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Claude, cette femme en moi.

Chapitre 2

Travesti / Trans
Le lendemain, à mon réveil, elle me regardait les yeux plein d’amour.Elle joua un instant avec une de mes mèches, et m’offrit un baiser langoureux." - J’ai préparé le petit déjeuner mon amour, mais avant je vais bien m’occuper de toi. Tu l’as bien mérité Ma Beauté, je t’ai préparé un bon bain chaud, ensuite je te bichonnerais Mon Petit Cœur!" .
Le jour était levé, il faisait beau, de petits rayons de lumière traversaient le salon.Elle me prit par la main, et m’entraîna à l’étage, dans sa salle de bain personnelle.La baignoire était toute fumante, une mousse généreuse recouvrait la surface de l’eau chaude.Elle avait mis sur le rebord de petites bougies photophores allumées qui parfumaient la pièce.Elle me fit m’asseoir dans le bain, rajoutât quelques perles de beauté, des sels et entreprit de faire ma toilette.
Elle me frottait lentement de son gant, caressant plus que de raison mon torse, ma poitrine.Elle laissait sa main sombrer dans le liquide pour me savonner l’entrejambe, moi comme un enfant qu’on dorlote, je me laissais faire.
Elle me fit signe de me lever et commença à me sécher, avec douceur, délicatesse, comme si mon corps était fait de la porcelaine la plus précieuse. Une fois sortie de la baignoire, elle attrapa une bouteille d’huile pour la peau, un secret de beauté m’assura t-elle, et entreprit de m’en étaler sur tout le corps.Je sentais ses mains étaler la lotion sur ma poitrine, sur mon ventre, dans le creux de mes fesses.Le parfum embaumait la pièce, et moi insouciant, je me laissais faire, sans rien dire, sans rien perdre. Toujours sous le charme de nos ébats de la veille.J’étais en feu.
Elle s’attarda un instant sur mon sexe, retroussa le prépuces et le lubrifia de ses doigts facétieux." - Ton petit kiki m’a bien donné du plaisir" lâcha t-elle.Moi, je ne m’offusquais pas de ces considérations anatomique, je connaissais mon corps avec ses faiblesses, mais aussi ses forces." - Il avait la douceur d’un petit clitoris, enfin je crois, moi qui ai tellement rêver dans goutter un, s’en jamais avoir osé le faire...", m’avoua Aude.Alors elle se baissa un instant, et l’embrassa tendrement.
Au moment ou je m’apprêtais à lui demander plus d’explications sur ses envies saphiques, elle posa son index sur mes lèvres:" - Plus tard, je t’expliquerais plus tard, mon petit chéri...", lâcha t-elle dans un souffle.
Moi silencieux, je repensais à nos ébats de la veille, à cette ambiguïté dans la manière ou nous avions fait l’amour, collés comme deux lesbiennes.A nos caresses, à ma langue et à mes doigts qui la fouillait, pendant qu’elle, en diapason, me répondait de la même manière.
Je pensais aussi à Agnès, en me demandant comment aurait pu être nos rapports si elle aussi avait osée m’en parler, comme Aude venait de le faire, avec pudeur, douceur et envie.Je n’étais en aucune manière perturbé, même serein, comme apaisé. Je me sentais enfin en parfaite adéquation avec ce physique que je trouvais parfois difficile à porter.
Elle me fit m’asseoir sur une chaise, sécha mes cheveux, puis les coiffa à l’aide de toutes ses brosses..Elle prit ses crèmes hydratantes, m’en badigeonna le visage, puis suivirent les lotions, les baumes et pour finir, elle enlumina mon regard comme elle l’avait fait la veille, par de discrètes petites touches de maquillage." - Te voilà tout en beauté mon amour !" .
Moi nu devant la glace, je contemplais mon visage, si différent, si féminin... mais tellement beau à voir...Elle s’absenta une minute, et revins avec une tenue pour m’habiller.
" - J’ai pris cela dans la commode de ta chambre, cela appartenait à ma nièce" .Elle me tendit un petit caraco de soie nacrée, à fines bretelles, puis le petit short assorti.
Je restais interloqué, ne sachant que faire de cette tenue.L’enfiler ou pas, telle était la question. Je fixais Aude et dans son regard, je devinais qu’elle en avait énormément envie.Je cédais pour lui faire ce plaisir.
Je fus électrisé par le contact de l’étoffe sur ma peau, c’était tellement doux et si agréable à porter.La dentelle devant laissait deviner la naissance des poils de mon sexe, et en me tournant, je vis qu’au dos, comme un petit écrin, cette même dentelle avantageait généreusement la raie de mes fesses.
Elle me passa un mini Kimono de femme japonaise de sa garde robe, et une paire de petites mules parfaitement assortie à ma tenue.Elle attrapa sa bouteille de parfum, et me posa sous chacune des oreilles, dans la naissance du cou, un peu de la précieuse fragrance." - comme cela tu auras mon odeur sur toi !" Elle se colla contre moi, m’offrit sa bouche, et glissa sa main sous le bustier pour me caresser la poitrine, mes tétons se dressèrent alors en réponse." - Viens, le petit déjeuner nous attends mon amour !" .
Nous déjeunâmes en silence, tout en ne nous lâchant pas des yeux.Son regard pétillait de mille feux, elle me souriait avec malice.Je l’embrassais goulûment, puis je descendis dans mon bureau, j’avais un site internet à finir.
Une fois assis devant mon PC, je ne pu me retenir de me caresser comme elle l’avait fait la veille, de haut en bas, de mon sexe à ma raie que je flattais de plus en plus sous le jeu mes doigts. De mon autre main, glissée sous le bustier, je tripatouillais mon téton, celui qui était le plus sensible, le plus réceptif...Mon plaisir n’en était que plus accentué par l’étoffe de soie de ma tenue...A chaque fois que le plaisir montait trop, je m’arrêtais, pour reprendre ensuite mes caresses...Je ne voulais pas jouir seul, je voulais que Aude vienne me rejoindre, pour finir de prendre en main ma jouissance.
Elle ne se fit pas attendre, une heure plus tard Aude était là, lavée, coiffée, parfumée, elle ne portait qu’un tout petit Kimono, pareil au même, et à chacun de ses pas, je découvrais son sexe lisse.
Elle s’assit sur le côté de la banquette de mon bureau, et tout en me fixant, elle tapota sur le cuir de l’assise, pour me faire signe de la rejoindre.Je m’allongeais, la tête sur ses genoux. Elle me souleva délicatement par la nuque, entrouvrit son peignoir et me tendit son mamelon à téter...Je m’étais légèrement tourné, pour rendre plus agréable encore cette petite succion.
Sa main libre descendit lentement dans ma petite culotte, et en rencontrant mon sexe en érection, elle comprit alors qu’il fallait reprendre sa cajolerie.Je tétais Aude et pendant se temps là, Aude me caressait, se fut divin. J’étais aux anges, et c’est dans le creux de sa main, ouverte en réceptacle, que je lâchais ma jouissance.
Elle sortit délicatement sa main, gardant dans sa paume le précieux nectar.Je dégageais un instant ma bouche de son sein, en la fixant du regard.Elle chercha dans les yeux mon approbation, puis lentement, étala sous son mamelon rouge de ma tétée, ma précieuse semence.Je la fixais un moment, et repris le chemin de son téton.Je me régalais en silence, léchant et gouttant mon foutre sur sa poitrine offerte. C’était doux et délicieux, terriblement audacieux, comme le serment d’un soumit à son propre plaisir.Aude étala le reste de ma semence sur mon visage, sur mes joues, sur mon front en un divin massage." - La légende prétend que Cléopâtre se faisait des masques de beauté avec le sperme de ses esclaves", me dit-elle," - Alors continuons l’entretien de ta peau si douce, si belle, mon bel amour" .
Nous restâmes un moment, l’un contre l’autre, moi collé à son buste, elle reprenant ses caresses de sa main de nouveau libre.Elle s’aventura cette fois ci dans le creux de mes fesses, je me redressais un peu pour lui faciliter le passage, et de ses doigts lubrifiés par le reste de mon sperme, elle écarta mon œillet, pour finir par y introduire sa main. Je jouis encore et encore, écartelé et fouillé.
Dans un murmure, elle me raconta son histoire.Son attirance pour les femmes aussitôt muselée par son éducation catholique.Son mari qu’elle aimait sincèrement mais qui n’avait pas comprit ses penchants cachés.
Elle me parla de son amitié envers ma mère et de son trouble lorsqu’elle me vit pour la première fois.Elle m’avoua son attirance pour moi, pour mon apparence androgyne, pour la finesse de mes traits et sa peur d’année en année que je ne change, que je me masculinise.
Elle me raconta tout ces kilomètres en retour avalés d’une traite, pour enfin se caresser des heures entières, en pensant à mon corps, à mes fesses, à mon visage d’ange si féminin.
Elle m’avoua aussi, sa jalousie envers Agnès.Elle avait deviné ses doutes et chaque jours montait son envie folle d’être à sa place, dans mes bras, dans le creux de mes reins, pour qu’elle puisse enfin assouvir son désir et aussi me révéler à moi même...
Elle me confessa également qu’elle n’avait jamais eut de nièce, que la chambre avait été décorée spécialement pour mon hypothétique venue, et que tout ces petits dessous, elle les avait acheté pour moi, dans le secret espoir que je les portes un jour, pour elle, pour l’ouvrir enfin dans sa quête du plaisir, de la félicité d’une passion qu’elle espérait dévorante et partagée.
" - Je t’aime Aude !", lui chuchotais-je.Elle m’embrassa tendrement, et moi contre son sein, je repris ma succion, et elle ses douces caresses.
Le soir tombait, et nous étions encore dans mon bureau, sans envie de bouger.Elle caressait les poils de mes cuisses; je n’ai jamais été très poilu, à part sur les jambes, les aisselles et le sexe." - Sais-tu que les cyclistes et les nageurs s’épilent ?, et que cela n’enlève rien à leur charme" ." - Oui Aude, je le sais !" " - J’aimerais tellement que tu sois lisse et doux pour moi", marmonna t-elle." - Si tu le souhaites, je le ferais pour toi ma chérie !", lui répondis-je, et je finis par rajouter en plaisantant, que moi non plus je n’aimais pas les poils... sur mon corps ni sur celui de mes partenaires.
Elle se redressa pour se lever, elle me prit par la main et me conduisit à la salle de bain. Moi à chaque pas, je sentais mon sperme collé entre mes fesses et celui qui finissait par dégouliner de mon petit trou.
Après m’être déshabillé, je m’installais dans la baignoire, Aude attrapa un tube de gommage pour m’en enduire tout le corps; pour évité les poils sous la peau, m’informa t-elle.Une fois l’exfoliation terminée, elle prit une bombe de crème dépilatoire hypoallergénique, spéciale jambes, aisselles et maillot, et l’appliqua partout.
En attendant que le produit agisse, elle m’embrassait passionnément en me susurrant combien je serais beau, lisse, doux et propre.Un jet d’eau chaude vint chasser les restes du produit, et dans le miroir je me vis imberbe, totalement nu, sans plus aucun poil.
Mon petit sexe semblait plus joli, ravissant même, il pendouillait mollement et prenait maintenant des allures de clitoris.Je m’en fis l’écho auprès d’Aude qui éclata de rire." - Tu vois, je ne dis pas trop de bêtise !", ajouta t-elle." - Je l’aime ton petit clito, je l’adore surtout quand il me donne sa semence !".
Elle repris le rythme de ses soins, épila à la pince les derniers duvets autour de mon anus, puis je senti quelque chose de tiède s’introduire dans mon fondement.Aude avait entreprit de me faire un lavement.Je sentais la poire se vider dans mes sphincters, l’eau chaude mélangée au savon, les gargouillis impétueux, mon ventre qui se gonflait peu à peu...Alors pour m’encourager, Aude me fessait gentiment le derrière, en me lançant un grand:" - Allez, vide toi ma beauté !?!", et moi, je m’exécutais, excité comme jamais.
Je vidais mon colon dans le grands jets tonitruant, Aude rirait à gorge déployée, m’encourageant à chaque geyser, puis elle me rinçait et reprenait son labeur au fond de mes intestins, jusqu’à ce que le liquide qui sortait de mon cul fut limpide.
Une dernière toilette, puis attrapant une petite fiole en verre, elle la remplit sous mes yeux à l’aide d’une autre poire à lavement, dont l’embout était plus long et plus souple." - C’est un mélange d’huiles essentielles, de lubrifiants et de vasodilatateur biologiques, tout pour le confort de ton petit trou" ." - Comme cela tu resteras bien ouverte pour nos caresses de ce soir !" .
J’avais remarqué le lapsus: ouverte au lieu d’ouvert, mais je me tus.Aude m’appelait déjà " Sa Beauté" et cela me plaisait au point de me mettre dans tout mes états...
Elle enduit tout mon corps de crèmes variées, de baumes de beautés, et finit par la coiffure et la très attendu séance de maquillage.Moi nu, je restais debout dans la salle de bain.
Aude fit quelques pas vers la porte et en se tournant vers moi, me révéla:" - Je me suis permis de mettre dans ma chambre toute ta lingerie, elle est dans le tiroir ouvert de ma commode.Choisis toi une tenue pour ce soir, j’adorerais que tu sois sexy pour moi Ma Beauté !", puis elle s’éclipsa, prétextant le repas du soir à préparer.
Je rentrais dans sa chambre, sur le grand lit King size, Aude avait disposé des pétales de rose. Dans le tiroir, des dizaines de sous vêtements, tous plus beau les uns que les autres.Je les dépliais un à un, et mon choix se fit sur un petit ensemble de soie et de dentelle noire, ornementé par de petites perles couleur nuit.J’enfilais le petit bustier, au niveau du décolleté une rose sombre brodée relevait la fente que formait ma poitrine.
La petite culotte toute aussi ravissante, laissant deviner ma peau par le jour formé par les motifs dentelés, la forme remontait sur le côté de mes cuisses et donnait à mes jambes un galbe magnifique.
Par dessus j’enfilais un petit chemisier noire de tulle transparente, puis une paire de bas aux arabesques florales, noir également, le tout savamment maintenu par une jarretière de la même couleur...
Sur la table de maquillage, je pris du verni noir, et commença à m’en mettre d’abord sur les ongles des orteils, puis sur ceux des doigts.Je saisis le flacon de parfum, en m’en déposa précieusement une goutte sous chaque lobe.L’odeur m’enivrait, Aude en bas me manquait déjà, mais l’essentiel dans son absence temporaire, était simplement la joie de nos retrouvailles et de la surprise que je lui préparais.
Je me faisait superbe, pour elle, et rien d’autre ne comptait.
Je cherchais un miroir, une psyché pour me regarder enfin en pied... quand je remarquait que le dressing était ouvert, et là sur les étagères, un grand cœur rouge accroché marquait une autre surprise, une vingtaine de paire de chaussures, toutes à ma pointure.Aude avait le soucis du détail, ce qui en amour est gage de qualité.Je choisi une paire de mules noire ouverte sur le devant, avec des talons de 11 cm, et refermais l’alcôve contenant ces nouveaux trésors que Aude m’offrait.
Là dans le grand miroir de la porte, je me vis enfin...Les talons me cambraient et une jolie courbe de rein rehaussait maintenant mon petit cul.Mes jambes gainées de noir était sublime, et les jours dans la dentelle épiçaient le grain de mon épiderme.Ma peau lisse sans un poil me ravissait, j’avais tant hâte de me montrer à Aude.
Je descendis dans le salon, et me dirigea à pas feutré vers mon aimée.Elle était dans la cuisine, occupée à concocter de bons petits plats, elle avait attaché ses cheveux en chignon, et ne portait rien d’autre qu’un petit tablier de dentelle blanc, avec un gros nœud derrière et les lanières qui lui retombaient joliment sur les fesses m’excitaient déjà.En m’entendant, elle se retourna.
Son visage s’illumina, et dans ses yeux monta des larmes de joie.Son petit plastron s’arrêtait au dessus de son petit minou bien lisse, et je devinais sur ses lèvres intimes, son plaisir, sa mouille; peut-être avait-elle déjà commencé à se caresser... en m’attendant.
Elle balbutia un:" - Tu es... tu es..." Je l’interrompis d’un doigt sur sa bouche.Elle pour cacher son émoi, me tendit la cuillère en bois, pour me faire goûter son met. " - Tu as faim ?" " - Oui ! de toi !, montons dans ta chambre étrenner ton grand lit, j’ai une faim à assouvir..." .
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