ta bitePour la première fois Blanche la saisit en pleine main et la branla. Elle savait reconnaître aux grognements d’Hervé le moment où il allait éjaculer. Quand elle sentit que c’était le moment elle se pencha et l’emboucha, reçut les giclées de foutre qu’elle s’empressa d’avaler. Son frère remit de ses émotions voulut rendre la pareille à sa sœur en passant un doigt sur le clitoris. Bien que son bouton semblait, par sa grosseur, apprécier la caresse, Blanche repoussa la main et se reculotta.
    - Je dois conserver des forces dit-elle.
    - Je ne te pose pas la question « pourquoi » je sais que tu ne me répondras pas. Par contre pourrais-tu me dire pourquoi avoir attendu tout ce temps avant d’oser me prendre la bite dans la main puis dans la bouche?
    Au château Jeanne et ses petits-enfants devisaient. Blanche remarqua qu’Estelle regardait son père d’abord dans les yeux puis au niveau de la braguette et sourit. Blanche discrètement regarda au même endroit et vit une tache humide sur le pantalon.
    Quand elle vit Hervé regarder sa fille en souriant à son tour, Blanche sut qu’entre père et fille il y avait plus que de l’amour filial. Cette découverte, en souhaitant qu’elle soit exacte, pouvait expliquer la réticence qu’avait eu Hervé à en parler mais, si cela s’avérait, ouvrait toute grande la porte au scénario qui avait était mis au point.
    Quelques minutes plus tard Estelle se leva et demanda à son frère de la rejoindre dans sa chambre avec sa valise. Blanche soupçonna qu’Estelle voulait s‘isoler avec son frère pour lui faire part de la conduite de leur père. Elle n’était pas surprise de la complicité que pouvait entretenir deux jumeaux et que cela pouvait dépasser le stade des amours fraternelles et platoniques. Elle trouva une vague excuse pour quitter la pièce, laissant en tête-à-tête sa mère et son frère.
    Arrivée devant la chambre de sa nièce, Blanche colla son oreille à la porte. Les voix étaient étouffées mais suffisamment distinctes pour en comprendre le sens.
    - Je te dis qu’ils ont fait des choses disait Estelle. Tu te rappelles Papa nous parlait souvent des relations avec sa sœur quand il nous a surpris alors que l’on se masturbait l’un devant l’autre. Il nous disait que c’était dans la nature des choses qu’il était normal que la découverte du plaisir des sens se fasse avec les personnes que l’on côtoie et souvent au sein de la famille.
    - Et quand bien même il a fait ce que tu soupçonnes, il est majeur. A moins que tu ne sois jalouse, oui c’est ça, tu es jalouse. Même si tu as remplacé maman en t’occupant de papa dans ses moments de déprime en lui faisant une branlette de temps en temps, il ne t’appartient pas.
    - Arrêtons de nous disputer. Je pourrais aussi te faire remarquer que je n’ai fait cela avec papa que lorsque maman fut décédé par contre elle était encore en vie quand toi tu as commencé à lui lécher la chatte.
    - C’est à sa demande, elle se plaignait que papa la délaissait. Mais toi aussi tu l’as fait. Maman disait même que tu étais plus douée que moi.
    Derrière la porte Blanche était sidérée par ce flot d’information qu’elle venait d’entendre en si peu de temps. Elle se dit que faire baiser Berthe par Hervé allait être un jeu d’enfant et en parlant de jeu d’enfant, Estelle et Denis pourrait aussi avoir une participation active. Elle s’imagina jambes écartées avec entre elles la tête de sa nièce lui faisant minette. Cette pensée plus l’excitation qui la tenaillée depuis son retour du parc, la faisaient mouiller. Elle était sur le point de s’éloigner pour aller se soulager d’urgence quand elle entendit :
    - Ce n’est pas tout ajouta Estelle, mais parler de masturbation et de cunnilingus m’ont mis en appétit. Toi aussi mon Denis tu bandes comme un taureau, sais-tu que ta bite est presqu’aussi grosse que celle de papa. En parlant des minettes que je faisais sur maman, jamais elle ne m’en a fait et toi elle te suçait?
    - Non c’est vrai. Une vraie égoïste par contre j’avais l’autorisation de me branler devant elle dès qu’elle avait joui.
    - Pareil pour moi répondit Estelle. C’est bizarre que nous n’ayons jamais essayé de le faire entre nous.
    - Parce que nos branlettes suffisent. Alors qui commence toi ou moi.
    - Moi, lança Estelle, aujourd’hui nous allons faire comme si Blanche était avec nous. Elle me lècherait le clito et te sucerait la bite.
    Blanche n’attendit pas que les jumeaux jouissent et courut vers sa chambre elle en ressortit apaisée quelques minutes après.
    Au diner l’atmosphère était détendue. Seules Jeanne et Berthe, qu’on apercevait de temps en temps, n’avaient guère le sourire. A leur décharge c’était les seules à n’avoir pas joui de la journée et comme des droguées, elles se trouvaient en manque.
    Mais elle rattrapèrent leur retard quand, plus tard, Blanche les mit au courant des mœurs de la famille d’Hervé. Les chattes se mouillèrent, les doigts et les langues entrèrent en action. Au petit déjeuner les trois femmes avaient du mal à dissimuler les cernes qui ornaient leurs yeux. Malgré l’agitation de leur nuit elles avaient quand même eu le temps de décider des premières manœuvres d’approche.
    Sur les conseils de Blanche, Jeanne entraîna son fils dans le parc vers le banc où ils avaient retrouvé leurs souvenirs de jeunesse ce qui le mettrait, pensa-t-elle, dans de bonnes dispositions pour entendre ce que sa mère s’apprêtait à lui confier.
    De son côté Blanche devait se charger d’amener les enfants à participer et après avoir entendu leur conversation de la veille, ne se faisait pas trop de soucis quant au résultat.
Il était dix heures du matin quand les jumeaux descendirent prendre leur petit déjeuner. Pendant qu’ils buvaient leur café, Blanche leur demanda si leurs études de déroulaient sans problème et comme celles d’Estelle étaient orientées vers les arts elle lui proposa de venir contempler sa collection d’estampes japonaises.    - Elles sont un peu coquines dit-elle mais vous êtes en âge de les admirer d’un œil purement artistique cela va sans dire. Denis, tu peux nous accompagner si tu veux.
    Blanche entraîna les jumeaux vers le bureau qui ne servait plus à personne et qui contenait plein de livres anciens et toutes les archives relatives à la famille de Merteuil. Tous trois feuilletèrent les premières pages où l’on voyait des couples faisant l’amour dans diverses positions avec leurs sexes très présents. Denis et sa sœur faisaient des commentaires sur la beauté des dessins mais des mouvements de jambes trahissaient leur excitation.
    Sous le prétexte d’un travail urgent Blanche les laissa et s’éloigna en faisant claquer ses talons sur le parquet du couloir mais revint très vite vers le bureau en ayant pris soin d’enlever ses chaussures trop bruyantes. Par la porte, qu’elle avait laissée ouverte de quelques millimètres, elle voyait les jeunes gens de dos. Blanche n’eut pas longtemps à attendre pour voir Estelle relever sa robe, baisser sa culotte et voir sa main s’aventurer vers son entrejambe.
    - Arrêtes dit son frère, Blanche pourrait revenir!
    - On l’entendra le bruit de ses pas répondit-elle. Il faut que je le fasse j’en ai trop envie, tous ces dessins m’excitent.
    - Moi aussi je voudrais bien me soulager mais je ne peux pas le faire aussi discrètement que toi.
    - C’est vrai ta braguette va exploser. Prépare un mouchoir et il ne te faudra quand même deux heures pour ranger ta queue si elle revient.
    - Tu as raison Estelle dit-il en sortant sa bite bien raide. Je ne vais pas mettre longtemps pour éjaculer j’ai les couilles pleines. Je t’avais attendu cette nuit pour les vider, pourquoi n’es-tu pas venue.
    - Avec le voyage et le petit acompte que nous avions pris j’étais exténuée répondit-elle. Bon sang que c’est bon de se branler ajouta-t-elle en regardant son frère s’astiquer et elle-même s’activant sur son clito.
    Blanche ne voyait pas la bite de Denis. Seul le mouvement de son bras était visible. Denis avait raison il gicla rapidement. Pendant qu’il s’essuyait Estelle avait coincé sa jupe à la taille et baissé sa culotte. Comme pour son frère, Blanche ne vit que le mouvement de la main d’Estelle fourrageant entre ses cuisses. Blanche attendit les prémices de la jouissance de sa nièce, remit ses chaussures et poussa la porte juste au moment où Estelle jouissait. Denis se retourna oubliant que sa queue entourée du mouchoir et qui commençait à ramollir, était toujours hors de son pantalon.
    Estelle, quant à elle, n’aurait stoppé sa jouissance pour rien au monde et quand elle décida de se retourner, elle ne pensa même pas à remonter sa culotte ni à baisser sa robe sa main toujours entre ses cuisses elle balbutia :
    - Ma… ma… ma tante, je…nous…
    - Ne vous excusez pas mes enfants. Surtout ne changeaient rien, je vous adore. Vous me rappelez ma jeunesse avec votre père. J’ai adoré t’entendre jouir Estelle. Quand à toi Denis je n’ai rien vu mais ce n’est que partie remise. Et si nous continuions à regarder ces estampes ensemble. Vous savez je suis votre tante mais une femme aussi. Vous n’avez rien contre les vieilles qui aiment se branler j’espère? J’ai un orgasme de retard sur vous, laissez-moi le combler.
    Blanche se troussa. Elle n’avait pas mis de culotte. Elle écarta les jambes, sépara les petites lèvres de son sexe trempé et fit saillir son clito sous les yeux écarquillés de ses neveux.
    - Et puis non reprit-elle, il y a mieux à faire que regarder des dessins, faites-moi voir vos jeunes anatomies.
     Tu vois Denis dit Estelle, j’avais raison notre tante et papa ont fait comme nous. Comment as-tu su que Denis et moi nous nous…
    - Branlions continua Blanche. Votre père ne peut rien me cacher mentit-elle. Je sais aussi que vous avez brouté votre mère et toi Estelle que tu branles ton père de temps en temps.
    - C’est sous la torture que tu l’as fait parler demanda Estelle?
    - Non, une petite pipe a suffit et pour vous montrer que pour nous, les Merteuil, nous avons le culte de la famille, il m’arrive de me gouiner avec votre grand-mère. Et bien mon petit Denis je vois que la forme revient. C’est l’image de ta tante léchant la chatte de ta grand-mère qui te met dans cet état? Elle est belle ta bite, tu n’as rien à envier à celle de ton père.
    - Approches Denis, plus près.
    Blanche saisit la queue de Denis et en quatre ou cinq va-et-vient redonna pleine vigueur à son neveu. Elle plaça sa bite à l’entrée de son vagin et frotta le gland de haut en bas entre ses petites lèvres et s’en servit comme d’un gros doigt, poussant un cri de satisfaction à chaque passage sur le clitoris.
    Estelle collée à son dos avait passé la main entre le corps de sa tante et celui de son frère, son index suivait le même parcours que le gland, s’emparant du clito dès qu’il devenait disponible. Estelle savait très bien y faire et avant même que la bite de son neveu ne la pénètre, Blanche eu un orgasme fulgurant. Denis en profita pour s’enfoncer en elle, la queue bien au chaud dans le conduit parfaitement huilé qui continuait à de se contracter des suites de son orgasme. Il se mit à la pilonnait d’un mouvement régulier. Sa précédente éjaculation lui permettait de tenir la cadence et entretenait l’excitation de Blanche qui sentait la jouissance arriver à grands pas surtout qu’Estelle continuait de lui caresser le clito. Blanche eut deux orgasmes avant que Denis n’éjacula.
    Un léger cri se fit entendre. Blanche pensa qu’Estelle, toujours collée au couple, arrivait elle aussi au plaisir mais non, le cri venait de la porte d’entrée du bureau toujours entrebâillée.
    - Ce n’est rien rassura Blanche en se désolidarisant de l’étreinte de son neveu toujours fiché en elle et en enlevant la main d’Estelle qui continuait à la doigter, ce n’est que Berthe qui vient de jouir.
    - Berthe crièrent les jumeaux ! La domestique!
    - Et oui, c’est surement le château qui veut ça. Il doit y régner une atmosphère propice aux jeux de l’amour et Berthe n’y a pas échappé, vous non plus d’ailleurs. N’est-ce pas Estelle?
    La jeune fille se branlait avec rage, les sens exacerbés par ce qu’elle venait de vivre et un nouveau cri ne tarda pas à envahir la pièce.
    - La prochaine fois, ajouta Blanche s’adressant à sa nièce, j’aimerai que tu me laisses manger ton petit abricot ma chérie.
    Une demi-heure plus tard, Jeanne revint au château avec son fils, bras dessus bras dessous, serrés l’un contre l’autre, les visages souriants. Blanche supposa que tout c’était bien passé et avait hâte d’entendre sa mère le confirmer ce qu’elle fit dès qu’elles se trouvèrent seules dans la cuisine ou se trouvait déjà Berthe.
    - Alors Maman, racontes!
    - Une fois assise sur le banc du parc, je fis asseoir Hervé à mes côtés et lui prenant les mains, avec un air grave, je lui fis un bref récit de ma vie, insistant surtout sur le peu de passion charnelle qui m’unissait à son père que je devais compenser par des plaisirs solitaires. Je lui avouais que j’avais eu une relation homosexuelle passionnée avec une jeune fille suivie d’une grosse déprime à sa disparition puis qu’une sorte de frénésie sexuelle s’empara de moi et m’excusant encore, une frénésie qui se traduisit par des masturbations compulsives devant la photo de mon seul vrai amour.
    - Qu’elle fut la réaction d’Hervé à ce nouvel aveu demanda Blanche?
    - Comme j’avais des sanglots dans la voix, une de ses mains me saisit aux épaules, l’autre se posa sur ma cuisse. Moi, amoureusement, je reposais ma tête sur son épaule. Je continuais mes aveux, mais en lui mentant cette fois. Ta sœur, lui dis-je, a voulu atténuer mon chagrin en me câlinant, en me serrant dans ses bras, pressant son corps contre le mien, me caressant de manière anodine d’abord puis de plus en plus amoureusement. Inconsciemment mon corps devint réceptif et se mit à vibrer et à réclamer des caresses plus précises. Ta sœur le comprit et fit ce que j’attendais. Lorsque sa main se glissa entre mes cuisses j’ai écarté les jambes pour m’offrir toute entière à sa caresse et elle m’emmena au septième ciel.
    - Tu n’as pas honte de mentir maman questionna Blanche? Quelle fut la réaction de mon frère?
    - Il a hoché la tête et son bras m’a enserré plus fort. Ce ne fut pas sa seule réaction car du côté braguette que je surveillais, le volume augmentait. Brusquant les choses je posais ma main sur cette bosse et lui dis qu’il avait été dommage que son père n’ait pas eu les mêmes réactions que lui, que s’il s’était occupé un peu plus de moi je n’aurais surement pas été entraînée vers des amours saphiques.
    - Alors! Qu’a-t-il fait? Il a repoussé ta main?
    - Non au contraire j’ai senti un léger soubresaut dans son pantalon. Je le remerciais de m’avoir écouté puis l’embrassait d’un baiser plus que maternel tout en appuyant un peu plus fortement ma main sur sa braguette. En réaction la main d’Hervé qui se trouvait sur ma cuisse fit remonter ma robe et se posa sur ma chair nue. J’ai frissonné et ne fis rien pour retirer cette main qui continua son ascension et finit par atteindre la culotte qu’il palpa. Il constata un degré d’humidité déjà important, son baiser devint alors plus intense. Mon mari ne m’avait jamais branlé, c’était donc la première main d’homme qui se posait à cet endroit et quand un doigt insidieux se faufila sous ma culotte, qu’il parcourut ma fente et qu’il trouva de suite mon clito dont tu connais la grosseur, il me branla avec dextérité, aussi bien que toi ma fille, ce qui me paraît normal vu que c’est toi qui l’a formé. Lorsque j’eus joui, il sortit sa bite. Je ne savais pas quoi faire avec elle alors j’ai essayé de me souvenir comment vous faisiez cette fameuse après-midi au presbytère où je vous ai vu vous occuper du curé. Je ne sais pas si c’était la bonne façon mais, en tout cas, son sperme m’a rempli la main.
    - Tu aurais dû le prendre dans ta bouche maman, il adore ça!
    - Ce n’est qu’un début ma fille et ça ne m’a pas déplu alors j’ose espérer qu’il y aura une suite, je crois que je vais finir par aimer les bites. Et toi, où en es-tu avec les jumeaux?
Blanche fit un bref résumé.
    Le repas du midi se fit dans la joie. Hervé était assis à côté de sa mère en face de Blanche encadrée par Estelle et Denis. Le vin aidant les mains devenaient baladeuses. Jeanne avait la sienne sur la cuisse de son fils et ne demandait qu’à aller tâter son membre et lui n’attendait que cela.     Blanche voyait le manège de sa mère et sa chatte mouillait non seulement à cause de ce qu’elle supposait se passer sous la table en face d’elle mais aussi à cause de la main de chacun des jumeaux qui avait pris possession de son entrecuisse.     Jeanne avait le feu aux joues et ailleurs aussi. Elle n’y tint plus et commença à descendre la fermeture éclair de la braguette.
    - Elle est toujours aussi raide questionna Jeanne?
    - Non, répondit-il, seulement quand la main de ma mère veut la masturber.
    - Je n’y peux rien mon chéri, depuis que je l’ai eu en main je ne pense plus qu’à ça. J’ai la culotte trempée en permanence.
    - Tu veux que je m’en occupe?
    - Après si tu veux, je préfère me concentrer sur ton plaisir. Regardes Blanche ajouta-t-elle en saisissant la bite de son fils, regardes ses narines pincées continua-t-elle en commençant à la branler, ta sœur est sur le point de jouir sous les caresses conjuguées de tes enfants.
    En effet Hervé remarqua le bras de sa fille et celui de son fils qui bougeaient. Il fit l’étonné bien qu’il connaissait leur appétit sexuel dont il profitait d’ailleurs.    - Tu en es sûre maman?
    - Elle jouit c’est certain. Je la masturbe suffisamment souvent pour reconnaître sa façon de jouir.
    Hervé imagina les mains de ses enfants dans la chatte de sa sœur et, en pensée, celle de sa mère qui branlait sa fille, sa queue se raidit encore plus sous les doigts qui venaient de trouver, sans le savoir, l’endroit de sa bite où les sensations étaient les plus fortes. Il bloqua cette main avec la sienne et orchestra ainsi lui-même, le rythme qui lui convenait le mieux. Sa mère comprit pourquoi il agissait ainsi et l’imprima dans son cerveau pour pouvoir s’en resservir plus tard. En tous cas cette manière de faire fut efficace car l’éjaculation arriva très vite épongée par la serviette de table.
    Jeanne eut soudain l’idée que le moment était venu d’intégrer Berthe à leur jeu. La pauvre qui, tout en faisant le service, voyait très bien ce qui se passait sous la nappe et qui devait bouillir de ne pas en profiter. Aussi, quand Hervé eut éjaculé, Jeanne appela Berthe, lui demanda de prendre la serviette qui avait servi à éponger son sperme et de finir d’essuyer son membre avec une serviette propre.
    Hervé fut étonné d’une telle demande mais fit confiance à sa mère qui paraissait savoir ce qu’elle faisait. Il laissa donc la domestique faire ce dont on l’avait chargé et pendant qu’elle passait la serviette sur sa queue qui diminuait progressivement de volume, il vit la main de sa mère se glisser sous la jupe de Berthe.
    La domestique sursauta en sentant une main entre ses grosses cuisses qu’elle écartait pour permettre à cette main d’atteindre la chatte qui ne présentait aucun obstacle vestimentaire. Berthe creusa un peu plus les reins pour profiter pleinement de la caresse. Pour Jeanne, Blanche et Berthe cela faisait partie du scénario qu’elles avaient concocté.
    - Tu vois Hervé, nous avons à faire à une domestique toute dévouée. Elle accepte de nettoyer ta queue pendant que je masturbe sa chatte de branleuse, parce qu’elle se branle notre Berthe. Par contre, comme moi, c’est la première bite qu’elle touche et qu’elle va sucer. Tu n’es pas contre Hervé, Blanche m’a dit que tu aimais ça.
    - Non cria Berthe, la toucher je veux bien mais la sucer non !
    - Comme tu voudras rétorqua Jeanne en arrêtant de la caresser. Notre promesse de te faire dépuceler devient donc caduque.
    Hervé fut déçu car sous les attouchements de Berthe et le spectacle de la domestique se faisant branler par Jeanne, sa bite reprenait du volume. Il pensa que tout allait prendre fin mais Berthe frustrée par l’abandon des caresses sur sa chatte et contrainte d’arrêter de caresser la queue d’Hervé qui commençait à rebander fit changer la domestique d’avis.
    - Patronne je vous en prie, reprenez vos caresses dit-elle en se penchant pour prendre le sexe d’Hervé dans sa bouche.
    Blanche et les jumeaux avaient quitté leur place et étaient venus assister au spectacle. Blanche s’était dévouée pour conseiller Berthe dans sa fellation qui suivait fidèlement les directives qu’elle lui dictait.
    Tout en parlant Blanche avait sorti la bite de Denis. Estelle contaminée par la frénésie sexuelle qui s’était emparée des convives, pris la main de son frère et la guida jusqu’à sa chatte. C’était la première fois que son frère la touchait.
    Jeanne suivait avec intérêt la fellation de Berthe tout en caressant les couilles d’Hervé. La vieille baronne était aux anges, ce qui se passait autour d’elle la ravissait. Elle eut un regard particulièrement tendre vers ses petits-enfants. D’abord Denis qui possédait une belle bite lui aussi et que sa tante était en train de masturber vigoureusement puis Estelle, magnifique jeune fille qui se caressait la poitrine pendant que son frère la branler. Elle eut une pensée émue pour Justine. Elle l’aimait beaucoup et pensa qu’elle pourrait venir de temps en temps se joindre à eux et pourquoi ne pas inviter Marie et le curé, une bonne bite en plus serait la bienvenue.
    Perdue dans ses pensées Jeanne avait lâché les couilles de son fils et regarda Berthe qui avait arrêté sa fellation car elle venait de jouir sous ses doigts.     Mais Berthe voulait avoir son dû, se faire déflorer et la queue d’Hervé était dans de bonnes dispositions pour y parvenir surtout que sa chatte dégoulinait de mouille. Berthe débarrassa un coin de table, posa sa grosse poitrine sur elle, présenta ses fesses pour que le chibre d’Hervé puisse la pénétrer. Il le fit sans ménagement, ne s’occupa pas du cri que Berthe avait poussé et déchargea son foutre dans les entrailles de la domestique.
    Hervé se retira et, prit sa mère à bras le corps, la déposa sur la table et de son vit dégoulinant et encore bandé, il la baisa. Blanche tenait toujours la queue de son neveu qui n’était pas loin de l’éjaculation mais préféra la présenter devant la chatte de Berthe qui avait gardé la pose et accueillit cette nouvelle bite sans rechigner. Estelle délaissée, trouva, en sa tante, une langue qui remplaça avantageusement les doigts de son frère. Blanche, quant à elle, dut se faire jouir de ses propres doigts.

    Tout ce beau monde était ravi. Chacun reprit sa place à table pour le dessert et, tout en dégustant le succulent gâteau, se regardaient alternativement sachant que cette orgie allait se reproduire dans les jours voire les heures à venir et cherchaient déjà dans les regards celui ou celle qui pourrait faire leur bonheur.     Jeanne n’avait pas changé son emploi du temps et n’avait pas déprogrammé la visite de Justine. Quand cette dernière se rendit au château, Berthe la conduisit non pas dans les appartements de Jeanne mais dans le salon où elle découvrit un tas de personnes inconnues. Berthe fit les présentations, des présentations spéciales car aucun n’avait arrêté ses activités.
    - Voici monsieur Hervé, le fils de madame Jeanne que vous voyez à quatre pattes en train de se faire baiser par lui. Remarquez la grosseur de sa bite qui, de surcroit, n’est pas malhabile j’en sais quelque chose. La belle jeune fille allongée sur des coussins devant madame Jeanne s’appelle Estelle, la fille d’Hervé et si elle se tient, sans culotte, jambes ouvertes, c’est pour mieux recevoir les coups de langues de sa grand-mère.
    - Assis sur le fauteuil continua Berthe, le jeune homme entièrement nu, c’est Denis le fils d’Hervé frère jumeau d’Estelle et par conséquent petit-fils de Jeanne. Celle qui, aussi nue que lui, qui lui suce la queue ne vous est pas inconnue puisqu’il s’agit de Blanche qui, m’a-t-elle précisé, vous laisse toute latitude pour assister ou participer aux réjouissances. Si le cœur vous en dit, ajouta la domestique qui avait commencé, elle aussi, à se déshabiller.
    Justine n’en revenait pas. Cette scène lui rappelait l’orgie dans la chambre du curé. Elle trouva la situation excitante surtout par la présence des jumeaux qui avaient à peu près son âge. Elle savait qu’elle ne pourrait pas résister devant un tel spectacle. Sa culotte était trempée. Berthe, cette femme que les Merteuil décrivaient comme asexuée, était maintenant nue. On ne pouvait pas dire que son corps inspirait le désir pourtant dès qu’elle se mit à genoux aux côtés de Jeanne et se pencha en avant, Hervé retira sa queue de la chatte de sa mère et la plongea dans celle de Berthe qui, par ses gémissements, semblait apprécier les coups de boutoir de l’homme.
    Justine n’y tint plus, elle se déculotta et se masturba en ne sachant plus qui ou quoi regarder, tout lui semblait surréaliste. Elle pouvait s’occuper de la chatte de blanche mais elle la connaissait déjà aussi opta-t-elle pour la bouche d’Estelle en allant se positionner au-dessus d’elle. De toute façon se dit-elle, l’après-midi n’est pas fini.
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