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Claude

Chapitre 1

Erotique
Claude est une ancienne collègue de travail. Lorsque nous travaillions dans cette administration, nous n’étions pas réellement proche. Elle occupait le poste pour le quel j’avais postulé, après une période où j’avais prouvé mes compétences à son poste, celui ci ne se libérant pas j’avais préféré mettre un terme à mon contrat. C’est là que notre relation amicale a réellement commencé. Elle avait été stupéfaite de mon attitude. Elle n’avait aucune amitié dans ses collègues de travail. Elle s’y sentait mal mais s’accrochait à son poste pour vivre ou survivre. Ma décision était de toute façon d’arrêter. Je la présentais à mon épouse, un peu pour lui prouver que je ne lui en voulais pas, un peu pour faire admettre à mon épouse que ma décision allait au moins profiter à cette pauvre femme. Petit à petit cette relation est devenue une amitié, plus proche de moi que de mon épouse car celle-ci la trouvait un peu trop abattu sur elle même, elle vivait une vie terne mais ne faisait rien pour l’agrémenter. Sa carrière était sur un rail. Terne mais sans anicroche possible. Dans 27 ans avec un peu de chance elle serait retraitée territoriale. Sa vie maritale allait de même. Pas de grand frisson mais elle avait ses deux enfants d’un dizaines d’années qu’il fallait instruire jusqu’à la fac au moins. Et elle vivait sur Bordeaux alors que sa famille maternelle était de Paris. Elle envisageait d’acheter un jour une maison. Rien de bien folichon, tout d’une tiédeur morbide quand même.
Peu de temps après elle nous appris que son mari avez demandé le divorce alors qu’elle ne s’y attendait absolument pas. Elle l’avait forcé à rendre visite à un concessionnaire automobile pour acheter une bonne grande familiale. C’est devant son refus de prendre un crédit en commun qu’il avait révélé son dégoût pour leur vie. Elle se rapprocha de moi et de mon épouse pour convaincre son mari de rentrer dans une autre optique. Pour ne pas la froisser je ne m’y suis pas opposé sans pour autan faire le nécessaire. De confident j’étais devenu son exutoire. J’essayais au cour d’un repas de lui faire comprendre que peut être elle y était pour beaucoup. Puis ce fut la période de lui faire comprendre que forcément prendre un autre appartement me paraissais normal. Puis ce fut le fait d’accepter qu’il ait une autre femme. L’histoire avait duré, un peu trop pour mon épouse qui commençait à en avoir raz le bol de la « rabat-joie » de service. Je ne la voyais plus chez moi pour éviter les conflits. Nos rencontres se sont cantonnées aux repas de midi à la même cantine sans qu’elle ne se rende compte que mon épouse avait mis un veto sur elle.
De ma part je sentais un peu d’empathie pour cette pauvre femme. Elle n’était ni belle ni moche, Elle n’avait pas un boulot glorieux mais pas débile non plus. Moi, mon métier était celui d’un carnassier sans pitié et ce coté un peu protecteur grand frère avec elle m’apportait un peu de compensation avec la frustration affective de mon travail. Pour palier à ses vagues à l’âme je commençai à lui faire comprendre qu’elle devait peut être passer à autre chose. Elle ne semblait pas comprendre. Je lui expliquai qu’elle devait peut être rencontrer des gens, des hommes. Ceux-ci ne l’intéressaient pas. Elle retrouvait systématiquement dans leurs attitudes son vécu, son histoire et sa vie avec son mari. Et puis un jour où j’étais un peu fatigué de ses jérémiades, je lui dis simplement : « Tu sais ce qui te manque ? c’est un bon coup de bite » 2 secondes après avoir prononcé ces mots je regrettai déjà, mais elle devant moi me répondit juste : « non je crois pas, çà j’arrive à faire autrement… » .Ces deux phrases aurait pu passer inaperçues entre deux amis très proches, mais en fait elles ne l’était pas, pour moi du moins. Je n’avais jamais abordé les choses de la vie avec elle surtout aussi crûment. Mais pour elle, elle semblait ne pas avoir perçu l’agressivité que j’avais mis dans mes paroles. Le reste du repas se continua j’étais encore abasourdi par la situation, j’étais un peu seul. Elle, elle continuait à faire comme si de rien n’était.
Ma femme dut s’absenter quelques jours pour un voyage alors je l’ai invité un soir à manger, la semaine me paraissant moins longue. Au cour de ce repas je me senti obligé de lui présenter des excuses sur mon culot. Lui dire que je n’aurai jamais dû lui parler comme cela et que cela ne me regardait pas. Elle me regardait surprise et me répondit que non que le sexe était tout a fait naturel et qu’elle n’avait aucun problème à aborder cela. Et petit à petit elle commença à me raconter ce qu’il était pour elle. Comment elle avait rencontré son mari dans une partie fine. Ses expérience à trois. Puis ce furent ses expériences de jeunesse. Je n’en revenais pas. Cette fille, si prude, presque cul béni ne manquait pas de piment sous la couette. Je l’imaginais puritaine, je la voyais maintenant complètement libérée sur le thème à tel point qu’il m’était impossible de décrocher. Elle m’avait ferré et j’attendais avec impatience ses récits. Je l’invita le vendredi, le soir, qui visiblement été plus propice à nos confidence. Cela devenait pour moi un besoin pulsionnel.
J’en vins à lui raconter que pour ma part, si ma vie était bien pleine, coté sexe ma femme ne faisait pas preuve d’autan d’ouverture. Je me sentais particulièrement frustré. Elle me raconta comment elle arrivait à se masturber dans un lieux public pour se calmer parfois. Je la mis au défis de le faire en ma présence. Elle vit dans mon regard une lueur d’espièglerie et me promis de me tenir informé. Je pensai qu’elle me donnerait rendez vous lors d’une de nos sorties mais au bout de quelques minutes, elle me demanda ma main. Je ne compris pas mais lorsqu’elle la saisit, je sentis une certaine moiteur dans la sienne. Je regardai ses yeux et compris qu’elle venait de se faire du plaisir, là au milieu du café ou nous étions sans même que je m’en rende compte. Je portai ma main à mon nez pour en vérifier la réalité et cette odeur de cyprine m’envahit. Un coup de chaleur traversa ma colonne vertébrale. Je n’en revenait pas. Elle se mis à rire de mon désarroi. « Tu crois que quoi… » Je restai couac.Je ne savais plus quoi lui dire ni même quoi penser. Nos relations étaient passées en quelques instants d’un stade de collègues à bien plus, bien trop justement pour en rester là. J’avais la gorge sèche, mais trop chaud pour rester tranquille sur mon siège, je lui dis que je devais prendre l’air quelques minutes. Nous sommes sortis du bar où nous étions.
La rue était bondée, Nous étions vendredi soir, nous avons emprunté une ruelle pour rejoindre le restaurant où nous avions prévu de manger. J’étais bien silencieux. D’un seul coup je vois une porte cochère je la saisis par le bras et la dirige dans l’alcôve. Je la colle contre le mur et glisse la main dans l’échancrure du pantalon, je passe la barrière de l’élastique et je plonge un doit dans sa vulve. Tout cela en la regardant dans les yeux. Dans un murmure elle me dit « tu me crois maintenant ? Tu vois je suis pas la rombière sèche que tu croyais » « Pas sèche du tout même » lui répondis-je. Je n’avais jamais caresser une moule aussi moelleuse. Une vrai fournaise onctueuse. Mais ma main resta bien ancrée dans son sexe. En deux secondes j’ouvrai ma braguette, mais la position frontale était plus qu’impossible. Je la retournai violemment, face au mur et penchée en avant. Je commençai à ouvrir son pantalon. En un geste rapide je baissa celui-ci en même temps que sa culotte. Nous regardions tout les deux en même temps vers l’entrée pour être certain de ne pas être surpris, et là d’un coup sec, je me plante au centre de sa vulve. « Non ne bouge pas… Tu peux pas venir en moi comme cela… Ça fait trop longtemps… je prends plus de précaution… » Je suis restai comme cela quelques secondes sans bouger, à la sentir autour de ma bite, à malaxer ses petits seins dont les tétons érigés étaient particulièrement grands par rapport à l’ensemble du mamelon. Elle se trémoussait et nous ne faisions plus du tout attention à ne pas être surpris . Mais finalement je craignis de jouir en elle et je finis par sortir. Elle s’écroula par terre. J’étais moi même chancelant je la regardai avec une certaine furie. Je la saisis alors par les cheveux et tira sa tête contre ma taille. Elle compris très rapidement mon intention et enfourna elle même ma verge dans sa bouche. Elle l’avale complètement. Je n’en revenais pas. Quand je pense que ma femme fait tout un manège pour prendre juste le gland et qu’au moindre petit goût suspect elle se met à vomir. Claude était la reine des fellations. Elle était sous cette porte cochère bordelaise, les genoux sur les pavés, le jeans et sa culotte à mi-cuisse. Elle faisait coulisser ma bite dans sa bouche jusqu’à la glotte, tout en triturant mes bourses et en me griffant les fesses. J’étais essoufflé, les yeux convulsés, et je bavai tant que cela coulait sur ses cheveux. Au bout de quelques secondes je saisi sa tête à deux mains, elle avait compris qu’elle arrivait à l’apothéose. Grande prêtresse, elle me maintient bien au fond de sa bouche sans bouger remplaçant l’activité de va et vient qu’elle faisait avec ses lèvres par un mouvement de succion. Je gicla en trois ou quatre secousses en éructant. Mon cris résonna dans la ruelle toute proche. Je m’écroula contre le flan de l’immeuble. Je la voyais maintenir le verge dans sa bouche jusqu’à la dernière goutte. Elle finit par lécher la hampe sur toute la longueur avec une grande délicatesse. Je peux dire qu’elle a bu ma coupe jusqu’à la lie.
Nous avons fini par nous rajuster, et sortir de la fameuse porte cochère. Il y avait du monde dans la rue comme dans toutes les grandes métropoles un soir de fin de semaine. Les gens passaient dans la rue, sortant ou rentrant dans les bars ou restaurants, mais personne ne portait d’attention particulière à nos personnes. Nous avons marché un peu dans la rue, sommes arrivé devant notre restaurant sans rien dire. Avant de rentrer, je me suis tourné vers elle et lui dit : « Tu as faim ? je trouvais ma question ridicule et visiblement elle aussi. Nous éclatâmes de rire : « Et si on allait plutôt boire un coup ? » me répondit elle. Nous voilà partis vers une autre rue où je connaissais un pub Irlandais. Nous avons bu, un peu grignoté et beaucoup rigolé. Au sortir de ce bar ni elle ni moi n’étions en mesure de prendre la voiture. Très sage elle décida d’abandonné celle-ci dans son parking et de prendre les transports en commun pour rentrer chez elle. Elle habitait l’agglomération, nous étions vendredi soir, il lui serait toujours possible de revenir la récupérer le lendemain. Pour ma part s’était plus compliqué puisque j’habitais une banlieue assez lointaine. Mais je l’accompagnais jusqu’à son quai de tram. Le regard des jeunes gens sur nous, qui étions un peu saoul et surtout l’idée de traverser un zone urbaine un peu difficile, ne la réjouissait pas, surtout à cette heure tardive. Il était 1 heure du matin et elle était seule sans même un imper pour la cacher un peu. Très chevaleresque je lui proposa de la raccompagner, et pour confirmer cela, j’irai dormir dans un F1 non loin de chez elle. Elle accepta assez rapidement. Dans le tram nous reprîmes nos conversations assez librement car la rame était vide, et nous étions toujours éméchés. Je relança la conversation sur le sexe, lui rappelant une scène qu’elle m’avait raconté dans le métro parisien. Je fini par la mettre au défi de refaire la même chose ici. Évidement ce n’était pas du tout la même chose puisque dans le métro parisien elle avait masturbé son petit ami au milieu des autres passagers, debout collé l’un contre l’autre dans la foule, à l’insu de leur attention. Mais L’idée était passé elle me regarda avec malice en me disant. « Moi je crois surtout que tu en veux encore. » Je dois reconnaître que c’était la vérité. Elle ouvrit ma braguette et enfourna encore cette fois ma bite. Elle s’appliquait à la faire revivre, et lorsque celle-ci lui sembla bien raide elle me dit « A mon tour cette fois ci. » Elle se leva et ouvrit la ceinture de son pantalon. Elle baissa celui ci juste sous le sillon de ses fesses et vint se placer devant moi. Nous étions assis dans une sorte de boxe de la rame du Tram. Là où les sièges se font faces et donc il y a un peu plus de place. La rame était vide mais tout de même quelqu’un pouvait rentrer. Elle ne semblait pas du tout concernée par cela. Elle vint délicatement s’empaler sur moi. Et pas n’importe comment, non par le petit trou. J’étais bouillant. Je sodomisai une fille dans le tram de Bordeaux à une heure de matin. Nous remontions la rue Thiers dans une bien drôle de posture. Nous regardions bien furtivement par dessus les rangées de siège pour voir si personne ne nous épiait mais tout de même. J’étais halluciné. Pour moi, c’était une première, mais quelle première. Elle accéléra la cadence. Elle connaissait le trajet et savait devoir en finir avant une station de bifurcation où il y a forcement beaucoup de gens. Lorsque nous passâmes la dernière station avant cette station, elle accéléra réellement le mouvement. Les quelques personnes qui étaient à l’autre bout de la rame ne pouvaient cette fois plus douter de notre activité. Je suis venu assez rapidement en silence, mais elle, elle se mit à crier comme pour affirmer sa victoire. Les quelques jeunes banlieusard à casquettes qui étaient dans la trame se mirent à nous siffler et nous interpeller. Claude pris peur et se rajusta très rapidement. Elle me saisit par la main et nous sommes descendus en courant alors que les jeunes rigolaient et plaisantaient sur notre fuites.
Nous n’étions pas très loin de chez elle, et c’est en courant que nous avons traversé la cité. Nous ne nous sommes arrêtés que devant chez elle. Elle fouilla ses poches pour trouver ses clés, ouvra sa porte palière et saisi ma main en rentrant. Je ne pouvais plus refuser de la suivre. Arrivés chez elle, elle nous servi un grand verre d’eau chacun, que nous avons vidé pour reprendre nos souffles. Elle se jeta sur moi, me faisant tomber par terre. Elle repris la troisième fellation de la soirée. Ma bite était au ange. J’étais vidé mais le souvenir de ses lèvres sur ma verge me laissait présager tout le plaisir du vice. Elle me pompa une bonne dizaine de minute, jusqu’à ce que je sois parfaitement raide. Elle me lâcha là et parti dans sa chambre. Je me demandais ce qu’elle allez encore inventer. Elle revint en culotte avec une boite de préservatif. Elle déchira la pochette, et le posa celui-ci sur la langue comme une ostie. Elle se pencha sur mon camarade de l’étage inférieur pour reprendre sa succion. J’étais couché de dos sur la moquette. Je n’en revenais pas. Elle était en train de me pomper tout en déroulant le latex sur mon membre avec la bouche. J’avais déjà vu cela sur certain film mais je ne pensai pas cela possible. Lorsqu’elle fini de m’empaqueter elle se releva et vint de nouveau s’empaler sur mon membre, mais cette fois, j’ai eu droit à l’entrée principale. Elle me chevaucha d’abord lentement puis accéléra. Elle changea enfin de position, pensant d’un appuis sur les genoux, à celui d’un appuis sur les pieds. Elle faisait coulisser ma verge dans son vagin en regardant bien consciencieusement la progression. Elle se délectait de se branler avec une bite. Et d’un seul coup elle s’est effondrée sur moi. Me couvrant complètement. Je la sentait couler sur mes cuisses et sur mon ventre. Une véritable inondation. J’avais entendu parler de femme fontaine, je ne peux pas dire que c’était réellement son cas, mais tout de même, cela n’avait rien à voir avec ce que j’avais connu jusqu’alors, malgré mes vingt ans d’expérience sexuelle. Nous sommes restés ainsi un bout moment. Nous avons bu de nouveau, toujours de l’eau, mangé. Et beaucoup discuté. Elle m’a confiait que c’était son premier rapport avec quelqu’un depuis 4 ans. Elle ne faisait plus l’amour avec son mari bien avant son divorce. Elle se masturbait et pensait cela bien suffisant oubliant même le plaisir que cela pouvait être.
Au petit matin, j’ai repris le tram, la laissant seule dans son appartement, je récupéra ma voiture et rentra chez moi. Je pris une douche avant le retour de voyage de mon épouse avec les enfants qu’elle avait confié à mes parents à quelques kilomètres pour les vacances de Paques. Quelques temps plus tard je lui présentais un ami célibataire avec qui il refit sa vie. Ma femme me dit parfois qu’il devait être l’homme idéal car il l’a totalement métamorphosé. Mon ami lui ne s’en jamais rendu compte. Il faut dire qu’il n’a pas connu Claude avant. Nous n’avons plus jamais retenté l’expérience, mais Claude changea beaucoup sa façon de voir ses collègues. Moi aussi d’ailleurs, je ne regarda plus jamais les pimbêches de la même façon. Car en chaque femme peut se cacher une tigresse.
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