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Claire ma nièce

Chapitre 3

Inceste
Je me rhabille et retourne dans le salon, j’ai la tête qui explose. Qu’est-ce que je viens de faire ? C’est ma nièce, elle a vingt-six ans de moins que moi, c’est une gamine. Je pense à mon frère et je commence à paniquer. Si jamais il apprend ça, je suis un homme mort. Mes pensées envahissent mon esprit quand le téléphone sonne. C’est Paul qui me demande comment ça va. Je lui dis que tout va bien. La sonnerie a réveillé Claire, elle me demande qui c’est. Quand elle sait que c’est son père, elle veut lui parler. Je vais la chercher. Elle est toujours nue sur son lit. Elle me tend les bras pour que je la porte comme d’habitude. -Tu devrais mettre quelque chose.-Le téléphone n’a pas de caméra et papa attend. Portes-moi dans l’entrée s’il te plait.Je la reprends comme d’habitude, elle en profite pour me déposer un baiser sur le cou et se coller le plus possible contre moi. Elle sait que je ne peux rien dire, car son père entendrait. Une fois dans l’entrée, elle me demande de m’assoir et reste sur mes cuisses.-Papa ? Comment vas-tu ?-C’est à toi qu’il faut le demander. Jean se débrouille bien ? Tu as tout ce qu’il te faut ?— Ça va mieux qu’hier, je bouge mieux mes bras, mais les jambes sont toujours très lourdes et je ne peux pas les bouger beaucoup. Quant à savoir si j’ai tout, je peux te dire que j’ai absolument tout ce que je veux, tonton est adorable, il fait tout ce que je lui demande. Je ne veux plus que lui comme garde malade, plus de ces vielles biques ronchonnes. -Pas question, je connais ton oncle, il te passe tout, tu deviendrais capricieuse. Bisous ma chérie, passes-moi ton oncle.-Mon papa veut parler à mon tonton.Elle me tend le combiné en souriant.-Je vois que tout va pour le mieux, merci encore. S’il te plait, peux-tu essayer de rester jusqu’à samedi, nous sommes obligés de rester ici pour voir le notaire. Nous avons réussi à avoir un rendez-vous vendredi à dix-sept heures. Cela me permettrait de ne pas avoir à redescendre dans une semaine. Nous rentrerons le samedi vers midi.-Je vais faire mon possible, mais je serais obligé de m’absenter au moins une demi-journée demain ou jeudi, j’espère que Claire ira mieux.-Fait au mieux. Merci encore, à plus.Claire m’entoure le cou de ses bras. Elle pose sa tête sur mon épaule.-Tu vois mon tonton, c’est le destin, nous devrons encore rester ensemble.Elle prend ma main qu’elle pose sur son sein gauche. Je suis surpris par ce geste, mais je me laisse faire. Inconsciemment, j’ai envie de ce corps. Elle pose ses lèvres sur les miennes, je me laisse faire encore une fois. Elle descend une main vers mon sexe qui a repris de la vigueur. Elle sent ma bite gonfler sous ses fesses. Je n’en peux plus et me soulève pour lui faciliter la tâche.-Amènes moi dans mon lit.Je la ramène dans sa chambre, la dépose sur son lit sur le dos.— Déshabille-toi et viens avec moi.Je me déshabille et m’allonge à côté d’elle. Elle tend la main pour se saisir de mon sexe et commence à le masturber. Elle s’y prend très mal, ce qui fait que je ne ressens rien, aucune excitation. Elle s’en rend compte.-Tonton, je ne fais pas ce qu’il faut.-Non, tu n’as jamais masturbé tes copains ?-Non. Tu sais, j’étais vierge il y a à peine un an, quelques temps avant que je n’ai mon malaise. Je n’ai jamais cherché à me faire dépuceler parce qu’il fallait le faire, c’est venu comme ça parce que j’aimais l’homme qui a pris ma virginité. Tu veux bien me montrer ?-Ok, je vais te montrer.
Je me saisis de sa main et lui montre comment faire. Au bout d’un moment je la laisse faire et je constate que ça va beaucoup mieux.-Tu apprends vite.-J’ai un bon professeur. Tonton, je ne veux pas te faire jouir avec ma main, je veux que tu me fasses l’amour, le vrai, avec ton sexe dans mon sexe.-C’est bien ce que je redoutais.-Viens maintenant, viens en moi, je t’attends.Je me redresse légèrement, lui écarte bien les cuisses, bascule sur elle en me maintenant au-dessus d’elle. Elle pose ses mains sur mes fesses et appuie. Je descends pour positionner mon sexe à l’entrée du sien. Quand elle sent mon gland à l’entrée de sa vulve, elle essaye de tirer vers elle mais n’y arrive pas. -Viens, s’il te plait viens en moi.J’avance lentement mon bassin et mon sexe entre en douceur dans une grotte chaude et humide, ruisselante de cyprine. -Aaaaaaaahhhhhh oui, j’attends ça depuis si longtemps. Quel bonheur.Je fais des va et vient lents et amples dans ce merveilleux puits d’amour si serré, j’utilise toute la longueur de ma bite. Mes mouvements sont de plus en plus amples jusqu’à ce que ma bite sorte et entre à chaque fois.-Oh oui, que c’est bon, oh lala, j’aime, j’aime, continu, mon tonton, continu.Je me déchaine dans son sexe jusqu’à ce que, n’y tenant plus je me vide en elle par de grands jets de sperme.-Oui, je te sens, vides toi, vide aaaahhhhh. Elle n’a pas pu finir sa phrase, elle jouit en se raidissant, le corps entièrement secoué de frisson. Je n’arrête mes va et vient que quand je sens qu’elle s’apaise et qu’elle se détend. Je me dégage pour venir lui lécher le sexe.-Oui, j’aime quand tes lèvres se posent là, plus profond, lèches moi tout le sexe. J’enfonce ma langue le plus profondément possible, je sens le goût de mon sperme, j’en prends dans la bouche quand elle me dit.-Vient m’embrasser s’il te plait. Je remonte le long de son corps pour venir poser mes lèvres sur les siennes. Sa langue s’insinue dans ma bouche, elle me prend mon sperme. Elle se détache, imite les mimiques d’un gouteur.-C’est donc ça le goût du sperme, je n’y avais jamais gouté mais ce n’est pas du tout désagréable, bien au contraire. Je crois que je vais vivre une autre expérience avec toi, tu es d’accord ?-Tu sais maintenant que je ne peux rien te refuser. Reposes toi, je vais préparer le repas.Je me lève, me rhabille et retourne à la cuisine pour préparer le repas. Vers midi et demi, je vais la récupérer dans sa chambre pour l’amener dans la salle à manger. Elle dort sur le dos, sa poitrine ronde monte et descend doucement. Je reste là à la regarder. Mon cœur ne sait plus quoi faire. Ma tête est au abonnées absents, je ne sais quoi penser de tout ce qui vient de se passer, d’autant que je vais rester là pendant encore quatre jours. Elle doit avoir un sixième sens car elle se réveille au moment où je sors pour la laisser dormir encore un peu, nous ne sommes pas pressés.-Tonton, tu ne vas pas manger tout seul, quand même j’ai un peu, voire beaucoup faim.-Je voulais seulement te laisser dormir un peu plus. Qu’est-ce que tu veux mettre ?-Je suis très bien comme ça, il fait chaud, tu devrais faire comme moi.-Pas question, tu es devenu folle, tu t’habille pour manger, quelqu’un peut venir te voir.-Ou lala mais tu t’énerves. Excuse-moi tonton, mais je suis si bien nue, il fait trop chaud.Je cherche dans ses affaires et je trouve une djellaba blanche très légère qu’elle s’était achetée lors d’un voyage au Maroc avec ses parents il y a quatre ans. -Ça devrait aller.-Parfait.Je la redresse un peu et lui enfile le vêtement. Une fois debout je me rends compte que ce vêtement est parfaitement transparent, il ne cache pratiquement rien quand on est près.-Tu m’as bien eu.-Oui, mais admet que pour les visiteurs éventuels ça devrait suffire.-Non, mais c’est comme tu veux, je ne dis plus rien.Nous allons manger sur la table basse. Le repas fini, elle me demande de l’amener aux toilettes. Comme le matin, elle me demande de l’aider à relever sa djellaba, mais cette fois ci elle me demande de l’enlever complètement.-Ecoute Claire, tu ne vas pas te balader à poil dans la maison ?-D’une part, je fais ce que je veux chez moi, d’autre part il fait une chaleur à crever et il n’y a pas de clim et qui plus est, je ne peux pas me déplacer sans toi. Donc, tu peux contrôler ce que je fais, d’autant qu’après je veux aller me reposer dans mon lit.Je lui enlève son vêtement et elle s’assoie. Je quitte la pièce pendant une ou deux minutes jusqu’à ce qu’elle m’appelle. Je la porte dans sa chambre, l’installe bien en lui mettant des coussins pour bien la caler.-Merci tonton, tu es adorable, tu ne veux pas te reposer comme moi.-Oui, je vais me mettre sur le divan.-Pas question, tu restes avec moi, j’ai besoin de toi près de moi.-Claire, il faut que tu dormes un peu, si je me mets à côté de toi, je n’imagine pas ce qui peut se passer.-Tonton, je te promets que je vais dormir, mais j’aimerai tant te sentir contre moi.Elle me regarde avec un tel regard que je fonds.-Ok, je viens avec toi, mais nous dormons, d’accord ?-D’accord.Je me déshabille pour m’allonger à côté d’elle. Je l’enjambe pour me mettre contre le mur. Elle se blotti contre moi, me plaque ses seins contre mon dos et pose plusieurs baisers sur mon cou.-On a dit qu’on dormait.-Ok, dors bien mon tonton.-Dors bien ma chérie.Nous nous taisons et je fini par m’endormir très vite.Je suis réveillé par des baisers sur le cou. Claire s’est réveillée et ne veut pas rester seule éveillée. Il est plus de seize heures.-Alors tonton tu ne vas pas dormir jusqu’au repas ?-Non, d’ailleurs je dois attaquer le repas, tu aimes le chili con carne je crois.-J’adore, tu as tout pour le faire.-Oui, j’ai vu qu’il y a tout ce qu’il fallait au frigo et il y a des haricots rouges en conserve.Je l’enjambe pour sortir du lit, mais au moment où je passe au-dessus d’elle, elle m’agrippe et me fais tomber sur elle. Je suis à plat ventre sur elle, elle se saisi de mes fesses et les malaxe.-Dis donc, elles sont encore bien fermes pour ton âge.-Merci, sympa comme réflexion, tu sais bien que chez moi, je dois monter quatre-vingt-dix marches plusieurs fois par jour. Ça entretient les cuisses et les fesses.Elle continu de me caresser les fesses, je sens que je commence à bander, ma queue se redresse petit à petit entre ses cuisses. Je réussi à me dégager.-Il faut que j’aille préparer le repas, je reviens dans une demi-heure.-Promis ?-Promis.Elle me libère, je sors du lit, enfile mon pantalon et mon tee-shirt.-Il faudrait quand même que tu aies autre chose à te mettre.-J’irais chercher quelques affaires demain matin. J’espère que tu iras mieux.-Je sens que mes jambes réagissent un peu mieux que ce matin.-Tant mieux.Je vais dans la cuisine et prépare le repas. Une fois le tout lancé à mijoter pendant trois heures, je vais rejoindre Claire. Elle est sur le dos, jambes écartées et se caresse les seins. Quand je rentre dans sa chambre, elle me sourit et me fait un bisou dans le vide. Je m’approche d’elle, je n’ai plus aucune volonté. Je m’agenouille à côté du lit et pose mes lèvres sur son ventre. Elle se saisi de ma tête et pousse vers le bas.-Oui tonton, tu sais que j’aime trop ça.
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