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Claire ma nièce

Chapitre 8

Inceste
Je ne mets qu’un short, une chemise très légère et une paire de tennis. Elle se trouve une jupe courte légère, un micro string et un petit haut.-On ne va pas se balader en ville ?-Non, on sort de la voiture et on entre dans la forêt, met des tennis pour marcher.Nous arrivons assez vite à la forêt, je la connais depuis très longtemps et je nous dirige vers une petite clairière ou coule un ruisseau qui fait une grande boucle et a creusé un petit bassin ou deux personnes maximum peuvent entrer. Arrivés là, Claire se précipite vers le ruisseau pour tâter l’eau.-Elle est bonne, on se baigne ?-Tu as pris un maillot ?-Tu te moques de moi j’espère ?-Oui.Elle enlève jupe, string, haut, tennis et je jette dans l’eau fraîche. -Viens, elle est super, ça fait un bien fou, quel pied.Je la suis, mais j’entre beaucoup plus difficilement qu’elle dans l’eau. Nous nous amusons dans l’eau, nos mains en profitent pour parcourir le corps de l’autre. Cette peau fraîche et lisse ne me laisse pas indifférent malgré la température fraîche de l’eau. Une main se saisi de mon sexe et le caresse. J’en fais autant de mon côté. Nous finissons serrés l’un contre l’autre dans un long baiser. Je ne tiens plus, l’eau commence à me congeler. Nous sortons et nous nous frictionnons énergiquement. Cela fini allongés sur l’herbe, mon sexe enfoncé dans le sien. Elle est sur moi et mène la dance en ondulant du bas du corps. Ses lèvres sont constamment sur les miennes, sa langue excitant la mienne. Mes mains sont sur ses fesses, je les caresse tendrement, je ne veux pas accélérer le mouvement, je veux profiter de cet instant le plus longtemps possible. Elle se redresse sur ses bras et me regarde droit dans les yeux.-Je vais jouir tonton, viens en même temps que moi, je veux sentir ton sexe se vider en moi, viens, viens, oui, aaaaaaaahhhhhhh.Elle jouit en m’entrainant avec elle. Je me vide en elle en de longs jets.-Oh, je te sens, oui.Je n’en peux plus, ces quelques jours d’amour intenses m’ont épuisés mais je suis en même temps heureux, j’aime cette fille, même si c’est difficile à admettre. Il va falloir que je vive sans elle à mes côtés, ce sera dur, surtout que je la verrais régulièrement lors de réunions de famille.Claire est sur moi, mon sexe est resté en elle. Elle ne bouge pas, sa tête sur mon torse, les yeux fermés. Elle aussi doit penser que c’est presque terminé. Je lui caresse doucement le dos et les fesses, mes mains montent et descendent le long de son corps. Au passage de la colonne vertébrale, elle frémi, se crispe légèrement. Son bassin recommence à onduler. J’insiste sur la colonne en montant et descendant tout le long. Son ventre s’anime de plus en plus, elle commence à soupirer. Ses mains se crispent sur mes épaules, son ventre se crispe, son sexe se serre sur le mien qui commence à réagir. Ses mouvements du bassin sont de plus en plus amples, je ne bouge plus, je la laisse faire, elle se fait l’amour sur mon sexe devenu raide en l’utilisant comme un gode. Sa respiration s’accélère, elle lâche de légers soupirs, sa poitrine se colle un peu plus contre mon torse. Ses gestes deviennent saccadés, sa tête commence à bouger de droite à gauche, son corps se durci, elle se raidi et dans un souffle jouit une nouvelle fois. Je pose mes mains sur son dos et la caresse pour l’apaiser. Son corps est de plus en plus lourd sur moi, je commence à avoir du mal à respirer. Elle s’en rend compte et me libère de son poids. Allongée à côté de moi elle soupire.-Je ne me croyais pas capable de jouir plusieurs fois de suite, mais tu m’y as bien aidé.-Oui, tu as une colonne vertébrale magique.-Je le découvre en même temps que toi.Le temps passe et nous devons rentrer. A peine dans la voiture, Claire s’endort. Je la réveille par un baiser arrivé devant chez elle. C’est un réflexe, mais je me rends vite compte que j’ai fait une connerie d’avoir embrassé ma nièce sur la bouche dans la rue. Heureusement il n’y a personne. Arrivés chez elle, elle se débarrasse de ses fringues et vient m’enlever les miennes.-Maintenant, c’est à poil dans l’appart.Elle va tirer les rideaux devant les fenêtres pour pouvoir évoluer en toute liberté. Il fait encore chaud et nous nous installons sur la terrasse pour boire un petit apéro. L’ambiance est à la bonne humeur, au bonheur d’être ensemble, mais je sens une certaine réticence à la pensée du lendemain. Demain vers midi, ce sera fini, je retournerais chez moi, elle pourra rester chez elle, mais sa mère ou sa sœur seront très souvent là.Le repas est pris rapidement, nous avons besoin d’être l’un contre l’autre le plus rapidement possible. Nous nous précipitons dans sa chambre et restons collée l’un à l’autre sans bouger. Je fini par promener mes mains le long de son corps, elle est parcourue de frissons, je la mets sur le dos et pose un baiser sur le moindre centimètre carré de son corps. Ça prend plus de trente minutes pendant lesquels elle ne cesse de se tortiller et de pousser des soupirs. En remontant le long de ses cuisses, elle se saisie de ma tête.-Je n’en peux plus chéri, viens me prendre, me posséder, me faire l’amour, m’aimer, viens en moi mon chéri.Elle tire sur ma tête pour me faire remonter le long de son corps, je fini par m’encastrer dans son sexe.
-Oui, comme ça, oui aimes moi mon chéri, aime moi.Je m’active doucement en elle, je ne veux pas que l’on jouisse trop vite. Je sais que c’est une des dernière fois que nous faisons l’amour ensemble, peut-être même la dernière fois dans un lit. Elle doit penser la même chose car elle ne fait rien pour accélérer mes mouvements, elle se laisse aller en fermant les yeux, un léger sourire aux lèvres. Quand je sens qu’elle commence à se raidir, je me jette sur ses lèvres pour l’embrasser. Elle répond à mon baiser avec passion et se libère. Elle se cambre, frissonne, vibre de tous ses membres tout en laissant sa bouche collée à la mienne. Je me laisse aller et me vide en elle. Nos corps se heurtent, s’enlacent, se donnent l’un à l’autre. Elle se libère d’un seul coup de ma bouche pour pousser un cri rauque et puissant. Nous mettons un certain temps à retomber sur terre. Claire me regarde.-Merci mon chéri, merci pour tout ce que tu m’as apporté, merci pour ces quatre jours merveilleux, je ne sais si je revivrai un tel moment dans ma vie, mais jamais ces jours ne sortirons de ma mémoire. Et merci de m’avoir laissé t’appeler mon chéri, je ne recommencerai plus, promis.Elle me sourit en me regardant dans les yeux, je suis sous le charme, je fonds devant ce visage souriant, devant cette fraîcheur, cette spontanéité. Je la serre un peu plus dans mes bras, elle se blotti un peu plus.-Tu n’as pas à me remercier, c’est moi qui devrais te remercier de m’aimer. Moi aussi j’ai vécu l’un des plus beaux moments de ma vie. Mais moi, contrairement à toi, je sais que ça ne se reproduira plus.-Ne dis pas de bêtises, tu as de très beaux restes, tu peux encore séduire des femmes.-Peut-être, mais pas comme toi.-Merci mon tonton chéri.Je pose mes lèvres sur son front. Je la sens partir de plus en plus dans un profond sommeil. Je l’allonge pour qu’elle dorme confortablement, elle m’agrippe.-Tu reste avec moi tonton.-Ne t’en fais pas, je reste avec toi, nous allons passer la nuit ensemble.Elle se détend et sombre petit à petit dans les bras de Morphée. Je la suis assez vite.Le lendemain, samedi fatidique, je me réveille vers huit heures. Claire dort toujours. Je me lève, fais un brin de toilette sachant que je recommencerais tout à l’heure, et vais faire quelques courses à la boulangerie du coin. Je reviens avec du pain craquant et des croissants. Claire s’est levée entre temps et prépare le café. Elle se jette sur moi.-Bonjour mon adorable tonton.-Bonjour ma chérie.Elle fait un peu la moue.-Qu’est-ce que tu as ?-Je suis jalouse, toi tu peux dire ma chérie.-Ce n’est que ça, ok, jusqu’à onze heure, tu peux m’appeler chéri où mon chéri.-C’est vrai mon chéri.-La preuve.-Merci pour le pain et les croissants chéri.Je souris, cette fille est adorable et est heureuse d’un rien, qu’elle garde cette fraîcheur le plus longtemps possible, c’est tellement beau.Nous petit déjeunons et allons dans la salle de bain pour le devenu traditionnel lavage. Elle s’assoie sur la chaise, les jambes ouvertes par-dessus les bords de la baignoire et de doit lui nettoyer le sexe avec ma langue. Cette fois-ci, je n’insiste pas sur ses zones les plus érogènes, je les évite au maximum pour faire durer le plaisir. Car c’est vraiment un immense plaisir que j’éprouve à lécher, sucer, titiller ce sexe doux, subtilement odorant d’où s’échappe un liquide divin. Elle a toujours ses mains posées sur ma tête, mais n’appuie pas, elle me laisse faire, simplement elle veut sentir les mouvements de ma tête. Malgré mon attention, elle finit par jouir et m’inonder la bouche de ses jets de cyprine. J’avale tout avec délectation.-Oui, chéri, oui continu mon chéri, je t’aime, je t’aime.Elle manque de tomber tellement elle est prise par sa jouissance, elle ne sait plus ce qu’elle fait ni où elle est. Je la maintiens jusqu’à ce qu’elle revienne avec moi.-Tonton, tu es le meilleur.-Comment peux-tu dire que je suis le meilleur, je suis la seule personne à t’avoir fait ça. Tu ne pourras dire que je suis le meilleur qu’en faisant une comparaison.-Oui chéri, tu as raison.Elle me regarde en souriant, ses yeux sont clairs et brillants. Elle est heureuse et ça me rends heureux. Nous finissons par nous laver réellement et sortons sur la terrasse pour prendre le soleil. Nous passons une bonne heure allongés l’un contre l’autre à nous caresser doucement, juste pour sentir sous sa main la peau de l’autre, pas pour s’exciter. Elle n’arrête pas de m’appeler chéri, et ça me fait rire. Je vais chercher l’appareil photo pour faire des portraits de Claire. Son visage est reposé, lisse, rayonnant. Elle s’est légèrement maquillée, elle est très belle et je veux fixer ces moments pour nous. Je prends une bonne quarantaine de photos que je garde dans l’appareil de manière à en extraire quelques-unes pour la famille, mais il faut qu’elles soient « sages ». Nous visualisons les photos, elles sont bonnes, j’ai réussi à faire ressortir le bonheur tranquille de Claire.-Quels merveilleux jours passés ensemble. -Oui, mais tout a une fin. Je n’ai pas utilisé les draps, théoriquement tu dois laver deux paires de drap, les miens et ceux de la garde malade qui a dormi une nuit. -Non, trois, car les miens sont dans un état pas possible. Si maman les voit, elle comprendra tout de suite ce qui s’est passé.-Ok, à la lessive.Nous lançons une machine à laver et allons refaire le lit de Claire. J’ai l’impression de retomber en enfance quand les parents ne devaient pas voir les bêtises qu’on avait faites.-Chéri, il est onze heures, c’est la dernière fois que je t’appelle chéri mon chéri.Sur ces mots, elle se colle à moi et m’embrasse.
A suivrezooph34@gmail.com
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