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le cinéma porno

Chapitre 4

Orgie / Partouze
Nous sommes tous dans la salle, il y a là deux hommes jeunes, assez grands et d’apparence viril, et trois femmes apparemment très jeunes. L’une d’elle est très petite, environ 1,60 m les deux autre dans la moyenne. Par contre elles ont toutes une poitrine assez forte et ferme.Je rattrape le caissier.— Quel age ont les filles?— Ne t’en fait pas, je les connais toutes et elles sont toutes majeures, la plus jeune a 19 ans.
Le caissier se dirige vers l’écran. Il monte sur la scène et écarte le rideau de gauche. Tout le monde le suit. Derrière le rideau, surprise, il y a un très grand lit avec toute une série de sex toys alignés sur une table. — Personne ne donne son nom, et tout doit se passer sans obligations ni contraintes, nous dit le caissier. Je pense qu’on devrait tous être à poil.Il se déshabille. Il a un sexe de bonne taille sans plus. Les deux hommes se déshabillent aussi ainsi que les femmes. Tout le monde est à poil. Les hommes sont très bien montés et les femmes sont toutes épilées, la petite ayant un clitoris sur développé qui dépasse de ses lèvres même au repos.
Les femmes se mettent sur le lit et commencent à se gouiner. Elles se caressent sur tout le corps, se lèchent, s’embrassent. L’une d’elle prend un gode sur la table à côté du lit est l’enfonce dans le vagin de la petite. Celle ci se cambre pour faciliter l’introduction. L’autre femme prend un autre gode, le lubrifie et le présente sur le fion de la petite. Elle pousse et le gode s’enfonce doucement dans le cul offert. Un homme présente sa queue à la petite qui le gobe avec plaisir. Tous les hommes restant bandent.
Je m’approche du lit quand je sent deux mains sur mes fesses. Elles les caressent, les écartent, les remontent, le tout avec délicatesse. Une autre main se pose sur mon fion. Les doigts sont lubrifiés, gantés et en position de pointe. Je m’agenouille près du lit, me couche le torse dessus et attend. Les doigts reviennent à l’attaque. Cette fois ci c’est pour aller jusqu’au bout. Les doigts poussent, dilatent mon sphincter et progressent dans mon fion. Arrivés à mi course, ils s’écartent et se resserrent pour ouvrir au maximum mon cul. La progression reprend, mon cul se laisse posséder et tout à coup, mon sphincter se resserre sur le poignet. La main est dans mon cul, elle avance encore jusqu’à la moitié de l’avant bras. J’ai déjà été fisté mais jamais avec une main si grosse. mon cul est rempli, la main va et vient à l’intérieur et je sent monter en moi le plaisir. L’homme qui me fiste le sent et ralenti son mouvement jusqu’à s’immobiliser. Une bouche happe mon sexe. Comment a t il put faire pour se glisser entre le lit et mes jambes? En tout cas le résultat est là, une langue me titille le gland, une bouche aspire mon sexe et me suce la hampe de haut en bas. La main dans mon cul reprend ses va et vient sur toute la longueur de la pénétration. Je n’ai jamais senti dans mon cul un si long membre. La main se ferme et s’ouvre au grès des fantaisies de mon baiseur. Mon cul est devenu le centre de mon corps, mon corps est mon cul, mon coeur est mon cul, mon cerveau est mon cul. Tout tourne autour de lui et je sent monter en moi une onde irrésistible qui m’emporte. Je me cambre, je me jette sur l’avant bras pour qu’il me pénètre encore plus. Mon corps est parcouru de spasmes, je tremble, j’arrive à peine à respirer. Je rempli la bouche de mon sperme et m’effondre sur le lit. Je ne bouge plus. La main commence à se retirer mais je l’immobilise pour la sentir encore un peu. Sentir mon cul enserrer ce bras me procure un plaisir diffus et très agréable. Je libère le bras au bout d’un moment et il se retire doucement. Au moment du passage de la main, je ressent une petite douleur mais une langue bienveillante vient me lécher le fion et apaise mon fion. Je sent un objet s’introduire dans mon cul béant. C’est une bouteille de coca. Mon sphincter se resserre sur le diamètre le plus petit et la bouteille reste en place. Je me lève et fait le tour du lit avec la bouteille plantée dans le cul.
Pendant ce temps, la petite s’est envoyée en l’air. Les deux hommes qui se sont occupés de moi, s’occupent maintenant des deux autres filles. Ils se mette chacun derrière une femme et leur plante leur sexe dans le con en levrette. J’admire le spectacle, une fille se fait mettre des godes dans le cul et la chatte, elle suce une bite pendant que les deux femmes qui la baisent et la sodomisent se font mettre une bite dans la chatte. Je m’empare d’un gode pas très gros, l’encapuchonne d’une capote, le lubrifie et je me dirige vers le caissier qui baise une des deux filles. Je présente le gode vers son cul et lui enfonce d’un seul coup. Le diamètre du gode permet ce genre de manœuvre étant assez fin. Le caissier a un petit mouvement de surprise mais tend son cul vers le gode quand je commence mes va et vient. J’ai toujours la bouteille de coca dans le cul. — Prends en un plus gros me dit le caissier.Je retire le gode de son cul, il en choisi un bien plus gros. Je m’en empare, l’encapuchonne et le lubrifie. Son cul étant préparé, j’enfonce le gode d’un seul coup mais pas trop vite. Il se cambre, pousse sur le gode avec son cul.— Putain que c’est bon, vas y défonce mon cul.Je m’active sur le gode en accélérant mes va et vient, ce qui fini par déclencher sa jouissance. Il se vide dans la femme qui par ricochet jouit à son tour. La petite n’a toujours pas joui malgré un gode dans le sexe, un dans le fion et une queue dans sa bouche. Elle est très résistante. Elle est sur le côté pour bien libérer ses orifices. Je m’approche d’elle, j’ai envie de boire son jus. La femme qui a joui me laisse sa place. Je m’empare du gode dans son sexe et le retire. Je me penche sur sa vulve et j’aspire son clitoris. C’est une véritable petite bite. Je l’excite avec ma langue. Elle envoie son bas ventre à la rencontre de ma bouche, se cambre. L’homme qu’elle pompe joui dans sa bouche. Elle libère la bite en se léchant les babines.— Oui, vas y bouffe moi le clito, il aime ça, encore, vas y.Je m’active sur son clitoris tout en me positionnant en 69. Elle avale ma bite et la remet en forme en un tour de main. je vois le gode dans son cul activé par l’autre femme, elle lèche son fion mais rien n’y fait, elle ne joui pas. La femme se lasse et je prend le gode qu’elle libère. Je synchronise mes mouvement de langue avec le va et vient dans son cul. Elle commence à réagir, son corps vibre, son ventre se crispe, son bas ventre vient à la rencontre de ma bouche, elle s’active frénétiquement sur ma bite. D’un seul coup, elle libère ma queue, renverse sa tête en arrière et se raidi.— Je joui, je joui, merci, merci, je joui OOOOOOOHHHHHHHHHH oui.Elle se cambre, se détend, se raidi de nouveau pendant une bonne minute. J’ai l’impression qu’elle n’en fini pas de jouir. Elle se calme petit à petit, je retire le gode, elle me reprend la bite dans sa bouche et me pompe avec ardeur. Je l’arrête car je sais que je ne suis pas près de jouir avec tout ce que j’ai fait cet après midi et ce soir.
Mais une des femmes n’a pas du tout joui. Elle nous regarde avec un air un peu contrit. Le caissier va vers elle, lui caresse les seins, les fesses. Elle n’attendait que ça. Il la couche sur le lit et se penche sur son entre jambe. Il la lèche, elle se cambre et prend sa tête dans ses mains. Je m’approche d’elle et veux m’asseoir à ses côtés. Au moment de m’asseoir, je sent quelque chose dans mon cul. La bouteille est toujours là, je n’étais si bien habitué à elle que je ne la sentais plus. Je la retire doucement. Je suis juste au niveau de la tête de la femme. Elle m’attrape les fesses et me dirige vers sa bouche. Sa langue entre dans mon fion béant, il est encore ouvert et laisse un trou de quelque centimètres de diamètre. Elle me lèche le cul, titille ma pastille qui se referme petit à petit. Tout à coup, elle enfonce sa langue dans mon cul, et me mord une fesse. Elle joui et ne peut se retenir. J’ai un peu mal, mais vivant seul, cette trace de dents sur ma fesse n’aura aucunes conséquences. Une fois revenue à elle, elle se penche sur moi et m’embrasse.— Excuse moi mais j’ai joui tellement brusquement que je n’ai pas put me retenir.
— J’ai bien vu.Elle me retourne et pose ses lèvres sur ma morsure.— Il faudrait que je suive l’évolution de cette blessure.— Tu est infirmière?— Non mais je lèche très bien les morsures sur fesses.J’éclate de rire mais elle me regarde, se penche à mon oreille et me dit.— En fait j’aimerai bien rester encore avec toi.— Si tu veux, tu peux m’accompagner chez moi tout à l’heure.— D’accord.Je n’en peux plus et je dit au caissier que je veux rentrer chez moi. Il m’accompagne à la caisse pour me rendre mes affaires. La femme nous suit et nous sortons ensemble.— Moi c’est Juliette et toi?— Jean.Nous rentrons chez moi, nous prenons une douche assez câline mais mes forces m’ont abandonnées. Je lui explique mon après midi et ma soirée.— Je comprend mieux maintenant. J’aimerais bien que la prochaine fois on aille ensemble au cinéma.— J’allais te demander la même chose.Nous allons dans ma chambre, je m’allonge, elle se blotti contre moi et nous nous endormons en quelques minutes.
Le lendemain matin, je suis réveillé par une odeur de café. Elle a tout trouvé dans la cuisine et a préparé le petit déjeuner.— Bonjour Jean, un café?— Volontiers.Nous nous installons dans le salon et je peux la détailler.
Je n’avais pas remarqué la beauté de ses fesses. C’est une partie du corps d’une femme que j’adore. Je les aime bien rondes et hautes. C’est tout à fait le cas pour Juliette. Son ventre est plat, son pubis bien rebondi et lisse, ses seins fermes et ses yeux d’un bleu pâle envoûtant. C’est une très belle femme. Malheureusement elle a au moins 30 ans de moins que moi.— Tu es très belle, je pense qu’on te l’a dit souvent.— Oui, mais ça fait toujours plaisir de l’entendre.Elle se lève et vient vers moi. Elle fait pivoter ma chaise et s’agenouille devant moi. Ma bite est au repos mais ça ne dure pas longtemps. Quand je suis bien raide, elle se lève, se retourne et vient s’asseoir sur mon sexe. Je la retiens.— Jamais sans capote. Or dès que je met une capote je débande. Tu vois que ça va être dur.— Attends moi.Elle récupère son sac énorme, en sort une petite pochette et se dirige vers la salle de bain. Elle revient presque aussitôt.— J’ai mis un préservatif féminin. Tu peux me baiser comme tu as envie maintenant.Elle se positionne et s’empale sur mon sexe. Je la sent bien, son sexe est assez étroit. Elle me pistonne lentement en cherchant au maximum son plaisir en même temps que le mien. Elle joui et retombe sur mes genoux. — Tu n’as pas joui?— Non mais je sent que ça va venir bientôt.— Lève toi et va t’allonger sur le divan.Je m’exécute et j’attend.Elle revient avec un gode double qu’elle avait dans son sac. Elle se penche sur ma fesses mordue et lui fait quelques bises. Elle la lèche et petit à petit va vers mon cul. Elle me lubrifie le fion et enfonce doucement une extrémité du gode dans mon cul. Elle se positionne au dessus de moi, présente l’autre extrémité vers elle et s’enfonce dessus. Je sent tout à coup ses fesses sur les miennes. Je passe ma main vers elle et je constate qu’elle s’est enculée.— Comme ça, c’est la même chose pour tous les deux.Elle fait des va et vient qui finissent par me faire jouir. Elle me suit à quelques secondes. Elle se couche sur moi dos à dos. — On est bien tu ne trouves pas.— Oui, j’aime se genre de petit déjeuner.Je me libère du gode et arrive à ma dégager. Elle est là, allongée sur le divan, ses yeux me regardent avec tendresse.— J’ai envie de rester un petit moment avec toi, tu es d’accord.— Tu sais, je suis un vieux célibataire endurci et je partage difficilement mon espace vital.— Je me ferais toute petite et quand tu verras que ça n’est plus possible, je partirai.— Ok, à toi de voir.Je me penche sur elle et l’embrasse. Nos langues se rencontrent pour la première fois, notre baiser dure longtemps. Je suis presque à bout de souffle. — Viens prendre une douche.Je la suis dans la salle de bain, nous nous lavons mutuellement en insistant bien sur les organes sexuels. Je me baisse et lui fait une minette qui ne tarde pas à la faire jouir.— Il faut que je passe chez moi prendre quelques affaires.Nous arrivons chez elle, je la suis et j’entre dans le temple de Juliette. Tous les murs sont recouvert de photos d’elle nue dans des positions très sensuelles, voir pornographiques. Elle a tout juste une quinzaine d’années au moment des faits.— Comment tu trouve ces photos.— Belles mais assez subjectives. Je pense que le ou les photographes ne sont pas restés de marbre. Tu es toute jeune.— J’avais presque 15 ans. C’est mon père qui les a toutes faites. C’est vrais que ça lui a fait de l’effet. — Tu ne vas pas me dire que vous avez fait l’amour ensemble.— En fait, c’est lui qui m’a dépuceler, mais c’est moi qui lui ai demandé. Il a fallu que j’insiste beaucoup. En définitive il a fallu que j’en parle à ma mère. C’est elle qui l’a décidé. Ca a été merveilleux car il a tout fait pour que je prenne du plaisir et que ça soit un bon souvenir pour moi. Ma mère était présente et m’a aidé en me conseillant. Elle me caressait, m’embrassait les lèvres et les seins pendant que mon père s’activait en moi. C’est un merveilleux souvenir.Je ne dis rien car je n’ai aucune raison de faire la morale à qui que se soit.Elle tris quelques affaires, pas beaucoup, et nous quittons l’appartement non sans avoir pris une petite photo de Juliette dans une position très subjective.Nous rentrons chez moi, je lui fait un peu de place dans le placard.
— Je vais faire des courses, tu m’accompagne.— Pourquoi pas, je n’ai rien de spécial à faire. Elle se déshabille, choisi un jupe courte à plis, un corsage léger mais assez opaque. Elle enfile des escarpins et se dirige vers la porte. — Tu n’a rien oublié?— Quoi donc?— Je ne sais pas, quelque chose sur ton sexe.— Dis donc, tu ne porte toi même jamais de sous vêtements m’as tu dit.— Oui mais je porte quand même un short.— Moi aussi, mais mon short est décousu à l’entre jambe.Elle se retourne, donne un petit coup sur sa jupe qui s’envole, me dévoilant ses fesses.— C’est pas beau ça.— Oui.— Alors, pourquoi le cacher.Elle se dirige vers la porte et je la suis pour faire les courses.Ce furent des courses assez extraordinaires.
Mais ceci est une autre histoire.
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