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Clara Brooks, domestique soumise

Chapitre 1

Erotique
Journal de Clara Brooks
Cette histoire relate les péripéties de Clara Brooks, une jeune fille de 24 ans devenue gouvernante d’une grande famille bourgeoise. Clara a de magnifiques yeux noisettes assez grand avec le regard attendrissant, les cheveux mi-longs de couleur noir, fait 1m66 avec une silhouette assez fine et gracieuse, des courbes voluptueuses sans être vulgaire. Elle a perdu ses parents assez tôt et doit s’occuper de sa sœur de 18 ans.

— 24 juillet 1893 -
J’ai pris un temps fou pour arriver chez les Smith. Je suis restée debout dans le train pendant plus de deux heures avant d’arriver à la gare du tout petit village de Cephe. Le pire, c’est qu’il fait très chaud aujourd’hui et le wagon plein n’arrange pas les choses. Madame Smith a eu la bonté de venir me chercher en automobile. Je ne pensais pas en voir une dans la campagne mais en même temps, j’aurais du me douter que mes employeurs auraient les moyens d’en avoir une. Elle s’appelle Elizabeth, 40 ans, ses cheveux blonds sont attachés en une queue de cheval. Elle porte une longue robe, fermée au col et qui descend jusqu’aux genoux, qui ne laisse rien apparaître mais on devine qu’elle a de jolies formes.
— Bonjour, me dit-elle, êtes vous mademoiselle Brooks?— Oui madame.— Vous êtes polie et pas très bavarde! Vous serez parfaite pour ce boulot. Bien, attachez votre malle à l’arrière de la voiture et venez me rejoindre à l’avant ensuite.
Le temps de faire ce qu’elle m’avait demandé, nous nous élançions à bord du véhicule sur la route afin de rejoindre la demeure où je vivrais et travaillerais pour quelques années.Le trajet se fit sans un mot. Ce n’est pas grave. Ça me laissait le temps de profiter de la vue. Moi qui avais grandie en ville, je voyais la campagne pour la première fois. A la mort de mes parents, c’est le frère de mon père qui nous avait élevé ma sœur et moi. Il arrivait que je le vois en train de me regarder lorsque je me lavais ou bien quand je dormais. Il m’a d’ailleurs touché à plusieurs reprises et c’est pour cette raison que j’avais décidé de trouver un travail afin d’avoir les moyens de vivre et de faire venir ma sœur.
Après un trajet qui m’a semblé trop court tellement je voulais profiter du paysage, nous arrivons enfin au manoir. "Il est immense!" me suis-je dis sur le coup. Une grande maison de trois étages avec autour un jardin gigantesque avec des buissons taillés de chaque côté de la maison. Tout autour de la demeure, un mur de 2 mètres de haut délimite le terrain.
— Voilà la demeure des Smith. Vous voyez la bâtisse sur le côté? me demande Madame Smith.— Oui madame lui dis-je en regardant cette petite maison.— Et bien, c’est là que vous logerez. Au rez-de-chaussée, il y a une petite cuisine et la chambre de Madame Bomer est au fond à gauche. A droite, c’est celle de Monsieur Wain qui gère tout ce qui concerne l’entretien et les réparations diverses. Vous, vous logerez au grenier. Monsieur Wain y a aménagé une chambre. Je vous laisse vous y installer et vous viendrez me rejoindre demain à la première heure. En attendant, profitez de votre temps pour vous reposez ou visitez les lieux.— Bien madame.
Je prend mes bagages et me dirige vers le logement. Arrivée devant, la porte s’ouvre et une vieille dame se tient sur le pas de la porte avec un sourire chaleureux. Il doit s’agir de madame Bomer. Elle doit avoir 65 ans, les cheveux blancs et porte une tenue de gouvernante avec un tablier par dessus. Elle devait être en train de cuisiner quand elle m’a vue arriver.
— Bonjour ma petite, me dit-elle d’une petite voix assez rugueuse. Tu dois être la nouvelle. Clara c’est ça? Clara Brooks?— Oui madame. C’est bien moi.— Entre. Entre. Et ne m’appelle pas Madame. Je suis Guilaine. Enchantée de te rencontrer. Je suppose que tu as hâte de monter dans ta chambre avant de prendre du service n’est-ce pas? — Je devrais surtout me changer et prendre ma tenue.— Tu as raison. Je te laisse mais ne tarde pas. J’ai cuisiné un ragoût pour la famille Smith et j’en ai mis de côté pour nous.— Merci Guilaine.
J’ai l’impression d’avoir une grand-mère. Je n’ai jamais connue les miens mais je crois que je m’en suis trouvée une toute seule. J’espère que nous pourrons faire plus ample connaissance dans la soirée. Madame Smith m’avait dit que passé le repas du soir, j’avais du temps libre pour faire ce que je voulais.
Je me dirige vers les escaliers et monte lentement vers le grenier en traînant lourdement ma malle derrière moi. Je ne pensais pas qu’elle serait aussi lourde sinon j’aurais pris moins d’affaires avec moi. J’arrive enfin en haut. Je sens que mon corps est ruisselant de sueur tellement la chaleur est intense aujourd’hui. Je regarde cette fameuse chambre rien qu’à moi. Les murs sont nus, aucune décoration si ce n’est un lit, une table de chevet et une armoire. Une porte en face de celle de ma chambre ouvre sur le grenier à proprement dit. C’est dans cette pièce que se trouve tout ce que les Smith ont entassés au fil des années et dont ils ne se servent plus. Je vois que dans ma chambre se trouve une porte non loin de mon lit. Je l’ouvre et trouve une petite salle de bain à savoir une toilette et un évier. Ce n’est déjà pas si mal pour une domestique. La douche se trouve dehors juste à côté de la maison. Je décide de vider ma malle afin de prendre des vêtements appropriés à ma fonction. Mais avant, il faut que je me rince le corps rapidement pour nettoyer la sueur d’avoir monter cette malle par 35 degrés. Je remplis donc l’armoire de mes vêtements tandis que ma tenue pour travailler se trouve sur mon lit. Je retire mes vêtements pour ne garder que mes sous-vêtements. J’allais me diriger vers la salle de bain quand la porte s’ouvre avec fracas.
— Où te caches-tu? crie un adolescent en rentrant dans ma chambre.— Mais qui es-tu morveux? hurlais-je choquée par cette visite inattendue. On ne t’a pas appris à frapper aux portes?— Je suis Peter, me répond la garçon en baissant la tête. Je ne savais pas qu’il y avait quelqu’un ici. Je viens souvent jouer au grenier pour éviter les ennuis avec mes parents. Je cherche mon chien— Oh. Excuse d’avoir hurler. Je suis Clara, la nouvelle domestique et cette pièce est ma chambre. Tu peux toujours aller jouer dans la pièce en face.
Je me penche alors vers lui ne prenant pas garde du fait que je suis en sous-vêtement devant un gamin et lui ébouriffe les cheveux. Le gamin doit avoir 16 ans, les cheveux bruns assez courts. Ses yeux humides se relèvent vers moi puis descendent vers mon soutien-gorge.
— Ça va? La vue te plait? dis-je en mettant mes mains pour couvrir tant bien que mal mon corps.— Vous êtes jolie mademoiselle, dit-il en rougissant.— Merci mais je pense que tu es un peu jeune pour ce genre de chose.— Je voudrais voir plus!— Ça va pas non? Et puis quoi encore?— Si tu fais pas ce que je dis, j’irai le dire à mon père et il va vous renvoyer! S’il te plait. Tu es la plus belle fille que j’ai vu et j’aimerais voir tes nénés.
Voilà qu’il me menace maintenant! En même temps, si il va chez son père, il y a des chances pour que ce dernier me renvoie et j’ai besoin de ce job. Tant pis, il ne demande pas grand chose. Il veut juste voir. Ça ne coûte rien de lui montrer mes seins. Je me relève et me positionne face à lui. Ses yeux s’écarquillent tandis que mes mains se dirigent vers l’agrafe de mon soutien. Ce dernier tombe à terre et révèle ma poitrine. Mes seins sont assez gros et ont l’air de faire plaisir à Peter.
— Je... J’ai mal à mon zizi, me dit-il en regardant la bosse qui s’est formée dans son pantalon.
Qu’est-ce que je suis censé faire? Le laisser ainsi et oublier ce qu’il vient de se passer ou bien aller plus loin? C’est tout de même de ma faute si il se retrouve ainsi et je peux peut-être le soulager. Je n’arrive pas y croire! Voilà que pour mon premier jour, je vais sucer le fils de mon patron. En plus, il n’a que 16 ans! Je suis vraiment une salope pour faire ça mais ça fait tellement longtemps que je n’ai plus vue de nouvelle bite... Je m’agenouille devant le garçon et lui retire son petit short et caleçon.
— Tu n’as jamais fais cela avant. Je me trompe? Tout en posant ma question, je le regarde et vois qu’il est gêné par la situation qui est en train de se dérouler. Cette situation lui est inconnue.— N.. Non... Je... Je suis vraiment désolé pour tout ça... mademoiselle...— C’est bon. Attends un peu et tu vas voir que tu n’auras plus mal à ton zizi.
Son pénis a déjà une belle taille pour son âge. Un bon 16 cm bandé rien qu’en le touchant de la main. Je l’entoure de ma main et commence à lui lécher le bout du gland. Je prend plaisir à titiller le gamin comme je le fais. D’un coup, je commence à le prendre en bouche. Je l’entend gémir et prend plaisir à ça.
— Je...dois faire pipi...— Ce n’est pas pipi que tu vas faire mais éjaculer. C’est ce que fais un homme quand il a pris beaucoup de plaisir.
Ainsi, il n’aura pas fallu longtemps pour que plusieurs giclées frappent le fond de ma gorge. Je sens sa bite ramollir.
— Tu vois? Ce n’était pas du pipi mais du sperme. Tu as eu ce que tu voulais alors va-t-en à présent et ne raconte à personne ce qu’il vient de se passer.— Oui...D’accord Clara!
Le petit ramasse ses affaires et s’en va en courant dans les escaliers. Voilà une première journée peu ordinaire. Ca promet! Même si j’aime ça, j’espère que tout le monde ne voudra pas me voir nue pour ensuite avoir "mal au zizi".
Mais ça, seul l’avenir nous le dira.
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