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Claire ma nièce

Chapitre 4

Inceste
Je pose mes lèvres sur son pubis, ma langue lui titille la peau, elle commence à onduler du bassin, toujours en me maintenant la tête plaquée contre sa peau. Son pubis est lisse et doux, ma langue descend vers les lèvres, elle ondule de plus en plus. Ma langue atteint le clitoris, elle est parcourue d’un violent frisson.-Oui, chéri, oui j’aime ta langue.A ces mots je me redresse brusquement.-Tu deviens folle, c’est quoi ce chéri ?-Excuses moi, c’est sorti tout seul, mais je ne peux qu’aimer un homme qui me fait connaitre tant de plaisir.-Je préfère quand même tonton, même si ce n’est pas tout à fait approprié.-Oui mon tonton chéri, mais je t’en supplie continu ce que tu faisais.Je me penche de nouveau sur son sexe et lui mordille le clitoris, l’aspire en le titillant avec ma langue. Elle sursaute et commence à s’abandonner au plaisir qui monte en elle. Son manque d’expérience fait qu’elle jouit très vite quand on lui fait des choses qu’elle ne connait pas. Contre toute attente, elle me fait quitter son sexe et me redresser.-Je voudrais gouter à ton sexe avant de jouir, après j’aurais envie de dormir.-On peut faire les deux choses en même temps.-Je sais, je voudrais essayer, je ne l’ai jamais fait, et j’aimerais le faire pour la première fois avec quelqu’un qui a de l’expérience.-Ok.Je me déshabille et me positionne en soixante-neuf. Ma bite raide juste devant sa bouche. Je suis obligé de me plier un peu pour pouvoir lui lécher la vulve. Elle se saisie de ma bite avec les mains, la caresse un peu et donne un coup de langue sur mon gland. Ses lèvres viennent lui faire un bisou, puis l’enveloppe petit à petit jusqu’à ce que ma bite disparaisse entièrement dans sa bouche. Elle se dégage un peu et commence à titiller le gland avec sa langue.-C’est vraiment la première fois que tu fais ça ?Elle libère ma bite.-Oui, je te le promets, mais je m’inspire de ce que tu m’as fait tout à l’heure pour me faire jouir.-Tu apprends décidemment très vite.Elle me gobe de nouveau la bite et continu pendant que je lui excite le clitoris. Je suis tellement excité par cette situation que je sens ma jouissance monter.-Attention, je vais jouir.A ces mots, ses mains se crispent sur mes fesses pour me maintenir en position, elle redouble d’activité pour accélérer ma jouissance. De mon côté je sens qu’elle est sur le point de jouir aussi. N’y tenant plus je me lâche dans sa bouche ce qui déclenche son orgasme. Elle frémi, tremble, me serre de toutes ses forces et dans son délire oubli ce qu’elle a dans la bouche, je sens ses dents me serrer de plus en plus au point de me faire mal. -Claire arrête, tu me mords.Elle lâche instantanément sa pression, mais continu dans son délire jouissif en avalant mon sperme. Je continu de lui lécher son minou qui m’inonde de cyprine par petits jets. -Oui, j’aime, oui mon tonton chéri continu, ne t’arrête jamais c’est trop bon, comme ton sperme, j’adore. Son corps fini par se détendre et elle lâche mon sexe. Je continu de la lécher, j’aime trop son liquide. Ma langue parcoure son sexe en long en large et en travers pendant plusieurs minutes. Je fini quand même par m’arrêter, me redresse, bascule sur le côté pour m’apercevoir qu’elle est à moitié endormie. Je me dégage doucement, sors du lit et lui dépose un baiser sur les lèvres. Elle réagit à peine et sombre dans un profond sommeil. Je sors de la chambre pour aller faire une toilette. J’ai quand même un peu mal à la bite, mais la morsure est légère, juste une petite trace de dent.Claire dort jusqu’à huit heures, il faut que je la réveille. Je la transporte jusqu’à la cuisine, elle ne veut pas s’habiller et c’est le seul endroit où elle peut évoluer nue sans devoir faire attention aux fenêtres. Elle mange avec appétit, elle n’arrête pas de me taquiner sur mes vêtements que j’ai gardés. A la fin du repas, elle veut voir une émission à la télé. Je l’installe bien dans le divan et vais vérifier des données sur internet. Vers vingt-trois heures, son émission est terminée et je la ramène dans son lit.
-Tonton, tu veux bien dormir avec moi, il y a assez de place pour nous deux. Ne dis pas non s’il te plait.Elle me regarde avec son regard auquel je ne peux pas résister. Je me déshabille et me couche à côté d’elle. Il fait encore très chaud et nous ne mettons pas de drap sur nous. Nous sommes face à face, elle me serre dans ses bras, je sens ses seins contre ma poitrine, et son sexe contre mon sexe qui se redresse petit à petit. Elle réussit à bouger son bassin de telle manière que mon sexe passe entre ses cuisses. Il se redresse pour finir droit comme un I.-Met moi sur toi s’il te plait.Je la prends délicatement dans mes bras et la fait basculer au-dessus de moi, ses jambes autour de mes cuisses, son sexe ouvert. Elle se laisse un peu descendre et s’empale doucement sur mon sexe. Son sexe est inondé, cette fille mouille comme j’ai rarement vu. De plus elle éjacule quand elle jouit. Elle ne peut faire que de petits mouvements, ses jambes étant toujours plus ou moins paralysées. Mais cela m’arrange beaucoup, je peux contrôler plus facilement la montée en pression. C’est aussi bon pour elle qui met plus de temps à arriver au point de l’orgasme. Nos lèvres se rencontrent et s’ensuit un baiser passionné. Je sens mon ventre se nouer, mon cœur s’emballer, mes pieds s’électriser, je ne vais pas tarder. Elle me précède de quelques secondes en poussant un soupir rauque et grave. Cela me libère et je me vide dans son antre. Elle hoquette, se raidi, se détend, tremble, frissonne, m’inonde le sexe et le ventre de cyprine en me serrant aussi fort qu’elle peut dans ses bras.-Oh tonton, quelle pied, jamais je n’ai jouis comme ça, jamais aucun homme ne m’a comprise comme toi. Comment aller voir quelqu’un d’autre après ce que nous venons de vivre.-Tu plaisante, je regrette déjà ce que j’ai fait, je sais que je n’aurais pas la force de te résister jusqu’au retour de tes parents, mais après il ne sera pas possible qu’on se voit de nouveau.Elle se renferme d’un seul coup en retombant à côté de moi.-Ecoute Claire, il faut être réaliste, tu as vingt-deux ans, tu rencontreras un homme de ton âge, ou très proche, qui te fera vivre les plus beaux jours de ta vie et tu ne penseras plus à ton oncle, en tout cas pas comme tu y pense maintenant.-Tu seras toujours mon tonton chéri, celui que je préfère, d’ailleurs ça a toujours été le cas.-Je sais, mais en ce moment c’est trop. Aller il faut dormir maintenant. -Avec ce que je viens de vivre, ça ne va pas tarder. Bonne nuit mon tonton chéri, bisou.Je me penche sur elle pour lui déposer une bise sur le front mais elle se débrouille pour que nos lèvres se rencontrent pour un long baiser. Un peu essoufflé, je me dégage, me tourne et lui présente mon dos. Elle réussit à se tourner un peu et nous nous endormons dos à dos.Le lendemain matin, je me réveille le premier et réussi à sortir du lit sans la réveiller. Je fais une rapide toilette, mais je n’ai rien pris hier et je ne peux pas me laver les dents et me raser. Je sors pour acheter du pain, j’en profite pour acheter ce qui me manque et entre avant qu’elle ne se réveille. Après avoir terminé ma toilette, je prépare le petit déjeuner. Il n’est que huit heures trente, mais l’odeur du petit déjeuner réveille Claire.-Tonton, je t’attends. Vite il faut que j’aille aux toilettes.J’entre dans la chambre, elle m’accueille avec son merveilleux sourire qui me fait craquer. Je m’agenouille à côté de son lit et lui dépose un baiser sur ses lèvres. -Bonjour ma chérie, ça va ?-Oui, j’ai l’impression que mes jambes répondent mieux qu’hier.-Tant mieux, voilà une bonne nouvelle.-Oui, mais tu vas t’occuper de moi comme avant hein ?-Bien sûr ma chérie.-Dis donc, pourquoi tu peux me dire ma chérie alors que moi, je n’en ai pas le droit.-Parce que ça fait vingt-deux ans que je t’appelle ma chérie, et toi tu ne m’appelle que tonton depuis toujours. Il faut que ça continu.-Ok, ok, je n’ai rien dit.Je la relève et l’amène aux toilettes. Après, elle veut faire sa toilette tout de suite et là, elle me demande de la laver. Je ne peux lui résister et je lui frotte le corps à main nue, la savonne sur toutes les parties de son corps, je la sens vibrer doucement sous les caresses que je lui prodigue, ce n’est plus un lavage, mais une caresse totale de tout son corps. Pendant tout le temps que cela va prendre, elle n’arrête pas de me faire des bisous dans le cou, le dos, les épaules suivant la région du corps qu’elle peut atteindre. C’est à ce moment que je remarque que quand je lui passe ma main en insistant le long de sa colonne vertébrale, elle réagit violemment. Son corps entre pratiquement en transe. C’est une de ses zones les plus érogènes. Bien entendu, ma main finit entre ses cuisses et mon majeur taquine légèrement son clitoris.-Embrasse-le.Je la regarde, elle me sourit et je craque. Je me déshabille, entre dans la baignoire et m’agenouille devant elle. J’écarte au maximum ses cuisses et plonge sur ce sexe qui n’attend que ça. Ma langue s’excite sur son clitoris. Mon majeur pénètre son sexe et commence des va et vient. Je lui suce le clitoris, le titille avec ma langue, elle ne résiste qu’une minute et part dans un orgasme silencieux, les yeux fermés, la tête renversée, ses mains sur ma tête. Elle jouit en silence, profondément. Ma bouche est inondée de cyprine qu’elle libère par petits jets. Je me délecte de ce divin nectar. Quand elle s’est calmée, je me redresse et pose mes lèvres sur les siennes pour lui faire gouter son jus. Elle me lèche les lèvres.-Je n’avais jamais gouté à mon jus. C’est bon, mais je préfère ton jus à toi, c’est plus fort et plus onctueux.-Tu sais, c’est le goût de la plupart des femmes, si tu aimes ce goût, tu vas aimer le goût des femmes.-C’est vrai j’aime ce goût, mais je préfère ton goût, le goût des hommes.-C’est normal, mais je dois te dire que moi, c’est ton goût que je préfère.-Par rapport à quoi ?-A toutes les femmes que j’ai pu goûter, c’est toi qui a le goût le plus fin, le plus subtil.-Merci, mais je n’y suis pour rien.-Si, c’est ton hygiène de vie qui te fait être ce que tu es.-Ah bon.-Aller, assez philosophé il faut y aller.Je la fait se lever, aujourd’hui elle peut un peu mieux se tenir sur ses jambes, il faut qu’elle se tienne, mais c’est beaucoup mieux qu’hier. Je la prends par la taille, et la fait sortir de la baignoire. Je la maintiens pour l’amener dans sa chambre. Elle réussit à marcher jusque-là et fini par s’écrouler sur son lit.-J’en ai marre, je fatigue dès que je fais un pas.-Reste dans ton lit, je dois aller chercher des affaires pour me changer, je m’absente une heure où deux, tu crois que ça va aller.-Oui tonton, ne t’en fais pas, de toute manière il faut que tu ailles chercher de quoi te changer, je n’ai rien pour toi ici. Ne t’en fais pas je vais rester dans mon lit, j’ai un roman que j’avais commencé la semaine dernière, je vais lire en ton absence. Je peux résister quelques heures, je suis refaite à neuf pour la journée. Bisou tonton.Je lui fais une bise sur les lèvres et quitte la maison pour aller chercher des affaires chez moi et régler un ou deux problèmes de travail. Je me change, enfile un short et une petite chemisette et fais un sac d’affaires de rechange, tous plus légères les unes que les autres. Le téléphone sonne.
A suivrezooph34@gmail.com
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