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le cinéma porno

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
Je part donc faire des courses avec Juliette. Il fait beau, assez chaud et il y a une légère brise rafraîchissante. Nous partons centre ville en bus. Juliette s’assoie à côté de moi sur une place juste à côté de l’espace debout. Un homme est appuyé sur le garde fou le regard vers nous. Juliette me donne un petit coup de coude. Elle me désigne le mec et dirige ses yeux vers sa jupe. Je constate que sa jupe est assez haute sur ses cuisses serrées. L’homme a de temps en temps un regard en direction des jambes de Juliette qui sont découvertes et très belles. Juliette me regarde et écarte un tout petit peu ses cuisses. Le regard de l’homme se fige dans la direction de l’entre jambe de Juliette. Elle referme ses cuisses pour les ouvrir de nouveau trente secondes plus tard. Juliette fait semblant de m’embrasser. Là elle écarte un peu plus ses cuisses. L’homme ne peut plus détourner son regard des cuisses de Juliette. Le bus s’arrête à un feu rouge, c’est le dernier feu avant l’arrêt de notre descente. Juliette vérifie que seul l’homme peut voir son sexe et écarte largement ses cuisses. Je vois une bosse sous la ceinture de l’homme. Juliette le regarde, leur regard se croise mais l’homme regarde de nouveau l’entre jambe de Juliette. Elle pose un doigt sur son sexe, l’entre un peu en lui souriant. Lui ne voit que son doigt dans son sexe. Le bus démarre et s’arrête immédiatement après. Nous nous levons, Juliette attrape la main de l’homme et la glisse sous sa jupe pour la plaquer 2 secondes sur son sexe. L’homme est tétanisé, il respire difficilement. Nous descendons du bus, les portes se referment et le bus s’éloigne.— Qu’aurais tu fait si il était descendu?— Je lui aurait fait comprendre que ce qu’il avait eu était suffisant et qu’il n’aurait rien de plus.
Nous entrons dans un grand magasin et évidemment Juliette se dirige vers l’escalator. Je me met 3 marches plus bas et j’ai une vue imprenable sur ses fesses nues. Un couple est une marche plus bas, la femme donne un coup de coude à son compagnon et montre les fesses de Juliette. L’homme écarquille les yeux mais son regard reste fixé sur ces belles fesses. Juliette monte jusqu’au dernier étage, nous sommes 6 à arriver en haut. Elle décide de descendre par les escaliers en faisant des petits saut de cabris ce qui a pour effet de faire s’envoler sa jupe et dégage la vue sur l’ensemble de ses fesses et son sexe. Je la suit tant bien que mal. Arrivé au 1er étage, elle va vers le rayon d’ustensiles de cuisine. Elle se penche sur tous les articles posés au sol. Tout le monde la regarde. Elle fait ça de manière à ce que la vue ne dure que quelques secondes. Au bout d’un moment je lui demande si elle ne veux pas prendre un café ou autre chose, j’ai soif. Nous sortons du magasin et entrons dans un bar. tout le monde se retourne sur elle. Elle n’a pas besoin de montrer son cul pour faire de l’effet. C’est quand même un canon. Elle s’assoie sur un tabouret haut en faisant voler sa jupe pour ne pas s’asseoir dessus. Evidemment quelques clients ont constaté l’absence de culotte et leurs regards ne peuvent plus se détacher d’elle. Elle prend un coca et moi un jus d’orange.— Je garde la bouteille pour toi? me dit elle en faisant référence à ce qui s’est passé la nuit dernière.— Non ce n’est pas nécessaire, j’ai ce qu’il faut à la maison.Nous buvons tranquillement notre boisson et Juliette descend de son tabouret doucement afin de maintenir sa jupe le plus longtemps possible horizontale en la faisant glisser sur le tabouret. L’effet est immédiat, un client renverse son café sur lui. Nous sortons sous le regard envieux de certains.
Nous arrivons à la FNAC. Nous allons au rayon jeux vidéo. Là elle s’accroupie en face d’un vendeur avec un genou sur le sol et l’autre jambe repliée vers le haut. Elle offre une vue plongeante sur son sexe épilé. Tout en étant absorbée par la lecture de la description du jeux qu’elle a entre les mains, elle écarte légèrement la jambe et offre au vendeur une vue imprenable sur ses lèvres humides. Je commence à m’inquiéter, elle va finir par déclencher une émeute. Elle me regarde en souriant, me fait signe de m’accroupir à côté d’elle. Elle me fait voir la pochette du jeu en me montrant une femme de l’autre côté du rayon, accroupie comme elle et qui montre aussi son entre jambe. Elle aussi est nue sous sa jupe. Juliette lui fait signe de nous rejoindre. L’inconnue se lève et se dirige vers nous. Juliette se lève, enlace l’inconnue et l’embrase sur les joues comme deux vielles copines.— Bonjour, moi c’est Juliette et voila Jean.Elle vient vers moi et m’embrasse.— Gabrielle. Tu t’amuses souvent à ce petit jeu? — Pratiquement tous les jours. C’est un peu plus dur en hiver mais j’aime exhiber mon cul et mon con.— Moi aussi, je vous invite à boire un coup?— Ok, on y va.Nous sortons pour aller dans un bar assez chic. Nous nous installons sur un gros fauteuil à trois place devant une petite table basse. Evidemment elles s’assoient de manière à ne rien cacher de leur anatomie sexuelle. Le serveur manque de s’étrangler en venant prendre la commande. Je décide de m’asseoir sur un autre fauteuil plus petit en face d’elles. Elles me sourient et croisent et décroisent sans cesse leur jambe. Je suis aux anges mais mon short commence à se déformer sérieusement. La conversation va bon train, des éclats de rires la ponctue. Elles se parlent à l’oreille pour que je n’entende pas ce qu’elles disent.— Jean, nous avons envie d’aller sur une aire d’autoroute pour s’amuser un peu. Tu veux bien nous amener?— Ok, je connais une aire assez grande ou on peut se montrer devant des gens sans qu’il y ai plein de monde. Je m’y arrête souvent quand je vais vers Narbonne.— C’est loin d’ici?— 25 minutes de chez moi en voiture.— Ok on y va.Nous quittons le bar et allons chez moi. Je prend mon sac avec 3 godes, des préservatifs, du gel et des mouchoirs. Une demi-heure plus tard, nous sommes sur l’aire d’autoroute. Il y a plusieurs voitures vides mais toutes les toilettes sont libres. Ca veut dire qu’il y a du monde entrain de se promener sur l’aire à la recherche d’un spectacle ou d’une aventure.— Il y a du monde, ça risque d’être intéressant.— Très bien, nous sommes là pour qu’on nous voit.
Je connais bien cette aire et je me dirige vers le fond, il y a une petite estrade en bois avec deux bancs. L’ensemble est protégé des regards venant du parking par des arbres en cette saison très feuillus. Les filles s’embrassent tendrement. Elles s’assoient sur un banc et commence à se caresser. Je m’assoie sur l’autre banc. Gabrielle pose une main sur la cuisse de Juliette qui lui fait la même chose. Je regarde autour de l’esplanade, le monde ne devrait pas tarder à se manifester. Ils ont forcément entendu ma voiture qui fait un bruit spécifique avec son gros V8. Effectivement, des hombres apparaissent derrière les arbres. Je compte au total 5 personnes.— Les filles, nous avons de la visite, à vous de jouer.Juliette se lève, déboutonne son corsage, descend le zip de sa jupe et se retrouve nue en 2 secondes. Gabrielle en fait autant. Je peux mieux la regarder. Elle est très bien faite, beaux seins, ventre avec une toute petite rondeur, sexe épilé et clitoris proéminent, belles jambes bien galbées.
Les deux femme s’enlacent, s’embrassent et s’allonge en position 69 sur le banc. Leurs têtes se glissent entre leurs jambes et le silence n’est troublé que par leurs gémissements. Je descend mon short et enlève ma chemisette. Je suis nu comme elles. Je sort un gode ventouse moyen, l’enduit de gel et le positionne sur l’autre banc. Je le présente devant mon cul et je m’assoie dessus. Je me positionne, jambes écartées pour bien faire voir ce que je fais. Le gode rentre doucement jusqu’à la garde. Un homme avance la bite à la main mais je lui fait signe de rester là ou il est. Nous sommes là pour nous exhiber, pas pour baiser avec des inconnus. Je me pistonne de plus en plus vite quand je réalise que les filles se sont arrêtées et me regardent. Elles s’approchent, Juliette monte sur le banc et me présente sa chatte à lécher et Gabrielle se penche sur mon sexe. Je m’encule, suce une chatte et me fait pomper, je ne résiste pas longtemps et j’envoie mon sperme dans la bouche de Gabrielle.— Il n’est pas mauvais du tout ton foutre mon cher Jean.Juliette se raidi et joui sur ma bouche. Seule Gabrielle n’a pas joui. Je la prend par la taille, le retourne et je pose ma langue sur son auréole. Son anus réagit immédiatement. Juliette descend du banc, s’agenouille devant Gabrielle et lui fait une minette. Gabrielle joui en écartant les fesses avec ses mains pour que je la pénètre avec ma langue. J’y arrive tant bien que mal. Tout le monde se calme. Plusieurs hommes sont là à nous regarder leur bite à la main. L’un d’eux fait mine de vouloir monter sur l’estrade mais celui que j’ai arrêté tout à l’heure lui prend le bras et lui fait comprendre qu’il ne faut pas. Je m’adresse à eux.— Nous somme là pour nous montrer. Personne n’intervient ou nous nous en allons immédiatement.Gabrielle regarde dans mon sac et en sort le gode ventouse gonflable.— Tu le gonfle jusqu’à combien?— Je l’ai gonflé jusqu’à 10,5 cm dans mon cul.— J’aimerais bien voir ça.— Je ne le fais pas systématiquement, cela dépend des circonstances, de mon état de fatigue et de l’ambiance. Ici ce n’est pas possible.— Je comprend bien mais tu vas l’utiliser aujourd’hui?— Pas plus tard que maintenant, tu veux bien m’aider?— Oui, que faut il faire?— Tu maintient le gode sur le banc car sa ventouse est trop large pour le caillebotis du banc. Tu gonfle avec la pompe noire quand je te le demande et tu met du gel.— Ok.Je met un préservatif sur le gode, l’enduis de gel et le positionne sur le banc. Je le gonfle à 6 cm à peu près. Gabrielle s’accroupie les jambes bien écartées et maintient le gode en place. Je monte sur le banc, écarte bien les jambes et je descend doucement dessus. Je sent mon cul se dilater, cette impression de possession de mon cul par un objet me met en transe. Le gode rentre lentement, mon cul est habitué et tout se passe sans problème. — Putain, quel spectacle un gode de cette taille dans un cul, je crois rêver.Arrivé sur les couilles du gode, je m’arrête un peu. — Gonfle un peu et met du gel s’il te plait.Gabrielle pompe deux ou trois coups en ajoutant du gel. Juliette prend le gode que j’ai utilisé tout à l’heure, l’essuie, lui met une capote et le lubrifie un peu. Elle regarde dans mon sac et sort le troisième gode. Il est assez gros avec un énorme gland. Elle prépare le gode de la même façon. Elle passe sous le banc, se met sur le dos et présente le premier gode sur la chatte de Gabrielle.— Oui, vas y met le moi bien profond.Juliette enfonce le gode dans le vagin de Gabrielle. Elle présente l’autre gode devant son con et se transperce d’un seul coup. Le gode entre sans résistance. Juliette fait aller et venir les deux godes en même temps. Je me pistonne sur mon propre gode.— Gonfle encore. Gabrielle gonfle de gode qui commence à prendre des proportions vraiment gigantesques. — Je pense que ça suffit pour le diamètre, met du gel s’il te plait.Gabrielle met du gel mais ses gestes sont de moins en moins sûres. L’orgasme monte en elle de même que pour Juliette. D’un seul coup, Gabrielle lâche mon gode, se jette sur Juliette, lui prend le gros gode des mains et la baise à toute vitesse, Juliette en fait autant sur elle. Elles jouissent en même temps dans un râle rauque venu des profondeurs. Leurs corps se soulèvent, se tendent comme ds arcs puis apaisées, elles retombent l’une sur l’autre. Elles se calment un moment. Elles enlève les godes et se lèchent le sexe doucement, tendrement même. Moi je me fini dans un jet de sperme sur les fesses de Gabrielle.
Quand je revient à moi, je constate que 3 mecs se sont mis à plat ventre pour mieux voir le spectacle. Personne n’a essayé de participer. Je remarque aussi qu’en fait il y avait aussi une femme. Elle est assez mignonne, dans les quarante ans. Elle nous regarde timidement. Je fait signe aux hommes de nous laisser, ce qu’ils font de bonne grâce. Certains applaudissent et d’autres nous remercient. Gabrielle, qui s’est relevée, fait signe à la femme de venir nous rejoindre. Elle s’avance timidement. Juliette descend de l’estrade, la prend dans ses bras et l’embrasse fougueusement. La femme lui rend son baiser en promenant ses main sur tout le corps de Juliette. Elles montent sur l’estrade. Gabrielle s’approche et toutes les deux entreprennent de déshabiller l’inconnue. Elle se laisse faire en caressant les fesses des deux femmes. — Tu t’appelle comment?— Denise.— Nous c’est Gabrielle, Juliette et Jean. Tu as aimé ce que tu as vu.— Oui mais ce que j’aimerai le plus c’est d’être capable de le faire moi même. Mon fantasme est de m’exhiber mais je n’en ai pas le courage. — Et bien tu vas commencer maintenant. Couche toi sur le banc sur le dos et masturbe toi devant nous.
Denise se couche sur le banc, écarte les jambe et sa main droite descend vers son con. Je peux la détailler à loisir. Elle n’est pas très grande, a encore un beau corps, mince, nerveux. C’est certainement une sportive d’un assez haut niveau. Ses fesses sont fermes et ses jambe musclées mais assez fines. Son pubis épilé est bien rebondi et laisse voir de belles lèvre déjà humides. Elle se caresse les lèvres, libère le clitoris et le titille avec son index. Elle aime ça, ça se voit. Elle ferme les yeux, et son corps commence à être parcouru de spasmes. Elle fait monter lentement son plaisir avec une certaine maîtrise. Je bande comme un âne, il faut que Juliette s’occupe de moi avec sa bouche. Je vois des hommes arriver et rester en bas de l’estrade.Denise joui bruyamment.— Oui, c’est bon devant vous, quel pied, je joui, je joui, un truc dans mon con, je veux quelque chose dans mon con. Je joui dans la bouche de Juliette.Denise ouvre les yeux et rougi instantanément. Elle se cache le visage avec ses mains. Gabrielle se penche sur elle, lui écarte les main et pose ses lèvres sur sa bouche. S’en suit un baiser passionné. Juliette prend le gros gode, l’encapuchonne d’un préservatif et le lubrifie un peu. Elle avance vers Denise le gode à la main.— Tu veux quelque chose dans ton con?— Oui mais c’est moi qui me le met.— Ok, je le tiens.Denise monte sur le banc. Juliette pose le gode sous son sexe. Denise s’accroupie sur le gode. Juliette passe derrière Denise pour maintenir le gode de manière à libérer le champs de vision et me fait signe de faire avancer les hommes qui nous regardent. Je fait signe aux hommes de s’avancer, je délimite la zone ou ils peuvent se tenir. Ils sont tous devant Denise qui n’ose les regarder et s’accroupissent pour mieux voir. Elle se décide et descend doucement sur le gode. L’énorme gland écarte les lèvres et entre lentement dans son antre qui se liquéfie. Elle redresse la tête et regarde tous les hommes devant elle. Cela a l’air de la stimuler car elle fini de s’empaler d’un seul coup jusqu’aux couilles et commence des aller retours rapides et très amples. Elle se pistonne violemment. Ses yeux se révulsent, son souffle s’accélère, elle se tient au dossier du banc et d’un seul coup pousse un cri rauque, sourd. Elle se tétanise, ses muscles se contractent. Elle reste immobile, empalée sur le gode pendant plus de deux minutes. Je commence à m’inquiéter quand elle ouvre les yeux pour constater les tâches de sperme devant tous les homme autour d’elle. Elle regarde Gabrielle et lui sourit.— Je vais y prendre goût. Gabrielle tu pourras continuer à m’initier?— Bien sûre ma chérie.Gabrielle se penche sur Denise pour l’embrasser, mais là, ce n’est plus du sexe, c’est de l’amour. Denise est toujours empalée sur le gode.— Jean, ou as tu trouvé ce gode?— Dans un sex shop à Marseille.— Il est super, j’aimerai trouver le même.— Ca m’étonnerai car je l’ai depuis presque 10 ans et maintenant les godes n’ont plus cet énorme gland qui me plait beaucoup. Tu peux le garder, je ne l’utilise que rarement depuis que j’ai mon gode gonflable. Elle se dégage du gode et vient vers moi pour m’embrasser.— Merci. Je dois vous quitter, il se fait tard pour moi.Elle remet ses vêtements et se tourne vers Gabrielle.— Tiens, voila mon téléphone. Si tu le désire on peut se revoir quand tu veux.— Je te promet que je t’appelle dans les deux jours.Denise s’en va heureuse. Tous les hommes sont partis et nous nous rhabillons.De retour chez moi, Gabrielle nous quitte non sans avoir pris les coordonnées de Juliette. Juliette me regarde et me sourit en me disant.— Pour une première journée, j’ai été gâtée. Si toutes tes journées sont comme ça, je ne suis pas prête de te quitter.— Malheureusement, ces journées sont exceptionnelles, mais je peux faire en sorte que l’on s’amuse tous les deux.— Je n’attend que ça.— Pour l’instant il faut manger un petit bout et se reposer.Nous avons grignoter un peu et nous nous sommes couchés pour une petite sieste. Elle ne fut pas de tout repos.
Juliette est restée quelque temps avec moi, nous avons eu d’autres aventures, exhibitions ou baises multiples.
Mais ceci est une autre histoire.
zooph34@gmail.com
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